Je suis resté allongé un long moment contre maman, méditant sur cet acte contre nature que je venais d’accomplir. Ce soir-là, il n’y a pas eu d’autre masturbation. Avec beaucoup de précautions, je me suis levé pour regagner ma chambre où je suis resté longtemps les yeux ouverts dans le noir.
Le lendemain matin redoutant notre confrontation, j’ai retardé au maximum l’instant de descendre dans la cuisine la retrouver.
A mon grand soulagement, tout fut comme à l’accoutumée. Maman me servit mon petit déjeuner, il y eut peu de mots entre nous, elle avait le même air morne, bref je compris qu’elle ne s’était pas rendue compte de mes gestes de la veille !
Je passais une journée fébrile la tête peuplée de mes souvenirs, de cette sensation merveilleuse de me retrouver dans ce sexe satiné et absolument inconnu de moi auparavant. Je m’imaginais le soir même faisant la même chose, nageant dans cette vulve si chaude et terriblement soyeuse.
Rien que le fait de penser à l’instant sublime où j’enfoncerais ma bite dans la chatte de ma mère, ma queue enfla dans mon slip, déformant le devant de mon pantalon, provoquant une certaine gêne. Je comptais les heures qui me séparaient de l’instant fatidique, et ces heures là étaient interminables.
Au fur et à mesure qu’avançait la soirée, une nervosité palpable me prit, mes gestes étaient maladroits et je faillis casser de la vaisselle dans la cuisine. Après un frugal dîner, je me forçais à rester devant la télé attendant que maman aille se coucher. Je ne comprenais pas grand-chose à ce qui défilait sur l’écran, tant mon esprit était tendu vers ce but ultime : mettre ma bite dans la chatte maternelle…
Enfin maman m’annonça qu’elle montait se coucher, un immense sentiment de plaisir m’envahit. Je fis mon possible pour cacher encore un peu ma hâte, me forçant à rester les yeux rivés sur un écran blafard, ne comprenant rien à ce qui s’agitait devant mon regard.
Au bout d’une demie heure, je m’ébrouais comme sortant d’une paralysie et le cœur battant je montais les marches en essayant de faire le moins de bruit possible. Je jetais un rapide coup d’œil à l’intérieur de la chambre maternelle afin de me rendre compte si maman s’était endormie. Un léger ronflement me rassura. Je me hâtais de regagner ma propre chambre où je me déshabillais entièrement.
Entièrement nu, la queue dressée, je revins sur la pointe des pieds vers la chambre de ma mère. Tout allait bien. Avec les précautions qui m’étaient maintenant familières, je me glissais auprès de maman, tout contre son dos. J’attendis un instant, guettant le moindre changement de rythme de sa respiration, mais rien ne m’indiqua une quelconque différence. Précautionneusement, j’écartais les fesses de ma main et glissais mon membre vers la grotte sacrée.
Mon gland glissa avec plus de maîtrise vers la fente où la veille il était entré presque par erreur. Nouvel arrêt, nouvelle attente. Rien. Je poussais et ma verge entra plus loin. Je poussais encore pour la faire entièrement pénétrer dans le vagin maternel. Je sentis mon membre palpiter entre les chairs soyeuses de la vulve.
Il y faisait chaud et la moiteur de l’endroit était palpable, je la ressentais par ma queue enserrée. Alors je commençais à aller et venir à l’intérieur du sexe maternel torride. Terriblement excité, je sentis l’orgasme monter en moi. Dans un brouillard sensuel, je songeais que je devais me retirer de ce vagin aphrodisiaque.
Il fallait à tout prix que je dégage mon membre du ventre de ma mère avant que celui-ci ne lâche sa semence. Malgré mes intentions, préjugeant de ma résistance sexuelle, je décidais de rester encore un instant dans le fourreau si délicieux, d’exécuter encore quelques va et viens dans la fournaise poisseuse et glissante ; c’était trop bon.
Lorsque la jouissance me tétanisa, il était trop tard, je laissais échapper un gémissement où se mêlait plaisir et dépit. Ma bite fut secouée de spasmes incontrôlables. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier, mais je ne pus réprimer mes plaintes de plaisir. Je me vidais à longs jets dans le vagin de ma mère, dans des soubresauts sans fin, qui me firent craindre de la réveiller à me secouer comme ça !
Enfin, vidé de mon sperme mon membre se calma peu à peu, retrouvant une immobilité salutaire. Je retins mon souffle, n’osant faire le moindre geste, je ne bougeais plus. La sérénité revint peu à peu dans mon corps, il n’y eut plus que mes mains qui tremblèrent encore quelques instants.
Emu j’entrepris alors de retirer ma bite du vagin maternel souillé. Je regardais ma queue, incrédule. Elle était toute couverte de sang ! Je ne comprenais pas ce qui arrivait et je fus pris d’une peur panique. Je me suis levé du lit pour courir jusqu’à la salle de bains…
Sous la douche, j’ai contemplé inquiet, ma bite et l’eau qui dégoulinait dessus effaçant le sang. Quand je fus entièrement nettoyé j’ai longuement examiné mon sexe. Tout me parut normal, il n’y avait pas trace de coupure ou autre. Je restais perplexe. Si ce n’était pas moi, alors c’est maman qui….
Inquiet je suis retourné dans la chambre pour examiner ma mère. Me penchant sur elle, je lui écartais les cuisses avec précaution et là je découvris sa longue fente barbouillée de sang. Je compris soudain qu’elle avait ses règles et une sorte de dégoût rétrospectif me saisit.
J’avais été mettre mon sexe au milieu de ses menstrues. J’en demeurais complètement effaré. Je retournais alors à la salle de bains et je me frictionnais le sexe au savon pendant de longues minutes, frottant à m’en faire mal. Enfin, après de longues et minutieuses ablutions, je retournais me coucher, un peu refroidi par cette expérience inattendue.
Inutile de dire que les jours qui suivirent, je n’ai pas approché de la chambre maternelle. J’ai laissé passer huit jours pendant lesquelles j’ai médité sur mes forfaits nocturnes sans pouvoir les condamner vraiment.
Ce que j’avais fait était monstrueux mais si excitant.
Ainsi donc une semaine plus tard, terriblement excité par cette abstinence forcée, je me laissais de nouveau guider par mes sens exacerbés. Le soir venu, après avoir longuement attendu dans ma chambre, je retirais mon pyjama, et entièrement nu j’allais rejoindre ma chère maman sur son lit.
Je repoussais les draps qui me cachaient ce corps tant désiré. Maman portait une chemise de nuit rose transparente que je m’empressais de retrousser afin de dénuder la merveilleuse croupe aux courbes sensuelles. Et aussi ému que la première fois je m’allongeais contre le dos de ma chère maman.
Ma bite se glissa d’elle-même entre ses fesses épanouies. Je me collais étroitement à elle et d’une main impatiente, j’allais chercher son sein que j’empoignais avec excitation. Je demeurais ainsi pendant de longues minutes à palper ce globe chaud et velouté et à bander contre entre les fesses chaudes.
Puis l’absence de réactions de ma mère m’incita à me montrer plus entreprenant. Lâchant le sein moelleux, je ramenais ma main sur la croupe tendue et avec une certaine habileté acquise, j’écartais les fesses, m’ouvrant ainsi le chemin en direction de la vulve convoitée.
Ma queue se présenta d’elle-même à l’orée de la fente sexuelle et je sentis sur le bout de mon gland la chaleur humide de la chatte maternelle. Je savourais l’instant présent. Un long soupir qui se transforma en ronflement me tira de ma torpeur. Je lançais mon bas-ventre en avant, poussant ma bite, qui tel un bélier s’enfonça légèrement entre les grandes lèvres sexuelles chaudes et humides.
J’éprouvais alors un véritable délice à sentir les chairs vaginales céder petit à petit sous la poussée de mon gland et sentir ma queue s’introduire à nouveau dans le ventre de ma mère endormie.
C’était pour moi une reconquête après la longue période de règles, je retrouvais un vagin débarrassé du sang menstruel, tout neuf, et bien lubrifié par une cyprine exempte de toute scorie.
Ce fut un émouvant moment que de m’enfoncer à nouveau dans le ventre dont j’étais issu. Je me sentis soudain maître de mener mon désir à mon rythme et à ma façon.
Je restais sans bouger, histoire d’investir au maximum le vagin torride. J’en éprouvais la profondeur en poussant ma bite aussi loin qu’il m’était possible d’entrer et je sentis à un moment mon gland butter au fond, contre l’utérus.
Cela déclencha en moi un nouvel accès de désir, savoir ma bite au plus profond du ventre de maman, me sembla de la pire obscénité et m’excita au plus haut point. J’entamais alors un lent va-et-vient, faisant coulisser ma verge le long du fourreau glissant avec un plaisir intense.
Petit à petit je parvins à un rythme satisfaisant et le désir monta progressivement en moi. Cette fois je fus attentif à ne pas laisser ma verge exploser à l’intérieur du vagin accueillant. Je me retirais à temps pour éjaculer puissamment dans la serviette qui me servait de réceptacle.
La vue de mon sperme blanc et abondant me fit frissonner, je pensais soudain que j’aurais pu le cracher au fond des entrailles de ma mère, la remplir de ma semence, risquer de le féconder peut être. Je frémis à l’idée d’une telle éventualité.
Ce soir-là, je ne me suis pas masturbé sous son nez comme j’aimais à le faire. J’ai attendu d’être dans mon lit pour me branler, bercé par le doux souvenir d’un vagin chaud et si accueillant.
Je ne voudrais pas alourdir le récit par la répétition de ces nuits à la fois torrides et parfaitement vicieuses. Que l’on sache seulement que je revenais chaque soir dans le lit de maman et que je la baisais à son insu, introduisant ma queue dans son sexe pour une pénétration parfaitement i****tueuse.
Jamais maman ne se rendit compte de quoi que ce soit. Je passais aussi de longs moments, penché entre ses cuisses dans l’examen gynécologique de sa fente, découvrant les chairs roses de l’intérieur de sa vulve, ainsi que son clitoris. J’aimais aussi caresser ses seins, ils étaient réactifs et je sentais bien que mes frictions avaient pour conséquence de faire saillir ses tétons.
Cela m’amusait beaucoup, je titillais ses mamelons et souriais d’aise de voir les petits bourgeons de chair pointer à mes sollicitations.
Cependant, il est arrivé que des soirs où, particulièrement excité, je n’eus pas le temps « de sauter en marche ». Ces soirs-là j’étais anxieux et je m’appliquais à nettoyer au mieux les dégâts que j’avais occasionnés, avec un gant de toilette je récurais au mieux le sexe de maman.
Je savais bien que cela était bien insuffisant et je m’angoissais pour quelques jours, et puis l’insouciance et le désir me reprenaient et je la rebaisais de plus belle.
Ainsi passa le temps, il me devint de plus en plus naturel de venir le soir voler des instants de vice auprès de celle qui m’avait donné le jour.
J’étais comme l’amant de ma mère, à ceci près qu’elle ne savait pas qu’elle avait un amant !
Et puis les choses changèrent petit à petit. Maman eut des moments d’angoisse suivis de moments de francs abattements. Je la sentais nerveuse.
Malgré tous les médicaments qui lui furent prescris, rien ne semblait calmer ce qui l’angoissait. Un jour elle est allée consulter notre médecin de famille, et quand je suis rentré, je l’ai trouvée prostrée et pleurant sur le canapé. J’eus comme une intuition, et soudain mon univers s’est effondré.
Je me suis approché de maman, je me suis assis à côté d’elle car mes jambes refusaient de me porter davantage. Elle a continué à pleurer la tête basse et j’étais à ce moment là le plus malheureux du monde. J’ai voulu mettre ma main sur son bras mais elle a reculé avec force. J’étais glacé d’effroi.
Je suis resté là près d’elle un long moment, nous n’avons rien dit ni l’un ni l’autre. Après, j’ai trouvé la force de me lever et de monter dans ma chambre où j’ai pleuré aussi. Je ne sais pas combien de temps cela a duré. Soudain j’ai entendu ma porte s’ouvrir et des pas furtifs s’approcher de moi.
Je n’ai pas bougé de mon bureau, la tête entre mes bras. Une main sur mon épaule me tira de mon chagrin, je relevais la tête, les yeux brouillés par les larmes, je ne vis ma mère qu’à travers un brouillard humide.
— Je te pardonne mon chéri.
Des mots qui se bousculèrent et s’entrechoquèrent dans mon crâne comme des boules de billard électrique. J’éprouvais comme un malaise, ma tête se mit à tourner.
— Tu comprends, je n’ai plus que toi, alors si je ne te pardonne pas, je n’ai plus personne au monde.
Le manège ralentit dans ma tête, les choses semblèrent reprendre un semblant de place. J’arrivais à déglutir un peu, assez pour chasser le fiel qui avait envahi ma bouche.
Maman se trouvait au dessus de moi, l’air grave mais plein d’amour. Elle me regarda tendrement puis m’attira à elle. Je me levais. Elle me prit alors dans ses bras et m’enlaça. Je me laissais aller contre elle, alors seulement elle me murmura à l’oreille :
— J’ai vu le médecin, il m’a annoncé que j’étais enceinte, bien sûr je ne l’ai pas cru. Il m’a pourtant affirmé que cela était. De toute façon je n’avais plus mes règles depuis deux mois et je m’inquiétais.
J’ai réfléchi. Je n’avais pas eu de rapport sexuel depuis le départ de ton père. Il m’a bien fallu me rendre à l’évidence, je ne pouvais être enceinte que de toi !
Je tremblais de honte dans ses bras. Ne pouvant me contenir j’éclatais en sanglots, je défaillais. Maman me retint contre elle, me serra plus fort. Comme je m’agrippais à elle, maman trébucha, m’entraînant avec elle sur mon lit qui se trouvait derrière, où nous nous retrouvâmes tendrement enlacés.
— Ne pleure plus, tenta-t-elle de me consoler.
Ça va s’arranger, j’ai prévenu le médecin que je ne voulais pas de cette grossesse, il va me prendre rendez vous dans une clinique, je vais avorter, n’aie pas peur !
Mon tremblement s’amplifiait à l’écouter me dire ainsi à l’oreille des choses si graves, des choses d’adultes, des choses d’amants pris en faute.
— Allons !… Ne tremble pas comme ça, tout va s’arranger.
Retrouvant ses instincts maternels, maman me caressait les cheveux, tout en me couvrant de baisers. Je sentais avec émotion la chaleur de son corps contre le mien, ses seins contre ma poitrine, ses cuisses contre les miennes, et puis son ventre sur le mien.
Comme si elle voulait se faire pardonner tout ce temps où elle m’avait délaissé, maman n’en finissait pas de m’embrasser. A un moment ses lèvres se posèrent sur ma bouche, surpris je demeurais immobile ne sachant comment prendre ce baiser. Je pensais que dans la fougue qu’elle mettait à vouloir se faire pardonner ces semaines où elle m’avait laissé, livré à moi-même, son baiser avait légèrement dérapé.
Mais ma surprise se transforma en stupéfaction, quand elle s’attaqua à ma chemise qu’elle déboutonna avec une réelle impatience, pour pouvoir caresser ma poitrine.
— Fais-moi l’amour ! M’ordonna-t-elle, le regard chaviré… Je veux que nous fassions l’amour au moins une fois avant que j’avorte, histoire de comprendre, histoire de justifier ce que je vais faire !… Baise-moi mon chéri !
Victime d’une érection magistrale, je ne me fis pas prier pour exaucer le désir de maman. Je roulais sur elle, arrachant mes vêtements alors que ma mère en faisait autant. Je me retrouvais sur elle entièrement nu et la verge dressée. Percevant la dureté de mon désir contre son bas-ventre, maman écarta les cuisses en gémissant :
— Oh oui, mets-la moi !
Je glissais sur son ventre, mon membre rigidifié suivit la fente de son sexe ; trouvant l’entrée et il s’y glissa sans mal. Un long feulement accompagna la pénétration de ma queue dans la chatte trempée. Je donnais alors de violents coups de reins pour prendre possession du vagin torride, enfonçant mon dard le plus profondément possible.
Lorsque mon gland cogna son utérus, maman poussa un long gémissement puis soudainement déchaînée, elle crie à la fois sa douleur, sa rage, et son désir. Je pilonnais rageusement sa vulve dans un bruit mou et spongieux à chaque coup de reins.
Furieusement excité par le fait que je baisais ma mère, qui cette fois était parfaitement réveillée, m’excitais au plus haut point. Je sentais ma queue coulisser dans un magma brûlant. Alors que jusqu’à maintenant je naviguais dans une chatte béante, cette fois-ci je sentais les muscles vaginaux me retenir, entraver ma queue, ralentissant le va-et-vient de mes reins.Photos
Maman gémissait en une longue litanie érotique, poussant parfois de longs cris indistincts quand ma bite plongeait au plus profond de son vagin et venait buter contre son utérus.
— Va doucement, me murmura-t-elle à l’oreille.
Ayant une certaine expérience et voulant prolonger son plaisir, elle avait compris qu’à ce rythme, je risquais de jouir très vite. Comprenant le message, je m’empressais de ralentir le mouvement de mes reins, stoppant presque mes va-et-vient. Dans un mouvement atténué je me remuais au ralentit dans le fourreau bouillant de son sexe.
Nous sommes l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, les yeux grands ouvert maman me regarde fascinée.
— Comment as-tu fait ? Tu es venu dans ma chambre quand je dormais ?
— Oui !
— Tu m’as baisée sans que je me rende compte !
— Oui !
— Salaud ! Tu es un salaud !
Soudainement maman éclata en sanglot, sans que je n’en comprenne la raison. Je demeurais à nouveau désemparé. Seulement voilà que sans le savoir maman m’excitait à pleurer pendant que je la baisais. J’accélérais à nouveau le mouvement de mes reins, la pilonnant de ma verge.
Sous ma soudaine accélération maman se mit à crier en secouant la tête en tous sens. Je la regardais excité, je voulais qu’elle jouisse sous moi. Pour cela je me maîtrisais, donnant des coups de bite réguliers. Elle cria plus fort, en se tordant sous mon pieu planté au plus intime de son corps.
Défigurée par le plaisir, elle me traita encore de salaud en criant, elle hurla que je lui faisais du bien. Secouée par d’incontrôlables soubresauts, son ventre donnait des coups désordonnés, pareil à un cheval sauvage cherchant à désarçonner son cavalier.
J’avais le plus grand mal à rester fiché en elle et sur elle. Véritable hystérique, des sons inarticulés sortaient de sa gorge. Je demeurais fasciné par le spectacle. N’osant plus bouger, je me maintenais juste sur elle. Soudain, dans un râle démesuré elle s’effondra soudain, un cri sauvage, un primal, impressionnant et qui m’impressionna.
Maman venait de jouir sous moi sans que j’aie même le réflexe de jouir à mon tour. Je la fixais surpris par tant de v******e dans le plaisir. Elle me regardait comme si elle me voyait pour la première fois. Alors je repris mes va-et-vient dans son sexe et j’éjaculais enfin à longs jets de sperme qui ne semblèrent plus pouvoir s’arrêter.
Les spasmes se prolongèrent encore et encore, déversant dans son ventre mon flot incommensurable de sperme. Pendant toute la durée de mon éjaculation, maman trembla de tout son corps. Sentant la chaleur de ma semence se répandre en son ventre, elle s’effondra.
— Oh mon dieu! Je ne savais pas que ça pouvait exister !
— Quoi donc maman ?
— Une telle jouissance !
Je l’ai alors reprise dans mes bras et je l’ai serrée fort contre moi. Nous sommes restés ainsi de longs moments. Au bout d’une demi-heure le désir nous a repris et nous avons fait l’amour une nouvelle fois.
Cette fois, tout scrupule était écarté et c’était deux amants qui roulaient sur le lit et personne n’eut pu dire qu’ils étaient mère et fils.
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