Je n’en mène pas large tout nu face à la famille. Même Laura qui me croyait avec Aurélie me regarde d’un air sévère.
– Cet individu a une curieuse manière de nous remercier de notre hospitalité ! tonne André. S’attaquer à ma plus jeune petite fille ! Pas encore majeure !
– Si je les ai eu mes dix huit ans ! rouspète Camille qui nous a rejoint.
– Toi tais-toi ! Quand je pense qu’il lui a volé la fleur que je m’apprêtais à cueillir dimanche pour sa fête d’anniversaire ! Un crime impardonnable ! Je ne te félicite pas de ton choix Laura. Il n’est pas question qu’il reste une minute de plus ici mais auparavant il faut le punir !
Pendant qu’André discute avec son fils et son petit-fils, je regarde Camille. Elle me fait un pauvre sourire et se place à coté de ma femme. Comme elles sont tout près j’entends leur conversation.
– T’as pas honte, lui demande Laura.
– C’est lui que je voulais en premier, pas grand-père !
– Je lui avais donné quartier libre mais je croyais que c’était Aurélie qui avait sa préférence.
– Tu nous en veux ?
– Non va.
– Qu’est-ce qu’il vont lui faire ?
– Je n’en sais rien.
Je suis toujours nu. Ma peau se couvre de chair de poule. Mes bourreaux ont trouvé une solution pour ma punition.
– Attachez-le les fesses en l’air, ordonne André.
Philippe et Nicolas se précipitent. En un clin d’œil je suis ligoté sur le pouf, jambes écartés, l’anus complètement exposé. J’ai conscience de l’indécence de ma position mais n’y peut mais.
– Comme châtiment cet individu va subir toute l’assemblé… Camille et Laura comprises, ajoute-t-il en voyant les deux sœurs tenter de sortir. Les hommes d’abord puis les femmes. Je commence.
Les femmes ? Sûrement avec un gode ceinture. Tout se passe derrière moi je ne vois rien, j’entends des bruits bizarres, des déplacements. J’aperçois Laura pénétrer dans mon champ de vision. Elle se fait immédiatement rabrouer.
– Veux-tu retourner à ta place ! grogne André. Il ne mérite pas qu’on le réconforte !
Je sens une grosseur tourner autour de mon anus, se poser dessus. Elle s’enfonce brutalement me faisant un mal horrible.
– Aouh !… Aïe, aïe, aïe !
– Tais-toi et ne bouge pas tant ! rouspète André.
Il s’est introduit sans préparation, à sec ! Il pistonne sans ménagement, sa queue entre et ressort de mon cul à cadence régulière et ses couilles tapent contre mes fesses avec un bruit incongru. La douleur ne faiblit pas, cela dure, dure… Il est infatigable.
– Papy, tu crois pas que ça suffit, intercède ma femme.
– J’arrêterai… Han !… Quand j’en aurai… Han !… Assez… Han !
Je perçois les jets de sperme comme une délivrance. La verge glisse hors de mon cul, la douleur est toujours présente, plus diffuse.
– A ton tour Philippe !
De nouveau une grosseur tourne autour de l’anus. Elle rentre. J’ai moins mal, peut être que le père de Laura est plus doux ou alors la présence de sperme facilite l’introduction. Il ahane dans mon dos. La douleur s’atténue. Est-ce que je m’habituerai ? Je perçois à peine l’éjaculation, le changement dans mon cul. C’est Nicolas qui remplace son père. Le sperme dégouline sur mes cuisses… Autre changement. L’engin qui rentre dans mon derrière est plus dur, moins souple. Je devine qu’une femme a pris la relève avec un godemiché… Arrêt, plus personne n’agit sur moi. Ah si ! Le gode refait son office… Il sort… Mon cul me fait mal. Dans un brouillard j’entends André gourmander ma femme.
– C’est ton tour. Ne fais pas attendre. Ensuite ce sera le tour de Camille. Dépêche-toi !
– Mais…
– Pas de mais. La punition doit être complète.
Nouvelle introduction. Ma femme se penche à mon oreille :
– Excuse-moi chéri, j’essaye de ne pas te faire trop mal.
Trois allers et retours, puis l’engin sort. Une minute d’attente, nouvelle introduction, quatre entrées et sorties et c’est fini… Enfin !… J’ai le cul en feu. Je m’en souviendrai du dépucelage de ma petite belle-sœur ! On me délie, je m’assied avec précaution sur le pouf face à l’assemblée. Je suis toujours nu.
– Tu peux partir et qu’on ne te revois plus, annonce André.
– Il pourrai pas rester jusqu’à ma fête, demande timidement Camille.
Avant que son grand-père refuse, Marie s’interpose.
– Oui ma chérie, il pourra rester à condition…
– Il n’en est pas question ! s’insurge André.
– Laisse-moi finir ! Je disais qu’il pourra assister à la fête de ma petite-fille à condition qu’il accepte de se tenir jusque là à la disposition de la famille comme jouet sexuel ! C’est ce que Sylvie et moi avons décidé. On ne reviendra pas dessus.
André grommelle mais se tait. Mon épouse s’approche pour m’aider à me relever.
– Laura ! Veux-tu t’éloigner de là ! ordonne son grand-père.
Elle passe son bras sous mes aisselles et l’affronte.
– Si tu ne me laisses pas le soigner tu ne me reverras plus jamais !
Se penchant vers moi elle me susurre :
– Tu acceptes ces conditions ?
– J’ai un peu peur de ce qui m’arrivera mais j’aimerais bien assister à la fête, et toi ?
– Moi aussi.
– La question ne se pose plus alors, nous restons.
Soutenu par ma femme je quitte le salon et parviens dans notre chambre. Elle me couche à plat ventre sur le lit et entreprend de me laver les fesses.
– Qu’est-ce qui t’as pris de faire l’amour à la seule qui te soit interdite ?
– Euh… Je savais pas… Et Camille voulait tant… Aïe ! C’est encore douloureux !
– Je fais du mieux que je peux… Là, les chairs sont moins congestionnées. Reste dans la chambre, je t’apporte à manger.
– J’ai pas faim… Dis, qu’est-ce que ça veut dire : jouet sexuel ?
– Ben faire ce que l’on te demandera sans rouspéter.
– Quoi par exemple.
– Sucer, te faire enculer, je sais pas quoi, tu verras… Bon, ben, je te quitte pour l’instant rejoindre le reste de la famille.
Mon cul encore sensible, une douleur diffuse dans tout le ventre. Je m’assoupis et ne l’entends pas revenir…
Elle est déjà debout lorsque j’émerge. Je n’ai plus mal et je m’habille légèrement. Au salon Marie et Sylvie m’attendent.
– Qu’est-ce que cet accoutrement ? Un jouet sexuel ça doit rester nu ! tonne la grand-mère de Laura. Va vite te déshabiller !
– Laissez moi déjeuner auparavant.
– Tu déjeuneras après, à poil ! Allez, dépêche-toi ! On n’a pas que ça à faire !
Je reviens une minute après nu comme un ver. Je suis intimidé face à ces deux femelles qui m’examinent sans scrupule.
– J’aime mieux ça dit Marie, tiens, avale ça.
Elle me présente un bol de cacao avec des tartines. Une fois mon déjeuner terminé, elle soulève sa jupe sur sa chatte touffue.
– Embrasse-la !
– Oh ! Qu’est-ce que tu lui demandes ? s’offusque Sylvie.
– C’est notre jouet sexuel non ?
– C’est vrai mais on devrait aller dans ta chambre on sera plus tranquille.
Les deux femmes se déshabillent et Marie se couche sur le lit. Je les regarde étonné de leur manque de pudeur.
– Qu’est-ce que t’as, me houspille Sylvie, tu n’as jamais vu de femmes nues ?
– Euh… Si.
– Et bien qu’est-ce que tu attends pour embrasser ma mère comme elle te le demande. Je te rappelle tu es un objet sexuel à notre service !
Marie est bien conservée pour son âge. J’approche les lèvres de son sexe. Elle sent bon. J’ai des difficultés à décalotter le clitoris, on ne doit pas lui faire ça souvent.
– Ah ouiii ! Continue.
J’introduis un doigt dans le vagin qui s’humidifie, puis dans l’anus.
– Oh c’est bon !
Je pistonne alternativement devant et derrière tout en grignotant le clitoris.
– Ouiii !… Aaaah !… Mmmmh !… Je… Aaah !… Je jouis !… Aaah !… Ouiiiii !
– Ça va Maman ? interroge Sylvie.
– Ah ! Quelle caresse ! Ce n’est pas ton mari qui en est capable !
– Ni Papa si je comprends bien. C’est mon tour maintenant, tu permets ?
– Je te laisse la place.
Sylvie s’étend à son tour. Si Laura lui ressemble à son âge je serai comblé ! Que sa mère est belle ! Quelle poitrine ! Je sens le désir monter dans ma verge.
– Hé, hé ! On dirait que ça lui plait de nous voir à poil ! s’amuse Marie.
Je me penche sur Sylvie et triture ses tétons des doigts et de la bouche.
– Oh Ouii !
Après avoir longuement caressé les seins je pose les lèvres sur le sexe. Il est moins poilu que celui de sa mère. Le clitoris est plus accessible. Elle doit pratiquer la masturbation ma belle-mère. Comme à Marie, je pistonne alternativement dans le cul et le vagin et ne tarde pas à l’amener à l’extase.
– Je jou… Jou… Jouououiiiiiis !
Sylvie se relève, me bouscule sur le lit.
– Tu caresses comme un dieu ! Elle n’a pas si mal choisi ma fille ! Tu mérites une récompense !
Elle se penche sur ma queue dressée et la met entre ses lèvres. Sa bouche est une délice. Je ne résiste pas aussi longtemps que je le voudrais.
– Aaah !… Je vais jou… Aah !… Jouir !
Elle me masturbe jusqu’à ce que le sperme jaillisse sur ses seins. Si c’est ça être jouet sexuel je veux bien que cela continue !
Après s’être nettoyées les deux femmes s’habillent.
– Toi, tu restes à poil jusqu’à la fête de Camille ! m’ordonne Sylvie. Maintenant, il est temps que tu ailles chez ma belle-fille qui est impatiente de te rencontrer.
– Permettez que je me restaure un peu, le temps de retrouver la forme.
– Effectivement tu en as besoin, dit-elle en lorgnant sur mon sexe détendu. Ne soit pas trop long. Aurélie t’attend dans la chambre au bout du couloir.
Quelque minutes plus tard je me sens prêt. Qu’est-ce qu’elle va exiger celle là ? Elle m’attend nue couchée sur son lit.
– Baise-moi !… Oui, tu as bien entendu, baise-moi ! Mon mari me délaisse, il couche avec sa mère, sa grand-mère, il fait l’amour à ta femme sa sœur, se prépare à forniquer avec Camille, et moi il me délaisse ! J’ai un jouet sexuel à ma disposition, alors j’en profite : baise-moi !
Je m’allonge à ses cotés et la prends dans les bras. Si Marie et Sylvie sont encore baisable malgré les années, serrer contre moi une fille de mon âge est un puissant aphrodisiaque. Je la couvre de caresses et de baiser. Le désir devenant impérieux je m’efforce de la faire jouir. Je crois avoir réussi car elle me remercie les yeux mouillés.
– C’était merveilleux… Jamais mon mari ne m’avais procuré une telle extase…
Je croise ma femme dans le couloir. Elle sourit de me voir déambuler nu dans la maison.
– Je vois que tu prends à cœur ton rôle de jouet sexuel.
– Je tente de faire plaisir comme on me le demande.
Ne voulant pas infliger le spectacle de ma nudité à tous le monde, je déjeune dans ma chambre où Laura m’apporte le repas. L’après-midi Marie et sa fille Sylvie, sollicitent une nouvelle séance de caresse. Elles sont enchantées de ma prestation quand je les quitte. En sortant de leur chambre je tombe sur Philippe, le père de ma femme.
– Qu’est-ce que cette tenue ? Vous ne pouvez pas vous habiller !
– Votre épouse et votre mère me l’ont interdit. Je dois rester ainsi jusqu’à la fête de Camille.
– Ah c’est vrai que vous êtes un jouet sexuel ! Autant en profiter ! Suivez-moi.
Il m’entraine dans sa chambre. Sur ses instructions je pose la poitrine sur le lit fesses en l’air. Dégainant sa queue, il l’enduit de salive et me l’enfonce jusqu’à la garde.
– Ouch !
– Vous avez une objection ? Vous n’êtes pas d’accord ?
– Euh… Si, si.
– Alors tout va bien.
Je le subis, c’est le mot, sans moufter. Il ahane dans mon dos, les frottements dans mon cul sont pénibles, enfin il éjacule avec un grognement de fauve assouvi et me laisse aller dans ma chambre me nettoyer.
Le soir ma femme me demande le récit de ma journée. Je lui raconte en détail mes aventures. Elle me demande des précisions sur les caresses que j’ai pratiquées sur sa mère et se grand-mère, étonnées de leur comportement.
– Et toi qu’as-tu fais ?
– Bof, rien d’intéressant.
– Oh quel ton désabusé, c’était si mal que ça ?
– Mon père m’a emmené à l’usine où j’ai retrouvé Papy et Nicolas.
– Vous avez fait l’amour ?
– Non… Euh… Enfin si, ils m’ont baisée… C’est pas pareil… Aime moi toi… Tout de suite…
Je la prends dans les bras pour la réconforter. Malgré ma fatigue nous faisons l’amour et je m’efforce de la satisfaire.
– Aah !… Il n’y a que toi qui sache me faire jouir maintenant, me dit-elle en mordant le lobe de mon oreille.
Le lendemain, rebelote. Je patiente dans la chambre que les hommes soient partis au travail et descends prendre mon petit déjeuner, nu évidement. Ensuite Marie et Sylvie me sollicitent, puis Aurélie qui s’emploie à embellir les cornes de son mari et y parvient sans effort. Elle commence à me plaire ma belle-sœur ! L’après-midi Sylvie passe à l’usine, mais Marie réclame double ration de caresses !
Je rencontre Camille au détour d’un couloir. Elle louche sur ma virilité qui se réveille en sa présence.
– Tu ne profites pas du jouet sexuel ? demande-je.
– Euh… J’y ai pas droit, pas avant Dimanche.
– Mais tu es majeure, tu peux faire ce que tu désires.
– Je tiens pas à les mettre en colère.
– Après demain alors.
– Mais toi tu ne seras plus à notre disposition.
– On s’arrangera autrement.
Je la regarde fuir, elle est charmante ma jeune belle-sœur. Pourvu qu’elle et Laura s’entendent, je la reverrai avec plaisir.
A suivre…
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