Bonjour
Je m’appelle Baya. J’ai 41 ans, je vis au Tipaza. J’ai une position important dans une grosse compagnie ce qui fait que je voyage beaucoup. Je suis mariée et nous avons 2 enfants. Je mesure 1m69 et pèse 59kg. Je suis en bonne forme et j’ai ce qu’il faut pour attirer les hommes. Une poitrine naturellement ample (90C) et ferme, des fesses qui restent douces et fermes et des jambes longues. Je suis un peu allumeuse bien que je reste toujours habillée avec classe. Je porte souvent des talons hauts qui attirent l’attention des hommes. Mes ensembles de vêtements reçoivent toujours des commentaires positifs et des regards intéressés d’hommes. Tout ça sans m’habiller avec des minijupes (plus depuis quelques années) ou des décolletés ridicules. Bref j’aime être habillée avec classe et charme. Ce que beaucoup ignorent est que j’aime aussi porter de la lingerie sexy sous mes habits plus BCBG. Je ne porte que rarement des collants et plus souvent des bas par exemple.
Ce que je vais raconter dans cette histoire s’est produit il y a quelques mois. J’aime que l’on admire ce que je porte et que cela excite mon amant.
Jusqu’à ces événements je n’avais pas trompé mon mari. Il semble que quelque chose se soit ouvert en moi qui fais que ma sexualité ait changée.
Voici les faits.
J’allais à une conférence en tunisie pour ma compagnie. Cela se passait dans un grand hôtel dans le nord est pendant l’hiver. Lors du premier soir je rencontrai une ancienne connaissance, Nadir. Nadir et moi avions travaillé ensemble auparavant mais maintenant nous étions dans deux compagnies différentes. Nous avons parlé quelques temps pendant la réception. Il me raccompagna vers ma chambre en parlant. Je pense qu’il était intéresse et cela devint plus évident lorsque il fit un commentaire plaisant sur mes vêtements (cela me fait toujours plaisir) « Toujours la mieux habillée » me dit-il. Je dois dire que je le trouvais plutôt attirant. Grand, bien bâti, beaux cheveux, plutôt bel homme. Il me souhaita bonne nuit avec un grand sourire. Nos mains se touchèrent brièvement.
Je n’ai pas revu Nadir pendant la journée pleine de diverses conférences mais le soir nous avions le choix d’activités. J’avais choisi d’aller à la discothèque comme d’autres de mes connaissances. Je fus heureuse de voir que Nadir serait là aussi. Comme il faisait froid dehors je m’étais habillée aussi sexy que je pouvais pour une conférence. Je voulais être sexy pour cet homme que je connaissais à peine. Je portais un ensemble de soutien gorge, slip brésilien et porte-jarretelles en dentelle noire avec des bas noirs. J’avais une jupe noire assez étroite qui s’arrêtait au dessus du genou et un pull rouge boutonne sur l’avant. Une veste en cuir noir cintrée allait avec mes bottes noires en cuir montant juste en dessous du genou avec des talons de 5cm. Nadir m’approcha tout de suite et fit des chauds compliments sur mon look. Nous arrivons ensemble à la discothèque et alors que nous attendions dehors il s’approcha tout contre moi en me regardant dans les yeux. « Il fait froid non?” Dit-il. Un frisson me parcouru la peau. Ce commentaire n’était pas innocent ou était-ce ma tête qui me jouait des tours.
Dans le club les gens de la conférence se retrouvaient en petits groupes pour discuter et triquer. Nadir m’approcha plusieurs fois et nous avons discuté un peu mais nous ne pouvions pas parler en privé. Lorsque beaucoup de nos collègues furent partis il me rejoint et nous pouvions parler il me rejoint et nous pouvions parler en tète à tète. Il m’invita à danser ce que j’acceptais avec joie. Les deux premières chansons étaient pop mais la troisième était un slow. Il m’enlaça soudain et nous commençâmes à danser. Je regardais autour de moi pour voir s’il restait des gens de la conférence. Nos corps étaient vraiment serrés l’un contre l’autre. Après cette danse je me sentais toute… bizarre. Un sentiment que je n’avais pas eu depuis des années.
Nous retournâmes à notre table dans un coin sombre de la discothèque. Nous nous regardâmes longuement dans les yeux sans rien dire. Sa main toucha ma cuisse. Comme je ne le repoussais pas, il devint plus audacieux et remonta lentement de mon genou vers ma cuisse. Il remontait ma jupe et sa main effleurait mon bas. Lorsqu’il arriva au haut de mon bas, le contact de ses doigts sur ma peau fut comme un signal électrique. Je remarquais un air de surprise sur son visage. Il n’avait pas l’habitude de rencontrer des femmes portant des dessous si sexy pour une conférence je suppose. Je lui souris en prenant un air un peu innocent. Comme une petite fille prise par surprise en train de faire une bêtise. Il se pencha vers mon oreille et me dit « J’ai voulu être avec toi depuis longtemps. Tu me rends fou. J’adore ta façon de t’habiller, de te tenir. Tu as tellement de classe mais tu es aussi si sexy”. Cela me fit fondre. Je n’avais pas entendu ces mots que j’aime tant depuis longtemps. Je le laissais explorer mes cuisses, il sentit mes jarretelles puis ma culotte. Je commençais à devenir mouillée. Je me moquais de qui pouvais nous voir à ce moment. Ma main se posa sur sa cuisse et alors qu’il massa lentement ma cuisse, j’en fis de même sur la sienne. Je voulais monter plus haut mais je fus capable de me retenir. « Retournons à l’hôtel » lui dis-je avec une voix hésitante. Nous sommes sortis de la boite l’un après l’autre pour ensuite monter dans un taxi.
Pendant les 10 minutes passées dans le taxi nous nous sommes embrassés avec fougue. Ses mains fortes couvraient mon corps, mes cuisses, mes seins. Je le laissais me posséder et je voulais plus. Nous nous sommes séparés dans l’hôtel mais 5 minutes plus tard il frappait à ma porte. je savais que ce que je faisais était une bêtise mais je ne pouvais pas m’en empêcher. J’entrouvris la porte mais je lui demandai d’attendre. J’allais m’asseoir sur un fauteuil, les jambes croisées puis je lui dis « entre »
Il entra et me vit assise sur le fauteuil avec mes longues jambes bottées un peu sur le coté, ma jupe un peu remontée pour révéler mes bas et mon pull entre ouvert pour montrer plus de décolleté. Je vis son regard changer et je décelais une envie sauvage. Il me lança un sourire « carnassier » lorsqu’il s’avança vers moi. Il se pencha et m’embrassa avec passion. Nous échangeâmes nos places et je pus m’asseoir sur ses genoux.
Je gémis de plaisir lorsque ses mains se posèrent sur moi. Mon pull fut vite déboutonné et il massa furieusement mes seins au travers de mon soutien gorge. J’avançais ma poitrine pour lui offrir mes tétins. Il sorti mes seins de leur carcan et mordilla sauvagement mes tétins maintenant durs. J’étais tellement excitée qu’avec mes mains je poussais mes seins pour leur donner une apparence plus ronde. I utilisait sa bouche sur ma poitrine mais ses mains étaient libres pour le reste de mon corps. Il poussa ma jupe pour avoir accès à ce qu’il voulait. Très vite deux doigts exploraient ma chatte très humide.
J’ôtais ma culotte sans défaire mes bas. Après quelques minutes de ce traitement je décidais de ralentir les choses. Je me suis levée puis j’ai enlevé mon pull, défait la fermeture de ma jupe pour la laisse tomber. Mon soutien gorge suivi. Je me tenais debout devant Nadir en porte jarretelles, bas et mes bottes. Je me sentais un peu vulnérable car il me regardait comme un a****l carnivore prêt à dévorer sa proie. Une grosse bosse apparaissait dans son pantalon. Je revins m’asseoir sur sa jambe pour qu’il continue à me rendre folle. Je ne pus m’empêcher de toucher cette bosse. J’ouvris lentement son pantalon puis y glissait ma main. Je touchais un membre presque entièrement dur, chaud et qui semblait plus gros que la moyenne. Je changeais de position en m’allongeant sur le fauteuil puis pris son sexe dans ma bouche. Il continuait de masser de façon experte mon clitoris. Il poussa l’arrière de ma tête pour que je prenne plus de sa bite dans ma bouche car je me concentrais sur le gland jusqu’à présent. Lorsque plus de 10 ou 12 cm furent poussés dans ma bouche cela me fit m’étouffer un peu alors il arrêta de pousser mais je gardais sa bite et la suçait furieusement. Jamais je n’avais sucé un homme aussi profondément. Je me sentais un peu salope mais je ne pouvais pas m’empêcher de le faire.
Soudain il me souleva et me fit me tenir de bout. Il sortit un préservatif qu’il enfila rapidement. Son membre se tenait droit et semblait plutôt long et épais. J’étais debout devant lui hésitante. Il me tira par la main puis arrangea mes jambes de chaque coté des siennes pour que je puisse m’empaler sur son sexe. Je savais qu’un membre de cette taille allait faire un peu mal. Je suis plutôt étroite et sensible. Lentement je descendis sur sa bite. Elle écartait mon vagin et continuait de rentrer en moi. Même étant mouillée j’avais du mal à le prendre entièrement en moi.
Il me tint par les hanches puis me tira vers le bas puis le haut. Je m’appuyais sur mes talons pour prendre un rythme et être plus stable. Je sais que je devais gémir plutôt fort, voire même crier alors que finalement j’arrivais au bout de son membre. Ses mains caressaient mes bas puis pinçaient mes tétons. Je montais et descendait plus vite maintenant m’étant habituée à la taille de sa queue. Je sentais mon vagin serrer sa bite alors que je montais et je me rendis compte qu’à chaque fois que je plongeais vers le bas je criais très fort. Surprise et laissant mon attitude plutôt timide reprendre le dessus je me levais soudain et mon vagin fit un bruit de bouchon de champagne lorsque sa bite en sortit.
Surprit et un peu énervé que j’arrête soudain, il se leva et me poussa contre le bureau derrière moi. Il me souleva et m’assit sur le bureau. Il poussa mes épaules pour que je m’allonge. Il prit une jambe ou plutôt une botte sur chacune de ses épaules et me pénétra d’un coup. Sentir son membre s’enfoncer si vite me fit crier. Il se retira presque entièrement pour rentrer encore soudainement. Je mordais ma lèvre pour ne pas crier. Il commença à me défoncer furieusement tout en pinçant un téton d’une main et caressant une botte de l’autre. Je devenais folle allant du plaisir à la douleur alors qu’il déchirait violemment ma chatte. Lorsqu’il effleura mon clitoris cela m’envoya au paradis et j’eu un long orgasme.
Lorsque je fus enfin calme je vis qu’il n’était plus en moi. Il me tint par les hanches et me retourna. Je me tenais sur mes talons qui poussaient mes fesses vers le haut. Mes jambes étaient faibles après cet orgasme. Il s’empara de mes fesses et poussa sa bite profondément en moi. Apres avoir jouit j’étais encore plus sensible. J’avais l’impression d’être déchirée par sa grosse bite. L’impression d’être possédée par un homme avec autant de passion me rendait humide à nouveau et il glissa en et hors de moi plus facilement. Il se tint à mon porte jarretelle comme on tient un cheval et me défonça de plus en plus vite. Je sentais sa bite frapper le fond de mon vagin. Il frotta mon anus et y introduisit un doigt. Cela poussa un nouvel orgasme à la surface. Soudain il poussa au plus profond et avec un grognement il jouit tout en poussant sa bite le plus possible. J’aurais aimé qu’il ne mette pas de capote pour sentir sa semence gicler en moi mais ses derniers coups de boutoir me firent jouir encore plus fort.
Je me suis réveillée dans mon lit portant encore mes bas et mes bottes. Mes entrailles en feu après l’assaut sauvage que j’avais subi. Je me sentais encore plus satisfaite sachant que mes vêtements avaient poussé Nadir à me désirer.
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