LU SUR LE NET
La mère supérieure -1-
J’avais 18 ans et venait de passer mon bac avec facilité lorsque j’appris qu’une communauté religieuse voisine recherchait, pour un job de vacances, un jeune doué en informatique.
Comme je n’avais pas de programme et que de l’argent m’était nécessaire, je me rendis dans cette communauté située à 70 km de mon domicile. Il s’agissait d’une demeure d’aspect assez austère, ceinturée d’un grand mur.
Je fus accueilli par une très vieille religieuse qui faisait office de portière. Je lui exposai ma requête et elle me conduisit dans une vaste salle meublée de vieux meubles qui sentaient bon l’encaustique m’annonçant l’arrivée de la mère supérieure.
Celle-ci ne se fit pas attendre. Je vis arriver une assez grande personne assez engoncée dans un uniforme classique, assez suranné à notre époque, les cheveux totalement recouverts d’un voile bleu foncé. Elle avait des souliers plats et des bas gris… ce n’était pas la joie !!.
Je la saluai et lui dis que je venais postuler la place vacante. Elle me jaugea du regard et m’interrogea sur mes antécédents et mes études. Je dus lui faire bonne impression car elle m’expliqua le travail. Celui-ci rencontrait parfaitement mes compétences.
Elle me dit que la communauté religieuse qu’elle dirigeait était constituée de 10 sœurs, dont la grande majorité était très âgée. J’avais pour obligation de parler le moins souvent possible aux religieuses, mon contact quasi unique devant être la supérieure.
Nous nous sommes rapidement entendus sur les conditions financières de la collaboration. Restait un problème épineux, celui de mon logement. Je ne pouvais évidemment pas rentrer chaque soir chez moi à 70 km. Après avoir réfléchi, sœur MARTHE (c’était le nom de la supérieure), me proposa d’occuper une cellule de nonne vacante dans un coin éloigné du couvent. C’était une aile inoccupée du bâtiment. Le confort y était rustique mais acceptable. Nous avons conclu ainsi, je prendrais mes repas à la cuisine mais pourrais assister aux offices à mon gré.
La supérieure me présenta à toutes les sœurs. Cela ressemblait plus à un hospice qu’une congrégation dynamique…
La sœur cuisinière était une grosse boulotte très joviale et elle m’adopta d’emblée.
Après cette première prise de connaissance, sœur MARTHE me montra le bureau dans lequel je travaillerais. Il était voisin du sien et une large porte communicante les séparait. Le matériel informatique était dépassé mais la sœur me fit comprendre que la congrégation était pauvre et ne pouvait le remplacer.
Ma première nuit se passa bien dans ma petite cellule. Tout était très calme. Le matin ce sont des chants religieux qui m’on réveillé. Regardant ma montre avec effroi, je constatais qu’il n’était que 05.00 h. c’était le premier office des religieuses.
Vers 07.00, je me levais et cherchais les toilettes et un endroit pour me laver. Je me rendis vite à l’évidence que pour me laver c’était le broc et l’eau froide et pour les besoins, un endroit visiblement inoccupé depuis longtemps et sans eau courante.
Vers 08.00 je me mis à mon bureau. J’avais au préalable fait une incursion à la cuisine où la gentille sœur m’avait préparé un délicieux chocolat chaud et un morceau de pain fait maison.
Vers 08.10 la sœur MARTHE arriva et me félicita de ma ponctualité. Je lui posai quelques questions pratiques telle que, par exemple, la possibilité de prendre une douche etc.. Elle me promit d’y réfléchir, la seule douche en activité se trouvant dans le quartier des sœurs.
La sœur MARTHE était habillée comme la veille. Elle sentait bon le savon frais et se montra très active dans la manière de m’expliquer mon travail Je constatai qu’elle ne se gênait pas de me mettre la main sur l’épaule, de diriger ma main, de se coller à moi pour indiquer un détail etc… Cela n’était certes pas trouble.
Sur le plan sexuel, j’avais une expérience assez limitée, avec quelques copines du lycée et, exceptionnellement, mais ce fut fabuleux, avec la mère de l’une d’elle. J’étais très bien monté mais généralement une bonne masturbation calmait mes ardeurs.. je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je parle de cela.
L’après midi, la supérieure me dit que pour la douche, elle me proposait de la prendre vers 22.00, alors que la congrégation était aux derniers offices. Cela me convenait.
Le même soir, en short, torse nu et serviette sur l’épaule, je me rendis à la douche. Je fus surpris d’y trouver sœur MARTHE qui m’attendait. Elle me regarda et me demanda de, dorénavant, venir plus habillé pour ne pas troubler la sérénité des autres sœurs. Elle me montra le fonctionnement de la douche et se retira. Je me mis rapidement nu et, dans la cabine, je laissai longuement l’eau couler sur mon corps en me savonnant. Cela me faisait toujours agréablement bander.
C’est dans cet état que je me trouvai nez à nez avec sœur MARTHE qui venait voir si tout allait bien. Elle poussa un « oh » de surprise et toute rouge, se retourna en m’enjoignant de me couvrir. Je me ceinturai d’une serviette, mais cette ci était tendue à mon bas ventre par mon sexe qui n’avait pas débandé.
Sœur MARTHE était rouge comme une pivoine et ne savait où regarder. J’étais moi-même gêné par cette protubérance insolite, d’autant plus que par un faux mouvement, ma serviette chuta et c’est de nouveau nu et bandé que je me trouvais devant sœur MARTHE. Je m’excusai vivement et rejoignit ma cellule.
Le lendemain matin, la mère supérieure ne me fit aucune remarque concernant la scène de la veille mais je crus quand même voir dans ses yeux une certaine lueur qui n’y était pas la veille.
Le soir venu, c’est en T Shirt et short que je me rendis à la douche. Je ne rencontrai personne au passage et, c’est très longuement que je me savonnai. Lorsque je sortis de la cabine, qu’elle ne fut pas ma surprise de voir sœur MARTHE devant moi. Elle prétexta qu’elle venait voir si tout allait bien. Elle ne se retourna pas et je vis son regard vrillé sur ma queue bien bandée. Je restai nu pendant qu’elle parlait de mon travail, dont elle dit être contente.
La situation était assez grotesque…mais j’appréciais. Je pris ma serviette et entrepris de me sécher, décalottant bien mon gland, toujours sous l’œil de la mère supérieure, dont la respiration devenait oppressée.
Comme elle ne bougeait pas, je m’habillais devant elle et lui dis au revoir.
Le lendemain matin, je la trouvais en prière lorsque j’arrivais à mon travail Elle s’interrompit et me dit que la prière lui donnait la force de résister à la tentation.
Comme il faisait chaud, le n’avais qu’un léger T Shirt et j’avais enfilé un boxer short, sans caleçon en dessous. Ce que je ne savais pas, c’est que, sur ma chaise, mon sexe était le long de ma cuisse, au repos, et se montrait bien par l’ouverture.
Lorsque je tournai ma chaise pour demander un renseignement à ma patronne, je vis que celle-ci avait le regard braqué sur ma verge bien visible.
Elle-même, et je le remarquai à l’instant avait ouvert trois boutons de sa veste, laissant voir un chemiser en gros lin, qui me semblait assez bien rempli par une poitrine opulente. Voyant mon regard s’égarer par-là, elle referma vite sa veste, malgré la chaleur suffocante.
L’après midi, elle m’appela à son bureau pour un renseignement. Elle était simplement en chemisier. Je m’approchai et elle me demanda de lire un texte avec elle. Je me mis derrière elle et je lus ainsi au-dessus de son épaule. Je la respirais et, la chaleur aidant, je perçus vraiment une effluve de femme. Cela me troubla. Avec son voile recouvrant ses cheveux et son chemiser de qualité moyenne elle avait cependant une certaine sensualité qui émanait d’elle.
Je lui mis une main sur l’épaule, comme elle me faisait, pendant que de l’autre main je suivais le texte du doigt. Ma respiration était dans son cou. Je la sentis tressaillir sous ma main, mais elle ne fit aucun mouvement de recul. C’est bien 10 mn que nous sommes restés ainsi, chacun prolongeant la position sans nécessité absolue.
En retirant ma main, je la laissai glisser le long de son dos, par inadvertance, et ne sentis aucune attache de soutien dans le dos. Cela voulait-il dire que sœur MARTHE n’en portait pas ?
Allons, allons, je devais me calmer !!!!
On aurait dit cependant qu’une certaine complicité s’était installée entre nous et qu’elle se permettait et me permettait certaines petites privautés encore anodines.
A suivre.
La mère supérieure -2-
Cela faisait maintenant quatre jours que je travaillais comme jobiste informaticien dans cette congrégation religieuse dirigée par Sœur MARTHE.
Une certaine affinité s’était créée entre nous depuis qu’elle m’avait vu nu sortant de la douche.
Elle me dit qu’elle avait 46 ans et qu’elle était rentrée en religion à l’âge de 16 ans. Elle avait gravi tous les échelons pour se retrouver supérieure de ce petit couvent. Elle était sereine et un peu détachée des choses du monde. Je ne connaissais rien d’elle car son voile cachait toujours ses cheveux et ses habits stricts ne laissaient que peu deviner de son corps, même lorsqu’elle travaillait en chemisier, avec moi, dans son bureau.
Je ne me gênais plus de mettre ma main sur son épaule pour lire un texte ensemble ou regarder le même écran de P.C.. elle avait mon souffle dans son cou et moi je respirais son odeur saine de femme propre, sans parfum ni artifice.
Le vendredi je rentrais chez moi pour le week-end, assez troublé je l’avoue, par le calme de cette vie monastique, bien loin du tumulte du monde. Je n’étais guère croyant et c’est par pur réflexe que je me plaisais là.
Au lieu de rentrer le lundi matin à mon travail, un de mes copains qui passait par là, me reconduisit le dimanche soir. Comme j’avais reçu la clé, je rentrai directement et rejoignit ma petite cellule qui me servait de chambre. Vers 21.30 h, je décidai d’aller prendre une douche et, en sifflotant, je traversais les couloirs pour me rendre dans l’autre aile où se trouvaient les douches. Quelle ne fut pas ma surprise en rentrant dans la salle, d’y voir de la lumière et d’entendre l’eau couler. Des vêtements de femme se trouvaient au porte manteau.
A peine cette constatation faite, je vis la porte de la cabine s’ouvrir et en sortir une grande femme, aux longs cheveux grisonnants. Elle n’était pas nue. Une espèce de paréo très serré lui maintenait la poitrine et son entrejambes était protégée par des bandes de tissus nouées à la ceinture. Elle ne m’avait pas vu et se mit à s’essuyer le corps avec une grande serviette, sans enlever les linges mouillés qui la recouvraient à moitié.
Soudain, elle m’aperçut et devint pétrifiée comme devant un serpent. « Que faites-vous là ? » cria t-elle. Je reconnus alors Soeur MARTHE au son de sa voix. Je ne savais que dire. La scène était assez grotesque!! Cette femme bizarrement accoutrée pour sortir de la douche et s’essuyant par petits morceaux, ne s’attendait évidemment pas à me voir. Je lui présentai mes excuses. Je constatai qu’elle ne se pressait pas de se rhabiller… c’était curieux mais évidemment ses linges et la grande serviette cachait quasi son corps.
Comme je continuais à la regarder assez interloqué, elle me dit que son Ordre religieux interdisait les ablutions nues, qu’ainsi accoutrée, elle répondait au prescrit. Avec ses longs cheveux dénoués, elle était ma foi assez jolie pour une femme mature, sans artifice.
Comme le but de ma venue était de prendre une douche, je lui demandais la permission de la prendre. Je craignais une réaction mais sa réponse fut affirmative. Je m’empressai de me mettre nu et de rentrer dans la cabine. après m’être copieusement savonné et rincé, je sortis et, à ma surprise, je vis la Soeur MARTHE toujours là, assise sur le banc, s’essuyant les jambes !!
Sans me gêner, je me tournai vers elle, mon sexe bien visible et légèrement bandé et je m’essuyai, puis je m’assis à coté d’elle pour, comme elle, frotter mes jambes.
Elle n’avait toujours aucune réaction.
Je m’enhardis à lui faire remarquer que ses linges étaient encore mouillés et qu’elle risquait de prendre froid. Tout en lui parlant, je détachai cet espèce de paréo qui entourait sa poitrine et mis au jour une grosse poitrine très blanche, nervurée de bleu, avec une large aréole et un gros tétons. Sans avoir l’air de rien, je lui essuyais les seins, sans insister. Je vis nettement les bouts gonfler et durcir lorsque mes mains passaient dessus, sur la serviette. Soeur MARTHE était toujours comme amorphe mais son regard fixé sur mon entrejambes où ma verge était fièrement dressée et bougeait avec moi au moindre mouvement.
Je me demandais jusqu’où je pouvais aller !!!
Sœur MARTHE était maintenant là, assise le torse nu devant ce gamin que j’étais. pour la mettre en confiance, je lui enfilai son chemisier qui se trouvait au porte manteau et, l’aidant, je la mis debout.
Doucement je défis les bandes encore humides qui entouraient son bassin et son entre jambes. Mon geste lent la laissait sans réaction, comme absente. Finalement le linge tomba à terre et je vis la chatte de Soeur MARTHE. Elle était copieusement poilue et sa toison remontait bien haut, finissant en pointe tressée presque à 5 cm de son nombril. Avec la même serviette je lui essuyai les cuisses et, avec douceur, je glissai entre ses cuisses, ouvrant un peu la fourche de ses jambes. Elle me dévoila ainsi toute son intimité. J’étais assez intimidé car c’était absolument la première fois qu’un homme pouvait ainsi promener son regard sur cette splendeur inutilisée. Je ne m’attardai pas trop longtemps et n’y mis pas ma main nue, restant toujours sur la serviette. Soeur MARTHE avait maintenant relevé la tête et regardait vers le plafond, comme tendue. Elle ne réagit pas non plus lorsque ce fut au tour de son anus à être essuyé. Tout cela était assez incompréhensible. Cette femme était là comme sans y être !
Comme pour ses seins, j’entrepris de lui mettre son slip. Pour m’aider, elle souleva l’une jambe après l’autre, me laissant voir encore plus loin dans sa chatte. J’étais toujours nu. Jouant le tout pour le tout, je lui dit » Soeur MARTHE, essuyez moi aussi ». Elle fit comme si elle ne m’avait pas entendu mais me prit la serviette des mains et se mit à m’essuyer la poitrine, descendant plus vite que nécessaire vers mon ventre et mon sexe où, visiblement, elle s’attarda. Je lui retirai prestement le serviette et elle se trouva avec ma queue dans sa main nue. Elle ne la lâcha pas, comme si cela n’était pas à moi ou un objet sans importance. Je donnai quelques coups de bassin et elle resserra sa prise sur ma verge; comme pour qu’elle ne parte pas !!
J’en profitai pour glisser ma main sous son chemiser pour lui caresser longuement les seins en m’attardant sur les pointes. Je les sentais vibrer sous mes doigts et la respiration de la Mère Supérieur devint plus rapide. Mon autre main touchait son entrejambes, sur le slip, mais mes doigts exploraient le sillon que je sentais vaste et accueillant. Tout cela était assez surréaliste.
Soudain, Soeur MARTHE me lâcha, me repoussa et s’habilla toujours sans un mot, comme si elle était somnambule ou en transe. elle quitta la salle.
Je retournai dans ma petite chambre et je m’y masturbai copieusement au souvenir de ces trésors que j’avais pu voir et toucher.
Le lendemain matin Soeur MARTHE entra dans mon bureau, très stricte d’habits comme d’habitude. Après m’avoir dit bonjour, elle me dit avoir un vague souvenir de ce qui s’était passé la veille dans la salle des douches. Elle avait pris un somnifère puissant et, cela aidant, elle s’était mise en prière, détachée du monde. Elle espérait que nous n’avions pas fait des choses défendues . Je la rassurai !!!!
Elle m’avoua sa totale incompétence des choses du sexe, ce qu’elle prenait pour des désirs avaient toujours été comblés par la foi et la pénitence.
Evidemment, je la regardais maintenant avec d’autres yeux puisque je l’avais vu nue et que, ma foi, elle était bien appétissante. Sous son chemisier classique, je devinais sa poitrine encore bien solide, qui avait reçu les caresses de mes mains et, plus bas, je fantasmais sur son entre jambes dont la toison m’avait semblée riche de découvertes. Je cru voir qu’elle aussi me regardait autrement et que ses regards s’attardaient sur moi, interrogateurs. Se souvenait-elle encore de mon sexe dressé ??
En fin d’après-midi elle me dit « pour éviter une nouvelle rencontre inopportune aux douches, je vous conseille de venir vers 22.00 h, comme cela j’aurai déjà pris la mienne et vous aurez toute la salle pour vous ». Je lui promis d’en faire ainsi mais je me dis, sale gamin que j’étais, que si j’arrivais plus tôt, peut être pourrions-nous continuer à folâtrer ensemble et, qui sait…
La mère supérieure -3-
Vers 17.00, j’étais en train de terminer un long encodage, lorsque Sœur MARTHE vint voir où j’en étais. Elle était à côté de moi, debout à coté de ma chaise et regardait mon écran. Son bassin était contre mon épaule. Je ne sais ce qui m’a pris, mais j’ai laissé ma main descendre le long de sa jupe ample et remonter le long de son bas. C’était vraiment un bas de religieuse, en gros coton, probablement tricoté maison. Sœur MARTHE ne broncha pas. Ma main remonta encore et, à mi-cuisse, découvrit la peau nue. Je reçus un choc électrique et eut immédiatement une forte érection qui tendit le devant de mon pantalon. Ma main remonta encore et toucha enfin le slip de la religieuse. Il s’agissait plus d’une culotte que d’un slip. Elle pendait assez lâche. Je n’ai pas osé y glisser la main mais ai entrepris cependant, au travers du tissu, un subtil attouchement de l’entrejambes. Je refis le chemin inverse et remis ma main sur le clavier de mon PC.
Sœur Marthe n’avait pas bougé. Elle me dit » vous êtes un gentil garçon. Je ne suis pas habituée aux gestes que vous me faites, mais je suis persuadée qu’il n’y a pas malice et que nous ne faisons rien de mal ». Ou bien elle était complètement innocente des choses de la vie ou bien elle était une fieffée hypocrite ! Je penchais plus pour la première hypothèse, la séance de douche de la veille en étant un bel exemple.
Le soir venu, la sœur cuisinière m’avait préparé un bon petit plat et, chose rare, m’avait réservé du vin. Vers 21.00 je retournai dans ma chambre cellule et me décidai à risquer le tout pour le tout et d’aller tôt à la douche, de façon à y surprendre la religieuse. Je me mis en boxer short et petit T shit et, muni de ma serviette je rentrai dans la salle. Un seul vêtement de religieuse pendait au dehors et l’eau coulait d’une cabine. Je me mis nu et, résolument, entrai dans la cabine.
Soeur MARTHE y était dans la vapeur et me tournait le dos. Avec le bruit de l’eau coulant, elle ne m’avait pas entendu. Comme la veille, elle n’était pas nue, revêtue de bandes sans forme à son bassin et d’un paréo de coton à la poitrine. La cabine de douche était vaste et l’on ne se touchait pas. Je me mis à me savonner. La religieuse se retourna et me vit. Je m’attendais à une explosion de colère… mais non. Elle arrêta l’eau et, pleine de candeur naïve, elle me dit : » c’est bien, mon garçon, de venir ainsi me tenir compagnie. Comme hier, on pourra s’essuyer. C’est agréable « . Je n’en revenais pas….Elle n’avait donc pas tout oublié !!!!
Je me mis à la savonner, tout en la déballant de ses chiffons informes. Elle tourna sur place pour m’aider et ne manifesta aucune résistance. Elle fut nue devant moi. C’était grandiose. Sa poitrine opulente d’une blancheur laiteuse était veinée de bleu et ses gros tétons étaient encore mous, comme pas encore tendus par le plaisir. C’était curieux. Sa chatte dont la veille j’avais déjà pu observer l’abondante toison attirait mes doigts.
Je me devais cependant d’être prudent pour ne pas effaroucher sœur MARTHE qui, à un moment allait quand même s’apercevoir que nous faisions des choses défendues par son statut de religieuse et son statut de femme mature.
Je me mis à savonner son corps, commençant par son cou, ses épaules, son dos et descendant vers ses fesses. Elle se laissait faire !! Arrivé à ses fesses, je m’attardai longuement à sa raie, ouvrant bien pour un nettoyage complet. Sous mes doigts je sentis que sa forte toison pubienne remontait toute sa raie fessière. Je tournai ma main pleine de savon autour de son anus.
A un moment, elle me dit : « c’est gentil de bien me laver comme cela.. D’habitude, avec tous les linges, je n’y parviens pas. Nous ne devrons cependant rien dire à personne, car mon ordre interdit tout à fait la nudité des religieuses » Ou bien elle avait un sacré culot ou bien elle était conne. J’optais pour la seconde solution !!!!:
Je la retournai doucement et entrepris de laver le côté face ! Mes mains savonnaient ses seins et, sous mes doigts, je sentis les bouts se durcir.. Enfin une réaction sexuelle ! Je descendis sur son ventre et atteignis enfin sa chatte. Inutile de dire que j’entretenais une magistrale érection et qu’au fil de mes mouvements, ma verge dressée heurtait souvent le corps de la religieuse.
Lorsque mes doigts furent sur sa chatte, je crus éjaculer !! Je savonnais abondamment sa toison et, avec délicatesse je lui ouvris les lèvres pour découvrir son clitoris. Celui-ci était assez petit mais j’eus la surprise de le trouver bien dressé et dur. Sœur MARTHE me laissait toujours faire. Après avoir ainsi bien soigné son petit minou j’osais introduire deux doigts dans son intimité. Je n’allais pas loin car j’ai vite senti la présence encore très marquée de son hymen. Elle était encore vierge.
Sœur MARTHE s’était un peu courbée et regardait ce que je faisais. Elle me dit » Vous êtes certain que cela se lave à l’intérieur aussi ?? Lorsque je fais un petit besoin, j’essuie vite l’extérieur car cela pourrait me donner des mauvaises pensées ! » Ben, mince alors, elle n’avait jamais lavé son minou !! Faut le faire.
Je n’osai trop continuer car, malgré le savon abondant, je sentais bien sous mes doigts un autre liquide qui humidifiait ses parois vaginales.
Poliment, je lui demandai : » Sœur MARTHE, voulez-vous aussi me savonner ? » Elle répondit » Certainement » et se mit à me laver. Tout comme moi elle écarta mes fesses pour bien laver mon cul et, à cette occasion ses doigts heurtèrent mes testicules plusieurs fois. Arrivée devant, elle s’occupa de ma verge évidemment dressée comme si c’était un curieux objet ! Pour l’aider, je lui montrai comment décalotter le gland. Je le remis en place pour le lui laisser faire. Elle le fit, ma foi, très bien mais depuis le temps que je bande, je ne pus me retenir et j’éjaculais à longs jets dans sa main. Elle fut surprise et me demanda ce qui sortait ainsi. Je ne sus quoi inventer et lui dis » Quand les hommes sont contents, cela se passe comme cela » » Ah, me dit elle, je comprends.. pour les femmes c’est un peu pareil, quand j’ai des vilaines pensées il y a aussi un écoulement dans ma culotte « .. Eh ben mon vieux, il faut le faire !!
Comme je débandais, elle me dit : « Tiens cela se dégonfle après ! » Fallait être gonflée…
Nous sommes sortis de la cabine de douche et, comme la veille, nous nous sommes essuyés mutuellement. Elle s’amusait à me décalotter plusieurs fois le gland, ce qui ranima mon ardeur. Comme elle se baissait pour essuyer ses jambes, elle m’offrit son cul poilu bien ouvert entre ses fesses. Je ne pus résister à cette vision et poussais ma verge bien fort vers cet orifice. J’étais presque pénétré lorsqu’elle me dit : « Non, non, pas là.. C’est sale cet endroit.. » Je lui rétorquai que je venais de le laver extérieurement mais qu’il fallait absolument le nettoyer intérieurement aussi. Elle ne répondit rien, subissant ma pénétration comme normale. Elle était toujours courbée vers l’avant et, d’une main je m’étais agrippé à ses hanches tandis que l’autre virevoltait de ses seins à son clitoris. Je sentis bien son bassin bouger, elle prenait donc du plaisir…
Je ne voulus pas jouir en elle et retirai ma queue peu avant. Je redressai sœur MARTHEet, la tournant vers moi, je jouis abondamment sur elle, salissant les poils de sa chatte. Je lui dis : » Merci, vous voyez comme vous m’avez rendu content. »
Elle observait mon sperme répandu sur elle et en prenant un peu sur ses doigts, elle le porta à son nez. Elle me dit » Comme cela sent bon… j’ai été aussi contente, touchez-moi là (elle me montrait son entrejambes), vous allez voir « . J’y portai les doigts et constatai qu’en effet, une abondante jouissance avait coulé de son minou, jusqu’au long de ses cuisses.
Pour elle être » contente » c’était jouir comme une salope ! cela simplifiait le vocabulaire !!
Je restai longtemps à jouer avec et dans sa toison, allant avec mes doigts jusqu’à la limite de sa virginité. Sœur Marthe se collait maintenant à moi et j’avais sa poitrine collée à la mienne. Je n’osais l’embrasser sur la bouche car je ne savais pas quoi inventer pour justifier cela. C’est elle, qui d’elle-même m’embrassa la joue en me disant » Merci, c’est très agréable avec vous. Vous êtes tellement gentil et serviable. Je croyais que c’était mal lorsqu’un homme et une femme se voyaient nus, mais avec vous, c’est si gentil que cela ne peut être qu’admis «
A part que je l’avais enculée et fouillé sa chatte !!!!
Je l’aidai à se rhabiller, profitant encore de cette intimité pour effleurer ses seins dont les pointes étaient maintenant bien dressées..
Elle remit sa coiffe cachant ses cheveux, ses moches bas, et me quitta sur un » A demain « .
Evidemment, à demain, il faudra bien continuer le travail d’initiation… et puis, il y a les autres sœurs …
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