Les années passent et l’embonpoint arrive. Si je ne suis pas gros, je dois me surveiller. Hors une vague amie de ma femme a ouvert une salle de fitness près de chez moi.
Ce sont des cours particuliers ou la personne vous « coache » personnellement et vous accompagne dans tous les exercices.
La gérante est une femme menue, 50 ans bien sonnés, pas mal physiquement sans être canon. On m’a dit qu’elle était un peu salope mais bon… les « on dit ». Blonde carré court, sportive (forcément), poitrine normale qui semble un peu effondrée. Le visage un peu triste.
Bref, pendant les exercices je la taquine un peu, surtout que la situation s’y prête, mais les mecs doivent lui faire le coup toute la journée et elle relève poliment, sans plus.
Fin de ma 3 ou 4e séance, je file à la douche. Les douches sont fermées et séparées de la « salle de sport » par encore un petit vestibule. Mais je laisse quand même volontairement ouverte la porte des douches… sait on jamais.
Je me frotte, la porte de la douche elle même est transparente et je bande à moitié. Je vois par les jeux de lumière que la gérante de la salle passe par là. Une fois, deux fois…
Je sors, je m’essuie. J’ai mis un anneau autour de ma queue et mes couilles ce qui fait bien ressortir mes joujous, de bonne taille. Je bande à moitié, j’adore ce moment.
J’entends, de loin : « ça va, tu veux un coup de main ? ». Tétanisé, je ne réponds rien. Elle a osé lancé sa phrase, et moi, pauvre con, je n’ose rien répondre. Mais la porte est toujours ouverte et elle l’ouvre.
Je suis nu avec ma serviette dans cette petite pièce très joliement décoré. Mes grosses couilles sont relevées par l’anneau et ma pine est à moitié dure… Un filet de pré-sperme coule de ma queue, rougie, compressée par l’anneau.
Elle rigole nerveusement la main devant sa bouche et fait un « wow » en fixant l’objet. Elle entre et je la prends par la main.
Elle me touche la queue, malaxe le tout en me regardant, en souriant. Je suis beaucoup plus grand qu’elle et je ne sais pas par quoi commencer. Elle me dit juste « je n’ai pas de capotes ».
Elle se baisse et me pompe la queue. Elle me dit « Prends moi la bouche ». Message reçu. Je lui lime la bouche comme si c’était un cul et très rapidement j’envoie la purée. Elle s’est retirée et reçoit la décharge sur son visage. Elle se frotte ma pine sur la bouche, le nez, tout le visage.
Assez vite elle se relève et se rince le visage au robinet. Elle me sourit et ressort sans rien dire. Je me rhabille. Je reviens, dans l’autre pièce, comme si de rien. On en parle plus et on refixe le rendez vous de la prochaine séance. Je lui dit juste « je prendrais des préservatifs » en souriant. Elle me répond : « on verra ».
J’y suis retournée et la fois d’après elle ne voulait rien faire. J’ai attendu dans la salle de douche, mais rien. La fois suivante non plus. D’autres clients il est vrai devaient arriver en même temps.
Je dois y retourner un de ces jours.
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