J’ai appris à connaître les relations de soumission et de domination avec mon mari. Ces relations ont pris part dans ma vie après quelques années de mariage. Lors de longues discussions, nous avons découvert que nous avions des envies communes. Il s’est révélé très dominateur dans ses fantasmes et mois très soumise contrairement à ma vie active. Nous avons donc décidé de découvrir ces plaisirs très spéciaux. Au fil du temps il a su m’imposer des contraintes, des postures, des ordres concernant ma vie au sein du foyer, à l’extérieur ou dans nos rapports intimes. De femme mariée, je suis devenue sa chienne soumise, prête à tout pour combler ses moindres désirs. Mes tenues ont inévitablement changé, mais aussi mon comportement. Lui totalement en accord avec son nouveau statut de maître, ne se gênait plus pour m’asservir, m’humilier. L’humiliation était sa préférence, il aimait me voir dans cet état, à sa merci et à celles des autres. L’avilissement que je subissais était le moteur de nos fantasmes. Au fil du temps, j’ai appris à être docile, il jouait avec mon corps, mon esprit. Certains soir, des menottes m’emprisonnaient les poignets et les chevilles, un collier ornant mon coup et une laisse pendante sur mes reins. Mon éducation évoluant, ses désirs ont évolués bien sûr, toujours à la recherche de limites repoussées pour son plus grand plaisir. Cette soumission n’est pas constante dans notre vie. J’allie ma vie professionnelle, celle d’épouse et celle de soumise sans trop de contraintes. Je savais que pendant ses temps libres, il se connectait sur internet afin de recueillir des témoignages d’autres dominants et par la même occasion, ils échangeaient entre eux leurs expériences. Il me préparait à être humilier devant des inconnus. Un soir, un homme frappa à la porte. Selon ses vœux quelques heures plus tôt, j’avais pris mon apparence de soumise. Un homme grand se présenta à la porte. Il entra et mon mari, l’invitât à s’assoir sur le divan du salon. Je fus appelé à venir servir l’apéritif. Surprise mais aussi très inquiète de la suite, je me suis présenté à cet homme en bas résille porte jarretelles, string et soutien-gorges ; un collier de chienne auquel pendait une laisse. Sans dire mot, cet homme me regarda avec insistance comme pour s’assurer de ma position docile. Après quelques minutes, il me demanda :
« Tournes toi que je vois la marchandise ! »
Je sentais les regards de ces hommes qui par leur expression m’avilissaient déjà. Je compris, par leur conversation, qu’Alain avait donné à cet homme quelques détails sur mon éducation, mon physique, et s ma docilité. Puis l’homme en noir, me demandât :
« Tu aimes ta position de soumise ? »
« oui je l’aime Monsieur !»
Mon mari me renvoya dans la cuisine. J’attendis presque une heure avant que cet homme m’appelle. Alain et l’inconnu, toujours assis me regardaient avec des yeux pétillants d’excitation. Puis Alain me dit :
« Ton éducation a encore besoin de se parfaire pour que tu devienne une véritable soumise. Ce soir, Arnaud se fera un plaisir d’y apporter sa contribution. »
J’étais désormais à la merci de deux dominants, un que je connaissais tant dans ses envies que ses limites, un autre totalement inconnu à qui je ne devais opposer aucune résistance. Toujours debout, je du à nouveau me tourner. Des cliquetis de menottes se firent entendre et vinrent se refermer sur mes poignets. Monsieur était derrière moi. Il me pencha en avant, pour me regarder à nouveau sous tous les angles. Il dit pour seul commentaire :
« Elle est à mon goût ta salope et je sens que je vais bien m’amuser avec elle! »
Cette phrase me fit frissonner et il pu s’apercevoir de la crainte que je ressentais. Il me fit m’avancer vers la table,. Il écarta mes jambes. Je sentis un objet parcourir mes jambes, mes fesses, mon dos, et quand cet objet arriva au niveau de mon coup je pu voir qu’il s’agissait d’une cravache. La crainte m’envahit encore un peu plus. Il me mis un bâillon sur ma bouche, qu’il serra sur ma nuque. J’étais désormais mains liées avec un bâillon qui m’empêchait de protester au châtiment que j’allais subir. Un sentiment d’humiliation m’envahit à ce moment là, offerte au yeux qui ne se gênait plus pour parcourir mon corps avec ses doigts, s’arrêtant sur les zones les plus intimes. Il palpait mes seins, mes fesses, ma chatte qui malgré moi était trempée de cyprine. Je voyais les sourires approbateurs qui s’échangeaient entre les deux hommes.
« Elle mouille bien ta femme Alain ! »
Ses doigts se faisaient plus pressants sur mon intimité et je ne pus m’empêcher de gémir dans mon bâillon. Écartant mon string, il força mon sexe de deux doigts me pénétrant au plus profond de mon intimité avant de les ressortir et de les replonger à nouveau. Un cri étouffé par le bâillon se fit entendre, et la cravache ne se fit quant à elle pas attendre sur mes fesses.
« Tu n’a pas le droit de gémir ni même de soupirer salope ! »
Je devais serrer les dents et j’étais condamné à me concentrer sur le contrôle de mon plaisir. Toujours penché en avant, mes orifices étaient offert à sa vue. De longues secondes s’écoulèrent avant que ses doigts ne reviennent en moi. Un autre objet prenait par à cette séance pour se pointait à l’orée de mon œillet. Sans ménagement ce plug que je reconnu à sa forme glissa doucement mais sûrement en moi. Il y était calé, de taille honorable, au fond de mes entrailles, sans préparation préliminaire.
« Je désire que tu le garde un long moment en toi, que tu y prennes goût et que quand je l’enlèverai, tu me supplies de le laisser! »
Je ne répondis pas et sans avertissement la cravache me frappa à nouveau.
« Hoche la tête salope pour approuver ! »
Je hochais la tête entre douleur et plaisir en prenant un autre coup de cravache. Il me releva, toujours prise par cet objet que j’avais du mal à accepter en moi. Il m’ordonna :
« A genoux putain ! »
Il m’ôta mon bâillon qu’il remplaça par un foulard de soie qu’il posa sur mes yeux. Prostrée devant lui, je du l’implorer comme je le faisais pour mon mari :
« Je vous en supplie Monsieur de m’utiliser comme une chienne soumise ! »
I ls rirent de mon humiliation. Il s’approcha de moi, m’effleura le visage avec son sexe. Il posa son gland sur ma bouche qu’il me fit ouvrir de ses doigts pour y insérer cette verge encore molle mais d’une taille assez impressionnante. Je me mis à le sucer avec toute ma science. Il ne tarda pas à grossir et à combler cette bouche tant sollicitée par mon mari. Me prenant par les cheveux, il guidait les va et viens, pour imprimer la cadence qu’il souhaitait. Les lèvres déformées de ce sexe, je continuais à l’aspirer du mieux possible, je sentais ses veines se gonfler sous ma langue. Puis, il sorti de ma bouche et m’ordonna :
« A quatre pattes la chienne ! »
Là, il se lâcha sur mes dans le creux de mes reins. Ce liquide chaud, que j’apprécie tant, me souillait désormais. J’ai du rester dans cette position humiliante jusqu’à ce qu’il se rhabille et nous quitte.
« Remercie Arnaud de t’avoir fait l’honneur de s’occuper de toi Michèle ! »
« Merci Monsieur de m’avoir utiliser comme la chienne soumise que je suis ! »
Depuis le jour où j’avais rencontré Monsieur ARNAUD, je n’avais plus subis d’exhibition auprès d’autres personnes, jusqu’au soir, ou mon maître me fit m’apprêter d’une tenue très sexy. Il me fit porter des bottes à talons aiguilles très hauts, une jupe très courte, des bas noir, une guêpière noire très décolleté. Il m’ordonna :
« Met ton collier de chienne et ta laisse Michèle ! »
« Que me réserve tu chéri ? »
Tu verras bien c’est pas l’heure des questions ! »
Nous prîmes la voiture, et il me banda les yeux jusqu’au point de RDV. Au son de sa voix, je compris que c’était une jeune femme qui nous accueillait. Mon bandeau sur les yeux nous entrâmes dans ce lieu ou des voix masculines et féminines se mêlaient. Alain me fit m’asseoir sur un tabouret et enleva le bandeau. Je découvris un lieu, gorgé d’érotisme, de sensualité et sûrement de plaisirs charnels. Les femmes y dansaient pour certaines, les hommes les regardaient avec des yeux lubriques. On m’offrit un verre de téquila. Puis il me prit par la main et m’emmena au fond de cette immense salle, vers un escalier exigu descendant au sous sol. Jamais de ma vie je n’avais vu un tel spectacle, nous étions dans l’antre de la domination et de la soumission. On me dévisageait et l’angoisse s’empara de mon être. Des femmes, plus jolies les une que les autres se soumettaient à mon grand étonnement à de vieux bonhommes plus ou moins bedonnants. Leurs attitudes, leurs gestuelles, ne laissaient planer aucun doute, elles étaient toutes totalement soumises et offertes à ces Maîtres. Puis, Jetée dans cette arenne, nous dument défilés devant ces hommes. Les visages fermés de ces hommes augmentaient mes angoisses. Nous étions dans un marché aux esclaves. Ces inconnus nous évaluaient, en des termes crus et ordurier comme si nous étions des animaux sans conscience. Puis nous avons été chacune notre tour bâillonnées et les yeux bandés. Mon collier de cuir fut crocheté soudainement par une lanière, certainement une laisse qu’on tira pour me diriger vers une partie de la salle. Des mains, se posèrent sur mon corps, où était Alain? Ils ne parlaient pas et ne faisaient que de me tripoter. ne me parlait pas. On m’allongea sur une table froide et l’on m’attacha les poignets et les chevilles aux quatre coins. J’étais là, offerte à je ne sais qui, à je ne sais quoi. Des mains inconnus me déshabillèrent. Je me retrouvais nue, exposée aux regard de cette assemblée de pervers et pour le plus plaisir de mon mari et Maître.
« Elle est magnifique exposée votre soumise cher ami et de surcroits elle magnifique avec des courbe qui donne envie de malmener. »
J’aurais voulu crier et demander d’arrêter cette humiliation mais, le bâillon m’en empêchait. Je sentis une sensation de chaleur sur mon sexe, des doigts le parcouraient, le pénétrait. Je mouillais. Soudain, je sentis un objet qui me pénétrait. Il coulissait lentement de plus en plus profondément en moi. Ma respiration s’accélérait à chaque mouvement de cet objet. Puis on me l’enleva pour le remplacer par un objet plus rugueux et beaucoup plus large. La jouissance que j’essayais de réfréner ne se fit plus attendre. Mes jambes et l’ensemble de mon corps étaient sous l’influence de spasmes violents. On me détacha et on me positionna sur la même table à quatre pattes. Je fus rattaché, et, cambrées de façon à être la plus offerte possible. Mes deux orifices furent sollicités à nouveau. On me lubrifia et je ressenti la même sensation qu’avec Monsieur ARNAUD, mais un plug encore plus gros pris place entre mes fesses. Il entra sans réelles difficultés, offrant la vue de cet orifice si étroit à ces hommes. J’ai senti que plusieurs hommes s’attroupaient autour de cette table de torture. J’étais totalement exhibée, à la merci d’inconnus. Des commentaires fusaient autour de moi. Tous plus ou moins humiliant et crus. Puis vinrent s’abattre sur mes fesses de cuisantes fessées, comme pour me punir de l’image de plaisir que je renvoyais à ces mâles dominants qui ne le toléraient pas. Mon supplice continua, les coups étaient plus rapides, plus précis. Mes fesses s’échauffaient et devaient avoir pris une couleur rouge maintenant. Puis tout s’arrêta, me laissant dans cette position des plus humiliantes. De longues minutes passèrent, ma croupe tendue vers ces mâles qui devaient s’en accommoder. Des cris féminins se faisaient entendre. D’autres filles devaient subir des supplices. Était ce de la torture, des cris de plaisir, je ne savais plus. Le pressentiment que mon tour allait arriver me torturait. Qu’allaient ils me faire ? J’allais sans aucun doute être à nouveau humilier, traitée comme une chienne, un objet de tous les vices, sur lequel toutes les pratiques sont permises. J’entendis des pas arriver à proximité de la table qui m’avilissait. Un homme ôta mon bandeau et mon bâillon. Ils étaient tous masqués. Je fus surprise du spectacle fantasmatique que je découvrais. Autour de moi, les soumises étaient attachées à quatre pattes sur une table les fesses bien hautes, offertes à tous les assauts. Prise par cet étonnant spectacle, je ne sentis pas la cravache qui glissait dans le sillon de mes fesses et je poussais un cri de surprise et de douleur lorsqu’elle s’abattit violemment sur mes fesses. Je reçu aussitôt un deuxième coup pour me faire comprendre que je ne devais pas montrer mes émotions. Une main m’empoigna mes cheveux et les tira violemment en arrière. Une voix rauque me demanda d’un ton sûr d’elle :
« Salope ! T’aimes ce qu’il t’arrive ? »
«Les larmes aux yeux par la douleur et l’humiliation, je lui répondis :
« Oui Monsieur, j’aime être soumise et humiliée pour le plaisir de mon mari. »
« Ça t’excite salle chienne de te donner à des inconnus ? »
« Oui Monsieur. Je suis née pour être aux services des mâles et ça m’excite énormément. »
J’entendis une autre voix dire :
« Je confirme ! Cette pute est trempée. Elle mouille tellement que ça lui coule le long des cuisses. Une vraie chienne en chaleur ! »
Cette soumission devenait une source intarissable de plaisir. Un homme s’approcha en tenant son sexe. Il me caressa avec le contour de mon visage laissant au passage de la sécrétion séminal. Puis il forçat mes lèvres pour me pénétrer la bouche. Ce sexe gonflait dans ma bouche. Plus il prenait du volume, plus il plaquait ma tête contre son pubis. Il était au fond de moi, dans ma gorge pour son plaisir. Je suçais sous la contrainte de ses deux mains qui m’interdisaient toute délivrance pendant que d’autres commençaient à se loger derrière moi. On me touchait, me pelotait les seins, mes fesses cambrées, des doigts couraient entre mes deux orifices, puis s’insinuaient entre mes petites lèvres trempées d’excitation. Mon plaisir augmentait, mes gémissements étouffés s’amplifiaient dans cette salle où se mêlaient souffrance et plaisir. J’étais prise par deux de mes orifices les plus intimes, encore une fois à la merci de ces hommes. Des mains écartaient mes fesses, mes yeux se révulsaient sous le plaisir et la jouissance d’une telle exhibition. L’homme logé dans ma bouche se retira et des doigts le remplacèrent. Ces doigts portaient le goût mon plaisir, ils étaient emplis de ma liqueur. On me fit les lécher, les sucer encore et encore, pendant que d’autres enduits de gel s’occupaient de mon œillet. J’ai bien compris l’intention de cette pratique, qui inévitablement était la prémisse de la future pénétration anale que j’allais subir. Un sexe d’un volume redoutable entra en moi d’un coups. Les coups devenaient violents et s’était désormais moi qui criait et hurlait, de plaisir et de douleur. On me fit à nouveau taire en me distribuant des gifles.
« Ta gueule salope et suce ! »
Le maître qui me sodomisait me tenait par les cheveux ce qui augmentait la cambrure de mes reins. Impuissante, j’encaissais les assauts. J’imagine le spectacle que certains hommes devaient avoir. Est-ce que toutes les filles avaient été traitées de la sorte ? Les coups de butoir dans mes fesses continuaient de plus belle, ainsi que mes cris et la jouissance que j’en éprouvais maintenant. Cet homme faisait de moi sa chose et il m’offrait en spectacle à l’assemblée de plus en plus inquisitrice sur mes talents de femme soumise et d’objet sexuel. Mes cris emplissaient cette salle de tortures et de plaisirs mêlés. Puis d’un coup, mon enculeur se retira, laissant un grand vide et offrant mon trou du cul béant. Il éjacula sur mon dos. Mon cul béant laissait sûrement une vue imprenable de mes entrailles les plus intimes. Celui que je suçais se lâcha au fond de ma gorge et j’avalais son nectar. Alors, ils s’écartèrent pour durant de longues secondes me reluquée sous toutes les coutures. Je soufflais un instant quand, s’abattirent sur mes fesses une dizaine de coups de badine. Je fus, après ces sévices et plaisirs, détachée et attachée par l’anneau de mon collier au crochet du mur qui se trouvait devant moi. Puis le bandeau me fut remis sur les yeux. D’autres cris emplissaient la salle, plus forts que les miens peut être je ne savais plus. S’échangeaient-ils les soumises, quels sévices leur infligeaient-ils ? Je sentis à nouveau des attouchements, des palpations sur mon corps tuméfié de coups de badine et de prises vigoureuses. Ses mains me fouillaient, tâtaient la marchandise, me caressaient les cheveux, je me serais cru sur un marché de bétail. Je fus détachée par mon mari qui me sortis de ce lieu à la fois si terrorisant et si attirant. Il me ramena chez nous et je tombais de sommeil, exténuée par une telle soirée.
Ajouter un commentaire