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Rencontre (suite et fin)

Rencontre (suite et fin)



– A la tienne!
– A la … votre?
Je me marrais.
– Si tu veux! Je suis fier de toi, tu apprends vite le respect de l’homme, c’est très bien. Maintenant, je vais te poser des questions, et il va falloir que tu me répondes le plus honnêtement possible, afin que je puisse évaluer jusqu’où tu es capable de supporter les fantasmes et la folie d’un dominateur décidé à te réduire en esclavage, OK?
Je sentis qu’elle commençait à flipper sérieusement.
– Euh, c’est-à-dire « esclavage »?
– Je te donnerais des ordres, tu obéiras, point! Tu comprends? tu acceptes?
– Ben, dis-moi… Dîtes-moi… je sais pas….
Elle avait l’air franchement paumée, il fallait que je sois clair.
– Bien! Je vais te donner un exemple concret, là, tout de suite!
J’enlevais mon froc, mon caleçon, mes bottes mes chaussettes.
– Lèches-moi les pieds!
– Quoi?
– Lèches-moi les pieds, salope! C’est ça, un ordre! Tu vas me sucer les orteils, c’est un ordre et tu vas y obéir, pétasse!
Elle me regardait avec une grande détresse, avec terreur, cherchant peut-être que j’annule cet ordre, mais il n’en était pas question; elle allait me lécher les pieds, me sucer les orteils, pendant que je la questionnerai sur sa supposée soumission.
– Lèches! Et réponds!
Elle prît mon pied droit dans ses mains et commença à le sentir. Forcément, il y avait une odeur, mais pas aussi forte qu’elle le craignait. Mais j’étais décidé à la tester là-dessus.
– Qu’est-ce qu’il y a? Ca pue?
– Non.
– Non? Dommage! Ca m’aurait plu que tu lèches des pinceaux bien crades. Puisque cette odeur-là ne te gène pas, je vais te donner une autre odeur. Tu aimes ça, les odeurs?
– Oui, admit-elle, doucement.
– Bouffes-moi le cul, chienne! Tu aimes bouffer l’oignon d’un mec, petite chienne?
– Oui, Maître!
D’elle-même, elle venait de m’appeler « Maître », sans que je lui demande.Spontanément. Je la récompensais en l’embrassant tendrement sur les lèvres.
-Là, tu viens de marquer des points, petite catin! Tu m’appelles Maître sans que je n’ai rien besoin d’exiger, bravo!
Je l’attrapait par les cheveux, me retournait, lui présentait mon cul, lui collait son visage dans ma raie et lui ordonnait de me lécher, en rentrant sa langue dans mon anus.
– Lèches moi bien, ma pute, lèches mon fion, lèches mes boules, t’es bonne qu’à ça, t’es qu’une pute…
J’adorais la réduire à l’état de soumise, et, d’après les gémissements que j’entendais derrière moi, il me semblait qu’elle aimait ça, elle aussi.
Je la laissai me bouffer le cul un moment, puis je me retournai
– Bon, on a fini l’apéritif, maintenant, on va passer au hors d’oeuvre!
– J’en peux plus, me dit-elle.
– T’en peux plus? Et tu veux devenir une soumise, après une pipe et un bouffage de fion? Dégages,sale pute, fous le camp!
– Non, cria-t’elle.
Elle me suppliait de continuer le traitement.
– Très bien, donc, tu ne me diras plus jamais « Non »?
– Non!
Je la regardai en mettant un maximum de dédain dans mon regard.
– Et tu tombes aussi facilement dans un piège! Que veux-tu que je fasse de toi ma pauvre fille, tu es trop idiote pour que je puisse m’occuper de toi, tu n’es rien, retournes dans le caniveau d’où tu viens. Je ne pourrais même pas te présenter à mes potes, non pas pour te présenter, tu me ferais trop honte, mais pour qu’il te baise, j’aurais l’impression de leur présenter de la viande avariée.
Elle pleurait.
– S’il vous plait, geint-elle.
– S’il vous plait, quoi? Que veux-tu que je fasse de toi, salope? Tu me dis que tu en as marre après une pipe et un léchage de pied et de cul… mais après, il v a la levrette, la sodomie, les gifles, les bifles, les insultes, le fist, encore la sodomie. Tiens, tu t’es déjà fait sodomisée?
– Une fois.
– Avec moi, ça sera sodomie à la chaîne, je demanderai à tous mes amis, ainsi qu’à tous les mecs à qui je te présenterai de t’enculer en priorité. T’as déjà bu de la pisse?
– …
– Tu t’es déjà fait pissé dessus?
– Non, répondit-elle, tout doucement.
Je me mis debout, l’attrapai par les cheveux et la forçait à me suivre, à genoux, jusque dans la salle de bains.
– Assieds-toi dans la baignoire!
Elles’assit. Je me mis debout sur les bords
– Ouvres ta gueule de pute et tires la langue!
Ca n’allait pas assez vite, une grosse gifle lui fit comprendre mon mécontentement.
– Ouvres en grand, salope!
Elle obtempéra. Je l’arrosai alors copieusement sur le visage, dans la bouche, je la noyait sous mes jets d’urine.
.
Allongée dans la baignoire, elle suffoquait, exténuée par ce que je lui avait fait subir tout l’après-midi. J’avais été très dur avec elle, mais elle me semblait apte à recevoir tout ça. Et je n’avais pas été déçu du résultat. Il fallait absolument que je la revois une autre fois, rien que pour la pénétrer par devant et par derrière. Elle s’était abandonnée à moi sans retenue, et maintenant, c’était à moi de me montrer à la hauteur pour en faire une salope d’exception, avant de la prêter à mes potes. Je devais lui apprendre ce qu’était le bondage, l’amener en boite échangiste, lui faire découvrir l’homosexualité féminine, bref, je n’en avais pas fini avec elle, et je sentais que j’avais une Stradivarius, non pas dans les mains, mais dans mon lit.

A bientôt…

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