Blanche n’en peut plus des humiliations qu’elle subit chaque jour depuis que son père s’est remarié avec cette espèce de vieille sorcière. Elle les quitterait bien pour aller vivre sa vie ailleurs, mais le problème c’est que sans travail et sans argent elle est réduite à servir de bonniche à sa belle-mère. Alors pour oublier ses soucis, comme chaque matin, elle part courir dans la forêt.
Ses cheveux noirs attachés en queue de cheval, une brassière de sport serrant ses petits seins et un leggings moulant son beau petit cul, elle court sans savoir où elle va. Elle s’écarte du chemin, part à l’aventure. Et au moment de faire demi-tour elle s’aperçoit qu’elle est perdue.
Elle ne s’inquiète pas plus que cela et cherche à revenir sur ses pas. Mais le temps passe et elle doit se rendre à l’évidence : elle ne sait pas dans quelle direction aller. Essayant de ne pas céder à la panique, elle observe les alentours et finit par apercevoir entre les arbres ce qui semble être un morceau de tissu de couleur vive. Elle s’approche et découvre un campement de fortune installé dans une petite clairière. Des cabanes faites de matériaux de récupération et quelques tentes aux toiles usées occupent l’espace, du linge sèche sur des fils tendus entre les troncs.
Personne en vue. Blanche jette un œil dans les tentes, explore les cabanes, se demande qui peut bien vivre ici dans de telles conditions. Mais lorsqu’elle ressort à l’air libre elle tombe nez à nez avec un groupe d’hommes. Ils sont sept. Sept grands blacks qui la dévisagent en silence.
SDF ou migrants, elle ne sait pas ce qu’ils sont exactement, mais comme ils montrent plus de curiosité que d’agressivité en l’observant elle leur adresse un petit signe amical de la main. Ils ne bougent toujours pas et, pour mettre fin à ce silence gênant, Blanche prend la parole. « Excusez-moi je ne voulais pas être indiscrète en entrant chez vous, je pensais que c’était abandonné… Écoutez, je n’ai rien sur moi mais si je peux faire quoi que ce soit pour vous avant de repartir… » Les hommes se regardent et échangent un sourire entendu. Le premier s’avance vers elle en abaissant son pantalon de survêtement crasseux et dévoile sa bite déjà dure. Elle pousse un petit cri, choquée, mais plus par la taille imposante du membre en érection que par l’attitude de l’homme. Elle saisit à pleine main cette grosse queue noire et commence à la branler, un sourire gourmand sur le visage. Mais déjà un autre lui présente sa bite, encore plus longue et tout aussi dure. Occupée à branler les deux chibres, elle se laisse caresser par le reste du groupe et bientôt elle se retrouve les seins à l’air et la culotte sur les chevilles. Des langues titillent ses tétons, des mains palpent ses seins et son cul, des doigts se glissent dans sa fente et son anus. Ils l’entraînent vers la cabane la plus proche, l’un d’entre-eux vient s’allonger sur un matelas à la propreté douteuse et invite Blanche d’un geste à s’empaler sur lui. Ce qu’elle fait en gémissant de plaisir. Une main ferme la courbe en avant et elle sent une queue forcer lentement son petit trou. C’est une nouveauté pour elle d’avoir deux bites qui lui pilonnent les trous en même temps, qui la remplissent entièrement, mais elle est fière d’encaisser bravement les grands coups de queue qu’ils lui donnent. Elle a envie de crier son plaisir, et elle le ferait bien sûr si sa bouche n’était pas elle aussi remplie par une queue épaisse qui s’enfonce loin en elle.
Ayant perdu toute notion du temps qui passe, Blanche se fait baiser sans aucun ménagement par les sept inconnus. Ils ravagent tous ses trous et à chaque fois que l’un d’entre-eux se vide les couilles, un autre vient prendre sa place.
Soudain elle constate qu’elle est seule sur le matelas tâché. Les hommes sont enfin sortis de la cabane et elle les entend qui discutent au-dehors sans qu’elle comprenne vraiment ce qu’ils se disent. Étendue sur le ventre, couverte de foutre de la tête aux pieds et ayant l’impression que jamais son vagin et son anus ne reprendront leur diamètre normal, elle prend une décision : elle va oublier son père et son épouse tyrannique, elle va disparaître et s’installer ici avec ces hommes qui lui ont fait découvrir des plaisirs dont elle ignorait l’existence.
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