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Et si les vampires existaient… Partie 2

Et si les vampires existaient… Partie 2



CHAPITRE 7

Roméo l’avait lavé lui-même, avait passé avec douceur la grosse éponge naturelle sur tout son corps, la carressant autant que lui faisant toilette, puis il l’avait laissé s’occuper seule de ses parties les plus intimes.
Ensuite il l’avait séchée, et une fois sèche, à nouveau il l’avait prise dans ses bras.
Il était très fort et elle frémit à l’idée de savoir que s’il était capable de la porter si facilement il pouvait aussi la dominer sans difficulté aucune en devenant brutal.
Ils s’étaient dirigés vers la chambre que Roméo retrouva sans la moindre hésitation.

Elle était allongée nue sur son grand lit et Roméo était repartit sans répondre à sa demande de se mettre à table. Elle l’entendit s’affairer dans la salle de bain et comprit ce qu’il cherchait.
Elle s’allongea plus confortablement et ouvrit les jambes.
Elle n’avait jamais totalement épilé son sexe. Pourquoi les hommes adoraient-ils les sexes de femmes sans le moindre poil ? Elle s’entretenait simplement, et après avoir apprit à le faire chez une amie esthéticienne, s’occupait seule de sa toison pubienne. Egalisation des poils noirs et le maillot comme on disait…
Elle entendit revenir son amant et sourit intérieurement.
Les hommes étaient tous les mêmes et apparemment les vampires n’étaient pas plus malins.

Roméo avait du farfouiller un bon moment dans le tiroir et sur la tablette de bois mais finalement trouvé ce qu’il cherchait. Il se demandait chaque fois, dans chaque salle de bain, comment les femmes s’y retrouvaient avec tous ces produits. Et surtout, ce qu’elles pouvaient bien en faire. Les utiliser tous devait prendre des heures.
Il repartit vers la chambre et une pensée le prit au dépourvu.
Chaque fille après s’être vue appellée Juliette finissait par donner son véritable prénom. Presque toutes immédiatement et refusant celui qu’il leur donnait, certaines se tenaient coîtes la première journée , rares celles qui acceptaient ce rôle plus de quelques jours. Annie avait craqué au bout d’une semaine et croyait-il c’est elle qui avait le record. Celle-ci accepterait son petit jeu plus longtemps encore.
Il en était déjà convaincu.
Lui tenait maintenant à connaître le vrai prénom de sa nouvelle conquête et cela l’agaçait…

Elle n’ouvrit pas les yeux quand il entra. Elle devina qu’il déposait ce qu’il avait prit dans sa salle de bain sur le lit. Roméo dit qu’il fallait qu’il glisse une serviette sous elle et qu’il lui soulève les hanches avec l’oreiller libre.
Il lui demanda de l’aider et elle lui obéit, se cambrant le temps qu’il opére.
Elle adorait cette voix grave et légèrement voilée et plus encore le ton égal, un peu trainant qu’il employait pour parler.

C’est parfait chérie… Maintenant sois sage et surtout ne bouge plus,,,

Elle faillit sursauter même si le liquide, de l’eau certainement , n’était pas froid. La main de l’homme lui massait le mont de vénus et elle de détendit. Elle releva les mains et alla les caler sous l’oreiller qui soutenait sa tête, amusée et confiante.
Roméo était soit un professionnel, soit la délicatesse incarnée. Elle se savait presque débarassée de tout poil et n’avait rien sentit de douloureux, voire de désagréable. Les doigts de son amant allaient et venaient sur son bas ventre, poussant légèrement la peau ici, la tirant délicatement là et le rasoir était presque tout aussi doux sur elle.

Surtout ne bouge plus maintenant… C’est le moment le plus délicat ma belle…

Elle se demanda si cette opération l’excitait. Elle trouvait ces instants très agréables sans pour autant en retirer de plaisir.

Tu sais ma chérie… Roméo est mon véritable prénom même si je le déteste … Et j’aimerais vraiment connaître le tien. Ce petit jeu est plutôt bête non ?

Les doigts de son amant fermaient maintenant les lèvres de sa vulve, les collant doucement l’une contre l’autre et elle sentit le rasoir très près de son intimité. L’objet frôlait les parties si sensibles lentement, précautionneusement, d’un côté d’abord puis de l’autre ensuite.
C’était certainement presque terminé. Elle n’éprouvait pourtant aucune crainte et s’appliquait seulement à ne pas remuer d’un pouce.
La voix de son amant la sortit de ses pensées et sa demande la fit presque bouger.
Une nouvelle fois amusée mais n’osant pas sourire de peur qu’il ne le remarque elle répondit presque immédiatement dans un souffle…

Juliette…

Roméo adorait s’occuper ainsi des femmes, et cette Juliette l’étonnait de plus en plus. Certes elle avait accepté sa soumission sexuelle mais maintenant elle faisait quelque chose de plus. Elle lui accordait sa confiance.
Il adorait regarder sa petite chatte et bandait en s’en occupant. Elle était beaucoup plus excitante encore, nue et lisse.
Putain qu’elle m’excite… Il faillit abandonner ses bonnes résolutions et la baiser de suite…
Elle était presque prête quand il lui demanda son prénom. La réponse ne le surprit pas mais l’agaça plus encore qu’il le pensait. Petite salope va…
Roméo écarta les lèvres du sexe offert de son doigt et l’enfonça lentement mais jusqu’au fond du vagin de la fille puis l’enleva tout aussi lentement.
Il frotta son index contre son pouce et sourit. Elle était encore humide de l’eau de la douche certes, mais il sentait que l’humidité sous ses doigts était épaisse et collante. Ce n’était pas uniquement de l’eau qu’il sentait là.
Il se releva et ne put s’empêcher de regarder le corps allongé d’abord puis le visage de la fille ensuite. Bon dieu qu’elle était belle.
Roméo s’agenouilla sur le lit et alla embrasser les lèvres pleines et sensuelles de sa nouvelle compagne. Puis il posa son index mouillé sur ses lèvres, sourit quand la bouche s’ouvrit et qu’elle le prit en bouche pour le sucer. Sa langue léchait son doigt  et sa bouche l’aspirait.
Etrangement, cela l’énerva et il faillit retirer son doigt brutalement. Si elle voulait jouer…
Ils joueraient…
C’était la toute première fois qu’une femme l’agaçait à ce point et il s’en voulut sans pouvoir se calmer. Il saurait bientôt ton prénom…

Tu mouilles encore petite salope…

C’était certes une vengeance un peu mesquine mais cela le soulageait. Il ne répondit pas quand elle dit « encore…»

CHAPITRE 8

Roméo avait débarrassé le lit, enlevé la serviette de dessous ses reins et remis l’oreiller en place.
Puis il lui avait demandé de l’attendre tranquillement.
Elle avait comprit qu’elle l’avait agacé et même passablement énervé. Elle avait adoré découvrir que ce type, vampire ou non, avait au moins un point faible.
Ce qu’elle ne lui avouerait jamais c’est qu’il l’avait excitée en la traitant de salope,

Il était revenu et cela l’éveilla. Elle s’était assoupit sans s’en rendre compte et décida de se secouer.
Roméo déposa le plateau sur le lit, plateau qu’elle utilisait elle-même quand elle se décidait à diner devant la télé. Puis il lui dit de s’installer et une fois qu’elle fut prête, vint s’allonger à son côté.

Ils avaient mangé nus sur le lit, Roméo lui prenant parfois la fourchette des mains pour lui donner la becquée comme il disait. Ils avaient peu parlé, surtout de leur journée et beaucoup rit et flirté.
Maintenant, la tête sur la poitrine puissante de l’homme encore un inconnu le matin même, elle l’écoutait parler sans l’interrompre.
Il avait fait des études d’histoire mais qu’il avait lâché pour s’engager dans l’armée.
Il était jeune, adorait le sport et voulait faire de sa vie une aventure et non se retrouver en professeur histoire aigri et vieillot.
Il était resté cinq années avec les commandos marine, et quelques missions dangereuses avaient remis en cause sa décision. Mourir pour quoi ? Un pays ? C’était trop con .
Et il se sentait trop jeune et trop curieux de la vie pour ce boulot.
Videur dans les boites, docker au port de commerce, des boulots durs et plus pénibles de par leur inutilité lui avait fait reprendre et obtenir une licence d’histoire. Son dernier emploi avait été un poste au journal local. Il se débrouillait plutôt bien avec l’écriture. Il continuait également à bosser des cours d’arts, d’histoire et de droit. Au cas où avait-il dit en riant.

Tu as eu beaucoup de femmes ?

A son tour elle s’énerva de l’entendre rire à nouveau mais elle n’avait pu empêcher la question de fuser.
Elle s’en voulait mais il était trop tard…
Roméo après un instant continua à parler.
Il n’avait jamais compté ses histoires avec les femmes, ne savaient pas le nombre des filles qu’il avait connu mais elle étaient nombreuses.
Elle savait qu’il ne mentait pas, il ne se vantait pas non plus et elle sentit poindre de la jalousie mêlée de colère. Elle crevait d’envie de savoir et ne voulait plus rien demander. Et pourtant…

Tu as aimé l’une d’elle ?

Elle était collé contre lui, la joue contre le torse de Roméo et sentait le muscle pectoral bouger quand il rit doucement. Il était en érection depuis qu’il était contre elle mais ne lui demandait rien. Et cela l’énervait…. Ce type était tellement étrange par moments… Jamais elle n’aurait pensé qu’un homme refuse une fellation et là il semblait ne rien désirer d’elle. Pourtant il était dur depuis presque une heure. Quand il répondit par la négative à sa question, elle se décida à oser le prendre dans sa main.
Roméo dégagea doucement son bras et alla poser sa grande main sur sa hanche, comme pour l’encourager à continuer sa caresse. Elle regardait sa main aller et venir sur le sexe tendu, serrant le membre entre ses doigts et découvrait qu’elle aimait regarder ce qu’elle lui faisait.

Elles étaient belles ?

Elle avait faillit dire « plus belles que moi » mais s’était retenue à temps.
La réponse la fit serrer plus fort le sexe dans sa main et elle faillit lui faire connaître ses ongles. Roméo rit encore et lui caressa une fesse, lui disant qu’elle était l’une des plus jolies. Peut-être la plus jolie … Il pinça sa fesse, rit encore et ajouta qu’elle était la plus belle de toutes.
Elle bougea, embrassa le torse de son amant et se décida d’un coup à aller plus loin.
Elle avait passé sa langue sur le bout du sexe de Roméo, léchant la goutte légèrement salée qui perlait sur le gland turgescent. Le sexe de Roméo était aussi dur que le jouet qu’elle avait acheté par correspondance. Elle s’était agenouillée et dominait le pieu dressé et se pencha pour lécher la hampe épaisse sur toute sa longueur. Elle entendit la respiration de son amant s’accélerer et comprit qu’il n’en pouvait plus d’attendre sa bouche. Et bien il attendrait…
Sa langue descendit sur les testicules et elle se surprit à aimer les titiller, avant de les prendre en bouche. Elle n’avait jamais osé le faire avec Thomas mais en avait envie depuis longtemps.
Avec Roméo, elle oserait tout. Ne se priverait d’aucune découverte. Ses doigts remplaçèrent sa langue sur les testicules et elle remonta sa bouche, laissant ses lèvres courir sur la hampe dure.
La main de Roméo lui enserra la cuisse, la tirant vers lui.

Donne-moi ta chatte…

Les mains de Roméo lui avait à nouveau ouvert les fesses et il avait collé la bouche sur son sexe, la léchant à son tour. Elle sentait sa langue explorer sa vulve, et entrer en elle.
Lui n’avait rien demandé mais elle n’avait pu se contenir. Elle suçait le membre de toute sa bouche et s’efforçait d’en prendre le plus possible sans s’étouffer.
A nouveau des mots crus lui vinrent à l’esprit. Il lui avait dit « donne-moi ta chatte » et cela l’avait excité. Encore… Le pouvoir de ces mots salaces sur elle la stupéfiait…
Elle allait et venait de sa main sur lui, gardant toujours son sexe en bouche, attendant qu’il jouisse et ne désirant plus que connaître cette sensation nouvelle. Elle s’était toujours refusée à aller jusqu’au bout mais cette fois encore, elle voulait le faire avec lui.
Roméo après avoir un petit moment embrassé son pubis glabre la fouillait de sa langue, et elle adorait cette nouvelle sensation. Cela l’excitait d’avoir le sexe nu sans qu’elle ne sache trop pourquoi.
Maintenant, les mains forçaient doucement et lui ouvraient les fesses plus largement puis elle sentit la langue de son amant sur son anus et elle arrêta les mouvements de sa bouche sur lui.
Roméo léchait son petit orifice, sa langue tentait là encore de pénétrer le petit trou et elle trouva cela très agréable. Elle reprit ses va et vient avalant le plus possible de son amant dans sa gorge.
Il la violait de son doigt et elle faillit l’enlever de sa bouche et lui dire d’arrêter. Mais la langue de Roméo retrouva sa place sur sa vulve ouverte et mouillée et elle le laissa faire.
Elle ne tarderait plus à jouir, et c’est elle maintenant qui lançait ses fesses en arrière, pesant sur le visage de l’homme, sentant sa bouche la dévorer. Le ou les doigts allaient et venaient dans son petit trou, et elle gémissait de plaisir quand elle les sentaient s’écarter l’un de l’autre dans son cul et tenter de l’ouvrir plus encore.
Elle n’y tint plus et sa bouche délaissa le sexe dressé le temps qu’elle introduisent ses propres doigts entre ses lèvres pour les sucer. Elle prit soin de bien les enduire de salive, les retira et reprit Roméo en bouche, le suçant encore plus vite sous l’excitation que son idée lui apportait.
Elle descendit sa main entre les jambes de son amant, poussant sa cuisse pour qu’il écarte les jambes. Il accepta et elle descendit sa main sous les bourses, cherchant plus bas ce qu’elle voulait, le trouva et cessa sa fellation, parlant tout en enfonçant doucement son doigt dans l’anus de son amant.

J’ai trop envie de le faire…

Son doigt bougea et elle commença à aller et venir dans l’anus de Roméo, de plus en plus vite.
Elle tremblait de désir et ne reconnu pas sa voix, rauque et voilée par l’envie de jouir.

Dans mon cul… Plus fort chéri… Oui comme çà… Vite… Fort oooooooh…

Sa main serrait et s’activait le plus vite qu’elle pouvait sur la queue que sa bouche avalait, et elle ne voulait plus qu’une chose…
Les doigts de Roméo lui défonçaient l’anus, sa bouche la dévorait et d’une main il lui pétrissait les fesses tour à tour. Cela lui aurait fait très mal sans la jouissance qui la gagnait et cette idée l’excita plus encore.
Quand la main de Roméo vint se poser sur ses cheveux, elle serra plus encore ses doigts et ses lèvres sur son sexe et quand il poussa un peu brutalement sur sa tête elle l’avala du mieux qu’elle le pût, son nez touchant les testicules gonflées. Elle gémit quand elle sentit que Roméo jouissait enfin, remonta un peu sa bouche sans lacher le membre qui tressautait en se répandant entre ses lèvres.
Elle continua à sucer le sexe toujours dur, incapable de s’appliquer sur ce qu’elle faisait et jouissant à son tour en criant, la bouche pleine de Roméo.

C’est encore lui qui l’avait porté pour la remettre dans le bon sens du lit et elle avait rit en le laissant faire. Elle n’avait jamais eut de tels orgasmes, ni si nombreux en une seule et même journée.
Son anus lui faisait un peu mal, elle sentait ses fesses brûlantes mais elle savait qu’elle lui redemanderait de lui faire subir tout ce qui l’excitait autant.
Cette fameuse « fessée » qui faisait tant couler d’encre en matière de sexualité était peut-être sur la liste du programme de son Roméo. Elle espéra que oui sans savoir si elle aimerait ou non.
La honte était revenue, légère mais toujours présente quand Roméo lui avait essuyé les lèvres puis la joue des doigts, lui disant « tu en as partout ma chérie ».
Elle avait cru tout avaler… Elle se souvenait n’avoir pas pu se controler et avait du cesser de le garder en bouche. Elle n’avait pas eut le temps d’analyser si le sperme était comme elle l’avait lu quelque part, sucré ou encore salé.
Mais sentir son amant se répandre dans sa bouche avait déclenché sa propre jouissance.
Elle se laissa aller, honte disparue aussi vite qu’elle était apparue et s’étira langoureusement en poussa un profond soupir.
Pourtant, elle devait se reprendre, se lever pour aller aux toilettes et s’octroyer une nouvelle douche.

Hummmmm… C’était si bon…

Elle avait faillit dire d’autres mots…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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