C’est une vidéo qui m’apprit l’existence de cette pratique, un soir.
Le dogging.
On y voyait une jeune femme qui suçait des bites par la vitre d’une voiture. Elle était à poil dans son siège. Son compagnon était à ses côtés, habillé. Il matait sans intervenir. Trois hommes étaient attroupés dehors et se faisaient sucer à tour de rôle, tout en tripotant les seins de la femme et son entrecuisse. La vidéo était courte et assez mal filmée, mais j’en ai trouvé plusieurs autres de ce genre ce soir-là, sur le même site internet.
Le lendemain matin, j’en ai regardé d’autres encore, en me masturbant, jusqu’à ce qu’une idée lumineuse me traverse l’esprit : vérifier s’il n’y avait pas par hasard près de chez moi des endroits consacrés au dogging. J’ai lancé une recherche sur Google et visité des sites qui recensaient ce genre de lieux, classés par départements. Ce fut aussi simple que ça. En l’espace d’un quart d’heure, j’en ai trouvé trois situés dans les 15km à la ronde.
C’était un dimanche, en tout début d’après-midi. Nous étions à la fin du printemps. Il faisait 18° et le ciel était dégagé. J’ai noté les indications d’accès aux trois lieux sur un papier, puis j’ai pris ma voiture.
C’était il y a deux ans.
Entre temps, certains lieux ont cessé d’être fréquentés, mais d’autres sont apparus. Je les connais tous. Je m’y rends régulièrement. Je sais quels jours sont propices et à quelles heures. Certains jours, grâce à des forums internet, des rendez-vous sont convenus entre habitués, mais le plus souvent rien n’est prévu. J’aime bien partir à l’aventure et être surpris.
Il y en a qui font du foot, de la planche à voile ou du vélo, moi je faisais du dogging. Je n’avais pas de femme à offrir de cette façon à des inconnus, mais j’avais une bite, une langue et des mains. Je m’éclatais vraiment.
Et je collectionne les bons souvenirs.
Je me souviens d’un jeune couple en vacances dans la région. Antoine et Sarah. Ils s’étaient renseignés sur les lieux de dogging avant de venir, et je les ai croisés à trois reprises. Sarah était brune à cheveux courts. Elle avait de superbes nichons qui tombaient fièrement sur son ventre, une chatte lisse et un beau cul bien bombé. Je vous parle de son cul, car Sarah faisait partie de ces femmes qui ne se contentent pas de sucer des bites et de se faire tripoter. Elle offrait son cul aux hommes par la vitre et on se succédait pour lui lécher l’anus et la chatte, puis pour la pénétrer.
Je me souviens que Sarah n’exigeait pas qu’on mette de préservatif. Les hommes avaient donc le choix. Pour ma part, je n’en ai pas mis. J’ai bourré cette chatte à trois reprises, dans trois lieux différents. Deux fois, j’ai déchargé sur les fesses de cette fille, tandis qu’elle se branlait énergiquement le clitoris. Une fois, j’ai giclé sur sa langue, à la suite d’un autre homme dont le sperme coulait encore sur le menton de Sarah.
D’autres femmes se font pénétrer, mais la grande majorité s’en tiennent à des fellations. Leurs âges sont très variés. J’ai 42 ans et une préférence pour les plus jeunes que moi, mais j’avoue prendre aussi du plaisir à me faire sucer la bite par des femmes bien mûres.
Je me souviens d’une Brigitte qui avait dans les 55 ans. Elle suçait par la vitre d’une BMW noire et son mari l’observait en se branlant. Elle avait de gros nichons qui portaient la marque d’un soutien-gorge et qui pendaient sur son ventre. Tout en me faisant sucer, j’adorais les prendre dans ma main et les soupeser. Brigitte avait la chatte poilue, bien fournie. Je la tripotais aussi. Elle avait un assez gros cul, qui portait lui aussi les marques blanches d’un maillot, mais elle se contentait de se le faire bouffer en le posant au bord de la portière. Pas de pénétration avec elle. On pouvait seulement cramponner ses fesses, lécher ce qu’on voulait, enfoncer nos doigts et éjaculer sur son anus et dans les poils de sa grosse chatte.
L’âge des hommes varie également. Je ne suis pas le plus jeune, ni le plus âgé, loin de là. Des hommes à la retraite se rendent souvent sur des lieux de dogging, mais on rencontre aussi des mecs de 20 ou 25 ans.
Brigitte raffolait des jeunes, je me souviens, sans reculer pour autant au-devant de la queue d’un homme de 60 ou 70 ans.
De même, je me rappelle d’une petite blonde qui n’avait pas 30 ans, qui s’appelait Léa. Son mec avait à peu près le même âge et n’intervenait pas, il la regardait faire. Elle avait de tout petits seins pointus et un magnifique cul bien blanc. Elle faisait partie des femmes qui se faisaient pénétrer, et je ne sais pas combien de fois j’ai enfilé Léa, même si sa préférence à elle se portait sur les hommes âgés. C’était son truc, elle le disait clairement.
J’ignore combien de vieux ont ainsi pénétré la chatte de Léa, mais elle et son mec fréquentaient plusieurs endroits différents. Elle faisait aussi partie des femmes qui embrassaient des inconnus sur la bouche avec la langue, tout en se faisant toucher les seins ou la chatte. Elle s’épilait au maillot et coupait ses poils très courts. J’adorais éjaculer dessus après avoir roulé une grosse pelle baveuse à Léa.
Il arrivait que des femmes sortent de leur voiture. C’était notamment le cas de Sandrine. Elle avait à peu près 40 ans. A poil et accroupie, elle suçait les queues des hommes qui l’entouraient, chacun leur tour, tandis que des mains malaxaient ses nichons et que des doigts s’enfonçaient dans son anus sous les yeux de son mari resté dans la voiture.
Sandrine ne se faisait pas pénétrer. Son truc, c’était les pipes et les giclées de sperme sur le visage et sur les seins. Je l’aurais pourtant bien baisée, cette salope. Et si j’emploie ce mot, « salope », c’est parce qu’elle aimait qu’on l’insulte. Son mari aimait ça aussi. Il ne se gênait pas pour injurier Sandrine pendant qu’un gland expulsait sa sauce blanche sur sa langue à l’extérieur de la voiture. Salope, putain, putasse.
Il y avait un petit hôtel abandonné, aux abords d’une autoroute, où des amateurs de dogging se retrouvaient. Il a été détruit depuis. Le parking était invisible depuis l’autoroute. C’était un des lieux les plus fréquentés parmi ceux où je me rendais, sans doute parce qu’il se trouvait juste à la sortie de la ville, à l’entrée d’un bois, au bout d’un chemin de terre qui passait sous une route nationale. Les vendredis en fin de journée, aux beaux jours, il y avait toujours au moins un couple sur place, dans une voiture, mais je me souviens d’un soir de fin juillet où il y en avait quatre. Deux n’étaient pas de la région. C’étaient des touristes habitués à pratiquer le dogging partout où ils allaient, dès qu’ils avaient des congés.
Je me souviens en particulier de Marc et Valérie, un couple de plus ou moins 35 ans. Ils vivaient en région parisienne et ils nous ont expliqué qu’ils projetaient de se faire un tour de France des spots consacrés au dogging et à l’exhibition. Marc aimait montrer sa femme à des inconnus. Il lui enlevait lui-même ses vêtements et ses sous-vêtements, petit à petit, tandis que Valérie se contentait dans un premier temps de discuter avec les hommes rassemblés autour de sa vitre ouverte.
Valérie se faisait pénétrer sans capote. En levrette, par la vitre, comme la plupart des femmes qui se laissaient baiser.
Même s’il est arrivé qu’il y en ait qui sortent de la voiture pour ça.
Carole, par exemple.
Couchée sur le capot de la voiture, sur une serviette de bain, les jambes grandes ouvertes, au moins dix inconnus se sont succédés entre ses cuisses ce soir-là. La scène a duré assez longtemps, et certains hommes ont fini par se déshabiller complètement. J’en faisais partie. Ce genre de chose arrivait de temps en temps dans les lieux les plus discrets. Le fait de se mettre tout nu dans ces contextes accentue l’excitation, indéniablement.
Ce n’était pas mon cas, mais il arrivait aussi que des hommes fassent des choses entre eux, en présence d’une femme qui suçait par sa vitre. Ça ne me dérangeait pas, chacun fait bien ce qu’il veut.
J’ai ainsi vu des hommes caresser le cul d’autres hommes pendant qu’il se faisaient tailler une pipe par une femme. J’ai vu des hommes branler des bites tout près de moi, puis les sucer. J’ai refusé maintes fois qu’on me le fasse, et ça n’a jamais posé de soucis.
Je me souviens d’un jeune à lunettes qui a pris le sperme d’un homme d’au moins 60 ans dans la bouche, un soir. Juste avant, il s’était lui-même fait sucer par la femme dans sa voiture. Elle avait au moins 50 ans. Le jeune s’était mis tout nu avant de s’approcher de la vitre où l’attendait une bouche de salope. Il s’était alors laissé toucher le cul par un homme qui se tenait à ses côtés. Je me branlais à un mètre d’eux.
Mes seuls contacts avec des hommes se sont limités à leur sperme. Il m’est arrivé quelques fois notamment de me retirer d’une chatte pour gicler sur une paire de fesses où du sperme coulait encore et où mon gland est venu se coller brièvement. Il m’est aussi arrivé d’enfoncer ma bite dans une bouche qui débordait de sperme.
La fille la plus jeune qui m’a sucé par une vitre de voiture devait avoir 18 ou 19 ans. L’homme au volant qui la regardait faire avait au moins 25 ans de plus qu’elle. Je n’ai jamais su qui ils étaient l’un par rapport à l’autre, mais ils n’avaient l’air d’être en couple.
La femme la plus âgée avait 64 ans. C’est elle qui nous l’a dit, en tout début de séance, en discutant. Elle s’appelait Marie. Sa peau était ridée et ses gros nichons bien bronzés pendaient mollement. J’ai déchargé dessus, je me souviens. Marie était une ancienne prof d’anglais.
Je me souviens avoir éjaculé en voyant une femme accroupie qui pissait en suçant une bite sur un parking. Elle n’avait prévenu personne, elle s’est juste lâchée. J’étais tout près d’elle, tout nu, et j’ai entendu le bruit de la pisse qui percutait le goudron. Elle avait une trentaine d’années et elle suçait un homme assez âgé à ce moment-là. Nous étions cinq autour d’elle. Elle avait un chignon et des cheveux noirs bouclés. J’ai giclé dans sa nuque.
Je me souviens d’une assez jolie femme d’une quarantaine d’années qui avait gardé son soutif pour sucer. Un soutif noir en dentelle. Il y avait six hommes ce jour-là, sans me compter. Elle nous a demandé à tous d’éjaculer sur son soutif. Sept spermes différents collés sur la dentelle, ou dégoulinant à la jonction des nichons.
Vous aurez remarqué que je m’exprime au passé dans ce texte. Car les choses ont changé dans ma vie depuis quelques semaines. J’ai rencontré une femme un peu plus jeune que moi qui s’appelle Nath. On s’entend bien et nous avons différentes attirances en commun. Ou disons différentes pratiques que nous affectionnons.
Le dogging en fait partie.
J’aime regarder Nath sucer des hommes par la vitre de ma voiture.
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