Chapitre 12 : Nouvelle rasade de filles
Tout avait commencé dans un bus. Tout cela. Son calvaire. Elle en venait presque à penser à la mort. Si son père n’avait pas tout découvert, elle serait très probablement passée à l’acte. Le soir, dans son lit, pour la première fois depuis le début de son calvaire, elle ne pleurait pas. Au contraire, elle souriait. Elle ne pensait plus au mal qu’il lui était arrivé mais à ceux qu’elle ne subirait plus. Elle se prenait même à imaginer son proviseur et toute la bande derrière les barreaux juste avant de s’endormir.
Mais le lendemain matin, elle se rendit compte que rien n’était différent et qu’elle restait aux yeux de tous la pute du lycée. Elle commença sa journée par un classique petit déjeuner. Son père était déjà levé ou plutôt toujours debout. Il n’avait pas dormi. Qui aurait pu? Une fois le petit déjeuner fini, son père et elle décidèrent de mettre au point une sorte de plan d’action pour la semaine à venir.
« Chérie, tu sais que je t’ai promis qu’il ne pourrait plus abuser de toi. Mais on doit réunir des preuves contre ce salaud.
– Des preuves ? »
Julie ne comprenait pas ce que son père voulait dire. Comment créer des preuves contre une machine aussi bien huilée et connue de tous? Aucun témoin et des centaines de personnes étaient persuadés que Julie n’était qu’ une pute et rien de plus.
« Tu m’as parlé d’un contrat. Ceci serait une preuve. Des enregistrements audio, des vidéos… Tout !
– Pas moyen. Je suis fichue. Je serai leur pute jusqu’à la fin de mes jours.
– Non. On l’aura. J’ai un ami qui est journaliste. Je vais lui demander de chercher un peu dans le passé de ton proviseur pendant que toi, tu essayeras de trouver la force de continuer. Moi, je rassemblerai les pièces.»
Le reste de la journée tourna autour de par où la contre-attaque devait commencer. Finalement, ils décidèrent de s’attaquer au membre le plus « fragile » du groupe, le prof d’EPS. Ce gros salaud était marié, contrairement aux autres donc plus enclin à lâcher sous la pression.
Le lendemain, Julie avait cours de sport justement. C’était son premier cours. Elle portait un micro scotché sur la poitrine, un peu comme dans les films. C’était un vieux baladeur de son père, du temps de sa jeunesse.
Elle arriva avec vingt minutes d’avance dans le gymnase. Il n’y avait que le prof de sport qui préparait les filets pour le volley.
« Ah! La petite pute!
– Bonjour, monsieur.
– Le même traitement que d’habitude. Allez, salope! À genoux.
– Bien, monsieur. »
Elle se mit à genoux et baissa le pantalon et le caleçon du prof. Si on les surprenait, tout le monde aurait pensé que c’était une journée comme les autres pour Julie. Mais non. Elle commençait à remonter. Elle y allait à fond. Tout ce qu’elle avait appris de ses 20 jours en enfer, elle le mettait en pratique comme pour faire baisser sa garde au prof. Elle comprenait à présent la stratégie de son père. Faire comme si de rien n’était et continuer à jouer le jeu pour faire baisser leur garde à ses tortionnaires. Elle lui massa les bourses de sa main droite et lui tint la queue à la base de sa main gauche.
Son gland se faisait caresser par la langue si agile de Julie. Elle ne sortit la queue que pour reprendre son souffle, cracher un peu dessus et recommencer le même traitement.
Lui malaxer les couilles, le sucer avec sa bouche devenue experte, la ressortir, respirer, cracher dessus, la gober. Cela semblait un cycle sans fin pour Julie qui commençait à se demander si le vieux pervers qui lui servait de prof de sport éjaculerait un jour.
« T’es la meilleure pute que ce lycée pouvait avoir Julie.
– Merci monsieur.
– Heureusement qu’on t’a fait signer ce contrat. Putain, tu suces comme une reine. La reine des putes, bien sûr. »
Julie en avait assez de sucer pour survivre. À présent, elle suçait pour revivre. Remonter à la surface. Redevenir elle-même. Mais pour cela, elle devait sucer ce porc. Sentir sa queue au fond de sa gorge, ses gouttes de sueur ruisseler sur son visage et entendre ses râles.
Soudain, il lui fit sortir sa queue de la bouche pour l’asperger de son sperme, comme si elle n’avait pas déjà subi suffisamment de mauvais traitements.
Son visage entier en était recouvert. Ses cheveux avaient par endroits d’épais filets de semence et ses vêtements qu’elle avait réussi par on ne sait quel miracle à protéger de la lourde décharge du prof de sport n’avaient que deux ou trois taches discrètes.
« Allez, va te changer. Ça ne serait pas bien si tout le monde te voyait encore plus pute que tu ne l’es d’habitude. »
Julie partit se changer dans le vestiaire des filles. Il ne lui restait plus beaucoup de temps avant que les autres arrivent et, sentant au plus profond d’elle-même qu’elle serait mise à nue durant l’heure de sport, elle se demandait où planquer son baladeur-micro. Dans l’urgence, elle opta pour le décrocher de sa poitrine et le faire passer pour un objet de valeur. Ainsi, elle pourrait le cacher dans le « casier des valeurs » et enregistrer ce qui allait se passer sans que personne ne se doute de rien.
La jeune enroula les écouteurs autour du baladeur et se changea. Les autres filles rentrèrent les unes après les autres en lui lançant des regards moqueurs ou hautains. Julie les ignora bravement et rejoignit la salle de sport. Le prof et les garçons étaient déjà rentrés. À son entrée, la jeune fille fut accueillie par des sifflements et des regards lourds de sous-entendus.
Elle déposa le baladeur de son père dans le casier et s’assit avec les autres élèves en supportant courageusement leurs attouchements, sachant qu’elle n’allait pas tarder à subir pire.
Les autres filles rentrèrent dans la salle et lorsqu’elles se furent assises, le prof commença à présenter le programme de la leçon. Dès les premières paroles, le pressentiment de Julie se confirma.
« Bonjour. J’ai eu vent de votre contrôle de biologie. En accord avec votre professeur, étant donné que vous avez été sages et que, en plus de votre intérêt pour l’éducation sexuelle, vos notes sont toutes excellentes, en particulier dans les prises de notes chez les filles, j’ai décidé de mettre à profit cette heure pour que vous puissiez mettre en pratique ce que vous avez appris durant le cours de biologie. Alors? Ça vous dit?»
Les élèves crièrent à l’unisson leur approbation. Le prof de sport se saisit de Julie puis, après l’avoir mise à nu, l’attacha par les poignets aux espaliers de la salle de sport. Il lui banda ensuite les yeux et entraîna les autres élèves à l’écart. Après quelques minutes, Julie entendit un bruit d’ouverture d’une broîte et celui de mains s’emparant de son contenu. Au vu de ces bruits et de la situation, Julie put en déduire qu’il s’agissait de préservatifs.
Puis l’orgie commença. Dans la salle, la jeune lycéenne entendait les cris de surprise mêlés de plaisir des filles et les râles des garçons. Pour elle, cela n’avait aucun sens. Elle avait été mise à nu par son prof de sport devant toute sa classe. Elle pensait donc qu’ils allaient encore tous profiter d’elle.
Finalement, après un certain temps qu’elle ne pouvait estimer en raison de son aveuglement, Julie comprit la mise en scène de son prof de sport au moment même où celui-ci lui retira son bandeau.
Devant ses yeux, toute sa classe, filles et garçons, était nue et la fixait d’un regard méprisant et ironique.
« Les filles, mettez-vous en rang. Les garçons, regardez le spectacle.» ordonna le professeur.
Les élèves obtempérèrent. Les garçons s’étaient assis en demi-cercle autour de Julie et des filles tandis que celles-ci s’étaient alignées en file indienne devant la soumise. La première fille à passer fut Christelle Delmont, une jolie brune à la poitrine opulente. Christelle s’avança vers Julie, s’agenouilla en face d’elle et lui donna ses seins pleins de sperme à sucer. Julie nettoya la poitrine de sa camarade et avala la semence qui la souillait sans hésiter.
La seconde fille s’appelait Marion Belfort. Grande blonde plantureuse à poitrine moyenne (75C), elle était l’une des plus grandes rivales de Julie dans le domaine des relations aux hommes et n’avait jamais digéré sa défaite contre Julie lors de leur bataille pour le petit copain de la soumise. Marion s’approcha de Julie. Elle lui tourna ensuite le dos et lui tendit sa croupe. Julie lécha le cul de Marion jusqu’à le rendre propre tandis que les garçons éclataient de rire en voyant ce spectacle.
Marion retourna s’assoir par terre et laissa sa place à Elisa Franchini. D’origine sicilienne, Elisa possédait une belle peau mate et un joli teint méditérannéen qui plaisait bien aux garçons. Elisa prit place devant Julie et vida le contenu d’un préservatif sur les seins et la chatte de la soumise avant de regagner le cercle.
Une quatrième fille se présenta devant Julie. Caroline Mercier. Caroline était une jolie brune de taille moyenne et ne possédait pour ainsi dire pas grand chose au niveau de la poitrine mais, cependant, avait de jolies formes que la danse et l’athlétisme avait sculptées. La jeune fille se pencha au-dessus de Julie et cracha sur son visage. De la salive, mêlée à du sperme, recouvrait le visage de la malheureuse.
Une cinquième fille prit le flambeau de Caroline. Aline Pittet. Blonde, hanches taillées en A, poitrine bien ronde, Aline n’avait rien à envier aux autres filles. Et surtout pas à Julie qu’elle était sur le point d’humilier et qui la regardait d’un air suppliant. Aline s’avança vers Julie et, après lui avoir violemment ouvert la bouche, cracha sa salive au sperme dans la gorge de la soumise.
Aline retourna à sa place et les neuf autres filles de la classe allèrent donner leur « aumône » à Julie. Le prof de sport, qui s’était jusqu’à présent contenté de regarder le spectacle en se caressant, annonça la fin du cours. Les autres élèves poussèrent un soupir triste.
« Rassurez-vous. Vous avez tous été sensationnels avec notre pute durant ce cours. Je vais parler de votre performance à votre professeur de biologie pendant votre heure de trou. Il sera fier de vous et n’hésitera pas à refaire un exercice de pratique avec vous. Vous avez ma parole.»
Les autres élèves remercièrent niaisement le prof de sport tandis que Julie affichait une mine apeurée.
« Bon, à la douche maintenant. Sauf Julie, bien sûr. Les filles, vous y veillerez.»
Les filles éclatèrent de rire et tous les élèves, Julie y compris récupérèrent leurs objets de valeur. Julie mit discrètement fin à l’enregistrement et entra dans le vestiaire des filles où elle se changea de suite sous la surveillance de ses camarades.
Julie sortit ensuite du vestiaire et alla rejoindre son père sur le parking du lycée. Celui-ci la prit dans ses bras pour lui redonner du courage. Ils se retirèrent ensuite dans la voiture familiale et écoutèrent l’enregistrement que Julie avait habilement réalisé à l’insu de ses tortionnaires.
« Parfait, Julie. C’est exactement ce qu’il nous fallait. Dès ce soir, ton prof de sport sera dans les cordes. Tu peux me croire. Je me suis renseigné sur sa femme auprès de la femme de mon ami journaliste qui est l’une de ses plus grandes amies. Je lui ai raconté dans les grandes lignes ton histoire et elle m’a affirmé que la femme de ton prof de sport détestait voir une femme soumise contre son gré. J’ai trouvé l’endroit où il faut frapper, ma chérie. Tiens bon encore aujourd’hui et tout ira mieux. Pour les autres, tu as une idée pour enregistrer aussi discrètement leurs perversions?
– Oui, papa. Ne t’inquiète pas.»
Le père de Julie dupliqua le précieux sésame dans son ordinateur portable et Julie retourna au lycée pour son cours de biologie.
La machine allait enfin être détruite. Grâce à son père.
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