PROSTITUTION ET CAS EXTREMES
Dans le cadre d’une vie sexuelle normale je n’aurais jamais eu de relations avec certaines personnes sans en avoir vraiment envie mais ma vie sexuelle débridée et le fait que je vendais mon corps pour de l’argent en ont décidés autrement.
Je n’en donnerais que deux exemples extrêmes.
MON PLUS JEUNE CLIENT:
Mon téléphone sonne, je décroche.
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La voix me paraît bien jeune, j’hésite puis je réponds.
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Je lui donne un chiffre.
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Je connais le cas de ces jeunes qui fantasment mais n’ont pas les moyens de leurs ambitions.
Je pense qu’il est refroidit et que je n’en entendrais plus parler comme avec d’autres jeunes qui m’avaient contactés mais je me trompe.
Deux semaines plus tard il me téléphone.
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Il me donne les renseignements.
Je me présente à Compiègne à l’adresse qu’il m’a indiquée à l’heure dite.
Je me trouve devant un immeuble, je sonne à l’interphone après avoir trouvé sur une étiquette le nom qu’il m’avait indiqué.
Je monte au deuxième étage,la porte de l’appartement est ouverte, j’entre.
Un jeune homme blond loin d’être laid et de taille moyenne m’accueille timidement.
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C’est vrai ou c’est faux, je ne vais pas lui demander de justificatif. La situation est bizarre car vu que j’ai trente et un ans j’ai l’impression que je vais m’accoupler avec ce qui pourrait être mon fils.
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Il est très emprunté, je prends les choses en main.
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Il me précède et nous entrons dans une chambre décorée de posters qui correspondent à son âge.
Je me déshabille pendant qu’il me regarde en ouvrant de grands yeux.
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Il s’exécute l’air gêné, je commence à comprendre.
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Il me fixe sans bouger hypnotisé par la vue de mon corps.
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Je m’approche de lui et passe mes bras autour de son cou, je plaque mes lèvres contre les siennes et ma langue pénètre dans sa bouche sans qu’il ne réagisse.
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Je lui explique ce qu’il doit faire et nous échangeons plusieurs baisers, d’abord maladroit ensuite ils’enhardit.
Je prends une de ses mains que je pose sur ma poitrine.
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Il le fait maladroitement.
Je prends un joli pénis dans une main et le masturbe un peu pour parfaire son érection.
Je lui demande de s’allonger sur le lit et à genoux à côté de lui, après lui avoir dit de caresser mon corps et mon sexe, je m’attaque à sa queue.
Je la caresse puis la lèche pendant un moment avant de la prendre dans ma bouche et de lui faire une fellation avec des aller-retour pas très rapides.
Il a trop envie et rapidement son corps bouge, Il se crispe, le plaisir l’emporte, sa queue tressaute dans ma bouche et il gémit pendant que des jets de sperme éclaboussent ma gorge.
Il vient de perdre son pucelage.
J’avale et continue à sucer son membre pour être sure qu’il ne va pas débander.
Je m’allonge sur le dos jambes écartées et lui demande de se mettre sur moi ce qu’il fait, avec une main je guide sa verge vers l’entrée de ma grotte.
En pesant avec le poids de son corps il me pénètre pendant que je le caresse.
Il commence à remuer sur moi mais ses coups de reins ne sont ni rapides ni vigoureux.
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Il s’enhardit et j’accompagne les va-et-vient de sa queue dans mon intimité par des mouvements du bassin.
Il me besogne un moment jusqu’au moment ou son corps se raidit et que je sens sa queue bouger dans mon vagin pendant qu’il y déverse son sperme.
Allongés côte à côte je lui parle en caressant son corps.
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Il pense que c’est terminé, je le détrompe en lui disant qu’il a encore droit à une étreinte et que je vais faire ce qu’il faut pour qu’il aie une nouvelle érection et qu’il puisse encore me faire l’amour.
Je me positionne tête-bêche à côté de lui, je lui indique en tenant une de ses mains comment caresser mon sexe, me doigter et masturber mon clitoris. Il obéit même si timide il n’ose pas se lâcher.
Je caresse son pénis puis le masturbe quand enfin il reprend des dimensions honorables je le lèche partout et insiste sur le gland. Je lui fais une fellation et quand il est de nouveau bien excité ses caresses se font plus appuyées.
Je m’accroupis au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps, j’introduis sa queue dans mon vagin puis je fais avec mon corps des mouvements de haut en bas pour faire coulisser son pénis dans mon intimité. Je m’active pendant un moment pendant qu’il caresse mes seins et agace les tétons.
Je me retire et me mets à genoux la tête sur l’oreiller pendant que sur sur mes indications il se positionne à genoux derrière moi. Son pénis bute contre mon sexe avec une main je le guide vers l’entrée et d’une poussée il l’enfonce en moi.
Cramponné à mes hanches il remue pendant que je caresse et triture ses testicules. Je l’encourage à aller plus vite et plus fort.
Ses ongles commencent à pénétrer dans ma peau et son corps se raidit, il éjacule dans mon vagin en plaquant son pubis contre mes fesses et essayant de faire entrer sa verge au plus profond de mon intimité.
Je me rhabille pendant qu’il va dans la salle de bain puis il remet ses vêtements.
Nous parlons un peu et je lui dis qu’il a ce qu’il faut pour sortir et avoir des relations sexuelles avec des filles de son âge et qu’il doit vaincre sa timidité.
Je quitte l’appartement après l’avoir embrassé sur les lèvres.
MON CLIENT LE PLUS AGE:
Un homme me téléphone, il me demande le prix de mes prestations et me propose un rendez-vous que j’accepte.
Le jour et à l’heure dite je me présente à l’adresse qu’il m’a indiquée.
Je sonne à la porte qui s’ouvre et je tombe nez à nez avec un homme âgé qui pourrait presque être largement mon grand père car à l’époque j’ai à peine 30 ans.
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Marchant difficilement et un peu courbé il me conduit au salon.
Les pièces sont meublées et décorées à l’ancienne et tristes, il s’en dégage une odeur de renfermé.
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Je le regarde: Il est ridé, voûté et n’est pas de la première jeunesse.
Je ne me vois pas faire l’amour avec lui.
Papy me tend une enveloppe, je l’ouvre et je constate qu’il se montre très (trop) généreux.
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Nous discutons un moment et il finit par me convaincre, cela va être difficile car la motivation n’y est pas.
J’ai déjà fait l’amour avec un homme qui avait largement dépassé la cinquantaine et qui paraissait beaucoup plus âgé mais pour ce qui est sexe il tenait la route.
Arrivés dans sa chambre qui ne respire pas la gaieté avec ses meubles, ses cadres et sa tapisserie d’un autre âge.
Il veut m’embrasser, j’accepte bien que je n’en aie pas envie car l’état de sa dentition ne m’inspire pas.
Il colle ses lèvres sur les miennes et sa langue pénètre dans ma bouche et se mêle à la mienne.
L’odeur qui émane de sa bouche n’est pas agréable et en plus il fait durer le baiser jusqu’au moment ou il est à bout de souffle.
Je décide d’agir différemment par rapport à ce que je pratique avec les autres hommes pour ne pas arriver à des problèmes insurmontables.
Je lui demande de s’asseoir sur le lit, je déboutonne son pantalon et en extrait son sexe rabougri dont l’état correspond à son âge.
A genoux je caresse sa queue et la masturbe, elle commence à bander, je la prends dans ma bouche et commence à la sucer énergiquement pendant un moment mais je suis étonnée quand il éjacule dans ma gorge car je m’attendais à plus de résistance.
J’avale mais son sperme n’a pas un bon goût j’aurais du recracher le liquide.
Je me lève et me déshabille lentement en faisant un petit striptease et en ne lui dévoilant que petit à petit mon corps. Il apprécie la bouche ouverte et les yeux qui lui sortent de la tête.
Une fois nue je tourne plusieurs fois devant lui.
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Entre temps il a enlevé son pantalon et son slip et ouvert sa chemise, ce que je vois de son corps ne m’inspire pas.
Je me mets sur le lit à côté de lui et je le masturbe pendant qu’il me tripote partout, il est comme un gosse avec son nouveau jouet.
Papy me fait mal en pinçant et maltraitant mes tétons après avoir peloté mes seins.
Je me positionne pour m’occuper de sa verge que je caresse et masturbe longtemps jusqu’à ce qu’elle commence à reprendre forme puis je la lèche avant de lui faire une fellation énergique.
Il en profite pour agacer mon clitoris, me doigter la chatte et même faire pénétrer un doigt dans mon anus, il touche à tout sans se fixer.
Quand j’estime qu’il est à point je m’allonge les jambes écartées et l’invite à me prendre en position du missionnaire. Il me pénètre et commence à remuer, je l’accompagne à grands coups de reins pendant un long moment sans qu’il n’éjacule.
Ses mouvements sont loin d’être souples et ses articulations craquent, il souffle comme un boeuf et les effluves malodorantes qu’il envoie sur mon visage sont très désagréables pour mes narines.
Vite fatigué il se retire et débande.
Après un petit moment il veut recommencer, je le masturbe longtemps avant qu’il ne bande presque correctement.
Il veut me sodomiser, j’accepte car je connais le résultat.
je me positionne les jambes écartées à genoux au bord du lit, il se met derrière moi et sa queue bute dans la raie des fesses entre l’anus et la chatte. Avec une main je la positionne contre mon anus, avec le poids de son corps il pousse sans que son membre ne pénètre dans mon cul.
l’entrée de mon anus est resserrée et n’a pas été doigtée donc n’est pas agrandie, de plus son pénis en érection n’est pas assez rigide et plie quand il est bute contre mon anus.
Découragé il abandonne.
Tout en le masturbant pour ne pas qu’il débande trop je lui demande de s’allonger sur le dos.
je me positionne sur lui les jambes de chaque côté de son corps tout en tenant sa queue d’une main, je la fait coulisser dans ma chatte et je commence à remuer, nos pubis entrent en contact quand je la fais pénétrer entièrement en moi.
Je caresse son torse et son ventre flasques et bien ridés en pensant à autre chose.
Les va-et-vient de ma chatte sur sa queue sont rapides car je ne veux pas qu’il débande ce qui arrive malheureusement et je doit de nouveau masturber et sucer sa queue pour la remettre à peu près en forme.
Il n’arrête pas de gémir les yeux mi-clos.
C’est un calvaire, je m’acharne longtemps désespérant d’arriver à un résultat, je suis en sueur.
Je suis sur le point d’abandonner quand enfin il se met à râler et que son corps se raidit et tremble, il émet des sons bizarres.
Je sens son pénis tressauter dans mon vagin en délivrant quelques gouttes de sperme.
Papy reste inerte allongé sur le lit les yeux clos pendant que je me rhabille.
Il s’assoit difficilement les yeux dans le vague, je m’inquiète.
<<ça va aller, je vais partir>>.
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Je lui dis au revoir et je quitte la maison décontenancée.
Quand à recommencer avec Papy, oui mais uniquement dans ses rêves.
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