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1977

1977



C’était la veille de mon anniversaire. Juillet 1977. J allais avoir 15 ans. Avec mes parents (aujourd hui décédés les deux), on passait tous les étés dans un camping du sud de la France. Notre tente était plantée à coté de celle d’un couple allemand, très copains avec mes parents depuis longtemps. Ils avaient un fils, Jürgen, de qui j’étais follement amoureuse. Seul inconvénient : il était 13 ans plus âgé que moi. Jusqu’à cet été là, je le regardais bouche-bée et lui me taquinait et me traitait comme la petite sœur qu’il aurait aimé avoir. Il était grand, très grand ; beau comme un cœur, avec des cheveux très blonds, longs comme un barbare du nord. Moi, j’étais mince, petite et très brune. Mais, j’avais drôlement grandi. J’avais déjà une belle poitrine et une chatte très poilue, qui sollicitait mes caresses, de façon de plus en plus pressante et qui avait très envie de se faire caresser par un vrai homme et pas par des garçons boutonneux qui ne savaient même pas où se trouvait mon clitoris. Surtout, j’avais grandi dans ma tête. Je me sentais déjà femme et je commençais à avoir conscience que j’étais très chaude…

Il faut, d’abord, se mettre dans la peau d’une jeune adolescente à l’époque où les faits que je suis en train de raconter se sont déroulés. Il n’ y avait pas d’internet, évidemment, et les seules images pornographiques que j’avais vu jusqu’à ce moment là, étaient celles des revues que ma cousine Nathalie, un peu plus âgée que moi, m’avait montré de quelques revues coquines qu’elle avait « empruntées » de son frère ainé. Mais, par contre, la découverte de mon corps et l’éveil de ma sexualité, se sont produits de façon très spontanée et naturelle. Mes parents étaient très baba-cool et m’avaient éduqué avec beaucoup de liberté mais, aussi, de dialogue. A 12 ans, j’avais eu mes premières règles. A 12 ans, aussi, je me suis déjà caressée pour la première fois. Je garde le souvenir de mon premier orgasme comme une pierre précieuse dans ma mémoire. Je me rappelle que je me suis dite : un tel délice ne peut pas être mauvais, ni pour la santé ni pour l’esprit. Mes seins poussèrent à partir de mes 13 ans. Ma cousine Nathalie fut la première à les caresser. Je devrais dire que ce fut elle, la première à avoir fait l’amour avec moi. Ce soir où, seules dans ma maison, jouant à nous habiller avec la lingerie de ma mère, dansant avec les vinyles de mon père, buvant un peu d’alcool interdit, elle commença à m’embrasser comme les adultes s’embrassaient, à me caresser comme j’avais vu le faire mon père à ma mère, ce soir là, j’ai compris que j’étais une fille très chaude et que le sexe me plaisait par dessus tout. J avais 13 ans et Nathalie 17. Elle n’était pas lesbienne ni moi, non plus. Elle me racontait tout ce qu’elle faisait avec Christophe, son copain et moi, je lui posais un tas de questions, lui demandais plein de détails… Et elle me donna une multitude d’orgasmes. Avec ses mains, ses lèvres, sa langue, son sexe qu’elle adorait frotter contre le mien… Et j’avais appris à donner plaisir à une femme ; je faisais tout ce qu’elle me demandait. La première fois qu’elle m’a fait jouir, en voyant comme j’enchainais les orgasmes, elle m’avait dit très sérieusement : Sandra, l homme qui t épousera sera très heureux !

Revenons au camping. Quand Jürgen était arrivé au camping, avec ses deux petits et sans sa femme, il est passé nous voir et, avec ses parents, nous avons bu l’apéro ensemble. Les années précédentes, je le regardais et après, je partais jouer avec mes amis. Ce jour là, je suis restée. Et j’ai bien fait. Je portais un short, des tongues et le haut de mon bikini. Il m avait regardé d’un regard très différent. Il m’avait embrassée sur la joue et m’avait dit, avec son français approximatif, que j’étais très mignonne et sexy. Le robinet de mon minou s’est mis à inonder mon vagin de telle façon que je sentais mon short tremper à vue d’œil ; et mes tétons me faisaient presque mal tellement ils durcissaient rien qu’en entendant ses mots. Quelques heures plus tard, il est passé voir mes parents et leur demander leur permission. Il voulait m’emmener au bal organisé dans un camping à quelques kilomètres du notre. C’était vraiment une autre époque. Aujourd’hui, les parents d’une gamine de 14 ans ne donneraient pas leur autorisation, surtout pour aller avec un homme de 28 ans qui, plus est, marié et avec deux enfants. Mais, mes parents ont dit oui tout de suite ; ils connaissaient Jürgen depuis qu’il était un enfant et avaient pour lui une forte affection et beaucoup de confiance.

J’étais aux anges ! Je me suis faite belle. Je me rappelle que j’avais mis une robe bleue, pleine de fleurs, très courte, très cintrée autour de mes seins ; sans soutien-gorge… J’étais en train de l’essayer quand ma mère est entrée dans la tente et en me regardant m’avait dit que je serais la plus belle du bal… Elle m’avait demandé de m’asseoir et m’avait verni mes orteils, pour la première fois de ma vie. De rouge passion. Et elle m’avait prêté son rouge à lèvres…

Quand Jürgen est passé me chercher et qu’il m’a vu, il n’avait pas pu s’empêcher de siffler admiratif. Mes parents lui ont demandé d’être sage et de ne me ramener pas trop tard et de ne pas me laisser boire de l’alcool. Ils s’étaient mis d’accord pour que ce soit ainsi et on est partis. J’avais l’impression d’être la fiancée d’un dieu teuton, d’un guerrier germanique qui allait me transporter dans son paradis célestiel. Je le regardais de mon mètre soixante, comme qui regarde un gratte-ciel. Je me sentais toute petite… Mais, quelque chose dans les profondeurs bleu ciel de ses yeux me disait qu’il ne me voyait plus comme une petite fille… Et nous sommes arrivés au camping.

Il y avait un orchestre et les gens dansaient comme de possédés. Ils jouaient des morceaux de Claude François, de Bonney M… En fait, je ne me rappelle pas de la musique. Je sais que je dansais comme une folle et que je me sentais ivre, sans une goute d’alcool dans mes veines. A plusieurs reprises, il m’avait pris par la taille, pour se contorsionner à la même cadence que moi. Je sentais ses mains sur ma peau comme s’il n’y avait pas de robe. Je sentais tout mon corps chauffer comme une machine à vapeur. Ma culotte était trempée. Et je pouvais sentir mon clitoris gonfler et durcir… Et les slows arrivèrent…

Il m’avait proposé de nous asseoir et je lui avais répondu que je voulais danser avec lui. Il devait y avoir quelque chose de très coquin dans mon regard car il avait changé complètement d’attitude. Il m’avait pris par la main et emmenée au centre de la piste. Beaucoup de couples dansaient, s’embrassaient, se tripotaient… Ils jouaient « Hey, Jude » des Beatles, quand il a posé ses lèvres contre les miennes. Dieux ! J’ai cru que j’allais jouir rien qu’avec ce baiser ! Il me portait presque, tellement nos statures étaient inégales… Il me manquait l’air ! J’ai rien dit quand j’ai senti sa main posée sur mes fesses. Ma tête tournait comme dans un grand manège. Je sentais son sexe dur collé contre ma robe, contre mon bas ventre, contre mon pubis. Il me pelotait le cul et le poussait contre lui, pour se frotter en même temps contre moi… Viens ! Il m’avait dit en me prenant par la main…

On a pris la voiture et nous sommes allés vers la plage, à à peine un kilomètre du camping. Il s’est garé et pris une grande serviette de plage du coffre. Tout ça en silence. Tout ça avec mon cœur qui battait la chamade… Nous avons marché quelques mètres jusqu’à trouver une place discrète entre les dunes. Nous nous sommes couchés sur la serviette. On entendait la musique comme une résonance lointaine et fantasmagorique. La pleine lune, comme un photophore géant, allumait coquinement notre petit coin d’amour. Il m’embrassa à nouveau, mais, cette fois ci, ses mains me caressèrent plus aventurières, plus directes. Une, montait à l’intérieur de mes cuisses légèrement écartées, lentement, très lentement. L’autre, baissait le haut de ma robe pour laisser mes seins à l’air. Au contact de la fraicheur de la brise marine, mes tétons se sont hérissés et j’ai poussé un petit cri de plaisir quand Jürgen m’en avait pincé un. Il m avait demandé si j avais froid et je lui avais répondu que, au contraire, j’avais très chaud, que j’étouffais ! Quelques secondes après, il m’avait aidé à ôter ma robe par-dessus de ma tête…

Je n’ai pas compris pourquoi il s’est mis à rigoler et je dois avouer que, au départ, ça m’avait vexé profondément. C’étaient mes seins, qui le faisaient rire ? , me demandais-je. Sa femme était plus grosse que moi et avait une paire de mamelles dignes d’une vache laitière. Mais, non, ce n’était pas du tout ça. Il me dit : tu es poilue sous les bras comme une femme allemande ! Et il s’était mis à me lever les bras et à me tirer les poils qui poussaient sur mes aisselles. Je crois me rappeler que je lui ai demandé si ça le dégoutait mais, en me prenant dans ses bras, il m’avait dit que j’étais tout simplement « parfaite ». Et je lui mis une petite baffe, faisant semblant d’être très fâchée…

Pour lui, le temps des mots était fini. Il me poussa doucement sur la serviette et m’ôta la culotte. Il l’approcha à son visage et la huma ostensiblement, émettant des bruits d’approbation. J’étais tétanisée ; d’excitation, certes, mais aussi de peur. J’étais devant cet homme, nue comme un ver de terre, sans savoir quoi dire ni quoi faire. Mes yeux le zieutaient, toujours habillé, avec son jean patte d’éléphant, d’un bleu très délavé, comme ses yeux, avec son sexe qui gonflait à bloc son paquet ; et son t-shirt blanc à l’effigie de Jimmy Hendrix, collé à ses pectoraux et ses biceps de mécanicien chez Volkswagen… Il se mit à genoux entre mes jambes et pencha sa tête vers mon sexe tout en écartant mes cuisses. Ihre muschi ist sehr nass, meine liebe, m’avait dit Jürgen avant d’enfoncer sa langue dans mon vagin…

Je connaissais déjà les plaisirs d’un bon cunnilingus. La bouche et la langue de ma chère cousine m’en avaient offert quelques dizaines. Mais, là, c’était différent. C’était la langue d’un homme, un vrai. Un homme que je désirais comme peut le désirer une jeune femelle en chaleur. Alors, quand le bout de sa langue est entré en contacte avec mon petit bouton, je me suis cambrée et j’ai émis un long couinement d’extase… Je venais d’avoir l’orgasme le plus rapide de ma courte expérience sexuelle. Jürgen, surpris, arrêta ses caresses buccales et me regarda d’un air malicieux. Petite, tu es un vrai volcan ! De peur qu’il donne par conclue sa séance de cunni, je me suis pressée de lui prier de continuer, que c’était trop bon. Il s’y était appliqué avec la maitrise et l’expérience de l homme qui sait donner du plaisir à une femme. Sa langue diabolique se promenait lascive par toute mon intimité. Ses mains saisirent mes seins et ses doigts me tortillèrent les mamelons multipliant brutalement mon extase. J’ai cru que j’allais m’évanouir. Un, deux, trois, jusqu’à quatre orgasmes consécutifs. Arrête ! Jürgen, arrête ! Je meurs ! Je lui suppliais presque en pleurant, trempée de sueur, mouillée jusqu’à mes entrailles.

Alors, il s’est mis debout. Et sans cesser de me regarder, étendue, ouverte, offerte, soûle de ses caresses, il s’est déshabillé. Complètement. A la lumière tamisée de la lune, il m’avait paru encore plus beau, encore plus fort, encore plus mâle. Mes yeux balayèrent son corps depuis sa chevelure dorée jusqu’à ses cuisses et ses jambes musclées. Il n’avait pas un poil de graisse ni un poil sur sa poitrine. Tout en lui était nerfs et muscles. Et, enfin, je pouvais voir son sexe. Pour mes yeux inexperts, c’était le plus beau et le plus gros fal.lus que l’on puisse imaginer. Il était long, épais et courbé ver le haut comme un cimeterre, avec un gland luisant comme une balle de ping-pong rose enduite de liquide pré-séminale…Evidemment, j’étais loin d’être objective.

Il s’était couché à coté de moi. Il me caressa le visage, les cheveux, les seins. Avec beaucoup de tendresse. En me murmurant des mots en allemand que je ne comprenais pas mais qui résonnaient dans ma tête comme musique célestielle. Doucement, il me prit la main et la dirigea vers son sexe. Je n’osais même pas le toucher. Il m’aida en plaçant la pomme de ma main sur ses testicules que je me suis mise à toucher comme s’ils étaient des œufs en cristal… En rigolant, il corrigea mon geste maladroit et me fit lui saisir la bite. Elle était extrêmement chaude et dure. Mes sens étaient surexcités mais mon cerveau était totalement paralysé. Il serra sans v******e mon poigné et me montra comment devais-je le masturber. Je m’y suis appliquée de mon mieux, mon regard allant de sa verge à son visage. Il me regardait droit aux yeux, un léger sourire de satisfaction aux lèvres. C’est très bien, petite… Veux-tu la prendre dans ta bouche ?

Je lui répondis que je n’avais jamais fait ça. Je sais… Mais, en as-tu envie, d’apprendre ? La vérité est que j’en étais morte, d’envie ! De coté, sans lâcher sa verge décalottée, je me suis penchée sur son sexe et je lui embrassai le gland, sentant sur mes lèvres le gout salé de ses fluides. Nathalie m’avait montré comment pratiquer une fellation, avec une banane, un après midi d’automne. Ce souvenir me frappa en ce moment là : j’allais l’avoir dans la bouche ; mais pas le fruit…Une vraie bite !
Jürgen me tenait la tête pendant que je lui suçais la verge. Je faisais de mon mieux pour que mes dents ne le blessent pas. Je lui léchais le gland mais il appuyait doucement sur ma nuque pour que sa bite s’enfonce un peu plus dans ma bouche. Je trouvais super agréable cet acte, super excitant. Je savais ce qu’il pouvait se passer car Nathalie me l’avait expliqué. Elle ne laissait pas son fiancé jouir dans sa bouche ; donc, elle lui demandait de la prévenir et elle le finissait à la main, le laissant éjaculer sur sa poitrine. J’ai voulu faire comme elle. J’ai arrêté un instant la fellation et je lui ai dit : Jürgen, tu me préviendras ? Ne t’inquiète pas, petite Sandra, tu peux continuer de me sucer…

Pendant quelques minutes, j’ai continué à caresser sa bite avec ma bouche. Mon corps et ma tête se préparaient à accueillir son sperme. Je m’en fichais des conseils de ma cousine. Je voulais boire son lait ; me faire ma propre idée de la chose. Jürgen commença à bouger ses hanches et à grogner des mots incompréhensibles pour moi. De temps en temps, il me prenait très fort la tête entre ses mains et murmurait : Oh, ma petite Sandra, quelle bouche… Meilleure que ma femme… Oh, ficken ! Ja, ja, ja…

Le premier jet alla directement au fond de ma gorge. Surprise, je voulus me débarrasser de cette fontaine de foutre, mais, Jürgen me tenaillait la tête et m’empêchait de libérer ma bouche de ce flot incessant de lait de mâle. Je n’arrivais pas à avaler tout son sperme et, en même temps, je ne voulais pas le cracher. J’aimais son gout. Mes papilles n’avaient jamais eu à faire à rien d’aussi étrange, d’aussi inattendu… d’aussi bon ! Excuse-moi, petite Sandra… C’était tellement bon ! Sa bite encore dans ma bouche, je me suis mise à racler ma gorge et j’eus une quinte de toux. Ensuite, j’ai tout avalé

Il s’assit et chercha dans ses poches un paquet de Marlboro. Il en alluma une, me regarda et en alluma une deuxième. Nous fumâmes, l’un à côté de l’autre. J’étais comblée… Mais, encore vierge. La fumée me produit une nouvelle quinte de toux qui le fit rire. Comme s’il avait lu mes pensées, il s’est mis à parler. Il me dit que j’étais encore une jeune fille mais qu’il savait que j’étais différente à toute autre gamine de quatorze ans… Quinze ! Je lui contestai, Aujourd’hui, c’est mon anniversaire ! Et je veux que tu me déflores ! Ça sera notre cadeau !

Il devint sérieux. Il regarda l’heure. Presque trois heures du matin. Habille-toi, Sandra ! On rentre. Mais… Pourquoi ? Je ne te plais pas ? Tu ne veux pas faire l’amour avec moi ? Je me rappelle à quel point j’étais triste, déçue, au bord des larmes. J’avais encore le gout de son sperme dans ma bouche. Tout mon corps sentait le sexe. Je n’avais qu’une envie ! Et celle-ci était qu’il me baise ! Qu’il fasse de moi une femme, à part entière…

Mais, je n’étais qu’une gamine et je l’avais obéi. Nous sommes rentrés dans un silence plein de sous-entendus. Il gara la voiture dans le parking extérieur au camping car, à partir de minuit, l’accès à l’intérieur de l’enceinte était interdit… Il ne bougeait pas ; moi, encore moins. Tu me plais beaucoup, Sandra…Beaucoup ! Mais, tu es trop jeune…Et… Ma femme arrive demain… Et, là, j’ai éclaté en sanglots. Ma jeune tête de linotte ne comprenait plus rien. J’étais passée directement du paradis à l’enfer. Je me sentais délaissée, idiote, pathétique. Et le miracle se produit.

Sans me dire un mot, il redémarra la voiture, sortit du parking et enfila la route. Mais pas direction la mer. Il prit un petit chemin de terre qui menait à une vieille ferme abandonnée. Il m’avait pris la main et l’avait posé sur son paquet. J’avais compris tout de suite : il était à nouveau dur ! Il avait très envie de moi ! C’est Jean qui pleure et c’est Jean qui rit… Tel était mon caractère à 15 ans.

Il attrapa une couverture et chercha un coin tout près de la ferme, où lui semblait que la terre était molle. Il la déposa et me déshabilla complètement. Je commençais à avoir de petits frissons car l’air était frais et humide. Mais je n’avais nulle envie de rater ce moment par une quelconque chair de poule ! Il me demanda de me cocher sur la couverture et il se déshabilla à son tour. Il vint directement sur moi. Je sentis de suite son gland frotter ma vulve. Comme dans un acte reflexe, j’avais écarté davantage mes cuisses. Il s’appuyait sur ses mains, les bras tendus, son regard de glace brulante fixé sur mon visage. Il n’était pas encore en moi, mais je gémissais, déjà. Il s’est mis sur son coude gauche et avec l’autre moi écarta les lèvres de ma chatte. J’étais inondée, mouillée comme un lagon tropical. Jürgen était fou de désir. On aurait dit un taureau près à charger. Ce qu’il fit…

Il me pénétra d’une seule et brusque poussée. Mon hymen se déchira facilement et mon vagin accueillit sa verge dans toute sa longueur. Je sentis comme une piqûre et pendant quelques secondes, comme une brûlure. J’avais poussé un petit cri de douleur. Mais, Jürgen s’est mis à me pilonner avec de longs et profonds va-et-vient. Et le plaisir est arrivé. Un plaisir comme je n’avais jamais eu auparavant. Il me baisait comme une machine à coudre ; entrait et sortait de moi comme l’aiguille sur le tissu…Et à chaque pénétration, je sentais sa bite tellement enfoncée dans mes entrailles que je n’arrivais pas à contenir mes sensations…

Je ne sais pas combien de minutes ça avait duré, mais, je peux affirmer, aujourd’hui comme il y a presque quarante ans, que je jouis plusieurs fois et que j’allais faire de mon mieux pour reproduire cette merveilleuse excitation autant de fois que la vie voudrait me les procurer…

Pas de préservatif ; je n’avais pas mes règles… S’il jouissait dans moi, il pouvait me féconder. Moi, je n’y pensais même pas. Lui, si. Quand il sentit qu’il était sur le point d’éjaculer, il s’est retiré et se mis à se branler sur mon ventre… Malgré son toute récente éjaculation, il m’offrit un puissant premier jet de sperme qui atterrît sur mon visage, entre mon menton et mon cou… Le reste, beaucoup moins copieux, sur mon ventre…

Il s’était couché sur moi, haletant, comblé… Il m’embrassa longuement dans la bouche et me dit des mots que je n’allais jamais oublier :

Tu es une pure merveille, Sandra ! Tu es faite pour l’amour et le sexe !

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