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baisé dans le bus début l’aéroport par un inc

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J’ai toujours été très attiré par les femmes jeunes, mais il est à noter que depuis trois ou quatre ans, 3 des femmes qui me donnent le plus de plaisir, tournent plutôt autour de la cinquantaine et l’une d’entre elles, vient même de fêter ses 68 ans ! Ma copine, n’a même pas encore 30 ans, mais c’est une jeune femme exceptionnellement belle et nous sommes très amoureux l’un de l’autre. Malheureusement, je n’ai jamais été fidèle, et ça, aussi loin que remontent mes souvenirs.

Le sexe a toujours été pour moi, une sorte de compensation, une facilité à passer un moment agréable ; et je n’ai jamais eu aucun tabou, avec aucune des femmes que j’ai baisées. Et puis, il y a environ deux ans, par le plus grand des hasards, j’ai eu cette première expérience avec le chien de mes amies. Expérience renouvelée quelques jours plus tard. Puis cette rencontre aussi improbable qu’inattendue avec deux transexuelles, cette aventure sur les quais, un soir avec un vieux monsieur et son chien et enfin ce vieux que j’ai baisé pendant son sommeil il y a quelques mois.

Toutes ces histoires sont vraies, et toutes ont été publiées sur ce site. Tout cela pour vous dire, que depuis cette première expérience, je me suis posé beaucoup de questions sur ma sexualité, mais bon le temps a passé et je fais avec… Ce qui m’amène à présent, à vous raconter cette nouvelle histoire, telle que je lai vécue il y a quelques semaines. J’étais en route pour l’aéroport et pour une fois, j’avais décidé de laisser ma voiture et d’y aller en bus. Gain de temps assuré, me suis-je dit… J’avais 4h devant moi, il était 18h et à cette heure-ci, il n’y a pas beaucoup de circulation sur ce trajet.

Me voilà donc dans le bus, qui en revanche lui, était bondé. Les gens rentraient et sortaient en se frottant les uns aux autres. Je n’étais pas habitué aux transports en commun, mais cela ne semblait déranger personne. J’ai enfin trouvé non sans mal, une place debout, presque au fond contre une fenêtre, le chemin étant assez long, autant ne pas être trop dérangé. Au premier arrêt, et malgré ce mouvement de foule, une femme avait réussi à se glisser devant moi. Elle était si collée, que je pouvais même sentir ses fesses contre ma braguette. Presque au même moment, j’ai senti quelqu’un collé derrière moi.

Et bien comme ça au moins, je suis bien calé, pensais-je, en riant de moi-même, et le bus de démarrer. Les va-et-vient de la circulation et les freinages fréquents, commençaient à me mettre dans l’embarras, car j’avais peur que la femme devant moi, s’aperçoive que je commençais à bander. Mais cette femme d’une bonne cinquantaine d’années, ne semblait pas gênée le moins du monde de cette situation. Peut-être, elle ne me sentait même pas d’ailleurs, ou simplement habituée et blasée de cette promiscuité dans les bus, aux heures de pointe.

En revanche, c’est moi qui ai été plutôt gêné, quand j’ai senti que mon voisin collé derrière moi, ressentait la même chose. Je n’ai pas osé me retourner, pour voir même, à quoi il ressemblait, mais j’ai bien senti sa queue qui frottait entre mes fesses. Je n’ai pas osé bouger, car la sensation de ma queue qui glissait elle aussi, entre les fesses de ma voisine de bus, était très agréable et puisqu’elle ne disait rien, autant en profiter. J’ai également pensé que l’homme qui était derrière moi, serait sans doute gêné et qu’il bougerait à la première occasion.

Elle et moi, étions accrochés par la main droite à une poignée suspendue, mais plus les minutes s’égrenaient, plus je bandais et je commençais vraiment à être gêné. De toutes manières je ne pouvais pas bouger car le bus était archicomble, mais tout comptes faits, ça, m’arrangeait bien. Un coup de frein un peu plus fort que les autres et j’ai senti la queue de mon voisin, qui me rentrait presque dans les fesses et l’homme de se ratt****r à moi, une main au ventre et l’autre carrément sur ma queue.

Ooops ! Je suis désolé, me dit-Il d’un ton peu convaincant.
Je lui ai simplement souri, pour seule réponse, lui faisant comprendre que ce n’était pas très grave.

Mais je m’étais bien rendu compte, qu’en s’accrochant à moi, il en avait bien profité pour serrer ma queue entre ses doigts. Une bien étrange sensation, qui ne m’avait d’ailleurs pas laissé insensible. Cette fois ce n’était pas cette femme qui me faisait bander davantage, mais le fantasme de ce quinqua derrière moi, qui prétextant les aléas de la circulation, continuait de frotter sa bite entre mes fesses. J’étais un peu embarrassé, car j’avais peur des regards, mais à vrai dire, j’étais surtout troublé par cette sensation. Et puis il y avait tellement de monde, que personne ne faisait attention à personne. Il s’était bien rendu compte qu’il avait provoqué une réaction, et que surtout je n’avais pas réagi.

Ses frottements devenaient de plus en plus intenses et de plus en plus assumés. Je sentais bien que sa queue était devenue plus dure et qu’il appuyait de plus en plus sur mes fesses, et je dois avouer que ce jeu m’excitait fortement. Puis, sans aucun coup de frein, sans aucune raison, j’ai senti sa main gauche, donc du côté vitre, qui caressait ma hanche gauche. Après quelques secondes d’hésitation, sans doute pour tester ma réaction, il est descendu jusqu’à mon bas-ventre, et s’est mis à le caresser lentement, tout en appuyant encore plus fort, sa queue sur mon cul.

Wow ! J’étais comme pétrifié. Comment était-il possible que ces choses là arrivent dans un bus, mais surtout que ça m’arrive à moi… Je n’osais rien dire, rien faire. Qui ne dit mot consent ! Avait-il fait sienne cette maxime ? Toujours est-il que mon voisin de bus, et sans doute encouragé par mon mutisme, avait fait glisser sa main gauche, du bas ventre à ma braguette. Il en était à présent à caresser ma queue, qui n’avait pas tardé à réagir et le salaud l’avait bien senti, car il n’arrêtait pas de la toucher de bas en haut. Que faire ? Tourner la tête et lui dire d’arrêter ? Changer tout simplement de place ? Ou ne rien dire, et laisser cet inconnu, s’occuper quelques minutes encore de ma queue.

Personne ne faisait cas de nous, et moi j’étais follement excité de cette situation, qui était vraiment surréaliste. Le type se frottait de plus en plus sur moi, et je pouvais sentir cette queue bien dure, qui ne demandait qu’à traverser mon pantalon. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment-là, je n’ai pas pu m’empêcher d’onduler un peu mon cul, comme pour mieux tenir sa bite entre mes fesses et l’inviter à continuer. Sa réaction ne s’est pas faite attendre, il a immédiatement poussé très virilement son membre sur mon cul, en se baissant en peu, car j’ai senti son gland pousser sur mon anus. Je restais dans mon silence, mais j’avais doucement guidé sa main dans ma braguette, que j’avais préalablement et discrètement, pris soin de descendre.

Immédiatement il s’engouffra et se saisit de mon gland. Huuuum comme c’était bon, sa main était bouillante et elle avait immédiatement trouvé ma queue, car je ne porte jamais de caleçon. Il la caressait lentement, en prenant bien soin de passer entre mes jambes, afin de bien triturer mes couilles. J’étais excité comme un fou, et ma bite était dure comme du bois. Personne ne pouvait nous voir dans la position où nous étions et à l’arrêt suivant, la femme devant moi est descendu. Dommage, le type derrière moi m’avait tellement excité, que je l’aurais bien baisée, d’autant qu’elle s’était aperçu de notre manège et qu’elle n’arrêtait pas de se frotter elle-même à moi, comme pour m’exciter davantage.

Plus beaucoup de monde dans le bus à présent, car le prochain arrêt allait être le dernier avant l’aéroport, et à partir de là, plus que 20 minutes. Après ce dernier arrêt, nous n’étions plus qu’une petite dizaine, et tous bien sûr, en direction de l’aéroport. Tout le monde était occupé avec son Smartphone ou à somnoler, sauf nous, qui étrangement et bien que le bus soit quasiment vide, étions restés à la même place. Mon voisin était resté collé sur mes fesses et sa main dans ma braguette. Plus tranquille à présent, il avait sorti ma queue de mon pantalon et me branlait sans vergogne, mais personne ne pouvait nous voir.

Le plus étonnant, était que soit par timidité, soit par gêne, à aucun moment je ne m’étais retourné pour voir à quoi ressemblait mon « toucheur », mais une chose est certaine c’est qu’il me faisait du bien et finalement, j’avais préféré garder cette distance et cet anonymat, pour mieux profiter de ce moment. À plusieurs reprises j’avais dû bloquer sa main pour ne pas éjaculer et j’avais pris le parti de profiter de ce moment. J’avais alors moi aussi, baissé son zip et sorti sa queue de son caleçon, et nous nous branlions simultanément, sans se regarder, l’un derrière l’autre. Putain que c’était bon et excitant. Encore une petite quinzaine de minutes avant la fin de cette drôle d’aventure, me disais-je intérieurement.

Et puis je l’ai senti décrocher ma ceinture et mon pantalon est tombé directement à mes chevilles. Je n’ai pas bougé, j’en avais des frissons. Cette excitation de sentir une queue dans ma main et une main sur la mienne, et à présent mon pantalon au sol, c’était juste incroyable, car n’importe qui aurait pu se retourner c’est vrai, et à n’importe quel moment, mais tout le monde était beaucoup trop affairé à ses petites occupations. J’avais du mal à contrôler ma respiration et à avaler ma salive. Il avait une belle queue de bonne taille, mais pas énorme non plus, juste ce qu’il fallait pour ne pas être complexé et je n’arrêtais pas de le masturber.

Après une ou deux minutes, j’ai senti que son doigt tournait autour de mon anus, j’ai eu un sursaut tellement ça m’avait excité, j’ai même écarté un peu mes fesses en me pliant un tout petit peu, comme pour mieux le laisser passer. Il avait compris et je l’ai senti abondamment mouiller son majeur avec sa salive pour mieux me rentrer dedans.

Bouge pas je vais te faire du bien.
J’ai entendu enfin pour la première fois le son de sa voix, mais je n’ai pas répondu et je l’ai laissé faire. Il a retiré sa bite de ma main, écarté mes fesses et j’ai senti sa queue, qui essayait de se frayer un chemin en direction de mon petit trou. J’en avais le souffle coupé et j’avais l’impression d’avoir de la fièvre tellement j’étais chaud.

Noooon ce n’est pas possible pas ici. N’importe qui pourrait nous voir.
Je pense qu’il a réalisé, et il m’a tiré un peu en arrière pour m’installer sur la grande banquette du fond. À ce moment-là tout est allé très vite. Une fois que j’étais assis, il s’est mis à genoux devant moi, et caché par les fauteuils, et il a commencé à me faire une pipe magistrale. Avec une main il malaxait mes boules, et avec l’autre il tenait la base de ma queue. Puis il gobait la base de mon gland et titillait et aspirait mon prépuce avec sa bouche et avec sa langue. C’était monstrueux de plaisir ! Et ce plaisir été décuplé car je voyais les gens devant moi, qui eux ne pouvaient pas me voir et pendant ce temps, un type à genoux devant moi et que je ne connaissais pas, me suçait divinement bien.

J’étais assis les cuisses ouvertes, offert comme une salope, et au bout d’un moment j’ai tout laissé partir et j’ai explosé dans sa bouche. C’était trop fort, mais le salaud a tout gardé pour lui et à continué à me pomper pendant que je saccadais dans sa bouche.

Ouiiiiiiiii c’est boooooooon arrête pas.
Lui disais-je doucement en le tenant de chaque côté de sa tête, pour bien orienter ma queue, au fond de sa gorge. Il a gardé ma queue toute entière au fond de sa bouche pendant tout le temps qu’à duré mon orgasme. Quand ça a été terminé, il a pris ma place et sans même échanger un simple mot, j’ai commencé la même chose. J’ai pris sa queue dans ma bouche, et je l’ai sucé et sucé encore jusqu’à ce que sa bite soir tendu comme un arc.

Je me suis alors redressé discrètement, me suis retourné, et lui ai proposé mes fesses. Je n’en pouvais plus, j’avais vraiment trop envie de me faire prendre. J’ai sorti un préservatif de ma poche, et il se l’ai mis en une fraction de seconde. J’ai alors craché sur sa queue plusieurs fois, et de nouveau, je lui ai présenté mon cul.

J’ai bien écarté les cuisses, en prenant appui sur le dossier du fauteuil qui était devant moi, et je me suis empalé doucement, sur sa bite qui se tenait droite comme un i. Il avait pris soin de bien écarter mes fesses, pour que sa queue rentre bien au fond. J’ai mis environ une minute pour être complètement pris et sentir ses couille sous mon cul. Et là, wow ! Ça a été un feu d’artifice. Il me tenait virilement par la taille et m’imprimait ses va-et-vient. J’étais très excité est à présent complètement dilaté et surtout mouillé, son membre coulissait en moi, c’était vraiment un truc de fou.

Je bandais encore c’était trop excitant. Il m’a piné comme ça, pendant 10 bonnes minutes et je sentais sa queue grossir de seconde en seconde. Il ne restait plus que quelques minutes avant d’arriver à l’aéroport, et je voulais absolument jouir une fois de plus, pour ne pas perdre ce moment, et à peine quelques secondes après, j’ai senti qu’il serrait ma taille très fort et que ça y est il allait venir en moi. J’ai alors accéléré un tout petit peu mais va et vient, et tout d’un coup j’ai senti qu’il expulsait tout son sperme bouillant. Cette sensation, ne m’a laissé aucun répit, je me branlais comme un fou pendant qu’il m’enculait, et j’ai immédiatement éjaculé devant moi. Plusieurs jets ont tapissé le dossier du fauteuil sur lequel je m’étais appuyé, tant-pis…

Discrètement sans faire de bruit, on s’est rhabillé, on a pris notre sac et quitté le bus sans même se dire un mot. Et ça s’est passé exactement comme ça. Une sacrée aventure que je ne suis pas prêt d’oublier.

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