Après avoir lu votre dossier consacré à la fessée, je me suis décidée à vous écrire pour vous raconter une aventure vécue il y a trois ans. À l’époque, j’avais trente ans et l’homme qui partageait ma vie m’avait proposé une soirée « hard ». Après avoir longuement hésité, j’ai finalement accepté de le suivre. Je sentais qu’il allait se passer quelque chose – sans même savoir quoi exactement – mais cela m’excitait beaucoup
Nous sommes arrivés dans une grande villa située en bord de mer et entourée d’un immense parc. Une dizaine de couples étaient rassambés sur la terrasse autour d’un barbecue géant. Les présentations faites, notre hôte expliqua que le jeu avait commencé. Les perdants devaient s’acquitter d’un gage en exécutant fidèlement les ordres du maître de cérémonie. Très vite, j’ai assisté à quelques fessées magistrales dispensées aussi bien sur des fesses féminines que masculines. Tout ce que je voyais m’excitait beaucoup car un véritable cérémonial accompagnait chaque fois ces petits supplices.
Et puis ce fut mon tour. En préambule, le maître fit remarquer que j’étais nouvelle et qu’à ce titre, je devais subir un traitement particulier. On m’a invita à venir me placer au milieu de la terrasse et presque aussitôt un ordre fusa: « Déshabillez-vous! ». Devant mon étonnement, la voix précisa: « Completement ». Un peu tremblante, je m’exécutai, marquant tout de même un temps d’arrêt au moment de baisser mon slip. Tous les invités avaient les yeux rivés sur moi. Nue comme un ver, face à une vingtaine de personnes, je ne savais que dire et surtout que faire. Soudain, quelqu’un dans l’assistance m’ordonna de poser mes deux mains sur la tête. Ensuite, pendant cinq ou six minutes, ce qui dans mon cas représentait presque une éternité, on me laissa debout, exposée à tous les regards. Je me sentis tellement honteuse que je n’osais pas ouvrir les yeux. J’étais comme pétrifiée. Enfin, le maître de cérémonie brisa le silence en rendent son verdict: « Vous serez fesséee par une femme. » Cela ne fit qu’ajouter à mon humiliation.
Une femme d’une quarantaine d’années, particulièrement belle mais très arrogante, s’approacha de moi. D’un ton sec et cassant, elle m’ordonna de me pencher sur la table située face à moi, la croupe bien ouverte. Elle passa ensuite longuement ses mains sur mes fesses avant de caresser mon derrière. Au bout d’un moment, elle se pencha vers moi et me murmura à l’oreille; « Maintenant, je vais leur montrer ton anus. » Aussitôt, une décharge électrique parcourut mon corps. La femme m’écarta largement les deux globes pour exhiber mon oeuillet à l’assistance. Elle avait énormement de mal car j’étais terriblement crispée. Elle avait certainement beaucoup d’expérience car au lieu de s’énerver, elle affichait un calme olympien. Manifestement, elle savait quels gestes il fallait adopter dans ce cas-là.
Elle commenca par tapoter mon anus puis, avec son ongle, elle gratouilla tout autour avant de poser un doigt dessus. Elle possédait un grand savoir-faire car chacun de ses gestes me faisait mouiller chaque fois un peu plus. C’était un sentiment à fois pénible et délicieux. Lorsqu’elle fit entrer son majeur dans mon anus, je poussai un gémissement. Plus tard, elle retira lentement son doigt puis elle se mit à me fesser avec beaucoup de conviction. L’auditoire apprécia. À la fin de la séance, j’avais assez mal, mais je mouillais comme une folle.
Lettre de Pascale, 33 ans, Corse
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