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8 de 23: Mère et Fils: une histoire d’

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Chapitre 8 : Communauté i****tueuse

C’est une petite église, mais avec un grand clocher. Maman et moi sommes assis sur les bancs de bois durs à écouter le sermon sur l’amour de Dieu pour nous pauvres pécheurs et de cet amour que notre monde manque le plus.
Maman presse ma main quand le prêtre de cette communauté protestante venant d’Angleterre souligne d’une main qui frappe son pupitre.
– Dans ce monde perdu dans la v******e ou l’indifférence, si vous trouvez l’amour de votre prochain, saisissez le à bras le corps. Embrassez le et maintenez-le aussi serré que possible, car ce serait un péché aux yeux de Dieu, pour quiconque, de laisser l’amour, qui est son cadeau le plus précieux pour nous tous…de laisser l’amour se perdre ou de l’abandonner.
Plusieurs des paroissiens de l’église murmurent un fervent amen et je regarde maman dont la vue fait battre mon cœur beaucoup plus vite pour murmurer un sincère, « Amen ». Le regard d’amour que ma mère me donne me transfigure et pour être honnête, me donne une belle érection au beau milieu de la messe.

Maman est magnifique, comme toujours. Elle porte une tenue très sage mais qui ne réduit en rien sa beauté et sa sensualité.
Nous avons été accueillis chaleureusement par le prêtre qui a annoncé notre présence au début de son allocution à l’église avant de commencer son sermon.
– Nous sommes heureux d’avoir notre sœur Sabine, de retour parmi nous aujourd’hui, accompagnée de son fils Dany et nous espérons qu’ils vont nous rendre visite plus souvent. Sœur Brigitte m’a dit qu’ils envisagent un déménagement dans notre région et, si dieu le veut, on les verra bientôt tous les dimanches.
Brigitte nous sourit chaleureusement et je suis émerveillé que quelqu’un d’autre soit au courant de notre liaison amoureuse, maman et moi, et qu’elle approuve sans réserve. Brigitte est assise à côté d’un homme un peu plus âgé qu’elle. Ils sont tous deux souriant et j’ai une sorte de frisson en pensant qu’ils sont frère et sœur, et que nous ne sommes pas les seuls amants i****tueux dans cette église.
Après le service, beaucoup de gens viennent nous accueillir ou parler avec maman. Pendant que maman discute avec plusieurs personnes, je reste fièrement à ses côtés, tenant sa main quand elle me présente à divers vieux amis ou des voisins. Je n’ai aucune idée de combien de personnes savent ou soupçonnent que maman et moi sommes des amants, mais chacun semble nous dire bonjour comme un couple et je trouve ça merveilleux et excitant, même si je suis un peu gêné que mon pantalon ne cache pas bien la bosse de ma bite en érection.

Lorsque nous descendons les marches de l’entrée de l’église, un vieillard un peu chancelant est tenu par le bras par une femme de quinze ou vingt ans de plus que maman.
– Sabine ! Que de temps a passé depuis la dernière fois que je t’ai vu ! dit le vieil homme d’une voix qui contredit ses années.
Maman pousse un cri de bonheur et lui dit :
– Révérend Benoît ! Je ne vous ai pas vu en arrivant ! Que c’est bon de vous voir !
Maman se précipite en bas des marches et donne une prudente accolade au vieil homme. Il ricane et l’étreint plus fort.
– Ma petite Sabine est devenue une belle femme… et elle est avec un beau jeune homme,
Et se tournant vers la femme à côté de lui, il lui fait remarquer.
– Je me souviens quand j’ai baptisé cette petite fille lorsqu’elle avait onze ans. Son papa était tellement fier.
Maman rougit de bonheur et me présente comme son fils. Le père Benoît me dévisage un instant, secoue sa tête et me dit.
– Votre mère est une femme merveilleuse, mais…
Il fait une pause et me fait un clin d’œil,
– Mais je pense que vous le savez pertinemment.
Puis revenant sur maman.
– Sabine, vous vous souvenez de ma plus jeune fille, Élisa ?
– Heureuse de vous rencontrer, Sabine…Dany…, dit Élisa. Mais je doute que Sabine se souvienne de moi. J’ai déménagé quand Sabine était une petite fille. Je ne suis revenue ici pour vivre avec Papa, que lorsque maman est morte.
– Oh, Père Benoît, je ne savais pas ! Je suis désolé d’entendre que votre femme est décédée.
Et maman embrasse le vieil homme à nouveau.
Une expression de tristesse passe dans le regard du Père Benoît et il répond.
– Oh, elle me manque… Puis son visage s’illumine et se retournant vers sa fille.
– Mais mon Élisa est à mes côtés tous les jours depuis ces neuf dernières années et elle me rend très heureux.
Élisa rougit légèrement et j’ai une étrange impression. Maman m’a dit que le Père Benoît a épousé sa propre sœur, et maintenant je me demande s’il n’a pas une relation amoureuse avec sa fille.
Élisa qui me regarde semble lire dans mes pensées car elle confirme mon impression quand, sans vergogne, en souriant, elle dit.
– Oui, Papa a fait de moi une femme heureuse ces dernières années.
Elle le pousse du coude et ajoute.
– Il est encore plein d’allant pour son âge.
A ce moment, Brigitte s’approche avec son mari et nous invite à aller déjeuner avec eux dans un restaurant local. Nous convenons de nous retrouver dans une demi-heure. Une fois que maman et moi sommes dans la voiture, je la regarde et renouvelle mes remarques quelques jours plus tôt.
– Maman, c’est ici que nous vivrons !
Maman se met à rire et répond.
– Oui, mon chéri, je crois qu’ici nous ne ferons pas scandale, n’est ce pas ?
En cours de route, ma mère remonte sa robe pour me montrer son string jaune, avec le bout de tissu coincé dans sa chatte toute humide et la face interne des cuisses luisantes indiquant une forte excitation, et elle me dit avec un sourire très coquin.
– Fils, je suis aussi humide que tu dois être dur à en croire la grosse bosse de ton pantalon. Dès que nous aurons finis de déjeuner je te coince dans un coin et je te viole !
Il me faut une sacrée volonté pour quitter des yeux les cuisses pulpeuses et l’entrecuisse de maman pour prêter attention à la route sinueuse.

Le restaurant est assez vieux mais la nourriture est excellente. Maman, Brigitte et le Père Benoît dominent la conversation. Elle porte surtout sur des souvenirs du bon vieux temps entre amis et en famille, avec beaucoup d’échanges de regards qui arrivent à me donner le vertige.
Le sujet de l’i****te n’est jamais venu au cours de la conversation mais les sourires complices voulaient tout dire. Je me mets à les envier de cette époque ou maman a connu ses premiers plaisirs sexuels en famille et je crois que je suis en mesure de partager leur mode de vie sans tabou et si merveilleux.
Le visage de maman est un peu rouge et ce n’est sûrement le vin car elle en a bu très peu. Regardant ses yeux brillants, je reconnais cette étincelle indiquant un désir sexuel intense. Je sais que si je glissais ma main sous sa robe entre ses cuisses, je trouverais un monticule de chair trempé.
Juste avant le dessert, je m’excuse auprès de Gil car j’ai besoin d’aller aux toilettes. Debout devant l’urinoir très propre pour ce vieux restaurant et secouant mon sexe pour faire tomber les dernières gouttes, j’entends la porte les hommes s’ouvrir et maman qui entre haletante.
– Dany ! Entre là !vite !
Avant que je puisse dire un seul mot, elle me pousse dans un box et verrouille la porte derrière nous.
Maman se jette dans mes bras et m’embrasse fougueusement, sa langue forçant mes lèvres pour entamer une danse endiablée avec la mienne. Quant elle presse son corps voluptueux contre moi, ma bite durcie rapidement.
– J’ai besoin de faire l’amour, Dany. J’ai besoin de toi !
En gémissant, maman rabat le couvercle sur le siège de toilette.
– J’ai envie et besoin de ta bite en moi, mon fils ! Ma chatte me brûle !
En un tour de main je me retrouve avec mon pantalon et mon slip sur mes chevilles et maman soulève sa robe et écarte son string sur le côté. Sa chatte ruisselle de son jus et regardant ma bite en pleine érection, elle me pousse sur le siège en retroussant sa robe.
– Baise-moi, Dany. Baise ta maman avec ta grosse bite. Je la veux tout au fond de moi !
– Ooooh Ouii, maman !

C’est tout ce que je peux dire car la chatte trempée de ma mère engloutie ma bite qui disparaît entièrement dans son corps avide et nos poils se mélangent en se rencontrant brutalement.
Tous les mots que j’aurais pu lui dire sont absorbés par la langue moelleuse de maman, qui m’embrasse passionnément.
– Ooooh, mon Dieu…ouiiiiii…
Maman se tortille joyeusement sur ma bite, massant celle-ci d’une façon que j’adore. Elle m’embrasse sauvagement en s’écrasant contre moi puis me lèche les lèvres avec des coups de langue délicieusement obscènes.
– Désolé, fils… mais je ne pouvais tenir plus longtemps. J’étais sur le point de crier quand j’ai senti mon jus coulé sur mes cuisses !
Elle commence lentement à monter et descendre sur ma bite.
-OOoohh, Dany… Ooooh que ça me fait du bien ! J’adore tellement ta bite, Dany ! AAaahhh, je la sens bien…
Mes mains sur sa taille je l’aide à se pistonner sa chatte, essayant d’accompagner comme je peux ses mouvement de bassin quelques peu désordonnés. Je la maintiens un instant bien empalée sur ma queue tendue et pas loin de gicler, pour l’embrasser et lui dire que je l’aime.
Quand elle recommence à monter et descendre, il n’y a rien de semblable à cette douce sensation de la chatte pécheresse de sa mère, avec son glissement humide et chaud autour de ma queue gonflée.
– Moi aussi je t’aime ! Beaucoup trop mon fils.
Murmure ma mère d’une voix vacillante sous ce plaisir i****tueux qui commence à faire trembler son corps.
– Mon trésor et précieux Dany…mon amant…mon fils…maman t’aime comme une droguée aime sa drogue. Je ne peux plus me passer de toi.
La chaleur de sa chatte excitée est incroyable et ma mère mouille tellement que sa liqueur coule entre nous, inondant nos poils pubiens enchevêtrés. L’arôme merveilleux de la chatte humide de maman remonte vers le haut pour flatter nos narines et nos sens.
Les lents mouvements de maman commencent à s’accélérer pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’elle se raidisse et qu’elle maintienne sa chatte sur le haut de ma bite pour faire tourner celle-ci sur mon gland surexcité. Maman me regarde et dans ses yeux je vois son amour et la luxure, son besoin et son envie de jouir. Elle retombe brutalement sur ma queue, sa chatte se resserre autour de ma bite et ses ongles se plantent dans mes épaules.
– Dany, je vais…OOohhh, ouiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiis…OOoohhhhh, mon amour, je jouiiiissssss !
En jouissant, elle à des spasmes et son corps se cambre en se mettant sur la pointe de ses pieds. Ca me permet de venir en elle comme je veux, aussi profondément que possible à l’intérieur de son ventre.
– Ouiiiiii, prends moi ! Ooooohhhhh, Dany….
Dans sa chatte hermétique, tellement elle comprime mon sexe, ma bite baigne dans son jus brûlant et ça provoque mon orgasme. J’enfouis mon visage contre ses seins, j’embrasse sa poitrine généreuse et si douce et je jouis. Ma bite explose et des flots de mon sperme chaud remplissent le fond de sa gaine vaginale…

Maman continue de jouir complètement en phase avec moi, comme seul deux amoureux fous l’un de l’autre savent le faire, et c’est les yeux dans les yeux, morts d’amour, que nous reprenons lentement notre souffle sous des frissons spasmodique de nos deux corps, toujours liés l’un à l’autre par nos sexes en feu.
C’est avec regret et un doux gémissement que maman glisse lentement sa chatte juteuse sur ma bite pour se retirer et, s’accrochant une fraction de seconde sur mon gland, elle se sépare de moi sur un Flop mouillé.
Je sens qu’elle se retient pour ne pas se laisser retomber sur ma queue toujours dressée. Mais avec son sourire angélique sur son visage, elle tient sa robe d’une main et de l’autre balaye son sexe trempé. Elle murmure.
– Mon Dieu, Dany ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! Ça déborde !
Sa main frotte doucement sa chatte et ses doigts couverts de jus vont vers sa bouche pour rapidement aspirer et avaler mon sperme et son jus mélangé
Ensuite, maman remet habilement son string et ajoute.
– J’en reviens pas d’avoir fait ça ! Mais c’est plus fort que moi. Quand je t’ai vu te diriger vers les toilettes, je me suis levé sans même m’en rendre compte, avec une seule idée en tête… Ta bite en moi ! Que vont penser nos amis ?
Je hausse mes épaules en bouclant la ceinture de mon pantalon et je l’embrasse. Je sens mon odeur de sexe et je rebande aussitôt.
– Je suis sûr qu’ils pensent exactement à ce que nous venons de faire ! Mais est ce vraiment important…
Maman se met à rire à nouveau, jetant un regard dans le miroir, essayant d’atténuer les marques de sa jouissance et la sueur sur son front.
– Je ne crois pas. En vérité, ça me fait mouiller de nouveau en sachant que lorsque je vais les rejoindre, ils sauront que ma chatte est pleine du sperme de mon fils.
Je me plaque sur son cul, appuyant ma bosse contre ses belles fesses et j’ajoute.
– Oui, moi aussi. Je bande de nouveau en imaginant leurs pensées.
Enveloppant mes bras autour de maman je reprends.
– Non, Maman, c’est toi qui me rends tout dur. Je t’aime.
-Whaoo ! Je vois ça ! Mais nous aurons sûrement le temps de recommencer plus tard. Pour l’instant il est temps d’aller prendre notre dessert.
Je glisse ma main sous sa robe et je presse son pubis moite, non, trempé car du foutre l’imbibe maintenant et je lui dis.
– Je ne sais pas ce qu’il y a comme dessert mais j’aurai préféré celui-là, bien chaud et si bon !
Maman réussit à s’échapper de mon emprise et c’est souriant que nous avons regagné nos places pour manger la tarte aux pommes.
Père Benoît lève la tête vers nous et dit :
– Désolé, nous avons commencé le dessert sans vous.
Il nous regarde en fronçant ses sourcils et ajoute.
– Mais peut-être avez-vous déjà prit quelque chose de sucré ?
Il y a quelques éclats de rire et sa fille, Élisa lui frappe doucement sur le bras et lui dit :
– Papa ! Veux-tu bien te tenir !
Je me sens rougir, maman sourit et ne dit rien, prend une bouchée de tarte aux pommes avec sa main droite tandis que sa gauche se glisse sous la nappe pour caresser l’intérieur de ma cuisse.

Apres le déjeuner je me retrouve seul avec Élisa sur la véranda du restaurant, et j’apprécie sa compagnie car pour une femme de peut-être cinquante-cinq ou soixante ans, elle est charmante, pas très grande mais encore très jolie avec ses cheveux blond et ses yeux verts pétillants.
Elle me prend par surprise en me demandant.
– Alors, Dany… depuis combien de temps êtes-vous ensemble… ta mère et toi…
Laissant sciemment sa phrase en suspend en me souriant.
– Euh… depuis le dernier Noël
Et sens le rouge aux joues monter. Toujours souriante, Élisa me prend ma main et lui donne une pression douce et réconfortante et…exaltante.
-Ahhh. Si peu… Voilà pourquoi vous vous comportez comme de jeunes mariés. Dit-elle en poussant un soupir.
– Ça me rappelle quand je suis arrivé à la maison pour prendre soin de Papa. Pendant un certain temps, je pensais que j’avais emménagé avec un adolescent.
Nous nous retournons au son de la voix de son père qui arrive au bras de maman. Elisa se penche vers moi et je sens ses petits seins frôler mon bras avec ses petits tétons durs comme des pierres. Ses yeux fixés sur le Père Benoît elle ajoute doucement,
– Mais pour un homme de son âge, il me surprend toujours.
– Des regrets, Madame ? Demandais-je d’une voix calme.
Elisa secoue lentement la tête et dit :
– Pas du tout. Bien que j’aie souhaité être venue plus tôt que je ne l’ai fait. Tous les jours avec Papa sont un don du ciel pour moi.
Elle se tourne vers moi et les yeux dans les yeux.
– Est-ce la même sensation pour vous et votre mère ?
Et je me suis surpris à répondre.
– Oui, je l’aime plus que tout au monde.
Élisa sourit et hoche la tête.
– Alors c’est tout ce qui compte, n’est-ce pas ?
Elle se lève sur la pointe de ses pieds et me donne un bisou sur la joue.
– Je suis très heureuse de vous avoir rencontré, tous les deux. J’espère que vous et Sabine aménagerez ici un jour prochain. Le plus tôt possible !
– alors mon garçon, vous n’essayez pas de me voler ma fille, j’espère.
Déclare le Père Benoît simulant un ton de colère mais le visage souriant.
-Je ne suis plus de force à lutter contre vous !
Ajoute-t-il…et en agitant son poing en l’air
– Élisa est avec moi !
– Non, monsieur… pardon, mon Père. Je ne s’éparerai jamais un père de sa fille. Ou la femme la plus importante pour un homme.
En nous regardant nous nous comprenons parfaitement et il hoche de la tête. Prenant la main de ma maman et posant sa main dans la mienne il dit gravement :
– Moi non plus, Dany. Toi et moi, mon garçon, nous avons eu la chance.
Et tenant nos mains jointes entre les siennes pendant de longues secondes il ajoute.
– Sachez tous les deux que je vous souhaite que du bonheur pour tous les jours à venir.
Je tremble quand il parle et regardant maman et tout son amour dans ses yeux, je sens que notre union vient d’être sacralisée.
Les aux revoir sont un peu long, comme si personne ne voulait que cet après-midi agréable prenne fin. Je serre la main du Père Benoît pour l’aider à monter dans la voiture de sa fille et il me dit.
– Dany, prend bien soin de ta mère, c’est une femme admirable en tout point de vue.
Avant que je puisse répondre, il me tire par le bras et ajoute en murmurant.
– Et une femme qui suce les bites comme ta mère mérite le meilleur !
– Papa ! Je le jure ! Veux-tu bien te taire ! Tu es incorrigible ! Dit Élisa haletante.
Le Père Benoît me fait un clin d’œil et me tournant vers maman qui est à côté de moi je vois que ses joues virent au rouge.

Ma mère sourit nerveusement pendant que je conduis et ne me regarde pas directement. Je décide de la taquiner un peu.
– Quelque chose te tracasse, maman ?
Maintenant, elle me regarde et comme avec une pointe de fierté elle me répond.
– Quand nous étions avec ma sœur, je crois que je t’aie dit que j’étais une petite salope étant plus jeune… A l’époque quand je tombais sur une belle bite, j’avais envie de la sucer.
– Y compris celle du Père Benoît ? Dis-je sévèrement.
Maman, probablement dans ses souvenirs de jeunesse, se lèche ses lèvres en fermant ses yeux, puis elle me fait un clin d’œil.
– Surtout le Père Benoît ! Cet homme à une belle bite !
Elle se détend sur le siège et caresse ses lèvres avec son doigt.
– Il a été un père de substitution après que papa soit décédé. Il était âgé et je l’aidais à nettoyer l’Église un samedi après-midi et… voyant un piquet qui soulevait sa soutane je lui ai proposé de le soulager. Il a tout de suite accepté et je lui ai sucé sa bite pour la première fois sur l’autel de l’église.
Maman sourit à ce souvenir puis regarde mon expression stupéfaite.
– Jaloux, mon cœur ? Tu es en colère contre ta cochonne de maman ?
– Jaloux…un peu. En colère… non. En vérité je t’imagine entrain de faire ça à cette époque… et je bande comme un taureau !
Pour accentuer mon propos, je frotte mon entrejambes et j’ajoute.
– Je ne sais pas si je vais tenir jusqu’à l’hôtel !
Maman se tortille sur son siège et dit :
-Muuummmmm, j’aime te voir comme ça. On pourrait passer par la maison de Mamie Pauline… Tu penses conserver cette si belle érection jusqu’à là-bas ?
– Je suppose que oui…
Maman a un rire cristallin. Elle défait ma ceinture, se penche pour m’embrasser sur la joue et me taquine l’oreille de sa langue.
-Comme ça tu seras moins serré. Tu es le meilleur des fils, Dany.
On se retrouve dans la cuisine de mamie et quand maman ouvre les volets de la fenêtre je me plaque derrière elle, ma bite toute dure sur ses fesses. Je passe mes bras sous les siens et je prends ses gros seins en ventouse à travers sa robe, mes pouces frottant contre ses tétons que je vois dans son profond décolleté.
-Dany ! Tu me rends complètement folle.
Dit ma mère en poussant son cul contre ma bite quand je commence à bécoter le haut de sa nuque en relevant d’une main ses cheveux.
-C’est bien mon idée. Tu es tellement désirable que je ne peux pas garder mes mains loin de toi ! J’ai besoin de toucher ta peau.
Maman tourne sa tête en arrière et passant par son cou je peux atteindre ses lèvres. Maman ouvre la bouche et nos langues se réunissent pour leur plaisir familier. Pendant que je l’embrasse mes mains sont entrées dans le décolleté de sa robe, et je ressors ses seins de son soutien-gorge rendant ma mère à demi nue avec sa grosse poitrine qui pend fièrement sur sa robe.
Maman gémit de plaisir quand je joue avec ses tétons épais et maintenant bien longs et durs.
La gardant dans mes bras je la retourne et progressivement je la pousse vers la table de la cuisine. Maman comprend vite ce que j’ai en tête.
– Mon fils veut baiser sa maman sur la table de la cuisine, comme papa avait l’habitude de faire avec mamie Pauline ?
Sans répondre je la pousse sur la table et remonte sa robe sur son dos, révélant ses jambes galbées et son beau cul charnu, les fesses bien visibles avec son string dans la fente. J’embrasse cette peau nue de maman pendant que je tire sur son string. Je respire profondément ce parfum généré par son excitation, à l’arôme fort et engageant. Maman balance prestement son string mouillé et écarte ses jambes, dévoilant sa chatte humide et dégoulinante. Sa chatte m’évoque une plante exotique nichée dans son buisson épais, dévoilant entre ses pétales déployés une rose magnifique que l’on a envie de cueillir.
Mon front sur ses fesses, ma bouche entre en contact avec cette fleur odorante et ma langue se promène dessus, de bas en haut, se délectant de la rosée qui la recouvre.
Mes mains caressent ses cuisses tendues et pleine d’énergie nerveuse.
– Dany… s’il te plait… Baise-moi…
Gémit maman en poussant ses hanches dans mon visage, quémandant ma langue toujours plus profondément.
– Baise ta maman, vite ! Maintenant !
Un dernier coup de langue dans le vagin imbibé de cyprine et baissant mon pantalon pour faire apparaître ma bite toute dure et palpitante je vise la chatte ardente de maman.
– OUIIIIIIIIIII !
Maman crie sous cette introduction brutale. Mais c’est sans effort que je me retrouve dans le corps de ma mère car sa chatte est tellement humide et elle est tellement excitée et ouverte, que je me retrouve immédiatement au fin fond de son vagin si accueillant.
Mes mains sur ses seins remontent doucement pour frotter ses tétons contre mes paumes. Je les presse et je savoure un moment cet instant toujours aussi magique de me retrouver en elle, ma bite bien enfouis au chaud et caresser par sa chatte de satin.

C’est maman qui bouge doucement la première en faisant onduler son cul pressé contre moi. Cette danse i****tueuse est devenue le centre de notre vie, mais en raison de l’endroit où nous sommes, cette cuisine, presque un sanctuaire dédié à l’i****te qui était né de cette famille, où tant de fois avant, une mère et son fils se délectait chacun de l’autre… nous devenons aussi intoxiqués qu’eux par ses plaisirs et besoins que nous avons hérités.
Comme j’ai déjà bien joui au resto je sens que je suis capable d’un combat d’amour prolongé et je veux donner à ma mère un long moment de se plaisir tabou qu’elle désire et qui en plus lui rappelle des souvenirs de famille. Je la pilonne sur un rythme lent mais en faisant bien coulisser toute ma bite dans sa chatte de velours qui se serre et se desserre autour. Je mesure le degré de plaisir de ma mère à la variation de ses pressions sur ma queue.
De longues minutes s’écoulent et la chambre est remplie du bruit de nos chairs humides et des gémissements et commentaires de maman.
– Ouiii, comme ça… Ouiii, plus fort ! Oooohhhh… Doucement… Encore…..OOoohh…lààààààààà ! Ouiiiii… continue… OOOOOOHHHHHH….
Maman ne peut plus se retenir et laisse son orgasme éclater. Mais moi, respirant vite, je résiste à mon envie de jouir malgré les crispations de sa chatte sur ma bite et ses cris de plaisir.
Ma bite profondément ancrée en elle je maintien maman sur la table et je la laisse reprendre sa respiration et tenter de reprendre le contrôle de son corps frémissant. Après une bonne minute pendant laquelle je sens toujours les frémissements de sa chatte, je regarde son beau visage rayonnant de plaisir, et lentement, très lentement, je refais aller et venir mon sexe dans son corps, en murmurant à son oreille.
– Alors, maman… ça te rappelle mon grand-père.
Maman relève sa tête de surprise et les yeux dans les yeux elle geint.
– Je t’aime, Dany.
Et je baise ma mère d’une façon langoureuse, profondément, augmentant progressivement la vitesse de mon vas et viens alors que ses gémissements de plaisir reviennent. Elle mouille fortement car je sens son jus qui coule le long de ma bite et qui lentement, goutte à goutte, humidifie nos cuisses. Mes doigts tirent et pincent les tétons gonflés de maman, presque comme si j’essayais de traire du lait de ses grosse mamelles.
Le second orgasme de maman vient rapidement et éclate en faisant danser cette chatte maternelle sur ma bite palpitante au bord de l’explosion.
– Donne Dany ! Donne-moi ton jus, fils ! Rempli moi de ton sperme ! Vas-y tout au fond que je le sente bien.
En sueur j’enfoui mes lèvres dans son cou, je l’embrasse, ses bras m’entourent et me pressent contre elle. Dans ce vertige de sensations exacerbées par ce lieu ou maman, son père et sa mère, ont connu d’autres orgasmes, je déverse tout mon sperme à l’intérieur de la chatte de maman qui reprend ses gémissements de contentement.
Maman, bouche ouverte, prend de grandes bouffées d’air et encore une fois je chuchote à son l’oreille,
– Maman… tu crois que c’était aussi fort pour Mamie Pauline ?
– Oooh, mon fils…
Ma bite n’ayant pas débandé, je recommence à la baiser. Dans un premier temps, maman, impuissante, reste vautrée sous moi, épuisée par ses précédents orgasmes mais je la pistonne durement et c’est des grognements d’approbation qui sortent de sa bouche.
Puis maman retrouve de l’énergie en sentant de nouveau les prémisses d’un nouvel orgasme. Perdus tous deux dans nos fantasmes et désirs, nos corps se jettent dans un accouplement bestiale.
– Plus fort, bébé ! Sanglote maman. Baise-moi ! Fais-moi mal ! AAaahhh, Ouiiiii, Salaud !
Nos corps se cognent brutalement l’un contre l’autre. Sa chatte se spasme autour de ma bite endolorie, l’inonde de nouveau. A chaque poussée violente, je lui dis.
– Tiens, maman… pour toi ! Tiens, pour moi ! Pour papy ! Pour Mamie !
Quand son orgasme atteint son apogée, je plonge ma bite profondément dans le sexe de ma maman une dernière fois, et avec un grognement de bête à l’agonie, je cède à mon besoin de mâle en chaleur, et pulvérise de grands jets de sperme chaud à l’intérieur de la chatte de ma mère en pleine folie orgasmique.

Une nouvelle fois, notre plaisir nous emmène dans ce monde merveilleux des amants i****tueux retrouvant en plus les esprits de nos parents et grands-parents, heureux que l’on perpétue cette tradition familiale.
Maman et moi enlacés, nos corps tremblants, renouvelons en chuchotant, nos vœux d’amour l’un pour l’autre.
Lorsque je reviens à la réalité, je suis sur la table et ma mère lèche tendrement ma bite pour la nettoyer et ses seins ont un balancement hypnotique qui m’empêche tout mouvement. Quand sa bouche lâche ma bite, je l’attire vers moi pour l’embrasser et déguster ses lèvres humides de nos fluides intimes et lui faire comprendre toute ma joie et mon amour. Ses yeux dans les miens elle me dit.
– Mon amour… c’était superbe ! Un vrai feu d’artifice de sensations les plus diverses mais incroyablement fortes. Maintenant on peut dire que c’est devenu notre maison. Notre nid d’amour.
– Oui, maman. Nous allons faire l’amour dans cette…dans notre maison, pendant de nombreuses années. Nous allons vieillir ensemble et…peut-être… même élever notre fille ici.
Maman en frissonne de plaisir et avec délectation.
– Tout est possible, après tout, malgré tous les obstacles, nous avons tous deux trouvé notre chemin, brisé les tabous sans être damné.
Maman m’embrasse passionnément puis, avec ses yeux flamboyant de désir,
– Je vais te donner un enfant, aucun doute sur ce sujet ! Nous élèverons notre fille ici !

Nous avons lentement ramassé nos vêtements, maman renonce à son soutien-gorge et elle le balance dans la broîte à gants quand nous partons. Ma mère semble heureuse, ses yeux brillent et ils ont cette lueur qui pourrait bien dire
« J’ai été sacrément bien baisée »
Avec ses cheveux un peu négligé et l’odeur du sexe autour d’elle, elle rayonne et elle a une aura de sexualité maternelle autour d’elle. Je me sens privilégié et béni d’être avec elle.
Sur le chemin de l’hôtel, personne ne dit mot, chacun dans ses pensées. Elle me regarde de temps en temps et je lis sur son visage tout l’amour qu’elle me porte. Je veux vivre toute ma vie ainsi et être tout simplement heureux d’avoir maman qui me regarde comme ça. J’ai aimé son sourire maternel dans mon enfance mais maintenant il est accompagné d’une pincée de sexualité qui lui donne quelque chose de plus.
Ce soir-là, nous avons parlé de nos projets de voyage. Nous n’étions pas particulièrement pressés de rentrer à la maison. Juste avant de s’endormir maman me regarde dans les yeux et dit,
– Tu sais, mon fils, pendant ses derniers mois, tu as tout découvert sur moi et mes aventures sexuelles, mais nous n’avons jamais vraiment parlé de ta vie sexuelle.
– Maman…que voudrais-tu savoir ?
Elle se blotti contre moi et dit.
– Tout, Dany. Je veux tout savoir. Dès demain.

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