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une séparation brutale (12)

une séparation brutale (12)



Deux mois sont passés, pour vous comme pour moi, depuis le passage de Fabrice et de sa mère à la maison. Et depuis, aucune nouvelle. Fabrice ne répond pas aux messages que je laisse sur son téléphone. Ma mère m’a dit avoir croisé Béatrice dans une rue commerçante, où elle faisait quelques boutiques. Elles ont échangés quelques mots rapides, mais Béatrice lui promis de la rappeller dans la semaine, mais elle n’en a rien fait.
Je finissais presque à les oublier.
Presque.
Je restais toutefois sur une certaine faim. Je sentais que quelque chose m’attirait chez Béatrice. Cette femme me connaissait depuis que j’étais à la maternelle. Je me souviens de certains emois quand je la voyais en maillot de bain lorsque j’étais jeune ado. Et maintenant, grace à ma mère, et mon obstination, j’avais semé le doute dans sa relation avec son fils. Je voulais savoir où cela en était. Si l’épisode à la maison avait été passé sous silence et qu’ils souhaitaient l’oublier. Ou si cela avait donné l’occasion à d’autres petites experiences.
Et j’avais envi de fourer ma queue dans la chatte de Béatrice. C’est une bourgeoise qui vote socialiste, mais qui ne supporte pas les pauvres, qui vit sa petite existance en visitant des musées et des galeries, lisant des livres d’arts, et ecrivant chaque trimestre un petit article dans un magasine local, que peut de monde lit, dans la rubrique culturelle.
J’oubliais ; à un moment, je la croisais regulierement aux galeries lafayettes. Elle y fait ses courses, autant cosmetiques que vestimentaires. Elle était toujours assez hautaine avec les vendeuses, ne comprenaient pas que certaines ne connaissaient pas encore ses gouts ; elle aimait être au courant des dernières nouveautés (nouveaux sacs de tel créateur, ou telle chaussure, ou sentir un nouveau parfum). Elle passait aussi pas mal de temps aux rayons lingerie, j’ai pu constater dans ses tiroirs, chez elle, qu’elle avait un joli choix de culottes et soutien gorges, souvent avec des dentelles. Je ne sais pas qui elle souhaitait séduire avec cela, puisqu’à priori, avec son mari, le sexe ne se pratiquait qu’une ou deux fois par mois, une certaine lassitude sexuelle s’étant progressivement installée entre eux.
Donc il m’arrivait, ces derniers soirs, en fourrant ma mère, de m’imaginer être en train de rentrer et sortir ma queue de la chatte de Béatrice. Je lui en ai d’ailleurs parlé. Elle avait bien compris qu’il y avait quelque chose en ce moment. On ne peut rien cacher à sa mère. Elle m’a demandé si elle pouvait faire quelque chose. Je lui ai répondu que oui.
Elle appela Fabrice sur son téléphone portable. Il ne répondit pas. Elle laissa un message, disant qu’elle souhaitait le revoir, qu’elle se sentait seule. Quand elle raccrocha, je la regardais avec un demi-sourire.
– Dis donc, tu étais crédible… N’importe quel mec rappellerait rapidement.
Et effectivement, à peine cinq minutes plus tard, Fabrice envoya un SMS. Sans doute était-il un peu intimidé pour appeller directement. Il indiquait : « Pourquoi me voir ? ». Elle répondit sans trop refléchir : « Mon fils a une copine depuis un mois, je le vois bcp moins. Seule. »
Je riais doucement, elle manoeuvrait habilement. Fabrice répondit après deux minutes. « J’ai une copine aussi… Et ça a été compliqué avec maman… Je ne sais pas si c’est une bonne idée ».
Fabrice avait donc une copine ! C’était sans doute pour cela qu’il était aussi distant. Et à priori, il avait traversé une période difficile avec sa mère, c’est du moins ce que le message semblait indiquer. Je pris le téléphone et écrivis : « juste une fois ? demain chez toi ? »
Cette fois ci, on attendit vingt minutes avant d’avoir la réponse. Il avait mis du temps à se décider ! « ok, à partir de 14h, ma mère va sortir, je serai seul. »
Le lendemain, ma mère se présenta donc chez les parents de Fabrice, une grande résidence dans un parc luxueux, dans un des plus beaux quartiers de la ville. Quand elle sonna à l’interphone, Fabrice ouvrit sans demander de qui il sagissait. Elle prit l’ascenseur, puis, arrivée au 7e étage, traversa le couloir et alla frapper à la porte. Fabrice ouvrit, vétu d’un jean et d’un t-shirt. Ma mère avait mis une robe beige, un peu décoletée, et portait une petite veste en cuir. Elle s’était fait une queue de cheval, ce qui était rare.
Fabrice fit un sourire un peu géné, l’invita à entrer, ne sachant pas trop comment être. Il se décomposa un peu en me voyant apparaitre derrière le dos de ma mère.
– Ah, tu es là… fit il sans sourire.
– Tu invites ma mère pour la sauter, je peux bien venir prendre un verre d’eau…
– Il a insisté pour venir, fit-elle à Fabrice, je suis désolée si ça te gène.
– Non… non… je suis surpris c’est tout, je m’attendais que l’on soit que tous les deux.
Je me dirigeai vers la chambre des parents de Fabrice. Il me regarda ouvrir la porte, et me rejoignit en grognant.
– Attends, tu fais quoi ?? Ma mère revient dans deux heures, je veux pas qu’elle voit que vous êtes passés.
Ma mère s’approcha à son tour et se colla contre lui. Il put sentir ses seins s’applatir contre lui. La main de ma mère descendit vers la fermeture de son jean, et elle carressa doucement.
– Laisse le faire, murmura t-elle, en plongeant sa main dans le pantalon de Fabrice. Elle passa sous son slip, et attrappa son sexe, qu’elle se mit à masturber doucement.
De mon coté, j’ouvrais les differents placards et tiroirs de la chambre. Il régnait une lumière assez tamisée dans la pièce, où les rideaux étaient baissés. Je trouvais rapidement deux tiroirs remplis de lingerie. Je dépliais quelques culottes pour les admirer. Je remarquais qu’elles avaient toutes la transparence comme point commun. Je fis quelques pas vers une autre porte, qui amenait à la salle de bain attenante à la chambre. Je fus ravi de voir, à coté d’une jupe et d’un chemisier, une culotte noire, avec beaucoup de dentelles brodées et de transparence, posés dans un coin. Je pris la culotte en main. Je remarquais aussitot une longue trace blanche dans le fond. Je la portis à mon nez, et je pus sentir l’odeur de la chatte de Beatrice. Et cela devenait très fort lorsque j’approchais mon nez des traces blanches. Je regardais un peu le reste des affaires. Je trouvais également le soutien gorge assorti qu’elle devait porter également. Je revins vers la chambre. Ma mère était debout à coté de Fabrice. Ils avaient l’air con l’un à coté de l’autre, comme ça. Elle lui avait sorti la queue du pantalon, et le branlait. Il était dur, et se laissait faire, tout en la regardant.
Je léchais doucement la culotte sale de Béatrice en les regardant. Ma mère, doucement, retira sa culotte, blanche avec quelques motifs brodés, et l’apporta également à la bouche de Fabrice. Il la prit dans sa main, et commença à la lécher.
– Laisse moi me branler sur une photo de ta copine, et je te laisse enculer ma mère.
Fabrice me considéra avec méprise. Il savait que j’étais au courant que c’était sa première copine (il n’avait été avec aucune fille auparavant, par timidité et peu de confiance en lui). Sachant qu’elle n’en saurait rien, il prit son téléphone portable, alla dans l’album photo, et mit à l’écran une photo de son visage. C’était plutot une jolie fille, souriante, brune, et bien faite de corps à priori. Elle devait avoir 18 ans. Je fis défiler les photos à l’aide de mon index, je pus voir qu’il avait plusieurs photos d’elle. Je sortis ma queue, prit une culotte propre de Beatrice, que j’enroulais autour de ma queue, et commença à me branler.
– Elle s’appelle comment ?
– Marie…
– Je lui casserai bien le cul à Marie, tu vois…
– Arrête, elle est douce… Je l’aime…
– Tu l’aimes et tu malaxes les seins de ma mère…
Effectivement, depuis deux minutes, il avait posé ses mains sur la poitrine de ma mère, au dessus de ses vetements, et malaxait doucement, tandis qu’elle le branlait fort, en s’assurant qu’il continue de lécher sa culotte.
Je montrais la lingerie sale de Béatrice à ma mère.
– Mets ça maman …
Sans sourcilier, ma mère retira sa veste, puis, en un geste, fit tomber sa robe. Elle se retrouva nue, ne portant pas de soutien gorge, et ayant déjà retiré sa culotte. Elle prit le soutien gorge noir de Béatrice et se cacha les seins, attachant facilement les agrafes dans le dos. Il lui allait parfaitement. Puis elle prit la culotte sale, qu’elle enfila. Elle s’approcha de Fabrice et l’enlaça. Elle se frotta contre lui, puis passa devant lui, et frotta ses fesses contre son sexe. Elle se pencha de plus en plus en avant. Il bandait dur et se branlait avec sa culotte blanche. Je continuais de me branler devant les photos de sa copine. Ma mère entrainait doucement Fabrice vers le lit. Elle baissa un peu la culotte sous ses fesses, et se mit à quatre pattes. Elle écarta bien les cuisses. Il eut une vue parfaite sur son anus, et sa chatte, tous deux offerts à lui. Il s’approcha, la queue gonflée, en se branlant un peu, et osa la présenter devant le cul de ma mère. Comme elle ne disait rien, il appuya un peu, força, fit glisser son gland à l’interieur, força un peu plus, et s’enfonça completement dans son cul. Ma mère se carressait au travers de la culotte sale, frottant ses doigts au niveau de son clito. Fabrice se mit à aller et venir.
– Je me branle dans la mouille de ta mère…, fit ma mère.
Fabrice accélera la cadence.
– Je suis sure que tu en reves, de lui faire ça, hein ?
Fabrice grogna un peu, en tapant de plus en plus fort.
– Allez ! encule moi comme un homme, appelle moi maman !
– Oh oui maman ! tiens prends ça dans ton cul !
Comme il criait, il n’avait pas entendu la porte s’ouvrir, et Béatrice et Marie entrer avec des sacs de courses dans les mains. Elles restèrent sur place. Muettes. Fabrice avait le dos tourné à la porte.
– Maman, je t’encule ! je t’encule !
Béatrice reconnut la lingerie que portait ma mère. Marie avait les mains devant le visage, les yeux écarquillés, n’en revenant pas, n’arrivant pas à accepter ce qu’elle voyait. Comme elle jetait un oeil vers moi, je lui montrai l’ecran du telephone, pour qu’elle voit bien que je me branlais sur elle, et je crachais une grosse éjaculation sur une photo de son visage, qui s’étala sur l’écran du smartphone.
– Fabrice !, hurla Béatrice.
Je vis mon pote se raidir, tétanisé par la peur. Il ne bougea plus d’un coup. Je ne saurai dire s’il avait éjaculé dans le cul de ma mère à ce moment ou pas. Marie partit en courant de la chambre, en poussant des sanglots. J’essuyais le smartphone avec la culotte propre de Béatrice, bien au milieu au niveau de la chatte, puis je la jetais dans sa direction. Elle se recula d’un pas pour l’esquiver.
A suivre.

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