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Chroniques d’un parc public – partie 2

Chroniques d’un parc public – partie 2



A la venue de l’automne et de l’hiver, dans le parc, il y a moins de monde. Il n’y a plus de femmes en tenues légères, plus de jolies cuisses à regarder, plus de décolletés à mater le long des allées.
Cependant, des possibilités s’offrent toujours.

Sur les parkings, par exemple, des couples continuent de se garer en fin de journée. Des vitres passagères se baissent, malgré le froid, et des femmes sucent les queues qui se présentent à elles, mais elles ne se dénudent pas entièrement. Ce n’est pas pour me déplaire.
La dernière en date, il y a quatre jours, s’appelait Anaïs. Elle avait une petite trentaine et portait un luxueux manteau en fourrure dans les tons roux. Dessous, un soutien-gorge et une culotte noirs, transparents, et une paire de bas assortis. A l’arrière-plan, côté conducteur, son compagnon se branlait en la regardant sucer des bites et se prendre des giclées de sperme sur les joues ou sur ses sous-vêtements.

De même, dans le bloc sanitaire abandonné, des hommes mûrs ont le plaisir de retrouver Kim, cette jeune asiatique mystérieuse à qui il arrive de venir accompagnée d’une autre étudiante, blonde et boulotte, qui aime se prendre des bites dans le cul. Toutes deux gardent ce qu’elles ont sur elles au cours des actes, à l’exception des parties qui les intéressent. Elles ne mettent pas de culottes sous leurs manteaux.
Cependant, la petite blonde est moins frileuse que la belle asiatique, et, tout récemment, je l’ai enculée tandis qu’elle ne portait qu’un soutien-gorge rouge qui n’empêchait pas ses gros seins de se balancer sous les coups. Ses doigts étaient néanmoins très froids sur ma queue lorsqu’elle se mit à la branler pour me faire éjaculer à la jonction de ses nichons.

Les criques au bord du lac sont désertes, mais il y a d’autres endroits du parc dont je ne vous ai pas parlé dans la première partie de mon récit.
Les blocs sanitaires fonctionnels, par exemple.
Ce lieu est le favori d’un couple : Corinne et Laurent.
Ils ont la quarantaine, c’est-à-dire à peu près mon âge. Presque tous les samedis soir, ils entrent dans le compartiment réservé aux hommes et n’en ressortent pas avant une bonne heure.
Leur truc est simple : aux hommes qui sont sur place à l’attendre, et tout en ouvrant son manteau, Corinne se dit navrée de s’être trompée de compartiment. Ensuite, elle finit d’ouvrir le manteau afin que les hommes voient ce qu’elle porte dessous. En général, elle est en sous-vêtements. Elle varie les ensembles, les couleurs, les textures, mais, souvent, tout est transparent. Ensuite, elle laisse les hommes s’approcher d’elle, et c’est ici que Laurent sort sa queue et se branle en regardant sa femme se mettre à sucer dans cet endroit parfumé à l’urine et au reste.
Chacun son truc, me direz-vous. Mais j’admets avoir pris du plaisir à éjaculer au fond de la chatte de Corinne, plusieurs fois, tout en humant ces odeurs autour de nous.
Je dois admettre aussi que, samedi dernier, j’ai laissé Laurent me sucer la bite. Je venais tout juste de la ressortir de la chatte de sa femme. Il m’a regardé d’un air à la fois complice, à la fois très sérieux, puis il a tendu ses doigts vers mes couilles. Il les a d’abord effleurées, caressées, puis, voyant que je le laissais faire, il s’est mis à me les malaxer. Ensuite, il a approché sa bouche de mon gland, puis il m’a sucé. Pendant ce temps, tout près de moi, Corinne se faisait baiser par un autre homme. Je suivais des yeux cette bite qui allait et venait dans cette chatte, tandis qu’une langue très humide était en train de s’enrouler autour de mon gland. Il bavait dessus, tout en me touchant toujours les couilles, et moi je me surprenais à bander autant que si ç’avait été la langue d’une femme.
J’ai déchargé dans sa bouche.

De même, dans les clairières perdues au milieu de petits sous-bois, le froid n’empêche pas des femmes de venir se faire sauter par des hommes qu’elles connaissent plus ou moins.
Seules ou accompagnées, il y en a que l’on est à peu près certain de retrouver aux mêmes endroits et aux mêmes heures, sauf si vraiment il fait très mauvais temps. Ça ne dure alors jamais aussi longtemps qu’aux beaux jours, mais toujours suffisamment pour se faire plaisir. Le plaisir consistant pour ma part à mater, à me faire sucer, à pénétrer une chatte et à éjaculer en voyant d’autres hommes faire la même chose à mes côtés. Et ceci quel que soit l’âge des femmes en question, mais avec une nette préférence en revanche pour les plus jeunes que moi.

Dans ce registre-là, il y avait Kim et sa rondouillette de copine, une fois tous les quinze jours environ, mais il arrivait à d’autres étudiantes de venir trainer dans les secteurs où des rendez-vous avaient lieu.
Ainsi, un jour en plein hiver, il y a deux mois de ça, je me suis retrouvé nez à nez avec une assez jolie fille, toute vêtue de noir, dans un sous-bois de sapins. Il avait neigé quelques jours avant, et tout n’avait pas encore fondu. Et je me souviens du contraste que j’ai perçu immédiatement, entre la neige qui persistait au sol et la tenue aux dominantes sombres de l’étudiante qui s’est arrêtée de marcher à quelques mètres de moi en me voyant.
Je me suis dit aussitôt : une gothique.
J’en avais déjà croisé quelques-unes aux abords de la fac ou dans les rues du centre-ville, et je m’étais toujours étonné de leur accoutrement : manteaux noirs, pantalons noirs moulants, grosses godasses noires, cheveux noirs, t-shirts noirs à têtes de mort, etc. Sans compter la collection de piercings que celle-ci avait réparti sur son visage, au bord de ses oreilles, et le nombre de grosses bagues à ses doigts.
En la voyant, je lui ai donné 20 ans.
Elle en avait 22.
Elle se faisait appeler Moon.
J’ai d’abord cru qu’on allait simplement se croiser en se saluant à peine, mais elle m’a demandé du feu et nous nous sommes mis à discuter, entourés de troncs d’arbres aussi sombres que ses vêtements.
Je n’ai jamais su son véritable prénom, et je ne l’ai vue qu’une seule fois dans le parc. Ceci dit, ce fut aussi le cas d’autres femmes qui sont venues baiser un soir et qu’on n’a jamais revues ensuite, soit parce qu’elles n’étaient pas d’ici, soit parce qu’elles avaient agi sur un coup de tête.
Ce qui se passait dans le parc se vivait au présent.
Jamais au futur.

Quand j’ai demandé à Moon si elle venait souvent ici, elle m’a répondu :
« Non, c’est la première fois. »
« Qu’es-tu venue faire ? »
Elle évitait mes regards :
« J’aime bien l’hiver, a-t-elle dit. Le froid, la neige, tout ça. »
J’ai répondu en souriant :
« Les chauves-souris et les vampires ? »
Elle a levé les yeux vers moi et dit :
« C’est ça. »
Je la dépassais d’une tête. Elle était mince, à vue d’œil, mais pas autant que la petite asiatique. Sous son manteau, je ne parvenais cependant pas à évaluer le volume de sa poitrine, ni la largeur de ses hanches. Mais son visage creusé et harmonieux laissait supposer qu’elle ne pesait pas 130kg.
J’ai repris le fil du dialogue :
« Tu as la peau très claire et des fringues noires, c’est étonnant. »
Elle m’a de nouveau regardé et dit :
« C’est un état d’esprit. »
« Ta peau claire, c’est un état d’esprit ? »
Elle a souri pendant une demi-seconde et répondu :
« Un état d’âme. »
Je n’ai rien dit. On a tiré sur nos cigarettes et, constatant qu’elle ne partait toujours pas en courant, j’ai décidé de griller des étapes en disant :
« Ta chatte est claire aussi ? »
Elle ne m’a pas regardé. Elle fixait autre chose avec ses grands yeux verts cernés de mascara, en tirant sur sa cigarette. Elle a soufflé sa fumée vers les arbres, puis répondu :
« Oui, je me rase à blanc. »
Et je me suis mis à bander par petits à-coups.
Je lui ai dit :
« On peut voir ? »
Elle ne s’est pas enfuie. Elle s’est contentée de me dire :
« Je peux finir ma clope, avant ? »
J’ignore ce qu’elle aurait fait si je lui avais répondu « non ». L’aurait-elle écrasée aussitôt sans l’avoir terminée ? Se serait-elle enfuie après m’avoir griffé le visage avec ses longs ongles de vampire ?
J’ai répondu :
« Bien sûr, tu peux la finir. »
Et j’en ai profité pour finir la mienne.

Je n’ai jamais revu Moon, mais je n’oublierai pas le moment où, après avoir jeté son mégot dans la neige, elle a déboutonné son manteau noir, puis défait sa ceinture et sa braguette avant de baisser d’un seul mouvement son pantalon et sa culotte noire jusqu’à mi-cuisses.
Sa chatte était lisse. Blanche comme du calcaire. De toutes petites lèvres serrées au creux de hanches parfaitement proportionnées. Elle m’a laissé y approcher mes doigts pour toucher. Puis je l’ai masturbée doucement. Elle ne m’a plus regardé à compter de ce moment-là. Elle n’a suivi que le mouvement de mes doigts, puis l’approche de ma queue, une minute plus tard.
Elle ne semblait même pas avoir froid et, au moment où mon gland a forcé l’entrée de sa chatte, je me suis demandé si je n’étais pas en train de baiser une goule, ou une autre sorte de créature sortie des bois.
Pourtant, Moon était normalement constituée. Je l’ai pénétrée comme on pénètre n’importe quelle autre fille ou femme : debout, son ventre tendu vers l’avant afin de faciliter la pénétration. Elle ne s’est pas branlée au cours de l’acte, elle s’est contentée de regarder ma queue qui allait et venait en elle, juste en gémissant doucement.
J’avais dû fléchir mes genoux pour me mettre à sa hauteur, puis enfoncer ma bite. Moon s’était contentée d’écarter légèrement ses cuisses, son pantalon sous ses genoux, son pull noir retroussé jusqu’au-dessus de son pubis. Je ne me souviens pas avoir giclé autant et aussi liquide qu’entre les cuisses de cette petite nana. Pourtant, je n’étais pas préparé. Je ne m’étais pas branlé et elle ne m’avait pas sucé. C’est venu comme ça : des jets de sperme presque aussi fluides que de l’eau de source. Tout a coulé le long de ses cuisses blanches, et elle n’a pas cherché à empêcher le sperme d’atteindre sa culotte et son pantalon baissés. Elle a laissé les choses se faire, sans rien dire, sans relever les yeux vers moi, y compris lorsque j’eus terminé. Elle a remonté sa culotte et son pantalon, reboutonné son manteau, puis elle m’a demandé de nouveau du feu. Je lui en ai donné et elle s’est enfuie tranquillement dans les bois.
J’ai cru que j’avais rêvé.

Le lendemain, en milieu de journée, dans un autre froid de canard, je me suis retrouvé nez à nez avec un homme dans les sanitaires publics. On s’est simplement salué. On s’était déjà retrouvé ici ensemble, une seule fois dans mes souvenirs, mais en présence d’autres personnes venues pour la même raison.
Cette raison s’appelait Kim.
Il neigeait un peu. Vraiment pas grand-chose.
L’homme m’a dit :
« Tu crois qu’elle va venir ? »
J’ai souri et répondu :
« Avec elle, on ne sait jamais. J’ai poireauté pour rien un paquet de fois, en hiver comme en été. »
Il a souri à son tour en disant :
« La petite garce. »
Puis il s’est mis à faire des pas sur le carrelage du bloc sanitaire, les yeux au sol. Il avait la cinquantaine. J’ignorais son prénom.
Je lui ai proposé une cigarette, mais il ne fumait pas. Je m’en suis allumé une et me suis rapproché de l’entrée pour jeter un œil dehors. Les flocons chutaient au ralenti entre les troncs et se posaient en silence sur les feuilles des ronces et des fougères cramées par le froid.
Quand je me suis retourné, l’homme me regardait.
Il m’a dit :
« Comment tu t’appelles ? »
« Antoine, et toi ? »
Il s’appelait Stéphane. D’une corpulence plus forte que la mienne, il était un peu dégarni et portait des petites lunettes.
Il a poursuivi :
« Tu l’as sautée plusieurs fois ? »
J’avais terriblement envie de baiser Kim. Ça m’avait travaillé pendant toute la journée. Il n’était pas rare que je me branle chez moi en pensant à elle, à son joli cul, au goût de son anus, à ses seins minuscules et aux giclées de sperme que j’avais eu plusieurs fois l’occasion d’expédier dans sa bouche ou ailleurs sur son corps.
J’ai fini de souffler ma fumée avant de répondre à Stéphane :
« Ouais. »
Il a dit :
« Quelle petite pute. Elle est capable de ne pas venir, avec ce froid. »
J’ai tiré sur ma cigarette et répondu :
« Elle est imprévisible. »
Il a grogné :
« Salope… »
Et je me suis de nouveau rapproché de l’entrée pour contempler la chute des flocons silencieux. Bon sang, ce cul. Bon sang, ces petits nichons. Bon sang, cette langue. Bon sang, le plaisir que j’avais à la voir sucer des bites et à se prendre des giclées. Elle adorait ça.
Dans mon dos, j’ai entendu Stéphane dire :
« Je ne l’ai même pas sautée, putain… J’ai déchargé dans sa bouche, rien qu’en la voyant branler une autre queue. La chienne… »
Je n’ai pas répondu.
A moi aussi, il était arrivé de ne pas avoir le temps de gicler en elle, tellement il était bon de la regarder sucer d’autres mecs ou se faire pénétrer, à poil ou à demi vêtue.
La dernière fois remontait à une semaine. Plus ou moins six jours. Dans le froid, j’avais déchargé dans sa bouche pendant qu’un type l’enculait en grognant des insanités.
Derrière moi, Stéphane a dit :
« La nuit va tomber. Elle ne viendra plus. »
J’ai répondu :
« Possible. »
Puis il m’a regardé, d’un air accusateur, et il a dit :
« Tu es plutôt masculin ou féminin ? »
J’ai fait :
« Quoi ? »
Stéphane a baissé les yeux un instant et dit :
« Dans tes trips personnels, il t’arrive d’être féminin ? »
Je n’ai pas répondu tout de suite. Je suis revenu aux flocons, qui s’intensifiaient ou qui se contentaient de prendre du volume. La nuit venait et on ne verrait sans doute pas Kim débarquer ce soir-là, avec son manteau en daim marron et ses bottes noires qui arrivaient au-dessus de ses genoux. Ses sous-vêtements dessous.
Je me suis tourné vers Stéphane :
« Pourquoi tu me demandes ça ? »
Il a souri en regardant de nouveau le sol, puis dit :
« Parce que, moi je suis masculin. Et je me disais que si par hasard tu étais féminin, on pourrait se débrouiller. »
« Se débrouiller comment ? »
Il s’est tourné vers moi :
« Ben, tu pourrais me sucer, comme une petite salope. Et puis on n’en parlerait plus. »
J’ai soupiré.
Les flocons étaient de plus en plus nombreux. Ils avaient pris la taille de plumes d’oies, et moi je bandais. Kim ne viendrait plus. C’était fichu. Le sous-bois devant moi s’assombrissait, et Stéphane avait prononcé des paroles qui me faisaient bander : « comme une petite salope ».
Alors je me suis retourné vers lui.
Il me regardait toujours, sans cesser de faire des va et vient d’un urinoir à un autre. De multiples fois, dans ma vie, je m’étais demandé ce que c’était d’être une fille ou une femme. De multiples fois, je m’étais demandé ce que c’était de se faire toucher par un homme. De se foutre à poil et de sucer une queue. D’ouvrir ses cuisses.
J’ai baissé les yeux, mais pas longtemps.
Je les ai relevés en disant :
« OK. Je fais la salope. »
Il s’est arrêté de marcher et je me suis approché de lui. J’ai défait ma ceinture, ma braguette, puis j’ai tout baissé d’un seul coup, jusqu’à mes chevilles. Il a aussitôt sorti sa queue et je me suis accroupi pour la saisir entre mes doigts.
C’était la première fois que je suçais une queue et, malgré le froid, mes jambes ne grelottaient pas, ni ma queue qui était raide entre mes cuisses. En revanche, mes couilles s’étaient rétractées, j’en pris conscience quand j’y portai ma main, sans cesser de sucer la queue de Stéphane. Je me suis mis à me caresser l’entre-cuisses comme l’aurait fait une femme ; comme je l’aurais fait si j’avais eu une chatte dans ce moment. Mais je n’en avais pas, alors je me suis contenté de mon cul.
Et Stéphane m’a dit :
« Enfoiré, tu fais quoi ? »
J’ai répondu :
« Je me branle la chatte. »
Dans ma bouche et au bord de mes lèvres, sa queue était dure comme un gros bâton. Si je l’avais mordue, il n’aurait rien senti. Et j’aimais sucer son gland, car je savais comment il fallait s’y prendre pour les gonfler à bloc.
Puis les faire gicler au fond de ma bouche.
J’ai tout pris, tout avalé.
Ça n’a pas pris vingt secondes.
Stéphane s’est reculé en disant :
« Petite pute. »
Et je me suis relevé.
Ma bite était tendue à fond. Je n’ai eu qu’à me toucher les couilles pour éjaculer à mon tour, sur ce fichu carrelage, sans même toucher ma queue. Les deux premières giclées ont fendu l’air, puis ont cogné le sol.
Les deux suivantes sont restées suspendues à mon gland, tandis que je me touchais toujours les couilles. Le sperme de Stéphane dégoulinait de ma bouche.
Je lui ai dit :
« Je m’aime bien en pute. »
Et alors une ultime giclée m’a secoué tout le corps.
J’étais en sueur.

Je n’ai pas fini de revenir dans ce parc.
Quelle que soit la saison.
Quel que soit le genre de partenaires.

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