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20 ans déjà

20 ans déjà



20 ans déjà

On était en pleine coupe du monde de foot en France et je commençais à être un peu lasse de voir mon mari fasciné par des hommes en shorts qui courent après un ballon…. Match tous les soirs, le journal l’Équipe sur la table de chevet…plus aucun humour…
J’ai essayé de regarder avec lui, en en profitant pour mater les petits culs et les cuisses des sportifs bouger dans tous les sens mais non seulement je n’y comprenais rien, mais lui en plus était tendu à bloc, criant, se levant précipitamment du canapé à la moindre action, rongeant ses ongles le reste du temps…J’ai bien essayé aussi de le détendre, par deux fois j’ai commencé à le sucer mais il n’a même pas réussi à bander.
C’était un incroyable affront pour moi, je me suis sentie immédiatement dégradée jusque dans mes chairs…

Quand Corinne m’a appelée pour me proposer une soirée filles le lendemain soir, j’ai accepté de suite.
Corinne était une amie bordelaise assez libertine, je ne savais pas jusqu’à quel point, mais je le découvris ce soir-là.
Nous étions quatre, je ne connaissais d’ailleurs pas les deux autres filles tr ès pomponnées et après un apéro dinatoire bien arrosé, Corinne proposa de nous emmener en club en centre ville.
Naïvement je pensais que c’était juste une discothèque…
J’ai vite compris quand nous sommes arrivées sur le parking que l’endroit était très orienté sur le sexe.
4 trentenaires bien habillées qui descendent d’une mini Cooper toutes jambes dehors et déjà plusieurs hommes s’approchent de nous pour nous dire des banalités et siffler sans discrétion.
Corinne les fait dégager d’un large mouvement de bras et nous rentrons dans le couloir d’accueil du « Love Machine » à la moquette rouge sombre et aux lumières tamisées.
Le videur à l’air content de voir débarquer un stock de chair fraîche car il y a beaucoup d’hommes ce soir qui sont seuls et affamés.
Je me rappelle qu’il y a un obscur France-Paraguay à la télé devant lequel mon mari doit être scotché mais apparemment tous les hommes ne sacralisent pas le ballon rond et en profitent pour aller en club baiser les femmes des aficionados qui sont restés à la maison…
Un bon point pour eux !

Très vite on arrive dans une grande salle avec une scène sur laquelle se déhanchent des femmes en lingerie sur fond de disco assourdissant.
Je m’arrête un instant pour mater pendant que les copines traversent la salle suivant Corinne qui connait les lieux.
Au bar des hommes plutôt jeunes et bien habillés n’en perdent pas une miette et je commence à sentir mon coeur battre plus fort dans ma poitrine. C’est la première fois que je vais dans un tel endroit et je dois avouer que l’ambiance me surchauffe…
C’est à ce moment précis qu’une main se pose sans sommation sur mes fesses et un homme d’une quarantaine d’années, plutôt très bien conservé, se rapproche de mon oreille.

« Vous aimez ? »

Je ne réponds pas mais laisse sa main ferme caresser mes fesses sur ma robe d’été. Je sens son souffle chaud dans mon cou et quand il y pose ses lèvres je ne peux retenir un petit soupir de volupté, je ferme les yeux et je bascule la tête sur le coté pour mieux sentir ses baisers sur ma nuque.
Il se poste derrière moi, me tenant aux hanches et frotte sans ménagement sa braguette contre mes fesses qui commencent déjà à onduler. Sa bosse est imposante, je sens un sexe que j’imagine gros, épais et dur comme du bois et je commence à caresser son pantalon en cuir pour remonter jusqu’à sa braguette, toujours les yeux fermés pendant qu’il me dévore le cou. Je retire en vitesse ma culotte pour pour mieux sentir encore son excitation et je lui colle dans le nez pour qu’il sente bien la mienne !

« Viens »

Il me tend la main et passe devant moi prestement pour m’emmener je ne sais où mais je le suis comme hypnotisée par son magnétisme alors que j’ai à peine vu son visage.
Dans notre petite déambulation nous traversons la grande salle sur un coté de la scène pour pénétrer dans un couloir sombre avec des petites enseignes lumineuses nous indiquant les différentes options à prendre : « Cabines », « Peep-show », « Donjon »…
Toujours me tenant fermement par la main il ouvre une porte avant d’arriver aux escaliers et me dit :

« Attends moi là »

C’est une grande cabine vide avec une télé qui passe en boucle des films de cul, il n’y a pas de siège bizarrement, mais les deux murs latéraux sont troués à hauteur de ceinture. Je mate un peu la télé. Une jeune fille blonde est en train de sucer la grosse bite d’un black, ayant du mal à l’enfourner de moitié mais mettant tout son cœur à l’ouvrage pour le faire jouir dans sa bouche et se régaler de sa semence. Les trois autres petits clips suivants sont du même acabit : des lycéennes qui pompent des gros engins et se font remplir la bouche de sperme.

Ça y est, j’ai envie de sucer…j’ai l’impression de sentir l’odeur du sperme partout, d’en avoir le goût qui monte dans la bouche tandis qu’elle se rempli de salive. J’adore sucer, ça m’excite terriblement ! Quand nous faisons l’amour avec mon mari, je le finis toujours avec ma bouche, pour le remercier de m’avoir baisée et surtout pour goûter son nectar tiède et onctueux, m’en étaler partout sur le visage et nettoyer sa belle queue jusqu’à ce qu’il débande.

J’ai envie de me déshabiller, je meurs de chaud. Rapidement j’enlève ma robe et tout le reste et je me mets à genoux, en position de suceuse et je commence à caresser mon clito qui frétille de bonheur. Toujours sur mes genoux je m’approche d’un des orifices muraux et je tente un regard à travers pour découvrir une salle plongée dans le rouge où des hommes nus se masturbent ensemble en papotant distraitement. Qu’est-ce qu’ils attendent ? Peut-être ne savent-ils pas que je suis à poil dans la cabine juste à coté, sinon ils m’auraient déjà sauté dessus…
Je passe ma main à travers la paroi qui est toute fine pour attirer leur attention.

Au bout de quelques secondes un sexe tout chaud vient se poser dans ma main et je commence doucement à le branler, caressant les couilles que j’imagine bien pleines tant le sexe de mon voisin durcit sous mes caresses.
Je suis en train de branler un inconnu que je ne vois pas, mon bras ayant entièrement franchi la cloison qui nous sépare.
L’action m’excite au plus haut point, j’accélère la branlette, serrant son gland humide bien fort dans ma main, je sens qu’il aime ça, qu’il est peut-être au bord de jouir alors je tire sur sa queue comme au manège pour la faire passer dans le trou, et je me jette dessus pour la dévorer, elle est belle, hyper tendue avec une grosse veine centrale qui palpite et un gland imposant, entièrement décalotté, je le pompe à toute vitesse, je ne peux plus attendre, j’ai soif de foutre, il va me le donner, il est mûr c’est sûr…et quand son gland explose dans ma bouche et que j’avale les premiers jets de foutre mon corps est parcouru d’un immense frisson de plaisir, je suis en train de jouir sans même me caresser, les deux mains et la bouche trop occupées à extraire le maximum de jus à cet étranger pour m’en délecter jusqu’à la dernière goutte.

Il se retire, une autre queue bien tendue se présente aussitôt à ma bouche souillée. Je ne sais pas combien ils sont dans la pièce à coté mais je m’éclate à prendre cette deuxième queue de la soirée en bouche. Je vais tous les dévorer !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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