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Tati Béatrice

Tati Béatrice



Je me nomme Sébastien 22 ans, Histoire vrai.

Ma tante Béatrice m’avait invité comme j’étais de passage dans la région pour un week-end.

Ma tante Béatrice 64 ans était enfilé d’une petite robe à bretelles qui lui arrivait à mi-cuisse et possédait un décolleté appétissant. Nul doute que rien que sa tenue me rendait fou. Sans vouloir mentir, elle était petite et forte mon goût mais elle avait, un sourire qu’on disait ravageur et des yeux envoûtants dont elle savait parfaitement se servir pour séduire et elle n’hésitait pas à se maquiller légèrement pour les mettre encore plus en valeur. Elle était vraiment belle, Elle le savait et aimais qu’on me lui dise.

Après le repas et quelque verres, l’alcool aidant. Ma tante était assez émoustillée, si bien qu’elle faisait exprès de me pencher négligemment pour offrir une meilleure vue sur son décolleté et à jouer avec mon regard pour me provoquer un peu. J’ai dû me rendre aux toilettes et j’en ai profité pour reprendre un peu mes esprits. J’avais, en effet, la tête qui tournait un peu à cause de l’alcool que j’avais bu. J’ai aussi remarqué que mon boxer semblait être déjà légèrement humide. Je me suis lavée les mains et je suis sortie des toilettes pour retourner au salon quand je suis sorti des WC plus d’électricité dans l’appartement.

J’avançais lentement dans le couloir pour rejoindre le salon tomber dans le noir mais cette dernière m’a retenu et, je ne sais plus vraiment comment, j’ai une de mes mains qui s’est retrouvée sur un des seins pour me retenir. Sur le coup, je n’ai pas réagi mais la main est restée plus que nécessaire avant de finalement se retirer. Je me suis excusée de lui être rentrée dedans puis ai commencé à reprendre mon chemin mais brusquement sa main est venue me claquer les fesses. La main s’est retirée et la profiteuse n’a plus donné signe de vie. Elle avait dû partir en me laissant là tout seul au milieu du néant. Je n’y croyais pas, je venais de me mettre une main sur un sein à quelqu’un de ma famille. Je me n’en voulais pas vraiment de mon geste, au contraire, ça n’avait pas été trop loin et ça m’avait excité sa provocation.

– Je lui demandai a tati ce qu’il s’est passé.
– Je ne sais rien Seb je pense le courant à sauter.
– Je lui demandai ou est le tableau pour identifier le problème.
– Tu as trouvé Seb ?
– Oui tati j’ai trouvé ce n’est pas chez nous, J’ai été voir dehors. Apparemment c’est toute la rue qui est plongé dans le noir. Il n’y a rien d’autre à faire que d’attendre que le courant revienne.

Quoi qu’il en soit, je suis finalement revenue dans le salon. Je me suis alors dirigé vers le canapé du salon pour m’assoir en pensant qu’il serait vide mais ce n’était pas le cas. Il y avait ma tante. Puis je ne voulant pas m’embêter à chercher une autre place, je me suis assise à coter de tati. Rapidement ses mains sont venues se poser sur mes cuisses. Peu de temps après, elles ont commencé à me les caresser délicatement. C’était plutôt agréable et je n’ai donc rien dit. La douceur de ses paumes sur mon pantalon me faisait frissonner. Je me suis alors installée plus confortablement sur le canapé, elle venait bien me coller. Les mains ont continué leurs douces caresses en remontant lentement le long de mes jambes.

Je me suis laissé aller aux somptueuses sensations qui m’envahissaient peu à peu. Sans me poser la moindre question, j’ai ouvert les cuisses pour faire comprendre à ma tante de poursuivre son exploration et puis j’ai senti quelque chose pointer dans mon boxer. Je me suis trémoussée pour l’exciter encore plus. Je ne me demandais même pas si ce que je faisais était bien ou mal, si je n’allais pas le regretter plus tard. J’étais fière de ce que tati fessait je rêvais de sa depuis longtemps.
Mes mains ont caressé les cuisses de tati jusqu’à atteindre la culotte maintenant bien humide et je n’ai pas pu m’empêcher. Mes doigts se sont engouffrés à l’intérieur avant qu’elle pousse un petit soupir de satisfaction. Mes doigts caressé ces lèvres intimes de ma tante. La situation était vraiment très excitante, j’étais en train de m’offrir volontairement à ma tante dans le noir complet.

Elle s’allongeât sur moi afin que sa chatte soit à la hauteur de ma bouche, et de suite, Mes doigts s’engouffraient ardemment dans la chatte puis j’introduis ma langue. Je sortais son clitoris (de bonne taille) en écartant bien ses lèvres et l’embrassais et en passant ma langue, le fit grossir, elle de son coté, pris mon sexe dans sa bouche et quand je sentis qu’elle expulse tout mon jus de cyprine qui cela la fessait jouir. Je recevais tout son jus dans ma bouche, mais elle ne me fit pas jouir, puis s’allongeât sur le dos afin que je puisse lui faire l’amour. Elle prit mon sexe dans sa main et se l’introduisit en elle d’un seul coup. Je voulais me retirer pour ne pas jouir en elle, elle me retient en me disant qu’elle avait un stérilet depuis la mort de mon oncle. Puis j’ai jouis dans tati.

– Tati tu pourrais peut-être aller voir si tu as des bougies. Ça sera toujours mieux que rien pour nous éclairer.
– Oui Seb.
– Tu peux venir avec moi stp ?
– Oui Tati j’arrive.

Je suis allé dans la chambre, ai pénétré dans l’antre de ma tante et elle à commencer à fouiller dans la table de nuit à la recherche des fameuses bougies. Elle ne se souvenait plus de l’emplacement exact où elle les avait rangées. Le noir ne facilitait pas vraiment nos recherches. Après plusieurs longues minutes de fouilles infructueuses ont rien trouvé.

On était à peine sortie de la pièce qu’une bouche sauta sur la mienne pour me rouler une pelle tandis que les mains me palpaient sans ménagement. L’autre derrière fouillait dans mon boxer inondée. Ma main vint agripper la poitrine de ma tante qui me faisait face. Ma tante Béa se mis à genoux. Je n’en pouvais plus. Je voulais qu’elle déguste de nouveau. J’avais vraiment très envie. Tandis que sa langue s’occupait de lécher chaque centimètre carré de ma bitte.
Mon dieu, qu’est-ce que j’ai fait ce soir ? J’étais vraiment dingue. La chattes de ma tante pour moi tout seul. La situation était vraiment très excitante pour moi. Ajoutée au fait d’enfreindre l’interdit familial. C’était vraiment fou de faire ça mais rien ne m’aurait arrêté à ce moment. Ça faisait déjà de longues minutes qu’elle s’occupais de moi quand j’ai été pris de spasmes violents et est venu se libérer au fond de la bouche tout en poussant des grognements de satisfactions. Ma tante et moi nous sommes redescendus au salon où la soirée continuait à avoir lieu.

Une fois au salon, EDF remis le courant.
Tati me proposa de prendre un bain pour nettoyer de tout ça, je me suis redirigée vers le salle de bain mais je n’étais pour autant pas rassasiée et je voulais poursuivre ce que j’avais commencé plus tôt avec tati Béa. C’est donc tout naturellement que je me suis installée dans la baignoire, puis elle entra. J’ai pris ses mains et les ai menées sur mes cuisses que j’ouvrais pour lui faciliter la tâche. J’avais vraiment hâte qu’elle me reprenne en main. Enfin, elle a commencé à s’agiter et à me caresser délicatement. Tandis que je savourais ses nouvelles caresses, je sentais une bosse se former. Mes doigts se sont promenés doucement sur ces lèvres et sont venus plusieurs fois titiller son clitoris. J’ai senti son souffle de plus en plus marqué. Mes mains sont remontées et l’ont empoigné les seins.

Merde, c’était encore mieux que précédemment et à l’idée que c’était très probablement ma tante qui me faisait ça, je fondais littéralement. Elle aurait pu me demander n’importe quoi à ce moment-là, je l’aurais fait sans hésiter. Il m’aurait demandé par exemple de la sodomisé je me serais à l’instant attelé à la tâche.

Je l’ai alors embrassé. Ma langue a pénétré sa bouche et est venue se frotter à la sienne. Le baiser dura plusieurs longues secondes.
– Je t’aime mon Seb, me dit-elle.
– Moi aussi tati.

Nous sommes sortis de la baignoire nous nous somme essuyer. Tati me tira vers la direction de la chambre.

Elle se mis sur le lit et sa main vint agripper la bosse.
– Tati, j’ai très envie, lui murmurais-je à l’oreille implorante.
– Tu es sûre de toi ?
– Oh oui tati ! Absolument.

Et pour bien illustrer mon envie, elle tenait enfin ma bite dans ces mains et elle commençait à me branler doucement. Elle se me mis alors à genoux devant le lit et vint approcher son visage de mon engin. Je sentais fort son excitation et ça me rendait encore plus fou. Elle a commencé à déposer quelques baisers puis quelques coups de langues
– Oh oui, dans un râle de bonheur.

Ma main est venue caresser ces cheveux tandis qu’elle dégustais ma bite et j’ai fini par pousser la tête de tati pour la forcer à en prendre plus en bouche. J’avais très envie de lui offrir tout ce qu’elle voulait alors je l’ai laissé faire mais je dois avouer que ça commençait à être inconfortable pour moi. Elle s’arrêta et elle s’installa à plat ventre sur le dos. Cette fois ça allait être bon, je lui frottai mon gland sur ces lèvres et la pénétra d’un coup sec. Elle était tellement mouillée qui s’engouffra facilement. Ainsi je commençai à baiser sans ménagement. Je la pilonnais avec une fureur presque a****l. Mon dieu que c’était bon ! Sa chatte. Autant j’ai réussi à rester silencieux quand elle m’a masturbée, autant là c’était impossible. Jamais je n’avais imaginé de baiser en levrette ma tante.
– Tu as vraiment des seins magnifiques.
– Merci mon chérie. Caresse autant que tu le veux. Ils sont à toi maintenant.
– Tu aimes te faire baiser tati ? Hein ?
– Oh oui, j’adore ! Ta bite est si bonne, elle me fait vraiment du bien.
– Tant mieux tati, parce que je compte bien ne pas me contenter que de cette soirée.
– Oh oui Seb, je ferais tout ce que tu veux. Baise-moi la bouche, déchire-moi la chatte ou défonce moi le cul si tu préfères, je ferais tout ce que tu veux. Tout, tout, tout ! Je te le promets. Je veux être ta petite pute chérie, encore et encore.
– Oh oui, ma petite pute chérie…
Nous étions maintenant tous les deux au bord de la jouissance quand j’ai senti l’orgasme venir. Il a été fulgurant, fracassant et éblouissant. Elle a joui en même temps que moi.

Nous sommes restés enlacés l’un dans l’autre de longues minutes avant que ma tante affirme qu’il fallait qu’on aille se coucher mais qu’elle avait hâte de reprendre cela. J’étais triste de devoir la lâcher mais j’ai dû me résigné. Je suis partie dans la salle de bain faire un brin de toilette avant de me coucher. J’en avais bien besoin.
Je me pus m’empêcher à repenser à cette soirée de dingue que j’avais passé à coucher avec ma tante, j’avais eu mon compte.

Cette terrible soirée venait de prendre fin. Je m’y étais complètement lâchée pour mon plus grand bonheur. Quand à ma tante, nous avons recommencé plusieurs fois à baiser Aujourd’hui je suis heureux de tous les magnifiques souvenirs.

J’espère sa vous à plus, n’hésiter pas pour les commentaires.

(A Suivre)

Sébastien

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