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Jour 1: Dressage d’un Sissy-Slut en chastet&e

Jour 1: Dressage d’un Sissy-Slut en chastet&e



J’avais répondu à une annonce sur internet. Celle-ci était émise par une jeune femme qui cherchait un soumis, un larbin qui lui obéirait. J’avais donc répondu à cette annonce et fixé un entretien avec la femme qui deviendra ma maîtresse. Elle m’avait demandé qu’on se voie dans un café près de chez elle.

Jour 1

Je rentre dans le café. J’avais presque une heure d’avance. Je ne voulais pas faire attendre ma Maîtresse. Comme convenu, je porte un pull rouge pour qu’elle me reconnaissent. Je suis plutôt tendu et je regarde avec excitation toutes les personnes qui rentrent dans le café. Cela fait déjà deux heures que j’attends et je me dis qu’elle ne viendra pas. Finalement, une jeune femme au long cheveux brun rentre. Je trouve que c’est la plus belle femme au monde. Elle porte un top rose et un mini-short en jeans. C’est pieds sont chaussé de fines sandales. Mon regard reste fixé sur ses magnifiques orteils. Elle se dirige vers moi et j’ai le coeur qui bats de plus en plus vite.
– Salut, c’est toi Jean ?
Je déglutis et sors de ma bouche un « oui » à peine perceptible. Elle me fait un sourie et s’asseye à ma table.
– Donc tu es Jean, le larbin qui est prêt à tout pour moi. C’est bien ça ?
– Oui, enfin …
Elle me coupe la parole.
– Quoi ?! Tu crois que tu es le seul à vouloir être à mes pieds ? Il y en a plein d’autres. Donc si tu n’est pas content casse toi et ne me fait pas perdre mon temps.
Je suis gêner car les autres personnes du café pouvaient nous entendre. J’essaie donc de la calmer.
– Non, s’il vous plaît prenez moi. Je ferais tout pour vous.
– Très bien, si tu veux devenir mon chien tu devras passer quelque test et je déciderai ensuite. Mais, je veux bien te laisser une chance.
– Oh merci, mademoiselle.
Elle tape de la main sur la table.
– Mais tu te prend pour qui ?! Tu m’appelle Princesse, ni Madame, ni mademoiselle mais Princesse !
– Je suis désolé Princesse.
– Bon, viens ! On va aller chez moi. Je vais te montrer où tu vas vivre et on parlera des nouvelles règles.
Je n’avais pas demandé le nom de ma Princesse. C’était une très belle femme. Elle était vraiment super bien foutu. Je bandais à peine je la regardais. Nous sommes sortis du café et nous sommes allés chez elle. Elle habitait un appartement dans un petit immeuble de 4quatre étages. Elle rentre et va s’asseoir sur le canapé du salon et me dit :
– Apporte-moi un verre d’eau et viens par-là.
Je m’exécute donc et lui apporte son verre d’eau. Je voulais m’asseoir à coté d’elle mais elle me lance :
– Putain, mais tu te prends pour qui ?! T’es un chien et un chien ça se met parterre. Aller ! Vite à quatre pattes devant moi !
Je fait le plus vite possible et je me mets à quatre pattes devant elle. Je ne peux empêcher mon regard de tomber sur ses pieds.
– Tu kiffes mes pieds, n’est-ce pas ?
– Oui beaucoup.
Vlam, je me prends une claque.
– Lorsque tu t’adresse à moi tu dois finir tes phrases par Princesse.
– Oui, Princesse.
– Bien, mets toi à poil.
J’était super géné car j’avais une érection. J’enlève mes habits et je me trouve tout nu devant ma Princesse.
– Hahaha, il est tout excité ! En plus, tu n’as encore rien vu. Je vois que tu as une petite bite. Ca veux dire que tu seras bien docile. N’est-ce pas ?
– Oui, Princesse.
– Dis que tu as une petite bite qui ne sert à rien.
– J’ai une petite bite qui ne sert à rien.
– Hahaha ! C’est bien mon toutou ! Dis moi, c’est quand la dernière fois que tu as fait l’amour ?
– Il y a 6 mois, Princesse.
– Rolalala, tu dois être excité n’est-ce pas ?
– Oui tellement !
Vlam, je me prends une claque.
– Excusez-moi Princesse. J’ai oublié Princesse.
– Fais attention ! Je vais te tester une semaine. Si tu es à la hauteur, je te garderai pour poursuivre ton dressage. Ok ?
– Oui Princesse.
– Enlève mes sandales !
Je m’exécute et elle me demande de masser ses pieds. Je lui fais un massage. Elle a des pieds magnifiques. Je voulais tant les lécher. Puis elle se lève. J’avais toujours mon érection. Elle se tourne et met ses fesses devant le visage. Son mini-short était si court que le bas des ses fesses étaient visible.
– Aller mon chien, embrasse le cul de ta Princesse !
Je commence à embrasser ses fesses mais elle se retourne et me mets un claque.
– Quand ta Princesse te fait un cadeau tu dois la remercier.
– Excusez-moi Princesse. Merci beaucoup Princesse.
– Bon, suis moi ! Je vais te montrer ta chambre.
Elle m’emmène alors dans sa chambre puis elle ouvre une porte qui était en fait sa penderie. Il s’agissait d’une chambre de deux mètres sur deux. Le sol était jonché par ses chaussures. Elle me dit avec un sourire.
– Tu vas kiffer de dormir là, parmi toutes mes chaussures. N’est-ce pas mon toutou ?
– Oui Princesse. Merci Princesse.
– C’est bien tu apprends vite. Vas les renifler !
Alors, toujours à quatre pattes je vais sentir ses chaussures. J’ai vraiment l’impression d’être un chien. Elle rigole.
– Hahaha, J’adore ! T’ai vraiment un petit chien toi. Tu kiffes sentir mes chaussures. Aller, renifle bien l’odeur de ta Princesse. Hahaha !
Je continue à sentir les chaussures et je suis très excité en sachant qu’elles appartiennent à une si belle femme. Je me sens prêt à faire n’importe quoi pour elle ; pourvu que je reste à ses pieds. Elle s’en va dans sa chambre, s’asseye sur son lit et m’appelle :
– Viens mon petit chien, j’ai un cadeau pour toi. Assis ! Là, à mes pieds !
En pointant de son index le sol devant ses pieds croisés. Je m’agenouille donc devant elle. Elle me montre un collier en cuit noir.
– Regarde ! Tu auras un joli collier comme un vrai chien. Viens que je te le mette. Hahaha !
Alors, j’approche ma tête. Lorsqu’elle me mettait le collier, on pouvait voir dans ses yeux à un grand plaisir à la fois parce qu’elle voyait que j’étais prêt à subir toutes ses humiliations mais aussi parce que elle marquait, avec ce geste, sa suprématie sur moi. Elle brandit une laisse et y attacha le collier.
– En plus, j’ai une laisse pour te tirer où je veux. Hahaha ! Je pourrais aussi t’attacher.
Elle me regarde avec un sourire puis fronce les sourcils et me dit :
– Alors ?! Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci, Princesse. Vous êtes si belle. Merci de me prendre comme chien, Princesse.
– Hahaha ! C’est pas encore sûr que je te prenne mais j’aime les compliments. Aller, viens on retourne au salon et je vais t’expliquer les règles.
Alors, elle se lève et part en sautillant en direction du salon. Elle tire sur la laisse ce qui me fait tomber à plat ventre puis j’essaye de la suivre tant bien que mal. On arrive au salon. Elle pointe son doigt devant ses pieds et je comprends, sans qu’elle n’ait rien dit, que je dois m’agenouiller devant elle. Elle sourit et me dit :
– Tu me trouve belle et tu serais prêt à tout pour moi ?
– Oui, Princesse. Je vous trouve magnifique et je ferai tout pour vous, Princesse.
– Mmmmh, très bien. Alors voici les règles. Tu feras tout ce que je te demande et si t’es pas content tu te casse sans retour. Dac’ ?
Elle me vois un peu hésiter avant de répondre. En effet, que voulait-elle dire par « tout ce que je te demande » ? Elle me prend par le menton et lève ma tête pour me regarder dans les yeux. Je n’avais encore jamais contemplé le visage de ma Princesse d’aussi près et si longuement. Elle a des yeux vert magnifique, des lèvres roses et une peau lisse. Je me dis que je ne pourrais jamais avoir une femme aussi belle. Elle regarde mon sexe en érection. Un petit sourire s’affiche sur son visage. Puis elle relève ses yeux vers les miens. Elle me dit :
– Tu sais, je ne vais pas te demander des choses impossibles mais tu seras comme un objet pour moi. Tu partageras mon quotidien mais aussi mon intimité. Hihi. Alors ?!
– Oui, Princesse. Je le ferai. Merci, Princesse.
-Mmmmh, très bien. Voici, les règles journalières. Tu te réveille à 6h00. Tu me prépare le petit déjeuner pour 7h30. A midi, tu me sers le repas. Et à 19h00, le soir. Toi, tu mangeras les restes. La journée, tu fais la lessive et le ménage. Devant moi, tu es toujours à quatre pattes ou à genoux sauf si je te demande de te mettre debout. Les courses c’est toi qui les fait et je te donnerais sûrement encore d’autres ordres plus tard. C’est clair pour les repas ?
– Oui, Princesse.
– Maintenant parlons de sexualité. Alors, est-ce que tu voudrais me baiser ?
Je suis surpris par la question. Je dis d’une voix hésitante.
– Euuh, oui Princesse.
– Hahahaha !! Répugnant ! Jamais tu me fera l’amour. Tu te prend pour qui ?! Ecoute bien, petite bite. Si tu veux être mon chien, c’est fini tout ça. Dorénavant, tu seras aussi ma pute ! Hahaha. Tu comprends ? Alors, c’est fini la zigounette. Ta petite bite, on la mettras dans une cage de chasteté et c’est moi qui aura les clefs. Et parfois, si tu es sage, je te l’enlèverai. Est-ce que ça te vas ?
J’étais si excité qu’elle me frustre autant et elle semblait vraiment aimer ça. Je dit :
– Oui, Princesse.
– Cool ! Alors, on ira t’acheter une cage demain. Et ce soir, on fait une fête pour le dernier soir de liberté de ta petite bite. Tu es content ?
– Oui, merci Princesse.
– Je suis trop contente. Attends-moi ici.
Elle se lève, va dans sa chambre et elle revient avec des menottes et un énorme gode. Elle m’attache les mains dans le dos, se rassis devant moi avec le gode dans la main.
– Tu vois cette taille. Ca, c’est une bite, pas ce que tu as. Regarde la différence !
Elle frotte le gode contre mon sexe. Je sens l’excitation monter en moi. Et soudain, j’éjacule à peine une goutte mais je n’avais pas atteint le plein orgasme. Ma Princesse le voit. Elle prends la goutte de sperme avec le gode et me l’ammène à la bouche.
– Aller, suce, salope ! Ca mouille quand ça voit une bite.
Elle m’enfonce le gode dans la gorge. Elle me tient l’arrière de la tête et fait des vas et viens avec le gode. Pendant ce temps, elle joue délicatement avec le bout des ses orteils et ma verge. À chaque fois que je suis sur le point de jouir, elle arrête de stimuler avec ses pieds. Mais j’éjacule quand même un peu. Au bout de trois ou quatre orgasmes ruinés, elle me sort le gode de la bouche et me dit.
– Regarde, mon pieds. Regarde ! Tu as mouillé comme une salope quand tu sucais cette bite. Hahaha. T’es vraiment une petite pute.
N’est-ce pas ?
– Oui, Princesse.
– Dis le !
– Je suis une petite pute.
– Hahaha ! Trop bien. Répette après moi. Les petite putes aiment le sperme et je suis une petite pute.
– Les petite putes aiment le sperme et je suis une petite pute.
– Tiens petite pute voici du sperme.
Me dit-elle en bougeant son pieds enduit de ma semence. Je me baisse et je commence à lécher le sperme. J’avale tout. Une grande excitation monte en moi. J’adorais être humilié par une si belle femme. Une fois le pied propre, elle m’ordonna d’arrêter et me lança :
– Tu es toujours excité ?
– Oui, Princesse.
– Mais dis donc, tu es une vrai salope. Dis le pour moi !
– Je suis une salope.
– Dis que tu es une salope qui aime prendre dans le cul !
– Je suis une salope qui aime prendre dans le cul.
– Oh, ça tombe bien regarde ce que j’ai : un gode. Tu le veux pour jouer avec ton cul ?
Je sais que je n’ai pas le choix. Alors je réponds
– Oui, Princesse. S’il vous plait, Princesse.
– Hahaha. Trop drôle. Tiens, joue avec ton cul, salope ! Hahaha.
Je prends le gode et je commence à l’enfoncer en moi. Mais j’avais de la peine à la faire rentrer. Ma Princesse s’impatientait.
– Aller, plus vite. Je veux voir ce gode enfoncé profondément dans ton cul.
Je réussis enfin à la rentrer. Ca faisait mal mais c’était aussi très agrèable. Je faisais des vas et viens et elle me disait d’aller plus vite. Je sentais comme tout mon corps qui se raidissait et je n’arriver plus à suivre le ryhtme. Alors je me mis à crier :
– Je peux plus Princesse.
– Comment ça ?!
Elle tira sur la laisse, écrasa ma tête dans le canapé en s’asseyant dessus et me pris le gode. Elle commença à l’enfoncer profondément dans mon cul et la sortait rapidement.
– Tu n’y arrive pas ?! Mais je vais te montrer espèce de salope !
Elle semblait énervé que je n’ait pas obéi. Elle continua avec le gode et me branla avec sa main. Elle allait très vite. Et là je me suis mis à jouir.
– Aller, crie comme une salope.
Alors je fis de petits cris tandis qu’elle continuait à m’enculer. Alors, que mon excitation était descendu mon corps se détendu. Mais elle continuait avec le gode. Puis, enfin, elle arrête. Elle se lève et tire sur la laisse. Elle montre du doigt le sol aux pieds du canapés.
– Regarde, la merde que tu a foutu. Vas-y lèche moi ce sperme !
Je me mets de suite à lécher le sol et à nettoyer mes saletés avec ma langue. Une fois terminé, elle me tire avec la laisse en direction de sa chambre. Elle va s’asseoir sur le lit et je comprends que je dois me mettre devant elle, la tête baissée. Je sens son regard sur moi. Elle se met sur le ventre, son visage au bord du lit. Elle me demande de la regarder. Je me retrouve face à son visage. Je la trouve si belle. Elle me sourit. Je ne sais trop pourquoi mais je lui sourit aussi. Elle me dit :
– Tu sais dans le fond, on est pas si différent l’un de l’autre. Comme toutes les filles, je rêvais d’être une princesse. Certaines voulaient être la princesse d’hommes beaux, riches, droles ou intelligents tandis que moi je voulais être la princesse des faibles. Hahaha. Ce que je veux dire c’est que j’ai toujours aimé dominer les gens. Par la, je veux dire que j’appéciais que l’on m’obéisse. Et de savoir que quelqu’un peut exécuter tous mes ordres me fait plaisir. Alors, j’ai très vitre compris qu’il me faudrait une personne qui serait prêt à subir des choses humiliantes pour moi et ça c’est aussi une forme de perversion. Non ? Mais, Il y a une seule différence entre moi et toi, c’est que c’est moi qui tient la laisse. Ça veut dire que c’est moi qui commande, qui prend les décisions pour toi. Tu ne peux prendre aucune décision sans moi. La seule chose que tu peux faire c’est mettre un terme à tout mais tu ne le feras pas. Tu tomberas amoureux de moi et peut-être que tu te demanderas si c’est réciproque. Je vais te répondre aujourd’hui : Non. J’aime ta présence uniquement parce que tu feras les taches ménagères et assouviras mes désirs un peu sadiques. En fait, je pense que jamais je n’aimerais personne plus que moi-même et tu en feras de même.

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