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Cousins…, cousines, tante ( 8)

Cousins…, cousines, tante ( 8)



Ma tante Nath se versa une autre lampée de gin et continua sa saga sexuelle…
– Cela faisait presque une semaine que ton père et moi batifolions dans la cabane ! .. J’allais sortir de la maison, rejoindre ton père, quand ta mère me questionna : « Tu vas où ? Tu ne veux pas venir avec moi à la cabane, j’ai envie de bouquiner… » .. Ma langue tourna sept fois dans ma bouche avant de répondre : « Non…, je dois aller voir une copine… » .. Ma sœur, déçue, rentra aussitôt et je pus rejoindre mon amant dans le petit bois… .. À peine allongée, il me retira ma culotte, retira son pantalon et son slip, et me demanda une fellation… ! .. Gênée par la demande osée, je lui signifiai que je ne voulais pas… .. Alors, il me fit écarter les cuisses, et tout en me faisant remarquer que lui, n’avait pas honte de me lécher, colla sa bouche sur ma chatte et me pénétra d’une langue chaude, humide et serpentine ! .. Il me pénétra l’anus de son majeur, tandis que son autre main se colla sur mon clito en le malaxant comme de la pâte à modeler ! .. Dès ce moment, mon esprit vacilla et, tout en lui caressant les cheveux, j’accompagnai le mouvement de ses lèvres sur ma vulve enflammée et dégoulinante de mouille ! .. La sodomie qu’il me procurait avec son doigt, finit par me faire pisser d’extase, les orgasmes se suivaient et se prolongeaient de plus en plus… .. Maintenant, la cabane et le bois en entier, étaient emplis de mes gémissements à peine contrôlés ! .. Je lui avais menti…, rien ne me faisait plus envie que d’être une femme sexuellement accomplie et lui sucer le sexe en faisait partie… .. Sa queue, complètement congestionnée, dépassait longue et imposante sur le côté de son bassin et l’envie me prit d’un coup de le satisfaire afin de lui rendre la gentillesse qu’il venait de me procurer ! .. Le tirant par les cheveux, je décollai ses lèvres brûlantes de ma chatte, lui murmurai : « Mets ta grosse bite dans ma bouche, je vais te sucer… » .. Affolé, ton père s’allongea sur le dos, plia ses jambes, colla ses genoux sur son ventre, comme l’aurait fait une femme pour se faire prendre en missionnaire… .. Au début, étonnée, j’hésitai…, puis je compris, qu’ainsi, il dégageait tous ses atouts, et même son anus. .. Ses breloques me semblèrent encore plus énormes… .. Je me mis à quatre pattes devant lui, saisis sa grosse saucisse et commençai à lui lécher son gland ! .. Puis, l’envie me prit de descendre sur ses testicules… .. Il m’agrippa la tête à deux mains, et la poussa plus bas… .. J’étais vierge et innocente…, mais pas au point de ne pas comprendre ses doléances… .. Ma langue glissa des couilles à son anus, et réussit même à y pénétrer… ! .. Son souffle était court et ses grognements, me faisaient penser à une basse-cour, un jour d’abattage général. .. Enfin, je me décidai à faire glisser ma baveuse jusque son bout et de faire ce qu’il attendait de moi… .. Je fus, un instant, tétanisée par l’ampleur qu’avait pris sa bite grâce à mon intervention sur son cul… .. Pourtant, je n’en étais plus, maintenant, à ma première branlette…, mais là…, « chapeau », son sexe turgescent, me fit penser, un moment, qu’il ne rentrerait jamais dans ma bouche…, ou alors, avec un chausse-pied ! .. Son gland, complètement décalotté, présentait à sa basse un bourrelet énorme et violacé, entièrement barbouillé d’une pommade visqueuse et opaque… .. Il m’avait déjà expliqué que ce n’était que du pré sperme, prémices à l’arrivée des grosses giclettes… .. Je fermai les yeux et l’instrument glissa dans ma bouche… .. Il se cabra, poussant lui-même son opinel contre mes amygdales en vociférant des infamies… .. Il me lâcha la tête, afin que je donne libre cour à ma libido… .. C’est à ce moment là que la porte s’ouvrit avec fracas… .. Ta mère apparut à contre jour et, n’osant retirer ma bouche de peur qu’elle ne voie ce que je mâchonnais, je la cachai complètement au fond de ma gorge…, naïve… ! .. Passant derrière moi, elle put admirer que je ne portais pas de culotte et que ma vulve était trempée comme une limace sous un orage… .. Elle ne dit mot, prit une bande dessinée et s’installa sur la couche près de la nôtre… .. Si je n’avais pas eu la bouche pleine, je lui aurai signifié d’aller plus loin, ou même de partir…. mais bon, si ça ne la gênait pas…, moi non plus… .. J’essayais maintenant de le sucer du mieux que je pouvais…, c’était ma première et je dois avouer que c’était moins évident que cela n’y paraissait… .. De temps à autre, je devinais le regard de ma sœur, biaisant de côté, afin de se rincer l’œil… .. Cela devait faire bien une demi-heure que j’œuvrais et toujours pas d’éjac…, mais bonne ouvrière, je continuais… .. Dès le début, j’avais opté pour que ses couilles ne se vident pas dans ma bouche…, du moins, pas la première fois…. il m’aurait prise pour une grosse salope ! .. Tout à coup, mon œuvre fut stoppée par le grognement de ma frangine… .. Elle jeta son livre, me poussa sur le côté en m’arrachant la queue de ton père… .. Elle prit ma place entre ses jambes et avant de s’empaler la bouche sur sa bite tendue à l’extrême, me sermonna : « À ce rythme là…, dans une semaine, il n’aura toujours pas craché…, le pauvre !!!…
– Ton père et moi étions complètement abasourdis par son comportement… .. Elle branla un moment l’énorme sexe et l’engloutit… .. Il hurla aussitôt et, les yeux rivés sur la bouche de ta mère, gloussa comme une dinde qu’on trousse avant de la mettre à rôtir… .. Les gestes de ma sœur étaient précis, ses lèvres glissaient comme des patins à glace, une main lui malaxant les pruneaux, tandis que l’autre accompagnait sa bouche dans un ballet des mille et une nuits… .. Son mouvement en colimaçon fit très vite aboyer le mâle… .. Ma sœur le retira de sa gorge et me le tendit… .. Le gland avait à peine atteint ma luette que son propriétaire m’encercla la tête de ses mains, et propulsa sa bite contre le fond de ma gorge… .. Un tsunami de jus de couilles m’envahit la bouche, incapable d’avaler assez vite toute cette aubaine que m’adressaient ses gonades hystériques et pleines à craquer… .. Étouffant sous l’afflux bienfaisant, respirant par le nez, deux énormes guirlandes me giclèrent des naseaux et atterrirent sur le ventre du Monsieur… .. Après plusieurs salves, il me relâcha et je pus enfin respirer normalement… .. Ne sentant plus rien venir et, voyant que ton père ne grognait plus, je ressortis l’outil procréateur de ma bouche et le regardai, hagarde. .. Ta mère, entre temps, avait repris son bouquin et, comme si rien n’était, lisait à trente centimètres de la bite qui venait de cracher et que je tenais encore en main… .. Agacée, ta mère me fit remarquer que je devais la lui nettoyer avec la bouche et récupérer tout ce qui avait dégouliné hors de mes lèvres… .. J’obéis et cela refit grogner ton vieux… !
– À partir de là, ton père n’eut d’yeux que pour ma sœur, sentant sûrement tous les bienfaits que pourrait lui procurer la bouche et le corps d’une femelle plus âgée et expérimentée. .. Tout en parlant avec elle, les doigts de mon amant me frottaient la vulve, me mettant dans l’embarras vis-à-vis de ta mère… .. Impossible de lui cacher ma jouissance, mon bassin se soulevait et ma chatte arrosait les doigts coupables par de larges jets de mouille… .. Ma sœur se leva, pensant que, gênée, elle allait partir, je fus sidérée par ce que je n’osais croire. .. Elle se déshabilla le bas, montrant à mon mec sa chatte plus velue que la mienne… .. Elle rapprocha de ton père son bas-ventre et lui demandant si elle lui plaisait, s’allongea près de moi et ramena ses jambes, comme moi, sur sa poitrine, s’offrant sans vergogne au regard de mon amant… .. Elle m’embrassa comme un garçon, passant la langue, puis me susurra : « On se fait dépuceler en même temps, petite sœur…, nous n’allons pas rester pucelles et rater ce qu’il a entre les jambes… ».
– Excité comme une puce, ton père commença à nous lécher la chatte et l’anus sans aucune retenue et à tour de rôle. ..Ta mère voulut passer en premier, pour me montrer que ça ne faisait pas mal… .. Il se plaça à l’entrée de son vagin et je vis le monstre se faire engloutir…, il était énorme… .. Ma sœur avait beau serrer les dents, les allers et retours de l’étalon ne la laissaient pas de glace, elle miaulait de plaisir et de douleur… .. Elle attira ma bouche et me roula un patin chaud brûlant, tandis que son autre main, passant sous ses cuisses, allèrent choper les grosses boules qui se balançaient d’avant en arrière, se claquant avec bruit, sur son cul grand ouvert… .. Elle décolla sa bouche de la mienne pour me commander : « Va…, il est prêt à cracher…, ne fais pas perdre cette manne…, on en boit jamais assez… »
– J’eus à peine le temps de m’approcher de leur bas-ventre que le gland sortit de la trousse dépucelée et se dirigea vers mes lèvres… .. La première salve me barbouilla le nez, mais tout le reste dégoulina au fond de ma gorge… .. Repu, ton père s’étala sur ta mère pendant qu’elle me nettoyait le nez à grands coups de langue… .. Nous le laissâmes reposer un peu, puis ce fut mon tour… .. Ta mère me lécha abondamment le cul et la chatte, puis suça et saliva sur le gland, et enfin, je sentis l’homme m’arracher l’hymen… .. Lorsque je sentis ses couilles sur mon cul, je compris que j’étais femme… ! … Après un petit moment, il fit signe du regard à ta mère et cette dernière se pencha sur nous pour engloutir sa bite et le sperme qui s’en échappait… .. À partir de ce jour, ton père n’avait de sentiments que pour ta mère…, quelques années plus tard, ils se marièrent et tu es née… ! .. Bon allez, on ramasse ta cousine et au dodo !
Elle m’aida à la mettre sur mes épaules, c’était une fausse maigre, je remerciai le seigneur de ne pas lui avoir encore donné ses nichons. Tatie ouvrit la porte de la chambre de sa fille et me souhaita bonne nuit. Je la fis tomber sur son matelas et, au moment où j’allais partir, elle m’agrippa les testicules en marmonnant : « Tutute, donne tutute… »
Elle m’approcha de sa bouche et mon gland encore congestionné par l’histoire de ma tante, disparut dans sa bouche… Elle commença à me mâchonner comme une véritable tétine… Et l’irréparable se produisit. Retenant mes gémissements, mon sperme gicla dans sa gorge et ma cousine but d’une traite, jusqu’à plus soif. Devinant que le tuyau était à sec, Rebecca arrêta de téter et s’endormit comme une bienheureuse. J’essayai, sans me faire rayer le casque, de ressortir du paradis, ma bite toujours en érection, quand la voix de ma tante m’interpella du fond de la salle de bains :
– Ça va aller…, tu veux un coup de mains ?
Perplexe et toujours coincé, moi :
– Euh…, non, non, tat…, euh, Nath, ça va aller… !
Je finis par regagner ma chambre, toujours en érection, la tête remplie des histoires de ma tante…, et de la bouche de ma cousine.

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