De bonne épouse a grosse salope
1ere partie
voilà comment tout a commencé.
Je me nomme Didier, je travaille comme chez d’équipe dans une comme de la région parisienne. J’ai environs une trentaine de personne sous mon ordre. Responsable des espaces vert. Je suis un peu le souffre-douleur de mes collègues, voir même des jeunes de mon équipe.
Je suis père de 3 enfants et d’une femme charmante.ma femme, Sonia, quelques petits kilos de trop mais cela lui va tellement bien. Une vraie déesse des mille et une nuit. Je suis fou d’elle.
adorable et attentionnée envers moi et nos enfants, une vraie perle, mais depuis plusieurs semaines, elle a changé par ma faute.
elle a toujours été auprès de moi. Cela faisait déjà 8 ans que nous étions marié et heureux jusqu’au jours ou j’ai connu Yanis, un collègue de taf.
il était sympa, mais toujours assez froid avec ma femme. il ne l’a trouvé pas du tout a son gout. il lui envoyait des pique sur son poids et insistait sur la faite qu’elle se mette au régimes.
il lui disait qu’elle avait trop de gras, que j’aime par ailleurs, et que je ne resterais pas si elle ne faisait pas d’effort.
il était très charismatique et savait très bien faire, surtout avec moi. il arrivait toujours a me faire plier à ses opinions.
je me suis retrouver à lui obéir aveuglement et n’osait pas dire non a ses demandes.
il venait de plus en plus souvent a la maison et ma femme l’appréciait de moins en moins.
un jour il me dit:
« si tu veux, je peux m’occuper de ta grosse, te la rendre plus docile et baisable. »
j’avais peur de lui dire non, du coup, on a organisé une soirée où il pourrait s’en occupé.
un samedi soir, il est arrivé chez nous vers 19h et m’a dit
« ce soir, je me charge de tout, tu n’ as qu’à dire oui et tout ira bien. »
« pas de soucis pour moi » lui dis-je
il s’assois dans le canapé et interpelle Sonia:
« eh, femme, sert nous a boire, on attends »
ma femme me regarde, je lui fait signe de nous servir, elle hoche la tête mais finie quand même par nous remplir les verres.
Yanis se retourne vers moi et me dit d’un ton sec:
« c’est qui le bonhomme, si c’était ma femme, elle n’aurait pas hésité a nous servir, sans se faire rappeler à l’ordre. »
je baise les yeux au sol, il continu de m’interpeller:
« laisse la moi une journée, tu ne l’a reconnaîtra pas après. »
j’ai peur de Yanis et de ce qu’il pourrait bien dire à mon boulot. Sur moi et ma femme, mon comportement passif avec elle. Du coup, sans même réfléchir je lui dis les mots qu’il ne fallait pas :
« si tu veux. Tu me diras quand. »
sans perdre un instant, il me dit :
« la, maintenant. J’appelle un ami et je l’embarque chez moi. »
a ces mots, je ne sais pas comment faire, il me dit alors :
« OK, pas de soucis lopette, laisse-moi faire, reste assis là. »
il att**** Sonia par le bras, la traîne dans notre chambre et lui demande d’un ton froid et sec.
« prépare un sac avec tenue de salope. String, bas, cuir etc. »
elle a peur, cela se voit. moi, je n’ose pas bouger.
elle lui dit ne rien avoir de ce genre.
de colère, il lui arrache sa belle robe rose qu’elle porte aujourd’hui, ce qui a pour conséquence de lui libérer ses gros seins.
mes enfants sont dans leur chambre donc je ne peux pas crier de peur de les ameuter.
au moment où je me lève pour aller aidez ma femme, on frappe à la porte.
« rentres, je suis avec lopette et sa grosse. »
c’est le frère de Yanis et un copain a lui, Mouss.
ils m’att****nt pas l’épaule et me rassois sur une chaise.
Yanis demande a son frère de la rejoindre dans notre chambre pour finir de préparer la grosse.
son copain reste avec moi, c’est un grand noir de presque 2m. il me plaque a la chaise lorsque j’entends ma femme se débattre.
je la vois arriver sur l’épaule de Yanis, presque nue, un collant dans la bouche.
il passe la porte accompagné des deux autres. Il se retourne et me balance ces quelques mots :
« elle est à moi pour quelques temps, tu la récupérera quand elle aura décidée de changer et quelle sera devenu une vrai salope. »
apeuré et fébrile je lui demande :
« quand? demain? »
il ricane et me répond
« tu verras bien, je te préviens quand elle sera prête. »
ils s’en vont. Je me retrouve seul au milieu du salon à pleurer.
je soir même, je couche les enfants après le dîner et essaye de joindre Yanis.
il ne répond pas au téléphone.
je me demande ce qui arrive a ma femme par ma faute.
on a jamais été séparer plus d’une journée.
j’espère la revoir demain.
je pars me coucher, pour une nuit qui s’annonce longue sans elle.
Le jour se lève, les enfants sont déjà dans la cuisine et attende que leur mère leur prépare le déjeuner.
Je leur explique alors que maman est partie de bonheur voire leur grand-mère. Difficile de leur dire autre chose, vu que Sonia ne travaille plus depuis la naissance du deuxième.
Je les prépare pour l’école et leur dit avant de les déposer, que leur mère sera de retour ce soir.
Les voilà partis, pour ma part, je me dirige vers mon bureau, la boule au ventre.
Peur de voir Yanis et son copain d’hier soir.
Je me gare et arrive dans les locaux., là il manque Yanis, son copain Mouss et un jeune, david, qui traine toujours avec eux.
Je les marque absent sur ma liste pour les chantiers du jour au moment où je reçois un sms de Yanis.
« Salut, on ne peut pas venir aujourd’hui au taf, on a une grosse salope qu’il faut dresser. Fait le nécessaire pour que cela ne soit pas marquer. »
Je réponds au sms par ces mots.
« Ok mais ramène ma femme c soir, les enfants sont inquiet »
J’attends la réponse qui ne viens pas, je vais attendre cette réponse toute la journée, ce sms qui ne vendra jamais.
Le soir après une journée à me poser des milliers de question, je décide d’aller dans le bureau chercher l’adresse des trois de la bande.
Je trouve celle de David, celle de Yanis mais pas celle de Mouss.
Je décide donc d’aller voir chez Yanis, qui vit seule, il n’est pas marié.
Je m’approche de la porte, écoute, aucun bruit. Je sonne plusieurs fois, mais rien.
Je fais le tour de la maison, aucune lumière.
Ils ne sont pas là, c’est sûr.
Je me rends donc chez David, qui vit encore chez ses parents. La, sa mère m’ouvre la porte, je lui demande si elle sait ou est son fils. Elle me répond que souvent il dort chez ses amis, Yanis, Mouss où Hasan, un turc vivant dans une cité voisine.
Je questionne la mère pour savoir si elle a une adresse, elle me dit juste avoir le téléphone de son fils.
Je fais le numéro, mais personne, la messagerie.
A ce moment-là, je reçois un sms de la nounou qui me dit qu’elle doit partir, que les enfants on manger et que comme ma femme n’est pas là, qu’il faut que je rentre au plus vite.
Je suis abattue, je rentre à la maison, je discute avec les enfants avant de les mettre au lit. Je leur dis que maman est encore avec mamie car elle est malade et qu’elle revient bientôt.
Sans aucune conviction, je les borde et leur fait un bisou de ma part et de celui de leur mère.
Je mange un morceau, je suis en larme devant l’assiette, et je m’endors sur la table.
Je suis réveillé a trois heure du matin par un sms.
Je prends mon portable, il s’agit de Yanis.
J’ouvre le message, il s’agit d’une photo. Je la charge et l’ouvre.
Il s’agit de ma femme, nue sur le sol. Les fesses rougies et le corps couvert de sperme.
Juste après, un autre sms.
« C’est vraiment une grosse salope, on s’en sert bien, elle nous vide bien, une vraie chienne, du coup, on la garde encore un peu »
Je fonds en larme devant mon portable.
Le lendemain matin après avoir déposé les enfants chez la nounou, je me précipite au bureau et là, toujours pas de Yanis ni des deux autres.
Je vais attendre toute la journée des nouvelles et c’est dans l’après-midi que je vais en avoir ou presque.
Mouss, qui se présente à moi, il me dit qu’il veut prendre quelques jours de vacance car il est épuisé. Il me dit aussi que cela tient aussi pour les autres et qu’ils ne veulent pas perdre de salaire, donc il ne faut pas que je les marque en absence.
Je lui réponds être d’accord s’ils me ramènent ma femme.
Là il me dit :
« Ce n’est pas une demande c’est une obligation, sinon tu ne reverras jamais ta femme.
Elle nous épuise, un vrai trou sans fond, on a beau la remplir, on en voit jamais la fin.
On est en train de faire de ta femme, une vraie salope, une blanche a black. On t’enverra de
Temps en temps des photos d’elle afin que tu ne l’oublie pas, haha. »
Je lui dis que je vais aller voir la police et la-il me réponds d’un air sur de lui :
« Fait mon ami, mais tu ne sais pas où elle est et si la police commence à nous poser des problèmes, on se débarrasse d’elle en l’envoyant au pays. Avec ses atouts, elle ne manquera pas clients »
De là, il tourne les talons et s’en va.
Je décide de le suivre discrètement.
Il est en scooter, je le suis de loin pour ne pas éveiller les soupçons.
Il parcourt une quinzaine de kilomètres avant de rentrer dans une cité tout près de chez nous, moins de 1 kilomètres.
J’essaye de le suivre mais je perds vite sa trace dans le dédalle de petites voies.
Je décide alors de retourner à la maison m’occuper des enfants, je reviendrais ce soir.
Le soir venu, après avoir couché les enfants, je me vêtis de noir et prend la direction de la cité.
Arrivé sur place, je tourne pendant presque 2 heures sans rien, jusqu’au moment où je vois deux jeunes courir vers une porte de cave.
Je les suis de loin, ouvre la porte, et me dirige vers un endroit éclairé au fond.
Il s’agit d’une pièce sans fenêtre, une cave, avec un matelas par terre, des tags au mur, une table qui trône au milieu et les deux jeunes assis sur un coté de la pièce.
Il me voit et me demande ce que je fais là. Je leur retourne la question et pour seul réponse j’ai un :
« On est venue voir la grosse pute de la cité, mais je pense qu’elle est déjà partie. »
Je suis horrifié, parlent t’ils de ma femme ?
Ils se dirige vers la sortie, je les suis et leur pose quelques questions.
« Qui est cette femme, d’où vient-elle, elle vient souvent ? »
Il me réponde :
« Cela fait deux jours que Mouss et Hasan emmène cette blanche se faire saillir devant tous les potes du quartier. Elle encaisse fort, car ils y vont seccos. Une vrai BAB »
Je suis inquiet, je rentre chez nous, encore plus dépiter qu’avant. J’ai peur de ce qui va lui arriver.
Vers minuit, je reçois un sms, encore une photo, suivis de 2 autres.
Sur la première, on voit Sonia, a genou sur une table, celle du squat. Elle a le cul en l’air, d’où s’écoule une quantité énorme de jus. Sur la deuxième, 5 blacks qui jutent dessus et sur la dernière, un arabe ou un turc avec un sexe énorme debout avec ma femme dans les bras. Son sexe ouvert en grand avec un long flot de spermes qui s’écoule de sa chatte ou dirais-je plutôt de sa grotte, tellement elle est éclatée.
Je suis en pleur au milieu du salon. Je m’endors a même le sol.
Réveillé au matin par les enfants, je décide de téléphoner à mes parents pour qu’ils récupèrent les enfants pour quelques jours. Je leur explique avoir un petit souci avec Sonia et que l’on a besoin de moment ensemble.
Ils acceptent de les prendre jusqu’à ce que ça aille mieux, je suis soulagé, cela va me permettre de me plonger entièrement sur la recherche de ma femme.
Je pars pour le taf et arrivé sur place, il y a Yanis, et david. Ils sont là, à m’attendre.
Je me dis que c’est bon, mon cauchemar est fini. Je me dirige vers eux mais avant que je ne dise un mot il me parle.
« Salut Didier, on revient pour travailler mais on ne veut pas entendre des plaintes sur ta femme, de toute façon, on ne l’a plus, elle est partie avec Hasan chez son frère a Lille. »
Je leur demande de me suivre dans le bureau afin qu’il m’explique.
« Comment se fait ’il qu’elle ne soit plus avec vous ? »
« On a joué avec dans la cité, on l’a exploité comme une pute, elle nous a rapporter beaucoup tu sais. Une vraie chienne, elle en voulait encore et encore. Du coup, on faisait paye la passe. Et il y avait du monde, toujours plus. Des fois 50 par jours. Mais cela ne lui suffisait pas. Voyant cela, Hasan qui est un chef de bande a décidé de la confier à son frère qui a un réseau de pute sur Lille, voir s’il pouvait gagner un peu plus. »
Je n’en crois pas mes oreilles. Il surenchéri par :
« Je t’envoie une vidéo de ces exploits, tu vas te rendre compte. »
Dans la fouler, je reçois par mail une vidéo que je me précipite d’ouvrir en leur présence.
Elle date de hier soir. Elle est dans une grande salle vide. Il y a au moins 30 personnes autours. Elle semble avoir perdu du poids, Yanis, m’explique qu’elle ne se nourrie que de sperme, c’était pour lui faire aimer le sexe au début de l’expérience.
Elle est à genou sur le sol, elle est sale, ses seins sont entourés par des liens serres. Son cul est recouvert de foutre. Son anus est en sang et très dilaté. Ne parlons même pas de sa chatte, toute jolie avant, qui ne ressemble plus à rien. Ses lèvres pendent et son trou est béant.
La vidéo ne dure que trois minutes, mais trois de trop. Les types lui pissent dessus pendant que d’autre la saute, la baisse. Un type se fait faire une pipe avec un sexe qui lui déforme la mâchoire. On se croirait dans un film gore. Le pire dans tout ça, c’est qu’on a l’impression qu’elle apprécie, elle ne fait aucun geste brusque.
Je suis en colère mais aucun son ne sort. Je dis à Yanis vouloir aller au flic avec la vidéo en preuve et portez plainte pour viol envers eux.
Il me répond :
« Attend quelques jours, je vais faire le nécessaire pour la faire revenir, je vais expliquer ça a Hasan et je tiens au jus. »
Sans un mot de plus, il repart travailler.
Je décide d’attendre quelques jours avant de porter plaintes.
Cela fait une semaine que l’on a eu cette discussion. Je n’ai plus de nouvelles de Sonia ni des autres. Je rentre à la maison après le boulot, une énorme envie d’en finir. La surprise quand j’arrive à la maison, il fait nuit mais il y a de la lumière chez nous. Je me précipite, j’ouvre et elle est la, ma femme adorée, entourée de ses bourreaux.
Je l’embrasse longtemps, me recule pour mieux la voir. Elle est méconnaissable, habillée genre pute de banlieue, elle est couverte de bleues. Elle a perdu pas loin de 20 kilos. J’ai du mal à la reconnaitre comme ça. Je lui demande si ça va. Elle me répond dans la foulée :
« Je vais bien, je me suis découverte, assouvie mes envies, j’aime ce traitement. »
On dirait qu’on lui a dicter ses mots. Je demande à ce que l’on nous laisse seul. Les trois types s’en vont sans un mot.
Je me retrouve seul avec ma femme. Je l’embrasse fort, la serre contre moi et décide d’aller lui faire couler un bain.
Je veux lui préparer un diner mais elle me dit ne pas avoir faim de ça. Douche finie, on se mets au lit et on s’endors presque aussitôt. En pleine nuit je suis réveillé, pas par un bruit mais par son absence. Elle n’est plus là. Je m’habille et prend la direction de la cite.
Arrivé devant la cave, il y a de la lumière, je rentre et là, surprise. Sonia, entourée de quelques types qui la baise sans ménagement. Je cris mais à ma surprise, elle se tourne vers moi et me dit :
« Chéri, laisse-moi prendre mon plaisir, j’en ai besoin. Je suis devenue comme ça. Il va falloir l’accepter. J’ai besoin de ma dose de sperme, j’ai envie de me sentir remplie, j’aime que l’on me brutalise, que l’on me pisse dessus bref, que l’on me salisse. »
Je suis tout retourner. Je m’assois dans un coin et regarde ma femme. La baise reprend de plus belle. Elle se prend des bites de partout, on lui crache dessus on lui pisse dessus, on la gifle, la pince et elle aime ça. Je n’en peux plus et décide de rentrer. Je l’attends à la maison, elle rentre au petit matin, couverte de bleues, salle et elle pue. Elle me fait un bisou et va se coucher comme ça.
Ce matin, j’ai pris ma journée, je vais rester avec elle afin d’avoir une discussion.
Elle se réveille vers 15h, prend vite fait une douche et me rejoint au salon.
Elle s’assois et me dit :
« Assis toi mon chéri, il faut qu’on parle. »
Je me mets sur le canapé et attend les mots de ma femme.
« Pour commencer, merci mon chéri, avec ta façon de faire avec Yanis pour me transformer, tu m’as fait découvrir mes envies cacher. Ce que je fais, j’aime ça et j’en ai besoin. On va passer un marcher. Je reste avec toi car je t’aime énormément, mais j’ai aussi besoin de sexe intense et en grosse quantité, donc le soir il faudra me laisser assouvir mes envies. Si je sors, soit tu m’accompagne sans rien dire, soit tu restes à la maison. Si tu es d’accord on reprend notre vie presque normalement. »
Je suis horrifié par cette proposition, mais j’aime ma femme et je ferais tout pour la garder. Donc j’accepte la situation mais avec une certaine amertume.
Cela fait maintenant 9 mois que cette situation dure. Presque tous les soirs ma femme sort pour prendre sa dose de foutre. Elle ne s’occupe presque plus de enfants mais le pire dans tout ça, c’est qu’elle en enceinte de 7 mois et demi et elle continue à se faire maltraitée, défoncer comme une truie par des dizaine de mecs dans les caves. Cela fait 9 mois que nous ne faisons plus l’amour ensemble donc vous pensez juste, malgré qu’elle prenne la pilule, vu la quantité impressionnante de sperme qu’elle a pris, un, a réussi à la foutre en cloque.
Je ne sais pas encore comment cela va se passer dans notre vie quand le bébé sera là. Ce que je sais par contre, c’est que depuis qu’elle a son gros ventre, elle a encore plus de « client ». Certain font plus de 100 kilomètre pour venir la baiser.
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