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Une journée professionnelle un peu mouvementée

Une journée professionnelle un peu mouvementée



Une journée professionnelle un peu mouvementée

En recherche d’emploi depuis un certain temps, j’avais fini par accepter une fonction de représentant Porte-à-porte en assurances, boulot pas très intéressant en soi mais qui nourrissait son homme jusqu’à ce jour où ma vie a basculé…

Je sonne à la énième porte de la journée, bien décidé que ce serait la dernière de ma journée de travail ou du moins trouver quelqu’un qui écouterait mon laïus maints et maintes fois répété. Pas de réponse alors que j’entends du bruit à l’intérieur. Mais dépité, je fais demi-tour lorsque j’entends enfin la porte d’entrée s’ouvrir, ravi je me retourne et me retrouve face à un homme, une véritable armoire à glace, une tête de plus que moi, des biceps saillants et un torse musclé. Un peu impressionné, je bafouille quelque peu mon discours de présentation et assez facilement, il accepte de m’écouter et me fait rentrer dans le hall d’entrée avant de refermer la porte à clé. Alors que je me confonds en remerciements, il m’interrompt en durcissant le ton de sa voix caverneuse :

– Vous savez que je commence en avoir plein cul d’être continuellement dérangé chez moi par n’importe qui, du représentant en assurance ou système d’alarme aux témoins de Jéhovah, plus moyen de rester tranquillement à lire un bouquin, toujours quelqu’un pour faire chier son monde.
– … euh… excusez-moi de vous avoir dérangé mais je pensais…
– Ta gueule, minable, si je t’ai fait rentrer, c’est simplement car j’ai décidé que le prochain qui sonnerait pour m’emmerder, il allait payer pour les autres et pas de chance, c’est tombé sur toi. Fous-toi à poil maintenant !
– … mais ça va pas la tête, il n’en …
– A POIL , J’AI DIT !!!
– … m’enf…
Avant de ne pouvoir en dire davantage, il empoigne de son battoir qui lui sert de main, les cheveux durement, je réprime les larmes qui me montent aux yeux et il me force à mettre un genou à terre, j’essaie de le faire lâcher prise, il me flanque une gifle et s’approchant de mon oreille, il me dit d’un ton menaçant :

– Tu as dix secondes pour m’obéir, tu es à présent en mon pouvoir, je vais m’amuser avec toi, tu seras mon jouet que tu le veuilles ou pas, à toi de choisir la manière forte ou la manière très violente, si j’étais toi, je n’hésiterais et me plierais à mes ordres.
Désorienté, abasourdi, je n’arrive pas à réfléchir, je juge mes chances de me libérer et de m’enfuir mais elles sont très minces, la porte a été refermée à clef, au corps à corps, je risque de me ramasser une déverrouillée, le cuir chevelu me fait atrocement mal, je me rends compte que je suis mal embarqué et décide d’accepter ma reddition en espérant pouvoir trouver une autre opportunité de m’enfuir de cet endroit.

La mort dans l’âme, je lui annonce que je vais obéir à ses directives en commençant à me dévêtir. Je me maudis intérieurement en réalisant que ce matin, j’ai enfilé un string ficelle rouge comme il m’arrive fréquemment de faire car je trouve cela plus agréable que les caleçons américains. Il me presse d’aller plus vite, m’empêchant ainsi de réfléchir à un moyen de fuite. Je retire ma chemise, chaussures, chaussettes et au moment de l’instant fatidique où je baisse mon pantalon, je suis rouge de honte quand il s’esclaffe en voyant mon string ficelle qu’il m’oblige à retirer aussi. Je me retrouve complètement à poil devant ce colosse, ma petite bite (et oui, je ne suis pas super membré) n’en même pas large, j’ai un mouvement de recul involontaire quand il tend la main vers mes parties génitales, j’ai le pubis taillé et la bite et couilles rasées par habitude. Il se fout ouvertement de ma gueule en me traitant de petite bite, de couille molle mais qu’il comptait bien profiter de son jouet.

Il me fait signe de monter les escaliers à quatre pattes et il me suit en distribuant sur mes fesses des claques qui sans faire vraiment mal, me les chauffent. Mortifié, je dois subir ses commentaires railleurs sur le spectacle honteux que je lui montre, j’imagine ma raie de cul qui doit s’ouvrir devant ses yeux du fait de monter ces escaliers à quatre pattes, dévoilant mon anus rasé. A l’étage, toujours à quatre pattes, il me dirige vers la salle de bain où il m’annonce qu’il va d’abord bien me laver de l’intérieur et je gémis de désespoir en comprenant que je vais subir un lavement et surtout que s’il fait cela, il a bien l’intention de s’occuper de mon trou de balle vierge.

Je subis trois lavements successifs avec le tuyau de la douche enfoncé dans le fion, je sens mes intestins se gonfler sous la pression de l’eau tiède, je dois le supplier pour pouvoir aller à la toilette me vider, je pisse littéralement du cul, toujours devant lui qui n’en perd pas une miette de ma déchéance. Je me sens humilié, rabaissé comme jamais et mon désespoir explose quand je vois qu’il s’est emparé d’un appareil photo pour immortaliser ma déchéance. Quand enfin il peut constater que l’eau que j’expulse violemment de mon anus est limpide, le traitement se termine et me dit de me sécher. Le temps de m’exécuter, il revient dans la salle avec un tas de vêtements qu’il m’ordonne d’enfiler en cinq minutes avant de devoir le rejoindre en bas.

Avec effarement, je constate qu’il m’a préparé une nuisette noire en dentelle accompagnée de bas Nylon style Dim Up noir également et un string ficelle dame de couleur rouge en dentelle. A nouveau, je réfléchis sur la marche à suivre pour tenter de m’enfuir au plus loin, descendre à poil, me saisir de mes vêtements, me ruer dehors quitte à me rhabiller plus loin. J’entrouvre la porte donnant sur le palier et me penchant dans la cage d’escaliers, je découvre avec désespoir que tous mes vêtements ont disparu. Dès lors, tout mon plan s’écroule et de plus, comment m’enfuir alors que la porte d’entrée est fermée à clef.

Désespéré, je retourne et commence à enfiler maladroitement les bas Nylon, le string et la nuisette qui est tellement courte qu’elle couvre à peine la lisière des bas et mes fesses dénudées par le string ficelle. Le miroir de la salle de bain me renvoi mon reflet et me découvre terriblement ridicule dans cet accoutrement et la honte la plus totale s’abat sur moi. La mort dans la l’âme, je résigne à sortir de la salle de bain et me jeter dans la gueule du loup entre les mains de ce pervers qui a jurer de se venger de ces personnes qui ose le déranger dans ses lectures.

Vous raconter toutes les turpitudes, toutes les humiliations que m’a fait subir cet homme durant trois bonnes heures seraient trop longues à raconter et surtout la honte qui me submerge en me remémorant ces instants, moi hétéro pur et dur, j’ai été le jouet docile et soumis où je me suis plié à ses caprices et ses ordres. Il m’a forcé à l’embrasser, il a craché dans ma bouche ouverte, j’ai dû prendre sa grosse bite en bouche, lui bouffer les couilles, lui lécher son trou de balle et y enfoncer ma langue profondément. Attaché, ligoté dans diverses postures, il a joué avec mes couilles, les ligotant durement, y suspendant des poids que je croyais que cela allait me les arracher, mis de nombreuses pinces sur le ma ridicule quéquette comme il se plaisait à railler la taille minuscule de ma verge. Il a juté son sperme à de très nombreuses reprises, à croire qu’il m’avait gardé des quantités de foutre rien que pour moi, au fond de ma gorge, sur le visage avant de le lécher et me le faire partager dans un long baiser charnel. Il a aussi longuement joué avec mon trou du cul, m’enfonçant des objets de tailles et formes variées.

Bref, ce jour-là a été très éprouvant pour mon physique et ma fierté, rabaissé, humilié, torturé, j’ai été initié bien malgré moi à l’amour entre hommes. Mais réflexion faite, force m’est de constater qu’il a réussi à me donner du plaisir à plusieurs reprises, un plaisir tout nouveau pour moi, dévastateur et ravageur et j’ai adoré être le jouet docile et la pute soumise de cet homme durant trois heures.

En finalité, il n’a pas voulu me signer le contrat d’assurance que j’étais venu essayer de lui faire signer mais en bon commercial tenace, je pense que je vais retourner fréquemment chez lui pour essayer de le persuader, en espérant que, à nouveau, il sera fâché d’avoir été dérangé durant sa lecture …

FIN

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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