Jocelyne venait d’arriver dans ce lycée à la suite du déménagement de ses parents et elle n’y connaissait personne mais sa timidité ne l’a pas empêchée de remarquer Kévin. C’était une jolie fille plutôt grande mais qui avait honte de sa poitrine héritée de sa mère et de sa grand-mère. Ce n’était pas qu’ils étaient gros car ils étaient plutôt allongée mais elle devait mettre tout ça dans des bonnets D et si elle aimait ses seins, elle détestait ses aréoles immenses et c’est comme ça que dans les vestiaires du gymnase, après le sport elle avait demandé à Lola qui allait devenir sa meilleure amie si elle avait déjà vu des aréoles aussi larges.
Lola avait regardé attentivement car c’était la première fois qu’elles étaient nues ensemble et elle avait mesuré la grandeur des aréoles avec ses doigts écartés puis elle avait répondu à Jocelyne que ses aréoles étaient magnifiques avant de lui demander si elle avait déjà eu un enfant.
– Tu es folle, avait protesté Jocelyne ! Je suis encore…
Elle s’était arrêtée.
– Tu veux dire que tu es encore vierge, a continué Lola ? Tu veux me faire croire ça alors que tu as des petites lèvres magnifiques !
Les deux filles allaient commencer à se rhabiller quand Lola a posé une main sur le ventre de son amie :
– Attends ! Fais-moi voir !
Elle lui a ensuite demandé d’écarter les cuisses puis elle a posé son index sur le clitoris de Jocelyne avant d’ajouter :
– Moi aussi, je me masturbe ! Je ne peux pas m’empêcher !
– Oh, moi, je ne peux pas m’en passer, lui a répondu Jocelyne en éclatant de rire !
– Pressons ! Pressons, les filles, a hurlé le prof de gym depuis le couloir ! Nous sommes en retard !
Elles se sont dépêchées pour ratt****r les autres filles et alors qu’elles marchaient vers le lycée, Lola a attrapé le bras de Jocelyne pour qu’elles se laissent doubler et se retrouvent à l’arrière de la bande :
– Tu veux pas venir chez moi, a dit Lola à son amie ? Je suis souvent seule jusqu’à ce que mes parents reviennent ! On pourrait s’amuser toutes les deux ?
– Et tu veux faire quoi, a demandé Jocelyne ?
– On pourrait se masturber toutes les deux ?
– Tu es folle, lui a répondu Jocelyne en essayant de s’échapper ! Je ne suis pas de ces filles-là !
– Mais non, a protesté Lola ! Je ne veux pas le faire avec toi ! C’est juste que si on est amies, on pourrait le faire ensemble, épaule contre épaule, à celle qui jouit en premier si tu veux ?
– Tu es folle, a répété Jocelyne ! Je t’ai dit que je ne fais pas ces trucs-là !
Jocelyne a pressé le pas et elle a rattrapé la queue de la file et Lola l’y a rejointe. Jocelyne avait honte car elle ressentait une chose qu’elle n’avait jamais ressenti. Elle se rendait compte que si Lola insistait elle ne pourrait pas résister. D’ailleurs, ses mamelons lui faisaient mal, ce qui signifiait qu’elle avait besoin de se masturber. D’habitude, elle arrivait à résister jusqu’à ce qu’elle rentre dans chambre et qu’elle s’y enferme pour lâcher son trop plein de sexualité mais là, il lui fallait retourner au lycée.
Lola a glissé son bras dans le bras de Jocelyne puis elle lui a murmuré à l’oreille qu’elle n’aurait pas dû lui proposer ça.
– Et tu propose ça à toutes les filles, lui a répondu Jocelyne ?
– Non, mais à Mylène, pourquoi pas, a ajouté Lola !
Jocelyne connaissait à connaître les filles de sa classe et elle a cherché Mylène du regard. La jolie brune caracolait en tête du cortège, aux côtés du professeur de gym.
– Tu crois qu’elle…, a-t-elle murmuré à l’oreille de Lola ?
– Qu’elle quoi, lui a répondu Lola ?
– Qu’elle baise avec lui, a continué Jocelyne ?
C’était bien la première fois qu’elle prononçait ce verbe. Souvent elle se l’était dit rien que pour elle. Elle se l’était même parfois conjugué au présent de l’indicatif : je baise, tu baises, il ou elle baise, nous baisons, vous baisez, ils baisent. Ils baisent, avait-elle répété, s’imaginant faire l’amour avec un garçon comme elle avait vu son père et sa mère le faire et ce n’était pas comme l’avait imaginé : sa mère était penchée et appuyait ses mains sur le lit et son père était debout derrière elle et la tenait par les hanches et ce qui l’avais fasciné c’étaient les seins de sa mère qui, énormes balanciers, bougeaient en tous sens à chaque pénétration.. Elle n’en avait pas vu plus car elle était retournée dans sa chambre, échaudée et elle s’était frottée la vulve contre le montant en bois du lit, cette longue tige surmontée d’une boule qui marquait les quatre coins de son lit. « L’héritage de tes grands-parents, lui avait dit ses parents ! »
L’excitation de Jocelyne se calma quand elle s’est assise dans la classe puis la prof de français lui a demandé pourquoi elle avait changé de place. C’était la troisième place qu’elle essayait dans cette classe depuis son arrivée au lycée. A chaque fois elle s’était mise à côté d’un garçon malgré sa timidité, mais ça n’avait donné aucun résultat parce qu’aucun des garçons de sa classe ne lui plaisait. « Mademoiselle Jocelyne B…, allez vous mettre à côté de Mademoiselle Lola V… avait alors tonné la prof !
Jocelyne avait changé de place et le cours avait pu commencer quand au bout d’une demi-heure, Jocelyne avait senti une main sur sa cuisse et c’était celle de Lola et ce qu’elle a fait, c’est de regarder si un des élèves pouvait s’en apercevoir mais, visiblement, ce n’était pas le cas et Lola a pu laisser sa main jusqu’à la fin du cours.
– Je t’ai dit que je ne veux pas faire ça, a dit Jocelyne à son amie alors qu’elles sortaient du lycée. Lola n’a rien répondu mais un peu plus loin alors qu’elles devaient se séparer pour rentrer chez elle, Lola a poussé Jocelyne dans un recoin entre deux immeubles et elle a embrassée Jocelyne à pleine bouche tout en lui palpant la poitrine et même si ça a été difficile de la repousser, Jocelyne a fini par s’écarter et a crier à son amie une fois encore qu’elle était folle et qu’elle ne voulait pas… et puis elle s’est enfuie.
Elle n’avait pas fait vingt pas qu’un cabriolet s’est arrêté à côté de Jocelyne qui s’est arrêtée et s’est retournée. C’était le beau Kévin au volant de sa belle voiture rouge.
– Tu couches avec cette gouine, lui a demandé Kévin ?
– Mais, ça va pas, a rugi Jocelyne ! Décidément, vous êtes tous malades dans cette ville !
– Mais vous vous embrassez sur la bouche, a insisté Kévin !
Jocelyne ne savait plus quoi répondre et elle pensait que si ça se savait, sa réputation en prendrait un sacré coup. Peut-être aussi que ça remonterait jusqu’à ses parents, mais Kévin sembla avoir deviné son tourment.
– Je te promets que je ne te dirais rien, a-t-il ajouté ! Je peux te ramener chez toi ?
Dans la voiture, Jocelyne se laissa aller au charme de son compagnon et elle lui a raconté qu’elle avait jusqu’à sept heures du soir pour rentrer avant ses parents, si bien que Kévin lui a proposé de l’emmener au bord du lac, à où il connauissait un joli coin.
Certains hommes savent y faire pour circonvenir les filles et Kévin était l’un d’eux. Une fois arrivés au bord du lac, Jocelyne ne remarqua même pas qu’ils étaient cachés des regards.
– Tu me plais, lui a fait Kévin ! Je t’ai remarquée dès ton arrivée ! Tu es vraiment belle et tu as une belle poitrine !
Jocelyne a protesté que sa poitrine était trop grosse mais Kévin lui a répondu que seules les vraies femmes avaient une belle poitrine mais il ne lui demanda pas de la lui montrer tout de suite. Il lui proposa juste de l’embrasser sur la bouche et Jocelyne s’est laissée faire. C’était un baiser merveilleux, bien plus beaux que celui que lui avait donné un jour un de ses cousins qui avait aussi essayé de porter sa main jusqu’au fond de ses cuisses mais elle avait réussi à lui tordre le bras et ça l’avait calmé.
Le baiser de Kévin était délicieux mais les bonnes choses ont une fin et le baiser s’est arrêté. Maintenant, Kévin regardait Jocelyne dans les yeux et quand il a tendu la main vers sa poitrine, elle s’est laissée caresser. C’était excitant et quand son ami lui a demandé de lui montrer ses seins, Jocelyne s’est exécutée. Elle lui devait bien ça et Kévin l’a regardée enlever son pull puis dégrafer son soutien-gorge et libérer les seins des bonnets.
Jocelyne avait hâte d’avoir son avis, mais Kévin s’eest contenté de les soulever dans sa main puis il a dit que c’était la première fois qu’il était autant amoureux d’une fille. Il a aussi ajouté que ça le dégoûtait les filles qui font ça entre elles. Jocelyne était aux anges. Ses seins, elle les caressait chaque matin et chaque soir en se regardant dans le miroir de la salle de bains. Elle entortillait même ses mamelons jusqu’à ce faire mal.
– Je suis sûr que tu es capable de les téter, a dit Kévin !
Les téter, elle l’avait déjà fait car ce n’était pas difficile parce qu’ils étaient assez long pour se téter sans problème.
– Montre-moi, a insisté Kévin !
Jocelyne a regardé son ami. S’il le veut, a-t-elle pensé, c’est que ça lui fera plaisir… Elle a mis ses mains sous ses seins et elle les a soulevés. Tu vois, a-t-elle encore pensé, c’est facile ! Et je le ferais à chaque fois que tu me le demanderas !
Kévin l’a laissée faire pendant un bon moment et Jocelyne se laissa aller parce qu’elle savait bien qu’elle finirait par avoir un orgasme en tétant ses mamelons mais Kévin l’a interrompue :
– Tu ne préférerais pas sucer autre chose, lui a-t-il demandé ?
– Sucer quoi, a fait Jocelyne, intriguée ?
– Eh, bien, si tu ouvres ma braguette, a ajouté Kévin, tu verras quelqu’un qui a besoin de toi !
Jocelyne se doutait de ce qui risquait d’arriver. Dans son ancien lycée, des garçons se vantaient de se faire sucer par leur copine et des filles se vantaient aussi de… Elle a tiré sur le zip du jean et baissé le pantalon sur les cuisses de Kévin et baissé aussi son caleçon. Elle ne remarqua même pas le décor à fleur ridicule mais ce qu’elle vit lui sembla magnifique car son ami était déjà en érection.
– Dis-moi comment je dois faire, lui a-t-elle demandé ?
– Tu n’as jamais sucé, lui a répondu Kévin ? Je paris que tu es encore vierge ?
Jocelyne a protesté qu’elle ne l’était plus parce que ce n’était pas la même chose qu’avec Lola et qu’elle ne voulait pas être ridicule devant Kévin.
– Tu n’as qu’à faire comme si c’était un esquimau et sers-toi de ta langue, lui a répondu son ami !
Jocelyne s’est penché sur le pénis de Kévin et comme il avait placé sa main derrière sa tête, elle n’a pas pu hésiter. Déjà le pénis était au fond de sa gorge et au début, elle a failli étouffer mais par miracle le pénis a trouvé l’échappatoire du pharynx parce que comme ça elle pouvait respirer par le nez et ça lui est vite devenu agréable que la bite glisse entre ses dents et ses lèvres et qu’elle coulisse aussi contre sa langue et ça la faisait saliver mais ça n’a pas duré plus longtemps que les palpations de ses seins.
– Bon, maintenant, a dit Kévin, je mérite ma récompense ! Ouvre les cuisses !
C’est honnête, a pensé Jocelyne et elle a soulevé les cuisses mais Kévin lui a dit qu’elle pouvait retirer sa petite culotte et à l’instant elle a regretté de ne pas avoir mis un des strings de sa mère au lieu de ces petites culottes blanches en coton. Plusieurs fois elle avait essayé les strings de sa mère et senti le cordon au fond de la raie de ses fesses et aussi entre ses petites lèvres… Jocelyne a retiré sa petite culotte et elle a remonté sa jupe sur ses hanches avant d’écarter les cuisses. Ses poils n’étaient pas très denses et étaient même très fins et sa toison s’étendait sur toute la largeur de son ventre. Elle les aimait, ces poils qui étaient toujours cachés et l’été dernier, pour la première fois elle s’était fait faire le maillot mar sa mère mais les poils avaient tous repoussé.
Kévin a passé le bout de son index sur sa fente puis il l’a écrasé sur son clitoris. Mon dieu, s’est-elle dite, si mes parents me voyaient, cuisses ouvertes, seins à l’air. Dans l’excitation, Jocelyne s’était laissée glisser un peu en avant si bien qu’elle s’offrait bien plus à la convoitise de son ami.
– Je t’aime, tu es belle, lui a dit Kévin tout en lui enfonçant l’auriculaire dans l’anus et en écrasant son pouce sur le clitoris de Jocelyne.
Il a continué à la doigter jusqu’à ce qu’elle soit encore plus excitée, jusqu’à ce qu’elle désire, pensa-t-il, se faire monter par un mâle ! Il aimait bien cette expression-là qu’il avait entendue dire dans un film porno et c’était bien de dire ça à cette fille.
– Tu préfères la bite ou le godemiché, a insisté Kévin ?
– Quoi, a fait Jocelyne ?
Elle était écarlate.
– Tu préfères te masturber dans ta chambre ou bien te conduire en vraie femme, a insisté Kévin ?
Je ne lui ai rien dit mais il sait tout de moi, a pensé Jocelyne, mais Kévin avait déjà ajouté qu’il avait horreur des lesbiennes. Ça, elle l’avait compris car il lui avait déjà dit tout à l’heure quand il l’avait abordée.
– Viens, sors de la voiture, lui a dit Kévin en saisissant sa main !
Il était descendu et avait fait le tour et il ouvrait la porte du côté de Jocelyne qui s’est laissée faire. C’était bizarre pour elle de se retrouver debout le cul à l’air et aussi les nichons avec un garçon. Elle a demandé à son ami si elle devait aussi retirer sa jupe et elle a gardé ses chaussures puis son ami l’a plaquée sur le capot de la voiture et Jocelyne à pensé à ses parents qu’elle avait vu faire comme ça puis la bite s’est enfoncée dans son ventre. Mon dieu, a-t-elle pensé, je suis si exercée que Kévin ne s’est même pas rendu compte !
Kévin a limé un bon moment et Jocelyne a pensé que le pénis était aussi dur qu’un bout de bois et elle a même eu un orgasme et elle allait en avoir un autre quand Kévin s’est arrêté :
– Tu prends la pilule, lui a-t-il alors demandé ?
– Non, a fait Jocelyne, étonnée par cette question ?
Elle savait bien de quoi son ami parlait mais elle n’avait jamais eu l’occasion de… D’ailleurs c’était plutôt confus dans sa tête.
– Tu ne risques rien au moins, à insisté Kévin ? Tu es une de ces filles qui veulent se garder jusqu’au mariage !
– Non, non, non, a protesté Jocelyne !
Oh, le salaud, a-t-elle pensé sur l’instant, il s’en va… Le pénis s’en allait en effet puis Jocelyne a pensé que son ami avait changé d’avis. D’ailleurs, il s’enfonçait à nouveau mais elle a mis un moment avant de comprendre que ce n’était pas dans le même orifice. Il m’encule ! D’ailleurs, c’était le terme qu’avait employé sa mère quand elle avait surpris ses parents et juste avant qu’elle ne se réfugie dans sa chambre. Il m’encule. D’ailleurs ce n’étaient plus le ventre qui tapait sur ses fesses, mais les cuisses de Kévin. Il la tenait par les hanches et ses seins étaient écrasés sur le capot de la voiture puis le sperme a giclé au fond de son anus en quatre jets puissants.
C’était fini. Jocelyne s’est essuyé les cuisses avec les feuilles d’une plante qui poussait parmi les herbes pendant que son ami la pressait de se dépêcher puis elle s’est rhabillée.
– Ça t’a plu quand même, lui a dit Kévin alors qu’il rentraient en ville ? Les filles préfèrent ça plutôt que d’être en cloque !
– Ce… Oui, a bafouillé Jocelyne !
Ils approchaient de chez elle et il était temps. Presque sept heures.
– Eh, attends, lui a dit Kévin quand elle est descendue de la voiture ! A bien réfléchir, je ne t’aimes pas tant que ça ! Tu es gentille, mais…
(A suivre)
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