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Jeudi 17h30, il fait froid en ce mois d’Avril, je me rends à mon dernier rendez vous de la journée, j’en ai pas envie, sale journée, mes rendez vous n’ont rien donné malheureusement, et j’ai des mandats qui se sont vendus par des concurrents avec des clients à moi. Je suis devant l’immeuble indiqué, il est récent, bien placé à côté du centre ville, il y a une piscine derrière; je le connais bien car nous en avons déjà vendu 2 dans ce bâtiment A; je sonne à l’interphone, il crache un son inaudible, je crie mon nom et que nous avons rendez vous, au bout de trente secondes la porte s’ouvre.

Je monte les marches, il n’y a que deux étages et bien sur pas d’ascenseur. L’appartement se situe au dernier étage sur la droite, vue sur la piscine. Je frappe à la porte, j’attends, rien… je frappe plus fort, j’attends derrière la porte des clés s’entrechoquées, la porte s’ouvre lentement sur une jeune fille 25/30ans, elle a les cheveux mouillés et ne porte juste qu’une grosse serviette blanche qui lui compresse les seins mais qui lui couvre les jambes entièrement.
Elle s’excuse, me fait rentrer, et par dans la chambre je suppose. Elle m’explique qu’elle est infirmière et que la nuit a été agitée à son travail, elle a fait des heures sup, et vient donc de se lever il y a à peine 45 min. Elle me dit de me mettre à mon aise, et de me servir à boire, il y a du jus d’orange, soda dans le frigo ou bien un apéritif dans la table du salon. Vu la sale journée que je viens de passer, mon envie de me casser vite fait d’ici, et le froid ambiant, je décide d’ouvrir la table du salon. Je prends une bouteille de Jack Daniel’s et me sert une bonne rasade. Je la bois cul sec; je sens le liquide descendre le long de mon tube digestif, et ressens tout de suite une chaleur m’envahir et me donner un coup de fouet. D’instinct, je me ressert un verre un peu plus important.
Ma cliente me rejoint au salon, me regarde d’un air étonné, fixe son regard sur mon verre bien plein, je vais semblant de ne rien remarqué.
Elle ne porte qu’un pull qui lui arrive mi cuisse, avec des mailles qui laisse entre apercevoir ses formes. Mon sexe se réveille à partir de ce moment.
Elle me tend la main, se présente Julie, elle est rousse avec de grands yeux vert, je lui serre la main mais par maladresse que lui broie ses doigts tout fins; confus je m’excuse, avale une autre gorgée de whisky, une deuxième bouffée de chaleur inonde mon cerveau.
Je commence à faire le tour de l’appartement en prenant des photos et les mesures, elle me suit juste derrière, arrivés dans la chambre, elle tire vite fait la couette et le draps pour rendre la chambre plus rangée et ferme la porte du dressing, son visage s’empourpre ce qui ne fait qu’aiguiser ma curiosité.
Nous revenons au salon, je calcule les mètres carrés, et nous parlons de son projet de vente. Elle m’explique que malheureusement son compagnon a été muté sur Paris et une fois l’appartement vendu elle le rejoindra. Elle est assise en face de moi en tailleur mais elle n’arrête pas de tirer sur son pull qui ne cesse de remonter. Elle m’explique qu’ils ont besoin de vendre rapidement car son compagnon loue un studio sur Paris depuis 6 mois et entre la traite de l’appartement et la location cela risque de coincer financièrement à un moment donné. Je lape mon whisky, tranquillement tout en l’écoutant, je ne cesse de la dévisager et tout en essayant de savoir si elle porte une culotte ou pas.
Dans son regard je peux voir une certaine inquiétude, elle évite de me regarder dans les yeux.
Visiblement mal à l’aise, elle se dirige au lavabo, prend un verre sur l’étagère du haut, ce qui a pour effet de remonter son pull et découvrir une culotte en coton qui recouvre ses fesses, et le rempli d’eau; elle le boit d’une seule traite. Mon sexe reprend de la vigueur en voyant ses magnifiques fesses.
Elle me demande si je souhaite un autre whisky et mécaniquement je lui tends mon verre. Une gorgée coule dans mon gosier, j’ai vraiment chaud et mon sexe et tout dur.
Je me lève du canapé, et je remarque que Julie regarde mon bas ventre. Je suis son regard et vois mon sexe déformer mon jeans. Je sens mon visage s’empourprer et le sien devient également tout rouge.
Je m’approche d’elle, essaie de l’embrasser mais au dernier moment elle se recule. Mon sang ne fait qu’un tour et je me jette sur elle. Je l’enserre la nuque de ma puissante main, et lui colle ma bouche contre la sienne. Je sens qu’elle se débat, essaie de sortir de mon étau mais sans réussite. Normal vu la différence de physique. J’arrive à introduire ma langue dans sa bouche et à lui titiller sa langue. Elle réussi à me mordre ce qui a pour but de me faire lacher prise. Elle tombe au sol, les cuisses bien ouvertes montrant sa culotte blanche avec une tache au niveau de son sexe. Je la regarde furieux de ce qu’elle vient de me faire et je lui dis : « alors on m’aguiche et tu n’assumes pas »… je vois la peur dans son visage. Elle ose à peine répondre « non non je ne voulais pas vous aguicher ». Je la prends par les bras, la jette sur le canapé. J’en profite pour me déshabiller. Je lui prends un bras et pose sa main sur mon sexe. Elle n’ose le toucher, mais à force elle commence à se laisser faire. « Tu aimes ça touche les queues des mecs » « non non… »mais maintenant elle caresse mon sexe toute seule sans mon aide. Je me rapproche d’elle et l’embrasse à pleine bouche. Maintenant elle répond à mes baisers. J’en profites pour passer une main sous son pull et lui caresser les seins, ma main les enveloppe littéralement. Des gémissements sortent de sa bouche pleine. Je me recule et la regarde  » t’es une belle salope toi, tu me fait bander à mort », et je continues à lui caresser les seins tout en lui pinçant de temps en temps les tétons. Je lui demande : « depuis quand un mec ne t’a pas touché? » sauf qu’elle n’ose répondre. Je la prends par les cheveux, colle mon visage au sien et lui demande de me répondre. Une petite voix sort de sa bouche « 6 mois environ ». « Tu es en manque alors ma chérie, c’est pour cela que tu joues à la pute avec moi. Mais joue pas trop à la pute, tu ne gagneras pas » des larmes sortent de ses yeux et me répond « je ne joue pas à la pute ». Je la soulève, la tourne et lui colle la poitrine contre le dos du canapé, je lui caresse le dos, et approche mes mains de ses fesses, elles aussi tiennent dans mes mains. « Si tu joues à la pute, une fille a moitié à poil avec un mec cherche la queue, en plus avec un cul pareil », j’en profite pour passer deux doigts dans sa raie, toujours couverte de sa culotte. Elle a un sursaut « tu aimes que l’on te caresse ton troufignon? Hein que tu aimes?? ». Pour seule réponse je n’ai qu’un murmure. Je continues alors mes caresses sur son corps, reviens sur ses seins, son ventre, son visage, ses fesses, ses cuisses, et de temps en temps j’entends un gémissement. Maintenant je colle mon sexe contre ses fesses, et également contre le renflement de sa chatte. Je sens qu’elle ondule faiblement son bassin. Je la prends par les hanches pour accentuer ces caresses. Je la vois dans le miroir en face de moi les yeux fermés, se mordant les lèvres pour me pas crier. Une fois bien excité, je passe ma main entre ses cuisses et sens le tissu trempé de son jus. Je lui malaxe, pince ses grandes lèvres toujours à travers le tissus pour qu’il s’imprègne bien de sa mouille.  » t’aime ça. Comme les putes. Tu vois que t’es qu’une salope de petite pute. N’en pouvant plus, mon cœur battant fort, ma queue me réclamant un trou, je lui déchire sa culotte souillée. Et le spectacle qui s’offre à mes yeux me plait. Je vois ses fesses légèrement écartées laissant apercevoir sa rondelle légèrement ouverte, et plus bas une touffe de poils roux, et les petites lèvres qui dépassent des grandes, et sa liqueur débordant de sa chatte. Mon sexe se tend encore plus car il n’a jamais gouté à une petite chatte rousse. Je frotte mon gland contre sa chatte, il récolte de son jus tout chaud, je vais pour m’y enfoncer dedans mais elle colle son bas ventre contre le canapé. « Non non pas encore » me dit elle.  » Comment ca pas encore. Ta chatte dis le contraire » « Oui bien sur mais il faut que j’aille aux toilettes, j’ai besoin de faire pipi » me dit elle toute honteuse. Je la prend par ses bras tout menus et la menace de représailles si elle fait quelque chose contre moi. Elle essaie de me rassurer, mais que cela presse maintenant. Je l’accompagne la tenant toujours par un bras, jusqu’aux toilettes. Je lui ouvre la porte, elle rentre et se tourne pour fermer la porte mais je la bloque avec mon pied. Elle lève la tête, me regarde et ne voit que mon sourire malsain et mes yeux noirs. Je secoues la tête de droite à gauche, toujours en souriant. Elle devient écarlate, elle est à la base tellement blanche que tout son corps devient rosé. « Non non pas ça.. s’il vous plait » sans un mot toujours souriant je lui fais signe de oui de la tête. Ses yeux se remplissent de larmes, mais elle finit par s’assoir voyant que je ne bouge pas. Elle reste sur la cuvette des wc pendant deux minutes, moi les bras croisés sur ma poitrine, mon sexe raide et mes pieds bien plantés dans le sol. Elle finit par dire doucement « je n’y arrive pas, je ne pourrais pas temps que vous serez devant moi ». Mon sang ne faisant qu’un tour, je la prends par la jambes, la soulève, l’air se charge d’une forme odeur de musc, qui ne fait que réveiller ma libido. Je la retourne donc, les jambes bien écartées vers la cuvette, ses fesses contre mon ventre. Je lui gueule dessus « tu vas pisser ou tu veux que je t’aides », elle sanglote et après un temps mort, je vois son jus coulé entre ses cuisses. Une fois terminée, je la repose. Elle me regarde d’un air abattu et rempli de honte.
Je la laisse là un instant. Je reviens vers elle 10 minutes plus tard, elle a les yeux rouge, elle a pleuré.
Je lui caresse la joue du dos de ma main, passe mes doigts dans ses cheveux, la soulève et la prends dans mes bras pour lui faire un câlin. Je la serre fort, l’embrasse dans le cou, lui caresse le dos pour la consoler, elle aussi me serre fort à son tour, elle passe ses jambes autour de ma taille pour ne pas tomber. Sous l’effet de ses caresses et des miennes sur son corps magnifique mon appétit sexuel se ravive et mon sexe se tend une nouvelle fois. Je relâche ma prise, elle glisse, je donne un coup de rein pour prendre possession de sa chatte. Je suis au plus profond elle. Elle a poussé un râle surprise de mon attaque. Elle ne bouge plus, je sens la chair de poule couvrir ses jambes et son dos, son rythme cardiaque s’accélère. Je la fais coulisser sur mon pieu en la soulevant et la baissant de mes bras, je sens sa chatte s’ouvrir plus au contact de mon sexe, et sa mouille lubrifiée mon chibre. Maintenant sa chatte bien baveuse, mon sexe rentre comme il souhaite, et je le laisse bien profond et je le fais palpiter de temps en temps. Julie gémit de plus en plus fort, je la sens moins crispée, elle me caresse le dos et m’embrasse les épaules, puis le cou…
Je l’amène sur la table du salon, la dépose délicatement, s’est alors que je lui prends la tête à deux mains et la dirige vers ma queue luisante de son jus. Elle résiste juste un moment alors je lui crache dessus. Elle finit par ouvrir la bouche et gober mon sexe. Apparemment elle n’a pas beaucoup sucer de mecs. Je lui dis de mieux s’appliquer qu’une pute doit mieux sucer. Elle continue mais ce n’est pas toujours ca. Je me retire de sa petite bouche et la gifle de ma queue et lui pince les tétons. Elle crie, les larmes reviennent dans ses yeux, qui expriment haine et dégoût. Je la tire par les cheveux et lui impose mon sexe dans sa bouche; je lui prends les mains et me malaxe les couilles avec. Elle commence à mieux sucer, prend plus le temps, lèche tout le long de ma hampe, commence a y prendre goût. De plus elle donne des coups d’œil en ma direction, et ses yeux commencent à s’illuminer. Elle continue à me malaxer les couilles, les lèche, les aspire, et passe un doigt dans ma raie pour me chatouiller mon trou;
Mon sexe soubre saute dans sa bouche, toutes ses caresses m’excitent au plus haut point je sens que je vais finir par tout lâcher. Je me retire donc de sa bouche, de la salive plein ma queue. Elle me sourit maintenant, se retourne et se met à 4 pattes. Je lui claque les fesses 5 fois, elles marquent vite de mes mains, je lui titille son orifice de mon, gland, maintenant elle pousse des gloussements. Je le fais glisser entre ses fesses pour finir par la prendre toujours au plus profond d’elle. Elle tortille ses hanches comme pour mieux gober mon sexe, son jus éclabousse mon bas ventre tellement mon queue claque sa chatte toute trempée. J’en profite pour la fesser. Elle m’en demande encore. J’att**** une longue bougie fine au sommet et un peu plus étroite à la base. Je joue avec la mèche toute neuve avec son anus, il pulse sous les caresses de la mèche. Je lui crache ma salive sur son trou et commence à lui enfoncer dans son cul. Un râle sort de ses entrailles, en demande plus, je fais coulisser maintenant la bougie dans son cul à moitié bougie, et mon sexe dans son con. Je suis super excité et mon gland palpite de plus en plus, je sens que je vais défaillir dans peu de temps. Elle a du sentir mon excitation car je sens une de ses main sur mon sexe pour le maintenir au fond elle, et sens ses doigts jouer avec son bouton. Elle finit par se cambrer juste avant de pousser des cris de jouissance, m’entrainant également dans une jouissance extrême. Un première giclée vient lui tapisser son fond, une deuxième déverse des flots de sperme bien épais. Elle me souffle « vide toi bien en moi, vide toi bien dans ta pute ». Alors je la prends par les hanches la lime bien fort pour bien me vider les couilles.
A bout de souffle et mon gland devenu sensible, je ralenti la cadence. Jusqu’à ne plus bouger en elle.
Je me retire de sa chatte étroite, elle se retourne vers moi, reste allongée les cuisses écartées, mon jus sortant de sa chatte et coulant sur la table. Elle se caresse la chatte, étale notre mélange de fluides, et s’enfonce deux doigts en elle; elle se fera jouir devant moi la garce.
Pour m’avoir fait subir cette offense, je lui pince le clitoris tout gonflé encore, Tout en l’étranglant de l’autre main. Elle a de plus en plus de mal a respirer alors je relâche ma prise.
Je lui crache dessus encore une fois, sur son visage.
Les fluides se répandent par terre maintenant, mais il y a en toujours qui s’expulse de son chatte.
Je la flatte en lui caressant la tête et en lui disant que maintenant elle m’appartenait….. ses yeux ne transpirent plus la peur mais le désir.

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