Salut tout le monde,
Alors voilà, je ne suis pas nouvelle sur le site puisque je viens souvent lire vos histoires qui me font beaucoup d’effet je dois dire. Je n’ai jamais posté d’histoire qui m’est arrivé, et celle ci est la première, donc n’hésitez pas à me laisser un commentaire..!
Donc je me présente, je m’appelle Isis et j’ai tout fraîchement 18 ans, mais ne croyez pas que mon jeune âge ne me permet pas d’avoir de nombreuses expériences sexuelles. C’est vrai que beaucoup de mecs me sont passé dessus, et j’assume être une grosse salope assez soumise et qui aime la bite. Je dis grosse, mais ce n’est pas le cas : en effet, je suis une grande blonde aux cheveux longs et aux yeux verts, environ 1m70 pour 52 kilos, mais cela ne m’empêche pas d’avoir un petit cul bien rebondi et une très belles poitrine, qui a su charmer pas mal de mecs je dois dire. J’ai un mec depuis un petit bout de temps quand même, mais cela ne m’empêche pas d’aller voir souvent ailleurs, en toute discrétion bien sur puisqu’il ne faut surtout pas qu’il le découvre. Dans la vie de tous le jours j’adore avoir le contrôle de la situation, mais au lit, c’est l’inverse, j’aime qu’on me domine et qu’on me contrôle complètement. Bref, après cette introduction, voici ce qui m’est arrivé il y a deux jours, c’était vraiment bon, tellement que rien que d’y penser j’ai la culotte trempée et je me devais de le faire partager …
Que je vous situe le contexte : ça fait bientôt 16 ans que je vis avec mes parents dans le même appartement parisien, et ça fait tout aussi longtemps que mon voisin de palier y habite également. Ce voisin a un fils, Victor, qui a six ans de plus que moi, et a donc 24 ans aujourd’hui. Depuis je ne sais combien de temps, ce mec me fait énormément fantasmer, je ne saurais compter le nombre de fois où j’ai rêvé qu’il me prenait comme une bonne chienne soumise, qu’il introduisait sa bite que j’imagine énorme au plus profond de moi. Et c’est un rêve qui s’est réalisé. Victor est très beau, et, pour vous donner une idée, c’est la définition même du brun ténébreux : il est grand, assez musclé mais pas trop, juste comme il faut, les cheveux sombres et en bataille, des yeux profonds qui pétrifient au moindre regard, et une voix douce mais puissante, qui ferait fondre et trembler les plus solides d’entre nous. Je ne le connaissais pas vraiment, on se croise depuis 16 ans en se disant simplement bonjour dans le couloir, mais c’est tout, malgré mon fort caractère je n’ai jamais eu le cran d’aller réellement lui parler.
Un dimanche matin alors que mes parents étaient partis à la campagne, j’étais restée à Paris pour travailler (et surtout avoir l’appart pour moi), quand quelqu’un sonna à la porte. Il faut savoir qu’il était assez tôt, et j’étais en train de prendre mon petit déjeuner, en pyjamas (large chemise d’homme trop grande, et une simple culotte noire en dentelle, qui ressemble plus à un string qu’a une culotte en fait). Je me lève pour aller voir qui sonne à cette heure ci.
J’ouvre la porte, et là, c’était lui. Victor. Plus beau que jamais. Il devait venir de se réveiller, vu son pyjamas, qui n’était qu’un simple bas, laissant son torse nu (oui, je vous jure, il avait osé venir sonner chez ses voisins torse nu!!), et vu son air peu réveillé qui aurait été repoussant chez n’importe qui d’autre, mais qui lui, le rendait encore plus attractif. Il avait un torse encore plus beau que je ne l’aurais imaginé. Rien que de le voir comme ça me fit mouiller abondamment. Il venait me demander si je ne pouvais pas le dépanner d’une brique de lait, puisqu’il n’en avait plus pour son petit dej et que les magasins étaient fermés. Bien évidemment j’accepte, et je l’invite à rentrer, tout en le guidant dans la cuisine.
J’étais pétrifiée. J’avais l’impression d’être dans un mauvais film porno au scénario auquel personne ne crois, style le coup du plombier. Pendant que je me baissais pour att****r une brique neuve dans la réserve, je sentais ses yeux reluquer mes fesses qui se dévoilaient puisque ma chemise trop grande remontait. Je dois dire que je faisait aussi un peu exprès de bien me cambrer pour lui donner envie… Je me relève et lui tend sa brique de lait, en espérant au plus profond de moi qu’il ne parte pas tout de suite. Alors que je me torturais l’esprit pour trouver un moyen pour le retenir, l’inespéré arriva. En me regardant dans les yeux il me dit :
« Dis donc c’est quand même dommage qu’on ne se soit jamais parlé alors qu’on habite dans le même immeuble depuis qu’on est enfants…
– Oui c’est sur, mais bon, je ne savais pas comment t’aborder vu que tu es pas mal plus âgé que moi et que je ne suis qu’une gamine qui ne t’intéresse pas.
– Tu es loin de ne pas m’intéresser, crois moi… J’ai peut être juste attendu.. le bon moment pour te parler ? »
A ce moment là, j’ai commencé à croire qu’il pensait à la même chose que moi… Plus il me parlait, plus je mouillais comme une salope et plus j’avais envie q’il me baise, la, maintenant. L’atmosphère commença à monter quand je lui dit qu’il avait quand même du culot de venir a moitié nu sonner chez ses voisins. Il me répondit : »Ah ne t’inquiète pas, je savais que tes parents n’étaient pas là, je les ai croisés en bas de l’immeuble quand ils chargeaient la voiture pour partir… ». DONC, il savait. Il savait que j’étais toute seule et il a donc fait exprès de venir chez moi ainsi vêtu, parce qu’il avait la même idée en tête que moi…
Je n’ai rien dit ni rien fait, a part soutenir son regard, statique, et il s’est alors approché de moi, et a commencé à me tourner autour, en me matant de haut en bas, comme si j’étais un vulgaire mannequin dans une boutique. Je ne bougeais pas, j’étais tétanisée. Pendant qu’il tournait, il commentait mon corps en disant par exemple « quelles jolies petites fesses que tu as là, de vraies fesses de salope dis moi ». Il y avait dans sa voix quelque chose de pervers, mais de terriblement sexy. Là, étant dos à moi, il me donna une petite claque sur la fesse. Je ne bougeai pas. Voyant que je me laissais faire, il empoigna à deux mains mes deux fesses, sauvagement, et les serrait tellement fort qu’il a du laisser des marques. Toujours dos à moi, il s’approcha doucement de mon oreille et me dit en chuchotant au creux de celle-ci : « t’es une vraie salope en fait toi hein… Tu ouvres la porte à moitié à poil, tu te laisses toucher le cul par un inconnu, donc t’es vraiment une sale fille hein… » J’avais les yeux fermés, j’étais immobile, brûlante de désir mais en même temps terrifiée par ce ton qui faisait presque peur. « Tu sais ce que je fais moi au salope de ton genre hein ? Répond ! » Difficilement, je lâchai un faible « Non », même si j’imaginais bien ce qu’il allait me faire. D’un coup, alors qu’il était toujours derrière moi et qu’il serrait toujours mes fesses, il plaqua mon cul contre sa bite que je sentais déjà toute dure, et qui m’avait l’air aussi grosse voir plus que dans mes rêves coquins. Il me plaqua la tête contre la table de la cuisine, tellement fort que je ne pouvais plus bouger et j’étais obligée de me cambrer encore plus comme une chienne. Il me dit alors « Tu vas devoir assumer de m’avoir chauffer pendant toutes ces années grosse pute, avec ton petit cul que tu roulais bien devant moi dans tes jeans hyper slim… Et t’as pas intérêt à ouvrir ta belle gueule, c’est moi qui commande maintenant. » Qu’il me parle comme ça me faisait mouiller encore plus, j’étais devenue son jouet, sa chose, et j’aimais tellement ça.
Il a commencé à me donner des fessés sur mon cul presque entièrement dévoilé par ma fine culotte transparente en dentelle. Au fur et à mesure qu’il me fessait, je sentais mon fessier devenir rouge, et j’avais de plus en plus chaud ; je n’avais qu’une envie, c’est qu’il me baise à fond. Alors que j’avais encore la tête plaquée contre la table, il insinua un doigt puis deux dans ma chatte déjà trempée.
« Eh ben, tu mouilles comme une salope toi, t’as l’air de kiffer.. » Il descendit alors ma culotte et la jeta plus loin, j’étais donc cul nu devant lui, complètement soumise, ne pouvant rien faire. Il me doigta alors énergiquement, avec trois doigts cette fois, tout en continuant les fessés. Je ne pouvais m’empêcher de gémir, et la table sur laquelle j’étais appuyée commençait a bouger, alors que je prenais de plus en plus mon pied. Il me dit alors : « Je veux pas que tu jouisse tout de suite, tu vas d’abord me sucer la queue sale chienne. » J’adore qu’on m’insulte dans ces situations là. Il m’attrapa alors violemment mes longs cheveux et me jeta à quatre pattes sur le carrelage froid, tout en sortant sa bite qui était déjà toute dressée et dure, et qui était juste gigantesque. Des grosses bites j’en ai vu beaucoup, mais de cette taille là, vraiment rarement, c’était même la plus grosse que j’ai jamais vu je pense. Dès lors j’ai su que j’allais me faire défoncer. En me maintenant toujours les cheveux fermement, et il remplit alors entièrement ma bouche de sa bite, et m’imposa directement un rythme très rapide. Il me baisait littéralement la bouche et je m’étouffais presque avec cet énorme engin au fond de la gorge. Il m’ordonna alors « Regarde moi dans les yeux grosse pute, comme il se doit, t’es ma salope maintenant. » Et je m’exécutai, je le regardai droit dans les yeux même si ses coups de bites au fond de ma gorge commençait à me faire presque mal. Mais la douleur est une chose que j’aime bien dans le sexe. Je léchait sa bite tendue, du mieux que je pouvais même si je ne contrôlais pas grand chose, j’étais vraiment réduite au statut d’objet.
D’un coup, toujours par les cheveux, il me retourna violemment et me plaqua de nouveau contre la table, en position de levrette. Il entra alors sa bite, sans prévenir, dans ma chatte qui était tellement humide qu’il n’eut aucun mal à toucher directement le fond de mon vagin, ce qui me fit pousser un cri de douleur et de plaisir. Il me dit alors « Ah, t’aime ça hein, les bonnes grosses bites dans ta chatte de salope hein, eh bien maintenant tu vas prendre cher ». Et il commença les vas et viens brutaux, qui me remplissait entièrement, et faisait bouger tout mon corps ainsi que la table sur lequel je m’appuyais. Il tira encore plus fort mes cheveux, ce qui me coupa le souffle et m’obligea à me cambrer encore plus, alors qu’il allait de plus en plus fort dans ma chatte. Il lâcha un instant mes cheveux pour me donner une fessée, et pris alors à demain mes hanches pour me pilonner encore plus profondément, même si je pensais qu’il était déjà au max. Il me défonçait littéralement la chatte, je n’en pouvais plus, je criais comme une salope en chaleur, et c’est vraiment ce que j’étais. Il me repris les cheveux et me ramena le dos contre son torse, et commença à triturer mon clitoris. Il me dit « Vas y jouis, jouis ma petite chienne, vas y » et sur ces mots, j’ai eu un orgasme très puissant qui fit trembler tout mon corps. J’ai a peine eu le temps de m’en remettre, qu’il me plaqua violemment sur le mur, face à lui. J’étais oppressée par son corps musclé en sueur, et il me regarda dans les yeux, en m’insultant encore, et en me pilonnant d’avantage. C’était tellement brutal et a****l que j’avais presque l’impression de me faire violer, tellement j’étais contrôlée par ce jeune homme, maître de tous mes fantasmes. Il allait de plus en plus fort, j’avais mal et je criais vraiment très fort, nos voisins ont du me haïr.
Puis soudainement, il m’appuya sur les épaules et je me suis encore retrouvée à genoux sur le carrelage froid, et il m’ordonna de le sucer une nouvelle fois. Je m’exécutais, soumise encore une fois à son rythme qu’il m’imposait en m’appuyant durement sur la tête. Puis dans un soupir profond, il me fit avaler tout son précieux liquide blanc qui coulait avec abondance dans ma gorge.
Il relâcha alors mes cheveux, et m’aida à me relever. Tout en m’aidant, il me lâcha un « T’as vraiment été à la hauteur de mon espérance, j’espère que t’as aimé parce que ça risque de se reproduire souvent…Tu n’es pas au bout de tes surprises ma petite chienne »
Il me laissa alors là, vidée de mon énergie, et retourna chez lui en m’ayant déposé un baiser sur la joue, et sans même prendre la brique de lait, ce qui prouve qu’il n’était vraiment venu que pour me baiser.
Je peux vous dire que je vais m’en souvenir longtemps de cette histoire, et je n’ai qu’une hâte, c’est qu’il resonne à ma porte pour me baiser encore et encore.
A bientôt je pense…
Isis
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