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Piégé 4

Piégé 4



Une nuit pourrie, plombée par des érections intempestives causées par des putains de rêves érotiques. Manon et sa copine…..j’en ai rêvé toute la nuit, elle a intérêt d’être belle la cocotte, parce que moi je n’en peux plus. Et de toute façon, même si elle n’est pas belle, elle y passera, j’ai trop envie de sexe de baiser, de vider mon trop plein de frustration.
Au petit déjeuner, je regardais Manon et son petit cul adorable à peine couvert papillonner tout autour de moi. Et je cherche le paquet de biscottes et je me baisse pour chercher une bouteille d’eau et je me mets sur la pointe des pieds découvrant bien ma mince culotte pour att****r un bol….Je restais calme mais elle ne perdait rien à attendre.

Sa douche prise, comme à son habitude Manon sortit se promener en ville. Plus que la journée à attendre et ça allait être sa fête….
Boulot, démarchages.. le cœur n’y était pas, je n’avançais pas, je ne pensais qu’à ça… Tant pis pour le boulot….Jardinage….télé…..rien n’y faisait, pas de concentration, obsédé par ma prochaine jouissance programmée, le temps ne passait pas, les minutes s’égrenaient lentement, très lentement.
Un appel de ma femme Sophie me sortit un peu de mon obsession, parler de tout, de rien, lui dire qu’ici tout va bien, que sa sœur est très agréable et sympathique…même si j’en pensais le contraire.
Plus tôt !? Sophie avait fini sa mission quasiment, elle allait pouvoir rentrer plus tôt ! Quand ?! Un coup de chaud m’envahissait, ce n’était pas le moment ! Ouf, deux jours…elle ne rentrerait que dans deux jours. Ça me laisserait le temps….Manon tu allais y passer……

La nuit était tombée, j’attendais patiemment Manon devant la télé. A l’affut du moindre bruit, tel un prédateur qui guette sa proie, j’attendais son retour et celui de sa copine. Une bouteille de champagne au frais pour les recevoir et ma queue bien pleine pour ne pas les décevoir.
Minuit, toujours pas de Manon, elle traînait plus que d’habitude…Surement à se faire prendre une fois de plus avant de venir, histoire d’être bien pleine de sperme pour me faire lécher le tout….Cela ne me dérangeait plus, c’était presque devenu une habitude….
Deux heures du matin, les paupières commençaient à peser, mais où était-elle, que faisait-elle encore. Elle déconnait, je l’attendais moi, elle avait promis…et si elle ne venait pas….non pas possible, elle avait promis…
Quatre heures trente, je sombrais définitivement dans les bras de Morphée, terrassé par cette attente interminable. La salope, elle m’avait encore eu…..

Le réveil sonne…..non, pas le réveil, mon portable…..J’émergeais doucement….Le canapé…Manon…pas venue….oui, je me souviens maintenant…..ce portable, il est où encore…..
Zut, la messagerie, je suis arrivé trop tard. Manon ! Un message de Manon, qu’avait-elle encore inventé ?!
J’écoute…..quoi….elle vient…..30 minutes…..avec sa copine…..comment…….ok.
J’ai peu de temps, je me résume pour ne rien oublier. 30 minutes, elle arrive avec sa copine dans une demie heure, je dois l’accueillir nu à genou dans l’entrée. La course ! Tout d’abord ranger le bazar que j’ai laissé d’hier puis filer prendre une douche, à peine le temps de se sécher que la fin de la demi-heure approchait. A genou dans l’entrée, j’étais prêt comme elle me l’avait demandé.

Cette fois ci, je n’eus pas longtemps à patienter, la porte s’ouvrit rapidement, Manon suivie d’une belle et fine jeune femme d’origine asiatique entra.
Viens !
M’ordonna Manon en se dirigeant vers le salon. La situation frisait le ridicule, moi la quarantaine, nu le sexe en cage suivant deux nymphettes de 20 ans comme un petit chien.
Devant le canapé, la jeune asiatique me fixa un instant, saisissant entre ses doigts les petits nœuds qui accrochaient sa robe légère sur ses épaules, elle tira dessus, le tissu glissa doucement sur son corps et finit au sol. Nue, elle ne portait rien dessous, je la contemplais avec plaisir, de petits seins, un corps gracile, un sexe complètement lisse.
Sans me quitter du regard, elle s’allongea sur le canapé, écartant une jambe pour m’offrir un accès à son sexe. Pas un mot ne fût nécessaire, Manon avait créé ce rituel, comme un automate, je suis allé butiner ce sexe que je savais surement souillé.
Nettoie la mais ne la fais pas jouir…..elle veut ta queue pour ça…
Me chuchota Manon à l’oreille. J’avais craint que Manon me joue à nouveau un tour mais non, ma queue allait avoir droit à la belle. Je redoublais d’ardeur pour complaire à Manon, léchant la jeune femme avec envie, enlevant toute trace de sperme dans cette fente promise.

Ça suffit, viens.
L’ordre de Manon avait claqué depuis l’escalier, absorbé par mon ouvrage, je n’avais pas remarqué qu’elle avait bougé. Elle était nue, elle aussi et se tenait dans l’escalier. Sans nous attendre, elle monta à l’étage et disparut dans sa chambre. La jeune asiatique se leva et partit la rejoindre, je lui emboitais le pas, la queue martyrisée par le manque de place dans sa cage.

Couche-toi sur le lit.
J’obéis, trop heureux d’être en compagnie de deux jeunes nymphettes nues dans la chambre.
Je vais te libérer mais avant je préfère t’attacher, c’est nous qui allons jouer avec ta queue bien dure….comme on en a envie…. Toi tu te laisses faire…..
On y était, j’allais pouvoir bander et jouir jusqu’à plus soif. Etre attaché ce n’était pas ce que j’avais prévu mais mon sexe bandé et bien plein dans leur petite chatte serré, je savais comment ça allait finir.
Je m’allongeais, écartant bras et jambes pour que Manon puisse les lier et m’immobiliser. La jeune femme aida Manon, puis les jeunes femmes sortirent de la chambre. Je testais rapidement la solidité des liens mais rien à faire, elles savaient y faire. Un doute m’assaillit, et si elle avait encore inventé autre chose…..Trop con, j’étais peut être trop naïf de faire confiance à cette garce.

Mes craintes s’estompèrent dès le retour des deux nymphettes toujours nues. Manon avait une clé dans sa main, elle déverrouilla le cadenas et libéra ma queue qui instantanément se redressa. Je bandais enfin, libéré, mon pieu était paré à offrir le supplice du pal à ces deux nymphettes.
La jeune asiatique mit un lien à la base de ma queue, me disant que ça allait me permettre de rester bien dur et elle serra fort. Le sang ne passait plus, ça donna l’impression d’être encore plus dur.
Manon avait un tube de lubrifiant en main, elle badigeonna avec application toute mon membres, s’attardant à bien en mettre partout. J’étais prêt, dur et lubrifié, je n’attendais plus que leurs fentes promises. Une capote ?! Manon après m’avoir abondamment lubrifié, recouvrait mon sexe d’un préservatif. Pourquoi ?! Pas très logique tout cela !?
Je regardais Manon l’air interrogatif. Elle sourit et saisit mon sexe pour le maintenir droit. La jeune asiatique grimpa sur moi, positionnant son sexe au-dessus du mien que Manon tenait toujours fermement. Un mouvement, une sortie, un second mouvement et elle était entièrement emmanché sur ma queue. La jeune femme bougeait des hanches, je voyais ma queue disparaitre dans sa fente et réapparaitre dans l’instant suivant.
Ma queue, grosse, dure, pleine d’envie, coulissait dans la fente serrée de la copine de Manon. Elle gémissait, sa petite voix fluette disait son plaisir, mais moi rien. Je ne sentais rien, plus aucune sensation de ma queue que pourtant je voyais bien. Incroyable spectacle de cette petite jeune femme qui s’éclatait sur ma queue mais qui ne m’offrait aucun plaisir.
Affolé, je tournais mon regard vers Manon, posée à côté de moi.
Manon….je….
Je n’eus pas l’occasion de finir, ma belle-sœur m’embrassa à pleine bouche avec tout son cœur.
Tu ne sens rien ? C’est normal, je t’ai appliqué une crème anesthésiante pour t’aider à te contrôler et pas partir en 2 secondes….En attendant de retrouver tes sensations, profites du spectacle….
Ma cavalière avala entièrement mon sexe et nous cria sa jouissance. Elle se laissa tomber à côté de moi sur le lit, Manon prit sa pace sur mon sexe. D’un seul coup, elle me prit en entier.
Putain, qu’elle est grosse et dure…..humm…..dommage que tu ne ressentes rien parce que moi, … ouahhhhhh, je la sens bien…..
Manon me narguait, elle s’était positionnée pour que notre accouplement soit bien visible. Je voyais distinctement les lèvres de sa fente qui s’écartaient à chaque passage de ma queue, en temps normal, cette vision m’aurait fait partir en moins de 30 secondes mais là, rien c’était comme si je regardais un film. Elle en rajoutait la garce, faisant des commentaires sur ma queue, sur le plaisir que je lui donnais, sur ses regrets que je ne ressente rien.

A son tour, l’asiatique vint m’embrasser avec passion puis elle mit face à Manon, collant sa fente sur mon visage. Le deux jeunes femmes s’embrassèrent, se caressèrent. Manon continuait de plus belle à se baiser avec ma queue pendant que sa copine pressait son sexe sur ma bouche, cherchant ma langue pour prendre aussi du plaisir.

Manon jouit, sa copine la suivit dans son plaisir peu après, les deux jeunes femmes se serrèrent dans leurs bras et s’embrassèrent tendrement à côté de moi. Je restais nu, attaché le sexe en érection. Je voulais baiser, je m’étais fait baiser.
L’inconnue délia le lien qui enserrait ma queue et se rhabilla. Manon était partit puis revenue avec des glaçons, je savais ce qu’elle allait faire. Le froid des glaçons me fit vite débander, elle rangea ma queue dans la cage de chasteté. Retour à la case départ, sous l’emprise de la jeune femme ! Je trouvais presque cela normal, j’acceptais inconsciemment mon état de soumission.

Midi, je terminais de préparer à manger pour Manon et moi, quand soudain, surprise, la porte d’entrée s’ouvrait, Sophie était de retour.
Panique !
Ma queue dans la cage de chasteté, Manon n’avait pas eu le temps de la retirer ; heureusement, on avait tous les deux une tenue descente, je n’imagine même pas si elle m’avait trouvé juste habillé d’un string rose, la queue emprisonnée, les explications auraient été difficiles à trouver.
Sophie…..
Oui salut, j’ai pu prendre un avion plus tôt et me voilà ; C’est chouette non ?
Euh…oui, c’est chouette….
Sophie, super !
Manon avait apparue de sa chambre et sautait au cou de sa sœur. Sophie lui demanda si son séjour se passait bien, si je n’avais pas été trop ours. Elle la rassura, lui disant que j’avais été adorable, toujours à son service.
J’ai rapidement rajouté un couvert et j’ai invité les deux femmes à se mettre à table. Pendant le repas, ma femme nous a raconté son séjour en long et en large, Manon semblait captivée par le récit de sa sœur mais sous la table, son pied taquinait mon entrejambe toujours sous son contrôle.
Le repas finit, je débarrassais et je fis la vaisselle. Les mains dans l’évier à laver les assiettes, Sophie vint se coller amoureusement à moi, passant ses mains sous mon tee shirt pour caresser mon torse.
Mon chéri, j’ai une folle envie de faire l’amour….de sentir ta grosse queue dans ma petite chatte…on se fait une sieste coquine quand tu as fini….
En même temps sophie se frottait à moi, m’embrassant dans le coup, ses mains glissaient dangereusement sur mon corps vers mon sexe. Je me dégageai brusquement, prétextant avoir la migraine et être très fatigué par ma semaine de boulot.
Sophie semblait désolée pour moi, elle était sûre que ça irait mieux le soir et me promettait d’être ma petite salope très bientôt. Si je n’avais pas ma queue en cage, j’aurais pris immédiatement Sophie dans tous les endroits de la maison et dans toutes les positions mais ce n’était pas possible, il fallait de toute urgence que Manon me l’enlève.
La vaisselle vite bâclée, alors que j’étais décidé à trouver Manon pour qu’elle me libère, je trouvais les deux sœurs dans l’entrée, mettant un manteau pour sortir.
Vous allez où ?
On va faire les magasins, tu veux venir ?
Non ! répondis-je à moitié dépité.
Les deux sœurs sortirent, me laissant seul.

Me libérer, il fallait que je me libère. Après nos ébats du matin, peut être que Manon avait rangé la clé quelques part dans sa chambre. Je filais vérifier, fouillant dans toutes ses affaires, regardant dans toutes les cachettes possibles mais rien….Entre temps, je tombais sur sa crème maudite qui avait neutralisé ma queue….belle saloperie….quelle garce, d’une perversité incroyable pour son âge.
L’adrénaline retombait, il fallait patienter jusqu’à son retour. Je me jurais de lui sauter dessus dès qu’elle apparaitrait pour être libéré, elle avait pu bien s’éclater mais maintenant c’était fini, Sophie était revenue, le jeu devait cesser.

19h30, la porte s’ouvre, les deux sœurs reviennent, les bras chargés de paquets. Je n’ai pas le temps de me lever pour aller à leur rencontre que Sophie pose ses paquets et vient se poster devant moi qui regarde la télé. Elle s’est acheté une nouvelle petite robe d’été, elle la porte, elle tourne sur elle-même.
Alors comment tu la trouves ? Tu aimes ?
Je me redresse à peine, voulant répondre que Sophie pose un pied sur le canapé, ses main remontent sa robe et dévoilent son sexe étonnamment tout lisse. Manon est à côté de Sophie, je sens le poids de son regard, je sens le poids de ma soumission.
Ma bouche se colle à la fente de ma femme, c’est devenu un automatisme, Manon me l’a fait répéter tous les soirs….Je ne comprends pas, Sophie n’est pas dans le jeu….
Ce goût ! Du sperme, sa chatte ! la femme s’est faite baiser, je lèche le sperme qui coule de son sexe…Je lèche et je la regarde….sa main tient une clé accrochée à un pendentif avec lequel elle joue.
Je ferme les yeux, je lèche, où suis-je ?
Mon chéri, je connaissais tes frasques….maintenant c’est fini, c’est moi qui garde la clé….c’est moi qui vais choisir quand et comment tu baiseras…..si tu baiseras ou si tu seras baisé….. la confiance n’existe plus….soit tu prends tes affaires et tu te casses….soit tu te soumets comme Manon t’a appris….
Je regardais longuement Sophie, puis je me mis nu, ne cachant pas mon entrejambe enfermée. Manon sourit et souleva à son tour sa jupe, une trainée de sperme lui coulait aussi entre les jambes, j’enfouis ma tête pour lécher la semence, sans un mot, acceptant ma soumission à Sophie et Manon.

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