Sachant qu’elle sera seule pour la soirée et la nuit, son mari étant à l’extérieur en voyage d’affaires, Anne invite une vieille amie de collège à venir passer une soirée avec elle. Se rappellant de l’attirance qu’elle avait envers Anne à l’époque, cette dernière accepte aussitôt qu’elle apprend qu’elle seront seules…
Anne profite du fait que les enfants sont à l’école pour vaquer aux préparations de la soirée. Se doutant bien des aspirations de Marie-Josée, Anne se dirige vers le centre de location vidéos pour sélectionner un film de la section adulte. La gêne s’empare d’elle à l’idée de traverser cette porte close où seules les hommes sont normallement admis. Elle entre, et à sa grande satisfaction elle remarque qu’elle est seule. Elle se dirige vers sa section favorite, la section gai-féminin. Compte tenu du fait qu’elle est seule, elle prend quelques minutes afin de bien admirer les pochettes de film sur lesquelles elle remarques scènes et clips. À la vision de Cunnilingus, de baisers entre femmes, elle sent déjà l’humidité de son sexe traverser sa culotte. Elle porte sa main droite sous sa jupe courte et la glisse dans sa culotte, et d’un léger mouvement circulaire, elle caresse son bouton d’or déjà en pleine érection. La vision de toutes ces femmes devant elle, ou le fait de pouvoir être surprise par une autre personne l’excite au plus au point. Le mouvement circulaire qui se voulait léger est rendu rapide, sa gorge se noud c’est l’extase, elle serre les dents afin que l’on ne l’entende pas. Elle saisit une cassette au hasard, puis se dirige vers le comptoir pour payer. Elle n’ose regarder le commis, mais distingue bien qu’il esquisse un léger sourire en voyant le film qu’elle a choisie. Elle se dirige par la suite vers l’épicerie pour y acheter vin et victuailles pour le souper.
Le soir venue, les enfants dormants paisiblement, le souper étant presque prêt, on sonne à la porte. Elle se dirige vers la porte, elle ouvre…Marie-Josée plus belle que jamais se tient là devant elle. Elle n’a pas changé, les cheveux longs légèrement bouclés et ces yeux aussi beaux que le ciel d’Azur. Elle porte un jeans délavé, un T-Shirt bleu qui laisse deviner une somptueuse poitrine et un blouson de cuir marron. Du coup, elles s’enlassent comme deux amies qui ne sont pas vue depuis plusieurs années. Anne percoit, le doux parfum Tropics que Marie-Josée porte, un parfum léger, irrésistible et enivrant. Du coup, elle la voudrait la prendre là dans le Hall, mordre ses lèvres pulpeuses, sucée ses seins, touché sa chatte comme lorsqu’elles en étaient à leurs premières expériences. Mais elle ressere ses cuisses et retient son désir, qu’elle remettra à plus tard.
Après s’être régalées et abreuvées et après avoir ramassées et dégagées la table, Anne invite sa copine à la suivre vers le sous-sol où la vidéo les attendaient. Marie-Jo, ne savait trop à quoi s’attendre de la part d’Anne, elle espérait sans trop y croire de toucher au corps de son hôte comme au collège dans le vestiaire où elles se retrouvaient souvent seules. Elle souvient encore comme il était doux de caresser cette peau soyeuse et lisse, de nouer sa langue autour de la sienne, de licher ses petits seins fermes. Oh oui, elle souhaite ce soir de revivre ces moments merveilleux de son adolescence où elle a apprie à aimer. Aussitôt, le film démarré, elle comprend qu’Anne était tout aussi anxieuse qu’elle de revivre leurs premiers ébats. Elle regarde la première scène qui se déroule semble-t-il dans un bureau, où une plantureuse blonde qui joue le rôle d’un mannequin se présente à la réception où l’attendait une jeune femme aventureuse…en moins de 30 secondes, elles sont déjà en plein ébats. Pendant que « l’action » se déroulait Marie-Jo remarque qu’Anne avait déjà enlevé ses pantalons et se caressait tout en la regardant. Sans plus attendre, elle se dirige vers elle, lui enlève sa culotte, lui écarte les cuisses et constate à qu’elle point elle avait oubliée la beauté de la chatte de son amie ! Doucement, elle approche sa bouche, elle sent tout à coup les mains d’Anne pressés sa tête tout contre ses lèvres humides. Il y avait plusieurs années déjà, qu’elle avait goûté à une femme, elle en avait presque oublié la satisfaction. Délicatement, elle roule sa langue sur le clitoris chaud et humide tout comme un enfant qui se délecte avec une friandise. Ses mains, se glissent lentement le long du fauteuil pour ensuite se porter à la poitrine d’Anne qui gémit de bonheur. Les seins qu’elle tient aux creux de ses mains n’ont pas perdus de leurs fermetés. Anne prend une main de Marie-Jo et la porte à sa bouche afin de sucer les doigts élancés et invitants. Pendant ce temps la langue de Marie a trouvée l’ouverture et s’y insére. Elle peut sentir les muscles chauds et humides se contracter sur sa langue qui dans un mouvement perpétuel de va et viens augmente l’excitation d’Anne qui dans un cri d’extase atteint la plénitude.
Anne se relève, embrasse Marie-Jo d’un petit baiser qui lentement se transforme en un baiser enflammée et profond. Elle détache la ceinture puis le pantalon et lui enlève son Tshirt qui dévoile un poitrine proéminente. Elle déguste les mamelons de sa langue et de ses lèvres. Elle peu sentir à nouveau ce merveilleux parfum qui l’excite tant ! MJ, reste là n’osant bougée afin de ne pas couper ce moment de plaisir. La main d’Anne se porte à la culotte de MJ, tout en touchant elle se rend compte jusqu’à quel point MJ était excitée, la culotte était détrempée, ses lèvres ouvertes, son bouton d’or était en érection total. Elle la couche par terre, lui retire sa culotte et caresse son sexe d’un mouvement rapide. Anne admire la beauté de sa partenaire qui, nue devant elle se tort de plaisir. D’un doigt Anne pénètre la vagin humide, puis deux, puis trois. De l’autre main, elle caresse sa propre vulve au même rythme endiablé. La jouissance est tel que les belles atteignent l’orgasme presque en même temps.
Les colombes restent étendues là enlassées pendant quelques minutes, ne portant pas attention à l’action qui continue de dérouler derrière elle !
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