La porte dérobée la transporta jusqu’à un escalier en colimaçon. Elle le descendit alors que ses vêtements continuaient de disparaître. Au premier sous-sol, ils étaient encore sous ses seins. Au deuxième sous-sol, il ne restait de son chemisier qu’un collier de tissu. Il était certes assez original, mais un peu trop indiscret. L’escalier finit par un couloir obscur. Alors qu’elle en sortit, elle se retrouva devant un parterre de femmes soigneusement vêtues de robes passées et de corsets sévères, soulignant leur taille et leur poitrine. Quand elle s’introduisit dans la pièce, elles ne l’avaient pas encore remarqués. Sans un bruit, elle tenta de s’esquiver par la porte qu’elle venait de passer. Au moins, elle pourrait attendre que ces femmes étranges partent dans le couloir. Mais la porte s’était fermée à double tour derrière elle. Elle se trouvait prisonnière de la pièce. Elle souhaita contourner l’obstacle de ses femmes qui ne lui inspirait guère confiance en passant par un côté de la salle. Les femmes parlaient sans se rendre compte de sa présence. Une porte, au loin, lui faisait signe. Elle pourrait y arriver, si elle passait sous des tables qui apparurent soudainement. Elle se félicita de cette apparition, au moins elles pourraient la cacher. Elle se mit à quatre pattes et avança tant bien que mal. Elle ne comprit pas toutefois comment ce chat tout d’un coup se trouva entre ses jambes, s’y lovant en miaulant de contentement. Bien évidemment, les femmes la surprirent. Elle eut beau chercher à se précipiter, elle fut rapidement ratt****r et maîtriser. Elles l’installèrent dans un profond fauteuil en l’attachant soigneusement… Elles prirent son cas avec attention
L’une dit en susurrant une fraise juteuse entre ses lèvres que ce n’était pas convenable de se dévêtir ainsi. Une autre convint qu’elle avait de trop jolis seins pour être honnête, il fallait la punir pour cela. Une autre encore que la découvrir avec cette chatte entre les jambes était d’une outrecuidance rare. Sa voisine, soulevant les pans de sa robe pour caresser un sexe coloré en forme de cœur rouge fit remarquer qu’il était bien possible que cette sauvageonne était en train de mouiller impudiquement. Une quatrième se proposa de la lécher pour donner son opinion à l’assistance… Une cinquième croyait que l’introduction d’un gode à triples tours révolutionnaire serait d’un bien meilleur effet. Et comme elles n’arrivèrent pas à se décider sur le meilleur des traitements à donner à une femme aux mœurs si légères, elle finit par être léchée, godée, pincée devant la chatte au sourire narquois qui s’avéra en définitive être un chat. Or, loin de ressentir la moindre gêne ou la moindre fatigue, elle sentait que la fièvre reprenait corps en elle. Et elle en demandait davantage à chaque fois. Elle criait, elle suppliait, elle s’offrait, si bien que ses persécutrices se fatiguèrent avant elle… Elles finirent par la détacher et lui offrir des vêtements. Elle les remercia bien poliment. Peut-être n’aurait-elle pas dû… Ses nouveaux habits couvraient son corps tout en laissant bien apparent ses fesses, son entrejambe et ses seins… Quelle étrange vêture ?
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