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petit matin

petit matin



Dehors le soleil se levait et dardait ses premiers rayons au travers de la vitre de la fenêtre. Le chaud rayon lumineux tombait directement sur notre lit.
J’avais repoussé la couette au pied du lit et nous exposions nos corps nus à la douce chaleur. J’étais couché à plat dos et te tenais dans le berceau de mon bras droit. Tu te tenais contre moi, couchée sur le côté, tes seins contre mon côté. Ta jambe droite était repliée sur ma cuisse, ton pubis appuyé contre ma hanche.
Contre moi je sentais la chaleur de ton corps, la rondeur de tes seins.
Nous étions couché et je savourais l’instant. J’étais bien installé, mon corps réchauffé par le soleil et ton corps; et surtout par la douce caresse que distraitement tu me prodiguais.
Tu entretenais du bout des doigts mon érection matinale. Les yeux fermés, j’étais perdu dans mon inconscience, ma pensée uniquement fixée sur mon bas ventre. Tes doigts n’étaient pas refermés sur ma hampe pour une masturbation mais courraient sur toute la zone. Ils caressaient entre mes jambes ouvertes ma raie fessière pour ensuite remonter vers mes testicules. Avec douceur ils jouaient avec eux les faisant rouler. Tu les prenais dans le creux de la main les massant délicatement. Puis le bout de tes doigts courraient le long de ma hampe remontant vers le gland que tout aussi légèrement ils excitaient. Tes doigts se refermaient sur ma tige juste sur le gland et, avec délicatesse, tu tirais la peau vers le bas le décalottant. Puis le bout de tes doigts remontaient et empruntaient le sillon du gland m’arrachant un soupir de plaisir et une brusque contraction de mon bas ventre et de mon sexe. Et tes caresses recommençaient encore et encore dans des moments intenses de plaisirs que je savourais.
De temps en temps, tu tétais mes tétons, ta langue les excitait les faisant se dresser. Par moment tu déposais de petits baisers dans le creux de mon cou ou tu mordillais le lobe de mon oreille.
Par moment, reprenant mes esprits, je déposais de petits baisers sur ton front ou tes lèvres lorsque tu relevais la tête. Par moment, nos bouches se joignaient mêlant nos langues dans de longs et savoureux baisers.
Mon bras te tenant enlacé contre moi, je caressais ton dos descendant le creux de tes reins. Mes doigts caressaient le haut de tes fesses et la naissance de ta raie. Le bout des doigts s’immisçaient entre tes monts mais ne pouvant aller bien loin.
Cela durait un grand moment. Nous étions bien dans l’instant. Nous étions perdus dans nos caresses. Heureux.
Relevant la tête, tu me susurrais à l’oreille:
Je voudrais que tu me fasses l’amour.
oui, bien sur.
mais je voudrais que tu me fasses l’amour uniquement par derrière. Dans mon petit trou.
tu es sûre? C’est ce que tu veux?
oui. J’en ai très envie.

Et pour me faire comprendre ton accord entier, tu prenais dans la table de chevet un préservatif. Il avait été convenu entre nous que nous ne pratiquerions la sodomie qu’avec préservatif et uniquement de ta propre volonté. Puis tu ouvrais le sachet et posais la capote sur le gland et avec délicatesse tu la déroulais le long de ma bite en érection.
Ensuite, tu te tournais et te mettais à quatre pattes sur le lit, jambes écartées, reins creusés croupe relevée.
Je prenais dans la table de chevet un tube de lubrifiant et en déposais un noisette sur le bout de mon doigt. Puis, m’approchant du berceau ouvert de tes jambes, je passais mon doigt entre tes fesses et avec douceur je massais ta petite rondelle. Je ne passais pas uniquement du gel autour de ton petit trou mais j’en introduisais à l ‘entrée afin de lubrifier ton anneau. Pendant un moment je faisais aller et venir mon doigt de plus en plus profond.
Enfin, je me positionnais à genou entre tes cuisses ouverte. J’avais vue directe sur ta raie fessière, ton petit trou et dans le prolongement la fente de ton sexe au sein de laquelle étaient nichés le papillon de tes lèvres et ton si mignon clitoris.
Bien campé à genou derrière toi, je présentais mon gland à ta petite entrée. J’appuyais mon bout tout contre ton anneau resserré et très doucement, lentement, je poussais en avant. Une certaine petite résistance se faisait sentir. Ce que je voyais et sentais ensuite faisait partie de ce plaisir insondable. Vue et sensation délicieuses.
Sous ma poussée, le bout de mon gland, aidé par le lubrifiant, comme une pointe forçait ton anus en l’écartant. Je poursuivais ma pénétration. Je sentais ton anneau enserrer mon gland qui, lentement pénétrait. Petit à petit je voyais mon gland entrer en toi. Ton collier cernait ma tige, le gland était entré dans la chaude douceur de ton fourreau. Puis je poursuivais plus en toi. Tout le long de ma hampe tu me serrais. Plaisir immense que la pénétration de ton si mignon petit derrière.
Enfin, mon pubis entrait en contact avec tes fesses. Je te prenais par les hanches et lentement je faisais des allers retours. Lorsque je sortais de toi, seul mon gland restait en toi. Lorsque j’arrivais au fond de ton ventre, mes couilles entraient en contact avec ta fente. Te tenant par les hanches, pendant que je bougeais en toi, avec mes pouces je massais le creux de tes reins. De temps en temps, du plat de la main je te donnais une petite fessée d’amour et petit à petit sous les tapes la peau blanche de tes fesses rosissait.
Enfoncé en toi, je me penchais et, par en dessous, prenais tes seins dans le creux de mes mains. Je les massais et prenais entre mes doigts tes tétons. Je reprenais mes va et vient en toi tout en caressant ta généreuse poitrine.
Je me redressais alors en t’attirant à moi. Je m’asseyais sur mes talons et tu te retrouvais redressée, profondément empalée sur mon sexe dressé. Lorsque tu t’asseyais sur mon sexe, un soupir sortait de ta bouche. La position m’enfonçait au plus profond de ta douce caverne. Un moment nous restions immobile, jouissant de la position. Je t’enserrais dans mes bras. Ma main caressait ton ventre, descendant vers ton pubis épilé. Le bout de mon doigt suivait le sillon de ta fente trouvant le capuchon protégeant ton clitoris. Il avait grossi, bandant. Je le massais doucement, immobile entre tes fesses, tirant de ta bouche des soupirs saccadés de plaisir. Sous les doigts de mon autre main, tes tétons durcissaient.
J’aime ce moment où tout semble être en suspend. Planté immobile au plus profond de toi, caressant tes seins, massant ton clitoris, tirant de ton corps des contractions de plaisir et ces petits soupirs d’un orgasme naissant.
Je te repoussais en avant te faisant remettre à quatre pattes. Je me sortais de ton petit trou et présentais mon gland à ton sexe. Par en dessous ta main m’empêchait d’entrer.
– Non, me disais-tu, ton sexe uniquement par derrière. Pour le reste tu fais comme tu veux.
Je te regardais un moment, puis je prenais dans la table de nuit un godemiché.
Doucement, je l’introduisais dans ton sexe, au plus profond. Enfin je me représentais à l’entrée de ton cul et te pénétrais de nouveau. J’allais et venais. Par en dessous je titillais ton clitoris qui gonflait sous la caresse. Lorsque je te pénétrais je sentais le long de ma bite, au travers de tes chairs, la dureté du godemiché.
Finalement, j’allumais l’olibos. Les vibrations se transmettaient à tout ton bas ventre et par là même à mon sexe. Au cours de mes pénétrations, alors que j’étais au plus profond de ton derrière, mes couilles entraient en contact avec la base du gode et elles aussi profitaient des secousses.
Je me rasseyais sur mes talons et t’entraînais avec moi, t’empalant sur mon sexe bandé. Je continuais ma caresse sur ton clitoris. Puis trouvant ta main, je te guidais vers ton bas ventre. Je déposais ton doigt sur ton clitoris et t’indiquais ainsi que tu pouvais te caresser pendant que j’officiais autrement. Se que tu faisais aussitôt en branlant ton petit sexe érectile. Je me servais aussi du godemiché que je faisais bouger dans ton sexe.
Comme un signal silencieux, la montée de nos plaisirs se déclenchait à l’unisson. Je sentais monter du fond de mon ventre des vagues de plaisir qui empruntaient le canal menant à mon gland. Je sentais ton corps entier se contracter par secousses successives. Ton clitoris était gonflé. L’anneau de ta rondelle m’enserrait.
Brutalement, ton corps entier se décontractait libérant ma semence qui remontait. Dans une dernière poussée, parmi les vibrations du godemiché, j’éjaculais. Ton ventre se creusait, ton bas ventre était secoué des spasmes de l’orgasme, ta respiration et ton souffle étaient courts. Dans la libération de ton plaisir un long souffle mêlé d’un son rauque sortirent de ta bouche grande ouverte.
Et puis brutalement nos corps se décontractaient. Machinalement j’éteignais le gode. Et nous tombions en avant sur le lit. J’étais couché sur toi, toujours te pénétrant.
Un moment nous restions là, inertes, sous le coup de nos plaisirs.
Je m’enlevais de toi et ôtais le préservatif, tout en laissant le maximum de sperme sur mon gland et mon sexe. Dans le même temps, tu te relevais. Tu regardais mon sexe encore un peu gros. Tu remarquais le sperme. Tu te penchais vers moi et me prenais dans ta bouche. Avec ta langue tu léchais les reliefs de mon éjaculation. Le godemiché était toujours enfoncé dans ton sexe. Pendant que tu procédais avec mon sexe, je jouais avec le gode le faisant bouger au fond de ton sexe. Cela te déclenchait une autre petite vague de plaisir.
Tu te couchais posant la tête sur ma cuisse, la main posé sur mon sexe. Tu fermais les yeux et te rendormais. Comme nous étions couché tête bêche, j’avais vue directe sur ton entre jambes. Le gode était toujours en toi. Vue plaisante. Je te caressais et laissant le gode en toi, je te rejoignais dans le sommeil.

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