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Tapón del Darién – 8

Tapón del Darién – 8



Ici, on doit remercier quand on s’est fait fouetter!
L’homme donne son fouet à Hildegarde.
Oh, que oui, je vais remercier!
C’est elle la patronne ici et elle a un fouet en main. Des hommes et des femmes et même des chiens qui lui obéissent.
Alors, j’ambrasse sa grosse vulve poilue et mouillée. Elle est très excitée, fouetter une fille sans défense c’est son truc!
On est loin de la mer, mais elle sent bien la marée pas fraîche! Malgré qu’elle soit entourée de femmes toutes prêtes à lécher la patronne…
Pas besoin d’une grande technique, au point elle est. Je fais un peu frétiller ma langue sur son clito, puis je le suce doucement… J’enfonce deux doigts dans son vagin, un gémissement m’encourage. Bon, j’en enfonce trois, puis quatre… Pas besoin d’enfonce ma main complètement, ni l’autre, ni mes pieds… car elle jouit en collant mon visage contre sa chatte.
Au secours, je vais étouffer et me noyer!
Non, elle me repousse! Elle a jouit, point. Elle dit, « Debout! », tout en envoyant un coup de fouet sur mes fesses meurtries. « Va rejoindre les autres! »
« Aaaiee! Oui, Maîtresse! » Même pas la reconnaissance de la chatte!
Elle fait signe à un gars que j’arrive.
Mon royaume (c’est une façon de parler) pour une lingette, pour m’essuyer le visage!
Ils sont assez loin, mais j’entends un garde donner un ordre et un grand chien coure vers moi! 50 ou 60 kg de muscles avec des mâchoires bourrées de dents, quand ça vous fonce dessus, ça fait de l’effet!
Qu’est ce qu’il veut ce monstre??
Il vient se mettre derrière moi et il aboie. Je comprends bien le message, « grouille-toi ou j’te mord le cul ».
Ok je cours… J’ai mal dans tous le bas du corps du haut des fesses aux mollets!
Il court derrière moi mais n’aboie pas.
J’arrive chez le garde, haletante.
Il me montre une grossière paire de sandale, que je mets aussitôt.
Un peu plus loin, une série de femmes en rang retourne la terre d’un champ. Ce qui est surprenant c’est que ce sont toutes fines et belles! Elles ne ressemblent en rien à des ouvrières agricoles!
Il y a des gardes qui les surveillent et ils sont bien sur armés des mêmes fouets qui pincent cruellement mais ne blessent pas.
Derrière, ce champ il y en a du coton arrivé à maturité. C’est beau!
Le garde me confie à une femme.
Elle me demande mon nom, ensuite elle me donne un panier et appelle une des filles qui travaille. Celle-ci arrive aussitôt.
Ce n’est pas une négresse (comme on dit, ici), mais un mannequin blond! C’est surprenant!
« Une nouvelle. Montre-lui comment faire. »
« Oui, Madame. »
Je vais avec la fille dans sa rangée.
Elle m’explique, « Tu prends délicatement la touffe de coton et tu la mets dans ce panier. Tu ne mets ni feuilles, ni branchettes, ni insectes, bien sûr. »
Je lui murmure, « Ce n’est pas trop dur ici? »
« C’est dur, mais il y a de loin pire. Travaille parce que sinon tu vas te prendre des coups de fouet!
Elle ajoute, « Fais le au rythme des autres pas plus vite parce qu’on travaille de l’aube au crépuscule, ici. »
Charmant!!
J’ai un moment de répit, quand la chef me donne des vêtements de travail comme en portent toutes les files. Il n’y pas de tailles, ils vont à tout le monde.
Il s’agit d’un morceau du tissu qui sert à faire les ballots de coton. On fait un trou au milieu pour passer la tête et voilà un beau vêtement seyant. Facile à retrousser, si on veut fouetter ou baiser une fille!
Les deux premières journées sont éreintantes! On met le coton dans de grands paniers. Quand il est plein on va le déverser sur une grande table où des filles le compresse puis en font des ballots!
On mage et on boit. Le matin, le midi et le soir.
Tant qu’il fait clair on travaille, et non, il n’y a pas de syndicat pour aller se plaindre de ces horaires.
La nuit on est enfermées dans une longue cabane rudimentaire. On a des matelas improbables remplis de déchets de cotons qui ont été écartés. On dort bien, malgré les courbatures…
On parle un peu entre nous, j’apprends que les filles défilent ici. Elles sont punies pour différentes raisons : prostituées (de luxe) pas assez obéissante, employée qui ont fait une bêtise, épouse insolente… et mêmes quelques étudiantes 18 qui ont ratés leurs examens et que leurs parents envolent ici!
Le travail est de 7 h du matin à 7 h du soir, soit 12 h, avec quelques petites pauses. Après ça, plus aucune prostituée ne lèvera son nez sur la bite malpropre d’un client, aucune épouse ne traitera son mari de poivrot, aucune employée n’oubliera de ranger son bureau et aucune étudiante ne ratera un examen!
Et moi?? Qu’est ce qu’elle attend cette garce de Caitlin? Même à son service, je serai mieux qu’ici, au soleil à respirer des filaments de coton et à prendre un coup de fouet quand, soi disant, je lambine!
Les gens qui ont envoyés les filles, ici, peuvent venir deux fois par semaine se distraire et s’exciter en voyant la façon dont on est traitées.
Parents, patrons, souteneurs, époux… C’est à ce moment là qu’on se prend le plus de coups de fouet sur les mollets, les cuisses et les fesses.
Le troisième jour je vois arriver une voiture… pas une 4X4, mais une élégante calèche tirée par deux chevaux blancs.
On s’arrête un moment de travailler pour regarder, mais la chef gueule, « Travaillez! »
Du coin de l’oeil, je vois qu’il y a un cocher et derrière une femme habillée à la mode du 19ème siècle, longue robe, chapeau… Et je les connais! Le cocher, c’est le régisseur du domaine et la jeune femme, c’est Catlin!
Elle est très élégante, surtout par rapport à nous qui n’avons qu’un morceau de tissus avec un grand trou pour la tête et pleins de petits trous, car on emploie du tissus abîmé!
Elle descend de la voiture, aidée par le régisseur.
La maîtresse du domaine vient inspecter ses ouvrières, ou plutôt, ses esclaves.
Elle discute avec la chef.
Celle-ci crie, « Susie, aux pieds! »
Catlin vient sans doute me rechercher.
Je me dépêche d’aller les rejoindre.
Je dis poliment, « Bonjour Mademoiselle, je suis contente de… ».
Mais, elle me coupe et dit au régisseur, « Je veux une servante qui rampe!
J’ai l’impression qu’on les dorlote, ici! »
Ça c’est trop fort! Je lui dis, « Mais, non, on travaille sans arrêt de… »
Elle me coupe, « Et elle parle sans autorisation! Bientôt elle va me donner une claque dans le dos! Je suis très mécontente, monsieur le régisseur. »
Deux personnes sont bien emmerdées, moi d’avoir parlé et lui d’être accusé de « dorloter » les filles!
« Je vais m’en occuper, Madame. Il y a un champ qu’il faut retourner, on n’y met que les filles qui n’obéissent pas. Là les elles en bavent, je vous assure. »
« Bien… Je reviendrai dans quelques jours et si elle est encore aussi… insoumise, mon futur mari prendra des mesures! »
Alors, ça!! D’abord, moi, insoumise, elle est folle! Ensuite, elle va se marier? J’espère qu’il va lui en faire baver!!!
La future mariée remonte dans sa calèche… et s’en va droit en enfer, si les voeux se réalisent!! C’est ce que je souhaite à cette sorcière!!
La chef, me montre un champ assez loi et me dit, « Va la bas. »
D’accord… Mais, je vais en profiter pour m’enfuir.
Ou pas, car elle dit au chien, « Va avec elle! »
Et il comprend. Il m’accompagne dans mon nouveau bagne.
***
Dans le champ il une série de jeunes femmes qui retournent la terre avec des bêches. Pour les surveiller il y a un homme assis d’ans un énorme fauteuil… Une « bergère » avec des accoudoirs. Tout a fait inattendu de voir cet énorme fauteuil, ici!
L’homme est assez gros lui aussi, et très, très laid!
Il est chauve sur le dessus de la tête, mais il plaque de longues mèches sur le dessus de son crâne. Ses yeux son gros et exorbités, sa bouche ressemble à deux grosses saucisses de francfort toutes luisantes de sauce. Il ressemble à un vilain crapaud. On s’attend à voir une longue langue sortir de sa bouche pour aller gober un insecte! Il a une chemise ouverte sur un ventre poilu. Bravo, on ne pouvait trouver mieux que lui pour s’occuper d’une section dure!
Qu’il ne soit pas beau, ce (‘est pas un problème, mais il a l’air très négligé aussi. Vous me direz un crapaud, ça ne se lave pas. Assurément…
N’écoutant que… ma peur, je me mets à genoux devant lui et lui dit, « On m’a envoyé ici Maître. »
Le titre lui plait. Il me dit, « Ma femme? »
Greta est sa femme?? Ben, s’ils s’accouplent faudra pas me garder un petit!!
« Oui, Maître. »
« Pourquoi, elle envoie ici? »
« C’est… euh… Mademoiselle Caitlin qui veut me prendre comme… esclave de maison et qui…. »
« Caitlin, c’est la nouvelle pute du patron? »
Je bredouille… « … euh… oui Maître. Et on a été vendues ensemble et… »
« Je vois… enlève ce truc. »
J’enlève mon unique vêtement.
Quand je suis nue il dit, « Debout et viens plus près. »
Je vais entre ses jambes. Il m’examine… pince le bout de mes seins, puis il caresse mes fesses en disant, « Joli cul… « 
« Merci, Maître. »
« C’est pas pour ça qu’on ne te fouettera pas. »
« Oui Maître. »
Il ajoute, ce que tous les hommes qui ont un peu de pouvoir disent à leurs subordonnés, « Embrasse mes couilles! »
Enfin, en général, ils disent, « Suce moi la bite mais ça revient au même! »
« Oui Maître »
Est ce que je vais obéir?
Oh oui, je veux devenir sa favorite! La maîtresse de crapaud. N’importe quoi sauf le fouet! Les bites sales, j’ai déjà donné avec les guérilleros, de plus lui doit se faire sucer souvent, ça le lave en quelques sorte.
Je m’agenouille entre ses cuisses.
Sa braguette est ouverte, je dégage avec précaution, 10 kg de couilles malodorantes! Je les embrasse avec… passion…
Il murmure, « Et, elle ne la trouve pas assez soumise? On se demande, ce qu’il lui faut? »

A suivre.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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