Il attendait quelqu’un, j’en étais quasiment sûr. Son attitude, ses regards de biais le trahissaient. Je pouvais espérer.
Je continuai mon chemin sans un mot. Je pris le temps en me lavant les mains de peser chacune des options qui m’étaient offertes. Et finalement j’optai pour une attaque frontale. Je décidai d’engager la conversation en allant directement au cœur de ses envies.
Je jetai un coup d’œil circulaire aux alentours. Personne.
Je m’approchai de l’habitacle, le cœur battant.
– Il n’y a pas grand monde ce matin.
– Oui, sa voix tremblait légèrement.
Je me lançai.
– Tu viens pour faire une rencontre.
Il me détailla.
– Oui, dit-il dans un souffle
– Moi aussi, ajoutai-je, en souriant.
Il se détendit un petit peu.
– C’est la première fois ?
– Oui, c’est ma première fois et vous.
– Oh, tu peux me tutoyer.
Il se reprit aussitôt.
– C’est ta première fois aussi.
– Non, je suis déjà, venu une fois ou deux.
Aussitôt, je compris, à son regard, ma méprise.
– Ah, excuses, moi, tu veux dire que c’est la première fois que tu essaies de rencontrer un homme.
Il rougit.
Il était vraiment mignon. Les traits de son visage étaient doux. Ses cheveux courts et ses lunettes lui donnaient un petit air sérieux. Il me plaisait.
Approche directe.
– Je peux m’assoir à côté de toi, dis-je en désignant, la place passager.
Il me lança un regard comme si je déboulai de la planète mars. Je compris que j’allais tout de même un peu vite. Je n’étais pas le type d’homme qu’il souhaitait rencontrer et il lui faudrait certainement un peu de temps pour admettre que je pourrai remplacer cet homme idéal. Cela me convenait parfaitement. J’avais un peu de temps à perdre et il n’y avait personne d’autre. Et surtout je ne doutais de rien.
– Juste pour te tenir compagnie. Je m’en vais dès qu’une autre voiture arrive. Je peux te parler de deux ou trois aventures que j’ai eu. Quelques conseils qui pourraient t’aider.
– Oui, je veux bien, dit-il avec un brin de curiosité.
Je m’installai à côté de lui.
– Tu as déjà essayé de rencontrer quelqu’un.
– Non, je n’ai jamais osé.
– Qu’est-ce que tu attends d’une rencontre ici.
– Discuter, et puis, il paru gêné, et faire… enfin, avoir une aventure.
– Et bien tu vois on a envie de la même chose.
Il sourit mais ne releva pas ma dernière remarque.
Il leva les yeux vers moi. C’est la première fois qu’il me regardait droit dans les yeux.
– Et c’est comment de le faire ?
– C’est le pied. C’est indescriptible.
Je cru déceler une lueur de gourmandise dans son regard.
– Et tu aimes quoi, toi ?
– Je suis plutôt actif.
– Ah, je vois…Nouvelle lueur fugitive.
– Et toi, tu veux quoi ?
– Moi, je ne sais pas trop… mais pour une première fois je crois que je préfèrerai me laisser faire. Je ne saurais pas trop comment m’y prendre.
Un lien de confiance ténu commençait à se tisser tout doucement. Il s’intéressait à ce que je désirai et un étrange ballet s’ouvrait où chacun devait trouver sa place.
– On est complémentaire, tu vois. Clin d’œil. Et j’ai de l’expérience à revendre.
– Et ça se passe comment ?
Il en avait envie. Chaque détail que je lui donnai le conduisait inexorablement vers sa propre chute.
– Tu sais ce n’est pas compliqué, caresse, fellation, pénétration. J’appuyai sur chacun des mots avec douceur.
Il se troubla d’avantage.
– Les caresses permettent de mieux se connaître, d’éprouver le corps de son partenaire et de le préparer à d’autres jeux. Si tu veux je peux te caresser pour te montrer. Tu n’auras qu’à fermer les yeux en pensant très fort à l’homme de tes rêves, ajoutai-je, en souriant.
Ses yeux s’allumèrent d’une flamme vacillante et ses lèvres s’ouvrirent sur un soupir d’abandon. Cette proposition presque anodine glissée au milieu de notre conversation avait achevé de vaincre ses résistances.
Sans un mot, il posa son visage contre le repose tête et ferma les yeux.
Il s’offrait à moi. L’habitacle se chargea d’électricité.
– Vas-y, ajouta-t-il doucement.
Je glissai doucement ma grosse patte sur son ventre et remontai vers sa poitrine en le massant légèrement. Son tee-shirt se froissa découvrant un ventre légèrement halé couvert d’un fin duvet blond. Il était mince… appétissant.
– Alors, c’est agréable.
– Oui, j’aime bien, répondit-il d’une voix rauque.
Je continuais d’explorer son corps souple qui se cabrait doucement à chacune de mes découvertes. Sa poitrine, ses épaules, son cou, puis à nouveau son ventre, sa taille, ses hanches.
– Tu es magnifique.
– Je sais pas. Merci
– Je peux continuer. Tu veux des caresses plus chaudes ?
– Oui, je veux bien. Il avait dit cela dans un souffle.
Il n’était pas le seul à trouver cela agréable. Ma queue commençait à prendre de la consistance se préparant pour un éventuel coït.
Je lovai ma main entre ses cuisses en évitant soigneusement le léger renflement qui déformait son pantalon, puis glissai sous sa cuisse. Il accompagna mon geste en relevant le bassin pour m’offrir ses fesses. Je les pétris avec envie.
– Ouais, elles sont bonnes. Ça te plait quand je les caresse ?
– Oui, c’est bon, sa voix tremblait légèrement.
– Un peu plus chaud ?
– Oui, continue, plus chaud.
Je glissai vers le haut de son jean ma grosse patte rêche qui devait lui faire l’effet d’un gant de crin sur sa peau délicate. Il creusa son ventre au moment ou j’approchai de sa ceinture en une invitation magnifique.
J’avançai mes doigts plus loin jusqu’à rencontrer les poils de son pubis. Il se souleva un peu pour m’aider à aller plus loin. Mais, en vil stratège, je rebroussai chemin pour accroître sa frustration pour m’en servir comme monnaie d’échange et vaincre ses ultimes résistances au moment venu.
Comme, je l’espérai, ses lèvres minces s’ouvrirent en un soupir de frustration.
– Oh, continue, s’il te plait
– Ok, si tu me laisses t’embrasser. Il faut que je te goûtes, tu comprends, j’en ai envie ?
– Oui d’accord, fais le, mais continue. Sa voix ressemblait à une plainte.
J’avais remporté la première bataille.
J’attrapai ses lèvres avec envie. Il se laissa faire sans oser me rendre mon baiser. Je remontai ma main vers sa nuque et tout en lui caressant, je dévorai ses lèvres tendres. Elles me faisaient chavirer. Mon baiser commençait à lui faire de l’effet. Je senti ses lèvres s’animaient, cherchaient les miennes. J’inclinai mon visage pour lui offrir un baiser plus profond. Il accompagna mon mouvement en ouvrant largement sa bouche. Ma queue fit un bond lorsque ma langue investit sa bouche. Sa langue me rejoignit pour m’offrir pendant plus d’une minute un baiser passionné.
Je me délectai de ces soupirs de plaisirs à mesure que nos langues se découvraient.
Son visage était rosi par le désir. Sa bouche entrouverte était brillante de salive, prête pour d’autres assauts.
– C’est bon, dit-il en haletant de plaisir.
– ça t’a plu,
– Oh, oui, j’ai envie que tu me caresses encore.
– Pas de soucis, mais avant j’aimerai que tu me fasses la même chose.
– Oui, si tu veux, mais je ne saurai surement pas faire aussi bien.
– Oh, t’inquiètes pas je vais te guider. On pourrait se déshabiller. On serait mieux tu crois pas.
Je sentis une hésitation.
– Ce sera plus simple pour que je te caresse et on peut garder notre caleçon.
– Oh, et puis mince, tu as raison.
Il retira son tee-shirt et fit glisser son pantalon. C’était très agréable de pouvoir le contempler presque nu. Offert à mon regard qui embrassait chaque partie de son corps. Ses hanches étroites. Ses épaules menus. Je n’en croyais pas mes yeux. Tout se déroulait comme je l’avais imaginé.
– Ouah ça fait bizarre, d’être à moitié nu. Mais en fait c’est super agréable.
La déformation de son caleçon en disait long sur son désir.
A mon tour, je retirai mes vêtements.
Il me détaillait du regard.
– T’es balaise dis-donc et vachement poilu.
– Oui, je sais j’ai quelques kilos en trop. Tu as peur que je t’écrase.
– Ben non en fait je trouve ça bien que tu sois carré. Il frissonna.
– Tu es mignon. J’attrapai ses hanches pour les caresser et les comprimer.
Ce contact viril le désarçonna.
– Ouf, c’est fort, j’adore.
– Ah, c’est cool, tu vas me donner du plaisir alors.
Je saisi sa main et la promenai sur mon corps.
– Va-y caresse mes seins, du bout des doigts. Oui c’est bien. Maintenant mon ventre, voilà, avec la paume bien large. Mes cuisses maintenant. Fort. Oui tu te débrouilles bien. Allez maintenant viens sur moi. Tu vas me caresser avec ton corps.
Le contact avec sa peau douce était divin. J’abusai des courbes de son dos, de ses hanches. Je l’attirai tout contre moi.
– Ondule du bassin sur mon ventre.
A travers le tissu, je pouvais sentir son sexe durci par le plaisir. Il était mûr.
– Embrasse moi un petit coup.
J’en profitai pour exploser sa bouche de coups de langue.
Sans hésitation, je plaquai mes mains à l’intérieur de son caleçon sur ses fesses.
Il poussa un petit cri de surprise mais n’opposa aucune résistance.
Je les mis à jour complétement en repoussant son caleçon.
– Tu n’en a maintenant plus besoin. Le caleçon glissa sur ses genoux.
– Oui, c’est bien, comme ça, avoua-t-il en un chuchotement rauque.
Sa queue laissait maintenant des trainées de désir sur mon ventre rebondi.
– Lèche mes seins. Oui c’est ça, tu te débrouilles très bien.
Je malaxai ses lobes rebondis, les écartaient bien comme il faut.
Je sentis sa main descendre le long de mon ventre pour se poser sur la boursouflure de mon caleçon qui avait atteint cette tension optimale précédant un rapport sexuel. Je regardais sa main modeler les contours de ma queue.
– Et bien, tu es un vrai coquin. Tu es sûr de la vouloir.
Je n’attendis pas sa réponse.
– Tiens regardes.
J’écartai les bords de mon caleçon et elle jaillit à l’air libre. Je vis avec délectation ses yeux s’agrandirent lorsqu’elle apparu en plein jour.
– Oh, la vache elle est drôlement grosse.
– Oui, c’est vrai elle n’est pas très longue mais large. Tu peux continuer à la caresser.
Il ne se fit pas prier. Il enfonça sa main toute entière dans l’ouverture pratiquée. Ses doigts minces serraient maintenant ma queue avec passion me procurant des sensations incroyables, visuelles et cérébrales à la fois.
Pendant qu’il me caressait, j’avais saisi sa queue et je le masturbai vigoureusement. Mes doigts calleux devaient irriter sa peau fragile. Il ne se plaignait bien au contraire il m’encourageait par ses mouvements de bassin.
On était à point tous les deux. Je pensai à la prochaine bataille, qui allait se jouer, avec un petit pincement au coeur. Je n’étais pas sur de l’emporter.
– Tu te souviens de ce que je t’ai dit tout à l’heure. Que j’étais actif et moi ce qui me faisait triper c’est que mon amant me suce et après que je lui mette.
Un voile d’appréhension passa sur son visage. Il marqua un temps d’hésitation.
– Oui, je m’en souviens.
Il jeta un œil vers ma queue encore en partie coincée dans le caleçon. Déformée par les veines, elle avait l’air d’un gros cep de vigne.
– Ça me plairait beaucoup que tu me suces et, je marquais une pause, j’aimerai beaucoup t’enculer après.
J’avais volontairement choisi des termes crus et terriblement évocateurs.
Je laissai les mots doucement faire leur chemin dans son esprit et devenir des images. Il semblait ailleurs, en proie à une terrible lutte interne. Je le ramenai à la réalité en douceur mais fermement.
– Tu la libères.
Il fit glisser mon caleçon plus bas, comme un automate. Il la fixait intensément comme hypnotisé. Tendue vers le haut, elle semblait défier les lois de la gravité. Les grosses veines pulsaient doucement. Le gland légèrement découvert laissait sourdre le liquide précoitale, translucide et visqueux. Elle était prête.
– Caresses la. Elle te veut.
Je regardai ses doigts minces, s’en emparer, en apprécier l’épaisseur, et en flatter délicatement les contours torturés.
– Elle est vraiment impressionnante.
– Oui c’est vrai. Et c’est pour cette raison, pensai-je que souvent mes partenaires me refusait le plaisir de les pénétrer. Sauf peut-être ceux qui le faisait pour la première fois.
Cette pensée me fit durcir un peu entre ses doigts.
Comme s’il avait deviné le cours de mes pensées, il continua :
– tu as déjà pris des mecs ?
– Oui, et ça c’est très bien passé, menti-je, il faut juste être bien préparé.
Cette pensée le fit frisonner. J’exultai intérieurement l’idée faisait son chemin elle atteignait les zones du possible. Il allait falloir maintenant avancer prudemment, ne pas le brusquer pour l’emmener plus loin qu’il ne l’avait imaginé.
Il admirait maintenant mon gland qu’il décalottait presque entièrement par un large et précautionneux mouvement de va et-vient.
– C’est bon ce que tu me fais, tu es doué.
En pressant il libéra un long filet de liquide translucide qui s’écoula sur sa main.
– Ouah, impressionnant, comme il est gros ton gland et tu es bien excité.
– Oui, c’est normal j’ai super envie de toi. J’ai très envie que tu me suces.
– C’est que je sais pas… Le jus… C’est un peu dégoutant.
Pas de chance, il faisait machine arrière.
– Ne t’inquiètes pas cela n’a pas vraiment de goût, le rassurai-je. Deuxième mensonge.
– Le sperme a un goût plus corsé et c’est plus épais, continuai-je.
J’étais vraiment à court d’arguments.
Ma remarque le fit déglutir. Son petit air sérieux me faisait craquer. Ses joues rougit par l’excitation. Je n’en pouvais plus. j’avais envie de lui enfoncer dans le gosier pour qu’il goute ma saveur à pleine bouche. Je voulais le posséder, marquer ce territoire vierge.
Je glissai ma main derrière sa nuque pour l’attirer plus prés.
Son visage s’approcha dangereusement mais s’arrêta à quelques centimètres de ma hampe qui le réclamait en lubrifiant chaque fois un peu plus par à-coups. Il résistait.
Soudain une forme fugitive me fit tourner le regard.
– Zut, une voiture.
Par réflexe je plongeai en arrière.
J’avais partiellement oublié que nous étions dans un lieu ouvert au public. Un véhicule venait de rentrer sur la petite aire.
Il me regarda légèrement effrayé.
– Elle s’est garée plus loin, le rassurai-je.
Dans le feu de l’action je l’avais entrainé avec moi et je remarquai que ses lèvres étaient maintenant bloquées contre ma hampe. Ce contact doux, et chargé de promesses, fit bondir mon coeur dans ma poitrine.
– Ne bouges pas surtout je te préviens quand elle part, lançai-je, sournoisement.
Attends, je regarde. Tout en maintenant son visage j’opérai un léger mouvement qui me permis sans effort de coller mon gland poisseux contre ses lèvres.
Il n’osait pas bouger respectant mes consignes. J’étais vraiment prêt à tout pour parvenir à mes fins.
– Oups, excuse moi. Ça va.
Il cligna des yeux en signe d’assentiment.
Le conducteur regagnait sa voiture à grandes enjambées. Quelques secondes plus tard le bruit du moteur s’éloignait.
– C’est bon il est parti.
Pendant ce court instant, j’avais massé sa nuque tout en faisant glisser mon gland contre ses lèvres. Un filet translucide nous reliait maintenant intimement.
– C’est pas trop mauvais, alors ?
Je continuai de le noyer sous un flot de paroles rassurantes.
– Tu vois ce n’est pas si dégoutant que ça. Tu vas voir c’est sympa de sentir la queue rentrer dans sa bouche. Ça fait bizarre mais c’est bon. Elle est bonne, tu vas l’apprécier. Tu y es presque.
Il résistait toujours. Je tentai une approche plus virile.
– J’en peu plus moi. Allez ouvre maintenant.
Il tendit son regard vers moi. Je cru que j’avais été trop loin mais ses lèvres s’ouvrirent doucement et sa langue vint fouiller la substance translucide. Il la goûta d’abord du bout des lèvres puis écrasa sa bouche grande ouverte contre mon gland pour la savourer plus intensément.
Il eut un haut le coeur.
– Tu vas t’habituer au goût, ne t’inquiètes pas.
J’attrapai sa tête à deux mains et je m’engouffrai entre ses lèvres glissant sur sa langue.
Elles étaient maintenant complètement distendues. Mon gland emplissait sa bouche. Je ne pouvais aller plus loin sauf à l’étouffer.
– Ouah, c’est super, vas-y suces.
Effectivement, après quelques instants, il s’était très bien habitué. Il goutait ma queue lentement découvrant des saveurs inédites, capiteuses. Je pressai la base de ma queue pour lui faire goûter un peu plus de mon lubrifiant.
Au bout de quelques instants, je tirais sur la base de ma queue pour décalotter complètement mon gland. En découvrant la saveur épicé et la forme terriblement excitante du gros fruit dans sa bouche, cela affola ses caresses. Il compensait son inexpérience par la ferveur de caresses brulantes et mouillées.
Il soupirait de satisfaction la bouche pleine.
De temps en temps je poussai ma queue plus avant provoquant un haut le coeur mais il ne m’en tenait pas rigueur et continuait à me sucer avec ardeur.
Au bout de quelques instants, de ce patient travail, il lâcha ma queue brillante de salive.
Sa bouche et ses lèvres étaient bien lubrifiées.
– C’est super bon, merci. Tu avais raison j’y ai pris goût. Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Tu veux que je continue de te sucer ou tu veux passer à autre chose ?
Et bien c’est lui maintenant qui sonnait la prochaine bataille. Celle-ci serait plus dure à gagner car elle reposait sur un vilain mensonge. Ça ne lui ferait pas du bien. Mais à moi cela me procurerait un plaisir intense cérébral et physique. Celui de le posséder et de ressentir l’étroitesse de son anneau sur ma hampe.
– Je vais te prendre. Passes sur la banquette arrière, on sera mieux.
Au moment où il enjambait l’espace entre les deux fauteuils, j’admirai ses fesses rebondies et l’espace d’un instant je pu apercevoir l’objet de mon désir.
Je le suivi et le plaquer contre la banquette arrière, mon ventre contre son dos, et ma queue contre ses fesses.
– Ecartes bien tes cuisses, mieux que ça !
Il obéit sans un mot. J’avais également le sentiment qu’il aimait quand j’étais le patron.
J’attrapais ses hanches pour le cambrer d’avantage puis ses mains pour les guider vers ses fesses.
– Ecartes les que je mate bien ton oeillet.
Il était serré. Personne n’avait forcé ce passage. Ça m’excitait d’être son premier homme.
Je glissai plusieurs fois ma queue entre ses fesses, en appuyant sur ma hampe pour bien lui écarter et commencer le travail de lubrification.
Il poussa un soupir et se cabra.
– Je vais bien préparer ton petit cul.
Je déposai un filet de salive sur mes doigts et commencer à jouer du bout des doigts avec son anneau. Il fallait que je l’ouvre suffisamment pour ne pas qu’il est trop mal.
J’appuyai mon premier doigt avec fermeté.
Il poussa un petit cri, et partit en avant.
– C’est normal que tu es un peu mal au début. C’est la première fois.
Je glissai mon bras sous son ventre pour le maintenir et je renouvelai l’expérience. La première phalange de mon doigt disparu bientôt. Et progressivement, par de petits mouvements circulaires, je parvins à vaincre la première résistance, et à m’enfoncer en lui.
– C’est super. Tu as avalé tout mon doigt.
Il poussa un nouveau gémissement lorsque je commençai à enfoncer mon deuxième doigt. Ma queue était dure d’impatience et de désir.
– Je vais te mettre le troisième.
Ce fut plus difficile encore. Je me focalisai sur mon ouvrage oubliant ces gémissements lorsque j’écartai mes doigts pour l’ouvrir d’avantage.
– On y est presque le rassurai-je.
Il grimaça.
– Ça ne fait pas du bien. ça me gène. J’ai plus trop envie. Tu m’en veux pas ?
Avant que j’ai pu dire un mot. Il saisit mon poignet pour me repousser doucement. A regret je quittai la tendre alcôve.
– Non, t’inquiètes pas je comprend.
Il saisit ma grosse patte, l’embrassa comme pour me réconforter et la posa sur sa petite queue dure.
Ce contact m’électrisa. On ne pouvait en rester là. Il fallait aller jusqu’au bout. Je le saisi par les hanches pour le retourner et j’avalai sa tige. Elle était mouillée, douce.
– Oh, c’est bon, souffla-t-il.
Son bassin oscillait doucement au rythme de mes caresses et du plaisir qui le submergeait.
Pendant un court instant, je fus tenté de le faire jouir, maintenant, entre mes lèvres, de m’enivrer de la saveur de son plaisir mais ce que j’avais ressenti en explorant la douceur de ses fesses refluait comme une vague.
Tandis que mes lèvres serrées l’emmenaient doucement au bord de l’orgasme, je glissai à nouveau mes doigts en lui. Pris au cœur d’un maelström de sensations, il sentit à peine mes doigts l’ouvrir, le posséder. En tous les cas il n’en laissa rien paraître dans les premiers moments.
Puis curieusement ses mains s’emparèrent avec férocité de mon poignet pour pousser mes doigts plus loin, au fond de lui. Ses fesses remuaient en même temps.
– C’est bon, attend j’ai envie de quelque chose, soupira-til.
Il se déplia tant bien que mal dans le petit habitacle pour se retrouver face à ma queue qui dégoulinait de désir. Je senti ses lèvres me happaient. Il dirigea ma queue bien au fond de sa gorge plusieurs fois pour me provoquer sans doute. Puis il appuya sur mes fesses pour que je baise ses lèvres. Il ne résista pas longtemps à ce petit jeu. Je sentis sa queue se tendre et son sperme jaillir en saccades dans ma bouche.
Quelques secondes plus tard, je sentis tout mon être balayé par une vague puissante, et j’explosai en jets épais au fond de sa bouche. Au même moment ultime, je lui lançai dans un râle : Tu vas y goûter.
Il eu d’abord un haut le cœur et lâcha ma queue pour recracher mon jus épais. Il fit une moue de dégoût. Mais fasciné par les jets qui arrosaient ses lèvres, il m’engloutit à nouveau pour recueillir le fruit de ma jouissance. Il déglutit plusieurs fois pour avaler.
La vague de plaisir nous avait rejeté, la respiration courte, sur la banquette arrière de la petite voiture. Nous reprenions lentement nos esprits.
– Ouah, c’était géant. Merci.
– Merci à toi. Tu m’as donné aussi beaucoup de plaisir.
Ses lèvres étaient couvertes de ma semence. C’était délicieusement provocant. Je lui tendis un kleenex pour qu’il puisse effacer les traces de mon passage un peu brutal.
– Finalement c’était pas trop mal la deuxième fois dans mes fesses. Il avait dit cela sur un ton mi-provocant, mi angélique.
Je profitai de l’occasion.
– Tu fais quoi cet après-midi.
– Je dois assister à plusieurs TD, mais ça me barbe. Ah oui j’ai une leçon. Il faut que je l’apprenne. Il avait l’air d’un étudiant modèle.
– Pourquoi, ne viendrais tu pas l’apprendre chez moi.
Il éclata de rire.
– Ouaip, on peut dire que tu as de la suite dans les idées.
Comprenant à mon tour, j’éclatai de rire.
– On ne peut rien te cacher.
– Oui, pourquoi pas mais je ne te promets pas de te donner ce que tu veux
Une heure plus tard je le faisais entrer dans mon appartement. Il jetait des coups d’œil ici et là. J’avais rassemblé une collection d’objets hétéroclites lors de plusieurs voyages à l’étranger. Il s’émerveilla du gigantesque masque africain suspendu à l’un des murs du salon.
-Et ça c’est une corne ?
– Non, c’est une représentation sculptée en ébène. Elle est lourde méfies-toi.
Ses doigts minces saisirent la corne pour la soupeser.
– Ouah, c’est lourd effectivement. Elle est très douce au toucher c’est impressionnant.
Il la reposa précautionneusement.
– Tu veux boire quelque chose ?
– Oui, je veux bien.
– Tu préfères quelque chose de léger ou de plus fort?
– Léger, je préfère.
– Une bière ?
– Oui très bien.
– Installes toi, fais comme chez toi.
Je lui désignai le canapé.
Je le regardai boire sa bière dans le canapé, par petites gorgées. Mais mon esprit était ailleurs j’avais envie de le prendre, de voir son visage cognait contre l’accoudoir au rythme de mes coups de reins.
– Tu penses a quoi ?
– J’ai envie de te voir nu sur mon canapé. Tu crois que c’est possible. Je lui avais demandé sur le ton du défi.
Il me fixa en rougissant.
– Ça ne me déranges pas, à la condition que tu restes à ta place, ok ?
Je découvrais un trait de sa personnalité. Il aimait jouer. Moi aussi. J’acceptai le défi.
En quelques mouvements souples, il se débarrassa de ses vêtements. Et s’allongea sur le ventre. Je pouvais admirer à nouveau son corps et le galbe ses fesses.
Offert de cette manière il était encore plus désirable.
Une lente modification de mon anatomie commençait. Une transformation inexorable provoquait par la promesse de goûter l’étroitesse de son anneau.
– Tu ne bouges pas de ta place, promis.
Innocemment, il fit glisser sa jambe droite du canapé m’offrant la vision de ses fesses ouvertes. Il prenait plaisir à me tourmenter.
– Tu as envie, dit-il en me faisant un clin d’oeil.
– Oui, très envie. J’avais enfoncé les doigts dans l’accoudoir pour ne pas lui sauter dessus.
– Comment puis-je être sur que je n’aurai pas trop mal ?
Une idée me traversa l’esprit.
J’ai fais un film avec un ami, tu pourras juger.
Son regard s’alluma d’une lueur d’intérêt.
– Tu t’es filmé en train de prendre un autre mec.
– Oui, enfin c’est lui qui voulait garder un souvenir de sa première fois, ajoutais-je. Un mensonge de plus.
J’installai mon ordinateur portable sur la table basse en face de lui. Et je lançai le petit film. Son regard se connecta instantanément à l’écran.
Il n’était pas de très bonne qualité. Mais on me reconnaissait parfaitement et il n’y avait aucune ambiguïté sur ce que je faisais subir à mon amant.
On avait l’impression que je l’écrasai. J’avais glissé mes mains sous ses cuisses pour remonter ses fesses et pour le maintenir tant bien que mal dans cette position.
On entendait très clairement nos échanges intimes, chargées de plaisir. Ses râles étaient entrecoupés de supplications torrides m’invitant à aller plus loin, à l’ouvrir davantage. On distinguait par moment au milieu de ses fesses écartées la base de ma hampe.
Je voyais naitre lentement sur le visage du spectateur les signes du désir relayé par des mouvements imperceptibles de son bassin.
Et puis, soudainement, à l’écran, mon va-et-vient entre ses fesses s’accéléra, annonçant l’imminence de l’orgasme. Je le pilonnais consciencieusement. Chacun de mes coups de boutoirs était encouragé par un oui de plaisir.
Enfin j’entendis mon propre cri de jouissance. Un cri rauque. « Je te rempli ». Mes mouvements de bassin se firent, en même temps, plus amples comme si je cherchais à me libérer au plus profond de lui. Lorsque au bout de quelques instants, je quittai son antre, repu, une coulée épaisse s’écoula de l’anneau ouvert par mes assauts. Puis je me dirigeai vers la caméra, pour l’éteindre, offrant à mon jeune ami un gros plan de ma queue encore à l’équerre, rougit par l’action, encore poisseuse de semence et de lubrifiant.
– Alors, comme tu vois il n’a pas eu mal.
– Je sais pas, j’hésite.
Ces hésitations manquaient de conviction. Il voulait sans doute ne pas se livrer trop facilement.
-Tout à l’heure tu n’as pas détesté .
– Tu ne veux pas me prêter la corne.
Je failli m’étrangler de surprise.
– Euh, oui si tu veux.
Il la saisit et la porta à ses lèvres. Il en fit disparaître le bout qu’il suçota doucement.
Elle brillait de salive lorsqu’il la laissa échapper de sa bouche.
Et aussitôt je compris ce qu’il allait faire.
Il fit descendre le long de ses reins le bout de la corne jusqu’à ce qu’elle trouve le chemin au cœur de cette vallée qu’il me refusait.
Et sans le moindre effort, en remuant tout doucement les fesses, il commença à la faire disparaître.
Il tourna les yeux vers moi et capta mon regard enfiévré. Il cambra un peu plus ses reins pour me provoquer.
Je décidais de passer à l’offensive.
– Tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je me mette à l’aise.
Sans attendre sa réponse, je me débarrassais de mes vêtements pour profiter pleinement de ce moment. Du bout des doigts je caressais ma hampe en suivant la progression hypnotique de la pénétration.
Il poussait à peine sur la colonne sombre qui s’enfonçait doucement. Il commençait certainement à en ressentir pleinement la morsure. Tout son être se concentrait. Il poussa une plainte rauque lorsque elle s’enfonça plus loin. Il faisait le délicieux apprentissage de sensations inédites.
Happé par la vue de ses fesses empalées, je flirtai dangereusement avec le point de non retour.
– Ça va, tu aimes alors ?
– C’est douloureux mais j’ai l’impression que je m’habitue.
– C’est beaucoup mieux avec une vrai queue. C’est agréable de se laisser guider par le désir de l’autre, de se sentir aimer de cette manière.
Je m’installai en face de lui sur la table basse. Son regard accrocha ma queue. Je l’approchai pour que ces contours impriment durablement sa rétine. Je l’avais complétement décalotté. Elle apparaissait ainsi dans sa forme la plus brutale, la plus a****le.
Mes invitations se firent plus pressantes.
– J’ai envie de toi. Tu es trop beau. Regardes comme je suis dur. Laisse moi te pénétrer. J’ai envie de t’empaler.
Comme pour suivre mes injonctions, il la poussa encore un peu plus loin. Halètement rauque.
– Oh, Je commence à aimer quand ça va trop loin.
Son regard se perdit loin derrière moi et mes espoirs furent bientôt comblées par une seule phrase qu’il prononça en haletant.
– On va dans ta chambre ?
– Oui, on va y aller , répondis-je calmement. Je savourai ma victoire en toute quiétude tandis que ma queue libérait son lubrifiant en grosses gouttes, que j’étalai consciencieusement.
– Ça y est j’ai envie ! Je veux que tu me baises ! Le ton était précipité galvanisé par le désir.
Enfin, pensais-je, il était à moi.
Je posai la main sur la base de son dos et de l’autre main je saisi la corne. Il se laissa faire. Précautionneusement je retirai le pale qui l’avait embroché pour le déposer sur la table basse. La vision de son anneau légèrement ouvert me fit tressaillir d’envie. Je pris sa main pour le guider vers ma chambre. Il me suivait comme un pantin, frémissant de désir.
– Comment tu vas me prendre ?
– Attends on est pas pressé.
C’était à mon tour de le faire languir un peu. Je le poussais doucement sur le lit et je le rejoignis en me couchant sur lui. Nos lèvres se trouvèrent tandis que son bassin ondulait de plaisir. Je l’écrasai de tout mon corps. Je regardais son visage sérieux rougit par le désir. Je déposai ses lunettes sur la table de chevet. Son regard effectuait des aller-retours affolés de ma bouche à ma queue. Dans cette position, il pouvait apercevoir mon gros gland qui éraflait son ventre laissant de larges trainées de plaisir.
– Viens, je t’en supplie. Rentres moi dedans.
Il était parvenu à saisir ma queue et essayé de la guider plus bas en vain.
Je me moquai gentiment de sa déception.
– Allez, suces moi d’abord, un petit peu.
Je remontais ma queue vers ses lèvres entrouvertes et m’y enfonçait sans lui demander son avis.
– Oui, nettoie bien le jus, il ne faut pas que le préservatif glisse.
Il s’appliquait comme si cette seule raison lui suffisait. Sa petite langue, affolée par le désir, énervait mon gland.
Vu mon état d’excitation, s’il continuait, je risquai de lui remplir la bouche de sperme.
– Allez on le fait. Mets toi à quatre pattes. Oui comme ça.
J’appuyai sur son dos pour plaquer sa poitrine sur le lit.
– Voilà, comme ça ton petit cul est bien relevé.
Je m’écartai un peu du lit pour saisir un petit sachet brillant.
– Attends j’enfile le préservatif.
Au passage j’appuyai discrètement sur une petite télécommande. Quelque part dans la chambre un voyant rouge s’alluma.
– Écartes un peu plus les cuisses, oui c’est cool, t’es super bandant.
Sans attendre plus longtemps, je m’installai derrière lui. J’inondais ses fesses et ma queue de lubrifiant. Il frémit.
Mon gland se positionna parfaitement sur son anneau bien évasé par nos jeux. On ne pouvait refuser une invitation aussi provocante.
J’attrapai son épaule et lui murmurai
– ça va aller vite, ne t’inquiètes pas.
Aussitôt je poussais mon gland entre ses fesses luisantes, accueillantes.
Ma queue se cabra d’abord, refusant d’aller plus loin. Il appréhendait.
– Détends toi, penses que tu veux me recevoir. Accueilles moi.
Il s’ébroua un petit peu et se repositionna pour s’offrir d’avantage.
– Oui c’est mieux.
Mon gland commençait à ouvrir son anneau. Il s’enfonça d’abord difficilement puis inexorablement il se fraya un passage, élimant ses parois tendres, tandis que je maintenais une poussée vigoureuse. Je bloquais son bassin pour ne pas qu’il parvienne, involontairement, à se soustraire à la pénétration. Il poussa un gémissement rauque jusqu’à je sois parvenu au terme de ma progression, collé à ses fesses.
– Ça y est. J’y étais, enfin, je poussai un « oui » en goutant la sensation exquise d’être si intimement et profondément relié à lui. C’était doux et serré.
Je me redressai pour contempler mon oeuvre. Ma queue avait presque entièrement disparu dans son œillet, outrageusement déformé.
– Ça va ?, demandais-je pris d’un vague remord.
– J’ai mal ça me lance quand tu bouges par contre c’est hallucinant de te sentir en moi.
– Ok, j’arrête de bouger.
Je sentais les contractions naturelles de son anneau qui cherchait à m’expulser. Elles s’espacèrent. Il s’habituait doucement.
– C’est trop cool, je suis bien en toi, serré, c’est doux sur ma hampe. Mon gland est tout au fond. Il est moins serré. C’est le pied. Par contre il va falloir que je bouge un peu pour aller jusqu’au bout.
– Oui, bouges un peu. Ouf, doucement
Pendant quelques instants, j’opérai de précautionneux va-et-vient. Il haletai doucement.
– Tu veux que l’on change de position.
– Oui, je veux bien.
Il s’offrait ainsi un répit de courte durée.
– Mets toi sur le dos.
Je saisi un coussin et le glissai sous son dos pour soulever ses fesses afin de m’offrir un angle de pénétration idéale.
Je poussai sur ses cuisses pour l’ouvrir et fermement j’appuyai sur son anneau qui céda de nouveau pour m’offrir sa douceur et sa chaleur.
Je progressai doucement en lui.
Les traits de son visage se tiraient par moment sous l’effet de la douleur.
– Ça y est
– Ouf, tu me la mises loin.
– Oui, je suis bien au fond. On y va maintenant. Je te baise.
Il ouvrit ses lèvres pour me répondre mais je les emprisonnai avec fougue.
Je commençai à remuer doucement au fond de lui.
Ses traits se contractèrent mais aucun son ne sortit de sa bouche.
J’enlaçai ses épaules tout en augmentant la cadence de mes va-et-vient. Ces gémissements , comme sur une partition, suivaient le rythme que je lui imposais. Leur tonalité avait sensiblement changé. La douleur avait du s’atténuer un peu mais je n’en étais pas sûr et je ne pouvais surtout m’en émouvoir.
J’augmentai le rythme pour atteindre ma vitesse de croisière vers le plaisir. C’était divin. Je sentais qu’il faisait des efforts pour se relâcher. Du coup mes mouvements de bassins se firent naturellement plus amples plus profonds sans qu’il n’oppose d’autre résistance que de brèves plaintes.
Je me penchai sur son cou, je l’embrassai.
– Tu es un merveilleux amant. Cela faisait longtemps que je n’avais pas baisé comme ça.
je sentais monter les signes annonciateurs d’un puissant orgasme.
– Tu vas me faire jouir… repris-je.
– Retire le préservatif.
Je cru tout d’abord avoir mal compris.
– Retire le, je veux que tu jouisses en moi.
– Tu veux que je jouisse en toi ? Tu es sûr ?
– Oui, comme dans la vidéo, j’en ai envie, dit-il en haletant.
– Ok, je l’enlève.
La perspective de projeter ma semence dans son alcôve me galvanisa. Je m’arrimais à ses fesses avec passion et sans détour, je m’enfonçai, nue, dans son oeillet maintenant largement ouvert. Il poussa une plainte rauque qui me fit l’effet d’une invitation. Son regard était intensément relié au mien. Il guettait chaque tressaillement de mon visage.
– Tu vas jouir ?
– Oui, ça va venir. Je suis au bord.
– Oh, c’est cool, oui, viens, vas-y jouit, éjacule dans mon cul
Ses mots produisirent leur effet.
– Oh, j’ai l’impression que ça y est. Tu deviens plus dur.
Effectivement, je sentis ma queue expulser plusieurs giclées de foutre. Je poussai un oui rauque qu’il accompagna de mouvements de bassin presque sauvages, s’enferrant sur ma queue et se donnant lui même l’estocade finale.
Oh, c’est bon… moi aussi… Il n’eut pas le temps de finir sa phrase.
Il couvrit son ventre de rigoles laiteuses tandis que les contractions de son anneau finissait de vider ma hampe de ses dernières gouttes de plaisir.
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