Je me présente, je suis une jeune femme d’à peine 20 ans. Depuis deux ans, j’ai pris l’habitude de bosser pour la belle mère de ma meilleure amie chaque été, qui est également la meilleure amie de ma mère. Celle-ci est avocate et me connaît depuis que je suis toute petite.
Bref, un samedi matin, je reçu un appel d’urgence de Sabrina (la belle mère de ma meilleure amie) qui me demanda si je pouvais passer chez elle car elle se posait pas mal de question sur un dossier qu’elle m’avait confié et que ça ferait en plus plaisir à Léa (ma meilleure amie) de me voir.
Avant de continuer, passons au description. Je mesure 1m60 environ, je suis brune, avec une petite poitrine (80B). Ma meilleure amie Léa, à le même âge que moi, elle doit être un tout petit peu plus petite que moi avec une poitrine légèrement plus grosse. Enfin, sa belle mère Sabrina, a 42 ans, elle mesure dans les 1m70, avec une très belle poitrine, bien plus grosse que la mienne et celle de Léa réunie.
Revenons maintenant à nos moutons. Je pris ma voiture pour aller chez elles. Une fois arrivée, je sonna à la porte de cette magnifique villa mais personne ne répondit.
Alors que je commençais à m’impatienter, Léa fit enfin son apparition et vint m’ouvrir la porte, elle me dit que sa belle-mère avait du s’absenter un certain temps pour faire une course.
Elle m’invita alors à profiter de la piscine en attendant, la chaleur me fit tout de suite accepter son offre avant de me rendre compte d’un petit soucie :
Moi : Mince, je n’ai pas de maillot !
Léa : Ne t’en fais, je vais t’en prêter un.
Je suivie Léa vers sa chambre, elle me fila un maillot deux pièces que j’allai mettre dans la salle de bain. Alors que je venais juste d’enfiler le bas, je m’aperçus que Léa était là entrain de me regarder, en voyant mon air surpris, elle se mit à me parler.
Léa : Tu as vraiment une très jolie petite poitrine !
Elle commença à s’approcher de moi.
Moi : Euh… Merci.
Elle était maintenant à quelques centimètres de moi.
Léa : Je peux ?
Je n’eus même pas le temps de répondre que Léa se mit à me lécher l’un de mes tétons. La surprise fit que je n’arrivais même pas à réagir. Léa le vit et décida d’en profiter, elle mit une main dans ma culotte et se mit à me masturber! Cette caresse me pris par surprise, et la sensation en fut si vive et si délicieuse que je ne pouvais réagir ! Mon cœur battait très fort et je me sentais toute mouillée d’excitation.
Devant ses caresses divines, je m’offrais entièrement à cette femme, qui est ma meilleure amie. Celle-ci enfonça alors deux doigts en moi, attisant mon désir de plusieurs degrés ! Alors que j’étais au bord de l’orgasme, Léa cessa ses agissements !
Léa : Bon, il est temps d’aller profiter de la piscine !
Me dit-elle avec un large sourire, j’étais certaine qu’elle avait fait exprès d’arrêter juste à ce moment là pour me frustrer !
Elle prit ma main et m’entraîna vers la piscine. Durant ce court chemin, je me demandais ce qui m’arrivais… Je n’avais qu’une seule envie, que ma meilleure amie que je connaissais depuis la maternelle recommence à me toucher alors que je suis 100% hétérosexuelle !
Une fois devant la piscine, je restais au bord me posant mille questions tandis que Léa plongea dans l’eau immédiatement. Alors que j’admirais son corps trempé, elle me dit.
Léa : Tu devrais me rejoindre dans l’eau, elle est trop bonne !
Sans dire un mot, j’allais dans l’eau et effectivement elle était très bonne.
Léa : Ca ne te gène pas si j’enlève le haut ?
Moi : Non pas du tout.
Alors qu’elle enleva le haut, je pus voir qu’elle avait elle aussi une très belle petite poitrine, je n’avais qu’une envie, les toucher !
Léa : J’ai une question à te poser, tu as déjà fait des trucs avec une autre fille ?
Moi : Si, avec une certaine Léa, il y a environ 5 minutes.
On éclata de rire toutes les deux avant qu’elle ne reprenne la parole.
Léa : Et avant ça, tu n’avais jamais pensé à faire des trucs avec une fille ?
Moi : Non jamais mais j’avoue que c’était agréable.
Elle se rapprocha de moi.
Léa : Bon je vais te faire une révélation, ça fait des années que je fantasme sur toi. Et du coup, si je tente de t’embrasser ? Tu réagirais comment ?
Moi : Il n’y a qu’un moyen de le savoir.
Alors que je me surprenais à dire ces mots, Léa se rapprocha de moi. Elle entre ouvrit la bouche, je me laissais guider par le désir brûlant au fond de mon ventre et nos langues se lièrent pour une douce danse. Mon cœur s’emballa, ma respiration s’accéléra. J’avais l’impression de connaître mon premier baiser ! En tout cas, c’était mon premier baisé de femme à femme.
Alors qu’elle continua à m’embrasser, elle dégrafa le haut de mon maillot. Nos poitrines étaient maintenant collées.
Tout à coup, elle cessa de m’embrasser, elle s’assit sur le rebord de la piscine tout en écartant les jambes. J’hésitais quelques instants avant d’écarter ses grandes lèvres, je vis ses petites qui ressemblent à des pétales de roses puis j’y colla ma bouche, j’aspirais son jus qui devenait abondant et je l’avala. Je n’arrivais pas y croire, j’étais entrain de lécher un sexe féminin et j’y prenais du plaisir !
Léa : Vient avec moi au salon, on sera bien mieux !
On étaient maintenant sur son canapé, elle m’embrassa doucement dans le cou puis entre la poitrine et descendit jusqu’à mon nombril. Je me tortillais sous ses caresses que j’aimais tant, puis elle embrassa ma cuisse, elle monta doucement vers mon point sensible et y glissa doucement sa langue en moi. Je m’agrippais aux coussins, me cambrant légèrement, prise d’une sensation exquise. Elle joua ainsi avec moi pendant 5 bonnes minutes qui me parurent interminable, sa langue glissant doucement le long de ma fente, mordillant doucement mon clitoris puis elle remonta doucement sur ma poitrine, tout en m’embrassant petit à petit.
Alors qu’on s’embrassait, on entendit un raclement de gorges, c’était la belle-mère de Léa qui nous observé ! J’étais tétanisé alors que maintenant que j’y repense Léa semblait très amusé par la situation.
Sabrina : Eh bien, je ne savais que vous étiez intime à ce point !
Moi : Non mais… En fait… On ne voulait pas…
Léa : C’est notre première fois ensemble.
Moi : S’il vous plaît, n’en parlez pas à ma mère, elle est trop vieille France, elle serait déçue.
Sabrina : Tu sais, il n’y a pas de mal à se faire du bien, à passer du bon temps avec une autre fille. C’est une chose que ta mère et moi avons compris très tôt…
Moi : Attendez… Vous et… Et ma mère ?
Sabrina : C’était il y a maintenant longtemps, depuis, il est vrai que ta mère est devenu vieille France comme tu dis.
Moi : C’est pour cela qu’il ne faut rien lui dire s’il vous plaît !
Sabrina : Je veux faire comme si je n’avais rien vu mais moi aussi j’ai des besoins à satisfaire et contrairement à ta mère, je ne renie pas ma bisexualité.
Moi : Vous ne voul…
Je ne pu finir ma phrase car Sabrina ne m’en laissa pas le temps.
Sabrina : Repreniez là où vous en étiez avant que je n’arrive !
Cette phrase sonna comme un ordre. Du coup, Léa me fit me ré-allonger sur le canapé et repris son cunnilingus à mon égard. Pendant ce temps, Sabrina enleva sa robe laissant apparaître une magnifique lingerie rouge.
Puis, Sabrina se rapprocha de moi pour m’embrasser. Elle ouvra ma bouche avec sa langue pour y chercher la mienne. Pendant ce baisé, je ne pouvais m’empêcher de penser que la personne qui était entrain de jouer avec langue était une femme, qu’elle pourrait être ma mère vu son âge, qu’elle était la meilleure amie de ma mère, et qu’elle a couché plusieurs fois avec ma mère… Cela m’excita d’autant plus ! Mais Sabrina retira sa bouche de la mienne pour reprendre la parole.
Sabrina : Bon, asseyez vous toutes les deux en écartant bien vos jambes.
Bien entendu, Léa et moi obéissons à Sabrina. Tout en se masturbant, Léa m’embrassait à pleine bouche, tandis que dans le même moment Sabrina venait se précipiter sur mon sexe pour plaquer sa bouche sur mes lèvres. Aussitôt sa langue harponne mon clitoris. C’est trop bon. Sa langue ne quitta mon clitoris que pour courir tout le long de ma fente, elle appuyait sur mes nymphes, remonta, taquina encore mon bouton et retourna chercher l’entrée de mon vagin, joua à y pénétrer et à en ressortir. Je ne me contiens plus, je jouis, je jute.
Ensuite, Sabrina quitta mon sexe pour aller découvrir celui de sa belle fille. Pendant qu’elle lui faisait ce qu’elle venait tout juste de me faire, je décida de m’écarter un peu pour profiter du spectacle tout en me caressant le sexe et mes seins.
Mais très vite, je ne peux m’empêcher de retourner vers Léa.
Tandis que Sabrina continue de lécher la vulve gonflée de sa belle fille qui s’ouvre sous la caresse linguale, nous continuons à nous embrasser la bouche et les seins. D’ailleurs, Sabrina ne se privait pas pour donner des coups de langues supplémentaires dans mon vagin de temps en temps, si gentiment offert à sa bouche gourmande. Elle étancha avec délices le suc de nos deux sexe avant de se redresser.
Sabrina : A vous de vous occuper un peu de moi maintenant !
On se mit tout d’abord par lécher les magnifiques seins de Sabrina, un téton chacune. Je sentais son téton se durcir sous mes coups de langues. Mais Sabrina en voulait en plus, elle nous repoussa pour se mettre en position de levrette. Léa alla tout de suite s’occuper d’elle en lui prodiguant un cunnilingus. Me voyant inerte, Sabrina se mit à me parler.
Sabrina : Tu sais, j’ai un autre trou à satisfaire !
Je ne me fit pas prier pour accepter avec plaisir cette invitation ! Je lécha alors la raie culière de Sabrina, titillant de ma langue pointée l’œillet resserré de la rondelle rectale. Puis, enduisant mon majeur de salive, je fora son délicieux petit trou, perçant et raclant de mon ongle l’étroit conduit, l’enduisant de ma salive. Je répète plusieurs fois l’opération tout en admirant la langue de Léa sur le sexe de Sabrina !
Cette dernière semblait adorer le fait de se faire lécher par deux jeunes filles, elle était dans un état second, ses sens étaient sollicités de toute part par Léa et moi. Elle ne pouvait contenir son plaisir plus longtemps laissant échapper un râle de joie et de volupté. Sabrina se releva et nous dit de l’attendre quelques minutes.
En attendant son retour, je me rapprocha de Léa tout en ouvrant mes lèvres, je lui pris délicatement la bouche, afin que ma langue puisse rencontrer la sienne. Puis, je viens envelopper un sein bien ferme, dont je titille la pointe. Léa laisse fuser de petits gémissements de plaisir, j’en profite alors pour en engloutir un dans ma bouche, pendant que ma main caresse l’autre.
Puis nous changeons de position. Installées en ciseaux, toutes deux allongées et nos jambes entrecroisées, nos vulves se frottent l’une contre l’autre et se stimulent mutuellement. Le plaisir que nous partageons ne diminue pas, il aurait même tendance à augmenter. C’est à ce moment précis que Sabrina fit son retour, armée d’un gode ceinture assez imposant.
Elle cracha dans ses mains afin de les enduire de sa salive dans l’optique de lubrifier son dard magnifique puis s’avança vers moi. Mon vagin engloutit la quasi-totalité de la queue. Mes jambes sont grandes ouvertes tandis que Sabrina inclina son buste en avant. Les mouvements de va-et-vient sont de plus en plus rapides. Mon plaisir est immense et je vis alors Léa revenir avec un autre gode, je pensais alors qu’elle allait s’en servir pour elle même mais non !
En effet, Sabrina se retira de moi, elle me fit me mettre en levrette, Léa utilisa alors son gode pour me pénétrer tandis que Sabrina revint à la charge en léchant mon anus, je compris alors ce qu’il allait m’arriver dans quelques instants ! Sabrina plaça ensuite son gode à l’entrée de mon petit trou. L’étroitesse naturelle de mon anus fut considérablement atténuée grâce à la lubrification. Mes entrailles étaient envahies en profondeur. Le rythme initial était très modéré, avant d’accélérer les va-et-vient ! Ce n’était pas ma première sodomie mais c’était la première fois que mes deux trous étaient comblés en même temps ! Il faut dire en plus qu’elle me sodomisa sans retenue, et les actions conjuguée de Léa et Sabrina portaient ma température corporelle à ébullition.
M’ayant fait jouir, Sabrina alla s’occuper maintenant de Léa en la pénétrant avec le gode que Léa avait ramené, me laissant ainsi retrouver mes esprits. Une fois revenue à moi, je vis le gode ceinture, je le saisie, je n’avais qu’une idée en tête, bourrer sauvagement Sabrina, la faire hurler de plaisir. Elle était en position de Levrette, me tournant le dos entrain de pénétrer Léa, aucunes des deux n’avaient remarqué que je m’étais emparé du gode ceinture. Sans aucune préparation, j’enfonçais délicatement le gode dans l’anus de Sabrina. Très vite, ses cries de douleur laissèrent place à des cries de jouissance ! Malgré la fatigue, je réussies à mettre une forte intensité dans mes mouvements. Une fois que nous étions toutes épuisées, nous restons allonger à même le sol, Léa et moi nous nous blottissons dans les bras de Sabrina. Chacune notre tour avec Léa, nous échangeons un baiser tendre avec Sabrina comme conclusion.
Ajouter un commentaire