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amoureux de ma secrétaire

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Ca fait un moment que je suis attiré par une des secrétaires de ma broîte. Par discrétion dans ce témoignage, je préfère la rebaptiser « Stéphanie ».

Pourquoi suis-je séduit par Stéphanie ? A l’origine, je confesse aimer les femmes avec des formes généreuses. J’avoue être amateur des gros seins (des très gros même, je n’ai pas de limite). En écrivant ces lignes, je me rends finalement compte que Stéphanie, certes présente une silhouette très féminine dessinant des rondeurs appuyées, mais avec une poitrine généreuse sans être si excessive qu’elle aurait pu être.
En fait, j’aime bien sûr plonger mon regard, si je le peux, dans un de ses décolletés, mais je préfère apprécier, lorsqu’elle est debout, les formes de ses hanches, ses fesses ainsi que ses grosses cuisses (là, je préfère les voir quand elle est assise à son bureau, les jambes croisées).
A propos de ses fesses, je me souviens d’une conversation significative entre secrétaires dans l’agence où mon égérie avait lancé : « Je sais, j’ai un cul de black ! ». J’ajoute qu’elle plutôt grande (je pense environ 1m75), ce qui permet d’adoucir ses formes si prononcées alors que son ventre n’est qu’un peu rebondi sans être malmené par des vagues de bourrelets. Aussi, je sais par sa confidence que ces contrastes sont dus à une médicamentation chronique d’un asthme dont elle est victime.

J’ai décrit sa silhouette, laissez-moi vous décrire son visage et un peu de son caractère, car je suis certain que ce sont eux qui ont finis par me séduire. Son visage est splendide et elle sait bien le mettre en valeur par de beaux maquillages : c’est une femme blonde aux yeux noisette très grands et pétillants toujours magnifiquement soulignés par de savants traits de mascara. Très souriante, ses lèvres sont charnues. C’est une femme qui n’est pas du tout pimbêche, avec qui c’est agréable d’échanger ; du reste, elle aime bien rigoler et elle n’est pas du genre à s’offusquer d’une blague salace bien en dessous de la ceinture.

Et oui : cela fait des mois qu’à l’insu de tous (en tout cas, je m’y suis employé), j’ai essayé de profiter au maximum de petits moments complètement voyeurs. Par exemple, si on se retrouve dans son bureau ou même si l’on se croise dans un couloir (après un rapide moment courtois de sourire ou de « Ca va comme tu veux ? »), et si son regard ne se dirige pas vers le mien et que je juge que personne ne peut découvrir mon petit manège, je détourne la tête et mate ses belles formes bien prononcées, surtout quand elle porte sa petite jupe noire moulante ou bien un pull abaissé au bord de ses larges fesses dont le prolongement est un legging tout aussi pressant. C’est clair, Stéphanie me plait mais, compte tenu que c’est dans un cadre professionnel, je m’étais volontairement limité à être passif… jusqu’à mardi dernier.

Comment ai-je pu avoir l’audace d’aller plus avant ? Eh bien cela remonte à un déjeuner, au départ bon enfant, il y a 3 semaines.
Avec des collègues techniciens, nous avons proposé aux filles du secrétariat d’aller manger ensemble au restaurant pendant la pause du midi. Au mois de janvier, notre activité est moindre, donc la plupart a accepté l’offre, quitte à déborder un peu sur l’horaire 12h/13h. Le repas s’est déroulé dans une très bonne ambiance : on a plaisanté tout au long de ce moment partagé, et cela a débordé en chamaillerie bon enfant opposant les hommes et les femmes. A un moment, une de ses secrétaires a nargué que de toutes les façons, les femmes peuvent se passer des hommes grâce aux sex-toys. Or, c’est là que Stéphanie a déclenché comme une bombe en moi. Toujours entière et simple, et peut-être un peu victime d’un excès inhabituel d’alcool, elle a lâché cette phrase spontanée : « Ouais… Enfin, j’aime bien quand même avoir une bonne vraie bite dans la bouche pendant que je me gode ! C’est ce que je préfère ! ». Tout le monde a rigolé avec une manière (faussement) choquée (surtout nous les mecs…). A la fin de sa phrase, Stéphanie s’est rendue compte qu’elle s’est un peu trop laissée aller et s’est cachée derrière sa serviette de table en marmonnant des excuses : « J’suis folle ! Ca doit être le vin ! Pardon : ». Et à nouveau, l’attablée a rigolé de bon cœur… Enfin, presque tout le monde, car, de mon côté, mon attirance pour Stéphanie s’est transformée d’attirance en fantasme obsédant.

Tous les jours depuis, je n’ai pas arrêté de me faire des films. Je me suis rêvé être dans la scène que Stéphanie a échappé. Ensuite, je me suis rêvé la baiser debout devant un grand miroir pour enfin la sodomiser. Et je me suis pas mal masturbé juste en y pensant. Pas seulement, car j’avoue que j’ai précipité quelques jouissances, secrètement, quand on a fait l’amour avec ma copine car mon esprit a infidèlement vagabondé sur Stéphanie.

Aussi, quand je me suis rendu au bureau cette semaine, j’ai appris que Stéphanie s’est fait arrêter en congés maladie. Or, ce mardi, j’ai eu une adresse opportune pour une intervention chez un client à Vitry sur Seine, à 2 pas de chez elle (je l’avais aidé à déménagement, donc je savais exactement où elle habitait).
J’ai donc pris mon courage pour aller soit disant prendre de ses nouvelles. Evidemment, je ne dis pas que j’en ai eu rien à faire de son état de santé, mais, vous l’avez compris, j’ai surtout voulu égoïstement provoquer quelque chose qui puisse me la sortir de la tête.

Je me suis alors présenté chez elle. A l’interphone, elle a eu l’air surprise et apparemment pas si en mauvaise santé que ça. Elle m’a ainsi ouverte la porte et m’a invité chez elle. Elle était habillée du long pull et de ses leggings noirs que je connaissais bien.
Après des bises et des politesses convenues, elle m’a demandé l’objet de ma visite de courtoisie. Au début, j’ai été hypocrite mais j’ai fini par me soulager de franchise :

– « Ben, j’ai appris que tu étais arrêtée et je suis venu pour prendre de tes nouvelles ! »
– « Oh ! Fallait pas ! Tout va bien ! J’ai juste encore fait une crise d’asthme ce week-end et comme c’est pas non plus la grande forme et que, en plus, il fait froid, je me suis débrouillée pour me faire arrêter une petite semaine »
– « C’est pas la grande forme ? »
– « Non, ça va. Juste qu’avec mon copain, on se prend un peu la tête en ce moment »

Ce dernier propos m’a aidé à me lancer :

– « Tu sais, je ne suis pas là que pour prendre de tes nouvelles »
– « Ah, bon ? Quoi alors ?? »
– « Ecoute, je vais t’avouer des trucs »

Là, j’ai été le plus honnête : je lui ai presque tout je crois, depuis mon attirance d’origine pour elle jusqu’au jour où je n’ai pas arrêté de la désirer. Pendant mes propos, je suis allé crescendo dans mes confidences en surveillant ses attitudes pour essayer de deviner si je pouvais vraiment tout avouer. Et je l’ai fait. Heureusement pour moi, Stéphanie a paru certes surprise mais du tout choquée :

– « J’pensais pas te faire un effet pareil ! »
– « Si tu savais. Depuis longtemps je désire te toucher, caresser ton joli corps à travers tes vêtements, serrer tes fesses entre mes mains, saisir tes hanches, embrasser ton entrecuisse… »
– « Ouf, arrête tu vas me déboussoler aussi ! Quand à mon « joli corps », tu exagères ! »
– « Non, je t’assure : tu me plais beaucoup. Et depuis quand tu as dit aimer te masturber pendant que tu donnais du plaisir à ton mec, ça m’a achevé ! »
– « Oh ouais, quelle conne ! C’est la honte, ça ! Je parle trop »
– « Mais non, toi au moins, tu es naturelle et franche. Et c’est aussi ça qui me séduit. Et justement, je suis venu pour essayer d’être comme toi, c’est pourquoi je t’ai tout confié. Ca t’embête ? »
– « Non, pas du tout ! Au contraire, c’est plutôt flatteur, surtout en ce moment. Avec mon copain, ça va pas trop fort… En vérité, je crois qu’il voit une autre fille, que je connais en plus. ! Et c’est pas la première fois qu’il voit quelqu’un d’autre. Ce week-end, j’ai décidé de le plaquer !
– « Alors, tu es libre… »
– « Ouais, mais pas toi ! »
– « … Tu as raison »

J’ai pensé que ma mise au point allait se terminer là. Je n’ai pas eu la témérité d’insister. J’ai ressenti un peu de tristesse, pour moi et pour elle, mêlée malgré tout au soulagement de mon entreprise de confidence.
Enfin, par désir, par vengeance (ou par pitié ? J’espère quand même que non !), ou bien un ensemble de tout cela, après un silence éloquent, Stéphanie s’est levée pour feindre préparer un autre café, et s’est retournée devant son petit bar pour me faire espérer :

– « Ecoute, si on fait quelque chose, ça doit rester entre nous. Faut pas aller raconter ça au bureau ! »
– « Evidemment ! »
– « Et puis… Je préfère limiter… Ce sera juste pour une fois ! Je ne veux pas rentrer dans un autre truc compliqué ! Je veux bien qu’on se câline un peu, que je te suces mais pas plus »
– « Je comprends et crois-moi, ce serait déjà tellement génial »

Stéphanie est restée là, debout derrière son bar, attendant que je m’enhardisse.
Moi, je suis resté assis dans le canapé à la contempler sans mot dire. Avec le recul, quel idiot j’ai paru !
Son regard m’a dévisagé comme quelqu’un qui a voulu me dire : « Ben, alors ? Allez ! Vas-y ! ». J’ai attendu qu’elle prenne le courage que je n’ai pas su avoir :

– « Qu’est-ce t’attends ? »

Je me suis alors levé.
J’ai pris mon temps pour la prendre tendrement dans mes bras.
J’ai vu dans ses yeux qu’elle n’était vraiment pas heureuse en amour ces derniers temps et qu’elle appréciait ma modération.
Nous nous sommes embrassés longuement, d’abord timidement, ensuite à pleines bouches.
Cela a été à ce moment que mes mains se sont mises à se promener le long de son corps. Je les au calées contre ses hanches, en les faisant aller et venir de bas en haut, puis j’ai poursuivi en saisissant ses grosses fesses. Le fin tissu du legging m’a permis d’en ressentir la tendresse. Je crois que mes jeux de mains ont vite contribué à me faire bander assez fort et je me suis frotté contre elle.
Quand nos langues se sont abandonnées, Stéphanie a enlevé son pull pour laisser apparaitre un petit top de couleur rose. Elle a commencé à l’enlever mais je l’ai arrêté : « Non, enlève juste ton soutien gorge ! ». Elle ne m’a rien demandé et s’est exécutée. C’est peut être bizarre, mais j’aime bien avancer dans les moments sexuels par effeuillage de ma partenaire.
Aussi, je me suis contenté, d’abord de caresser, soulever et légèrement pincer les pointes de ses seins qu’à travers le fin tissus du petit haut. Cela l’a pas mal excitée : elle a soupiré et s’est laissée abandonner. Ses seins sont devenus durs, et je me suis décidé à les faire passer par-dessus le décolleté. Je me suis amusé encore un peu à en titiller les bouts, puis je les ai sucés l’un après l’autre. Stéphanie a gémi de plus en plus fort, ce qui m’a encouragé.
Déjà, j’ai ressenti que ses mains avaient plongées dans son legging pour se frotter contre son sexe.
J’ai alors carrément tété les jolies poires bien tendues. Au bout d’un moment, Stéphanie a encore pris la situation en main :

– « J’ai envie de te sucer ! Tu m’excites trop ! C’est bien ce que tu voulais, hein ? »
– « J’en rêve depuis trop longtemps ! »

Au début, Stéphanie s’est agenouillée pour me sucer debout. Elle s’est caressé en même temps et cela a été magnifique, mieux que ce que mon imagination avait fantasmé. Malheureusement, il m’a paru que cela n’a pas duré très longtemps.
Elle m’a alors entraîné au salon, a ouvert un tiroir de son buffet pour en sortir un gode en caoutchouc violet.
Elle a ôté son legging et sa culotte, en ne conservant qu’un ersatz de son haut qui, bretelles descendues, n’entourait plus que sa taille tel un chiffon froissé.
Stéphanie n’avait donc pas menti sur son habitude sexuelle. Elle m’a paru savoir exactement comment procéder et a su bien cordonner les places de tout un chacun : allongée sur le dos, voici que la belle a ouvert largement ses jambes (l’une posée au sol, l’autre habilement calée sur le haut du canapé, contre le mur). Elle a reposé sa nuque contre un gros coussin et sa tête contre le petit accoudoir.
Elle m’a ouvert sa bouche et m’a réclamé : « Donne-moi ta bite ! ».
Tandis qu’elle s’est masturbé, elle m’a sucé avec la tête retournée (cela a été ma première dans cette condition).
Ses gémissements sont devenus des râles aigus et elle ne m’a pas lâché de sa bouche une seconde. La vue de ses grosses cuisses ouvertes et le spectacle de ses va-et-vient, plutôt brutaux, avec le sex-toy, m’ont donnés envie de saisir ses gros seins qui se sont secoués par vague comme pour me narguer.
J’ai senti que je ne pouvais tenir tel traitement plus longtemps. Ce qui a été dommage car j’aurais quand même bien voulu la tenter pour la pénétrer.
J’ai ainsi joui dans sa bouche. Cela lui a procuré un orgasme, et ajouté en moi une surexcitation de plaisir du constat de sa satisfaction. J’aime savoir que ma partenaire a eu du plaisir et cela m’en procure également. Pour autant, bien que mon pénis ait commencé à se décontracté; Stéphanie a continué à m’aspirer comme pour tout prendre de mon jus tandis qu’elle a ralenti le rythme de pénétration de son jouait, en le tirant parfois vers le haut.

Remis de nos émotions, nous nous sommes (sagement) douchés et elle m’a refait promettre de ne pas raconter cette aventure au bureau. Elle m’a également rappelé que ce serait la seule et dernière fois…

Aujourd’hui, je me sens encore plus mal qu’avant (c’est pourquoi j’écris). Je suis vraiment tenté de me séparer d’avec ma copine afin de pouvoir vivre pleinement de bons moments avec Stéphanie. Le problème, c’est que j’aime sincèrement ma copine, même si ce n’est pas la même folie sexuelle, mais je crois aussi qu’en plus de continuer à fortement désirer Stéphanie, je ressens également pour elle des sentiments plus profonds. Je ne suis pas tiré d’affaire…

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