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mon amie chloé

mon amie chloé



Chloé a 19 ans, étudiante elle aussi. Elle est assez petite, aux alentours d’1m60. Brune décolorée en mèches blondes avec des cheveux mi-long un peu en fouillis et des yeux noisettes. Un visage un peu lunatique au quotidien mais extrêmement rieur et agréable à regarder, avec une peau claire. Quand à sa silhouette, elle est très attirante, en effet Chloé est une danseuse de haut niveau, activité qu’elle pratique quotidiennement et qui lui prodigue un corps musclé et très bien proportionné, avec un beau petit cul bien rebondi et une jolie paire de seins, pas trop gros mais de belle forme comme je les aime. J’ai longtemps fantasmé sur elle et me suis souvent masturbé en m’imaginant lui faisant l’amour.
Cette histoire c’est déroulée les quelques jours entre les fêtes de noël et le réveillon. Nous étions moi et Chloé entrain de réviser pour nos examens dans nos chambres de cité universitaire respectives quand m’est venue l’envie de me masturber. Je suis donc allé sur un site pour adulte, ai baissé mon caleçon et commencé à me masturber. J’étais à genoux sur mon lit, le sexe à la main et mon ordinateur posé devant moi quand tout à coup j’entendis frapper. Mais ma colocataire ne me laissa pas le temps et ouvrit immédiatement la porte, me surprenant donc dans cette position. Elle resta quelques secondes figée, les yeux rivés sur mon sexe puis se détourna et sortit de ma chambre.

Interrompu par cette entrée, j’ai stoppé la vidéo puis remis mon boxer. Mon sexe encore dur tendais mon boxer et formait une bosse partant le long de ma cuisse. Je suis sorti et ai frappé à la porte de Chloé, devant l’absence de réponse j’ai ouvert doucement la porte et je suis rentré. Chloé était là en chemise de nuit, debout et j’ai commencé à lui parler pour m’excuser, quand je me suis rendu compte que son regard était toujours posé sur mon boxer. En effet mon sexe encore en érection tendais toujours mon boxer et formais une bosse bien visible. Avant que j’ai eu le temps de réagir, Chloé s’avança vers moi, le regard toujours attiré par mon sexe. Une fois devant moi, elle s’est agenouillé et a porté ses mains au niveau de ma bite, elle l’a caressée sur sa longueur à travers mon boxer puis a commencé à baisser mon boxer. Je n’en croyais pas mes yeux.
Mon sexe compressé par mon boxer est venu se plaquer contre sa joue une fois libéré, Chloé s’est mis à jouer avec sa langue le long de ma bite, le léchant du bout de la langue des boules jusqu’au prépuce sans pour autant jamais toucher mon gland qui était gonflé de désir. Elle a continué ce petit jeu quelques minutes qui me parurent interminables, faisant coulisser sa langue ou ses lèvres le long de ma bite. Puis enfin elle posa ces lèvres sur mon gland, et les écarta doucement faisant coulisser ma bite de plus en plus profondément dans sa bouche, ces lèvres coulissant autour de ma bite. Elle commença à jouer avec sa langue autour de mon gland et sa main alla chercher mes boules pour les malaxer, c’était divinement bon. Jamais je n’aurais imaginé que Chloé était si bonne suceuse. Elle se mit ensuite à faire des va et vient, allant à chaque fois un peu plus loin jusqu’à faire buter ma bite contre sa gorge. Elle continua ce traitement, sortant parfois ma bite pour aller lécher mes boules ou ma bite sur toute sa longueur, mais toujours ma bite retournait au chaud rapidement. Au bout de 5 minutes de ce traitement, ma bite était gonflé d’excitation et mon gland en devenait violacé. Je lui dit que je ne pourrais plus tenir bien longtemps, alors Chloé accéléra ses va et vient puis d’un coup elle sera mes testicules assez fortement et enfonça ma bite le plus profond qu’elle put dans sa bouche en aspirant comme pour en recueillir tout le jus. Je jouis dans sa bouche comme jamais et déversais de grandes quantitées de sperme directement en elle qu’elle s’empressa d’avaler. Une fois vidée, elle sorti ma bite de sa bouche et entreprit de la nettoyer avec sa langue. Une fois propre, elle se releva et me donna un baiser fougueux, sa bouche avait encore le goût de mon propre sperme.

Cela me fit revenir à moi et je n’avais plus qu’une envie, la baiser comme une chienne à même le sol. Je l’ai alors pris par les fesses, la retournant et la faisant se mettre à quatre patte brutalement. J’ai relevé sa chemise de nuit et j’ai baissé son string jusqu’aux genoux. Enfin je voyais sa petite chatte, elle semblait très étroite et était totalement épilée. Elle était trempée, sa mouille suintant entre ces lèvres gonflées par l’excitation. À cette vue je ne fis pas durer plus longtemps, j’écartais ses fesses des deux mains et plaquais ma bouche contre sa chatte. Après un grand coup de langue sur toute sa surface pour en récupérer le jus délicieux, j’investis sa chatte de ma langue en la fouillant de fond en comble. En commençant par ses lèvres puis par son vagin, un de mes doigts parti à la recherche de son clitoris que je trouvais sans difficulté, assez court mais gonflé et je commençais à le masser doucement en continuant de la lécher. Chloé poussait ces fesses contre moi comme pour en demander toujours plus et lançait des grognements révélateurs du plaisir qu’elle éprouvait. Un de mes doigts parti en direction de son anus et je le massais doucement en me servant de sa mouille et de ma salive comme lubrifiant. Je m’étais pendant ce temps attelé à m’occuper véritablement de son clitoris avec ma langue et Chloé haletait comme la chienne qu’elle était. Son anus c’était détendu et je fis des aller-retour un doigt dans son anus et deux autres dans son vagin tandis que je la léchais. Après quelques secondes de ce traitement, Chloé poussa un grand râle et jouit. Une grande quantité de mouille s’écoula de sa chatte et je me précipitais pour tout laper. Une fois fait, ma langue remonta un peu et alla lubrifier son anus, elle n’était pas vierge de ce côté-ci mais il restait tout de même bien étroit.

Pendant ce temps, mon sexe avait retrouvé toute sa vigueur et commençait à me faire mal. Chloé avait eu le temps de reprendre ses esprits et bougeait son cul pour m’inviter à venir la baiser. Je me relevais donc, pris mon sexe et le guidais jusqu’à sa chatte dans laquelle je m’enfonçais directement jusqu’aux couilles. Elle avait vraiment une petite chatte qui me compressait la bite mais toutes les sécrétions me permirent de m’enfoncer aisément. Sans préavis, je commençais à la bourrer de grands coups, ressortant presque entièrement ma bite entre chaque va et vient. Mes couilles battaient contre sa chatte à chaque mouvement. Chloé s’était laissée chuter en avant et avait la tête et les coudes posés sur la moquette. Tout en continuant à la limer, je fis passer mes mains de par et d’autre de son corps, empoignait sa chemise de nuit en son milieu et en tirant, la déchirait de son cou jusqu’à son nombril laissant ses seins sortir de leur prison. Elle ne portait pas de soutien-gorge et je pu les empoigner à plaines mains. Ces seins était dur sous mes doigts et ses tétons au milieu de petites aréoles formaient deux petites pointes très durcies et je m’en aperçu rapidement, très sensible au toucher.

Je continuais à la baiser en changeant de rythme, quand je sortais ma bite trop longtemps en ne laissant que mon gland dans sa grotte, je la sentais pousser en arrière pour en demander toujours plus. Mais je savais qu’à ce rythme je ne tiendrais pas éternellement et j’avais bien envie de profiter pleinement de la situation. Je continuais mes grands aller-retour en sortant ma bite entièrement de sa chatte tout en lui massant l’anus d’un doigt, puis en la masturbant le cul avec un puis deux doigts. Une fois que je la sentais suffisamment prête, je profitais que ma bite sorte de sa chatte, luisante de mouille pour lui écarter les deux fesses avec mes mains et lui planter directement dans sa rosette. Sous le coup de la surprise, Chloé poussa un cri mais je pu rentrer le 1/3 de ma bite avant que son cul ne se contracte. Je me penchais alors en avant, me plaquant contre son dos et j’allais chercher ses lèvres. Mes mains partirent l’une à la recherche de ses seins tandis que l’autre alla jouer avec son clitoris.

Pendant ce temps, je pesais doucement contre son cul et ma bite progressait petit à petit dans ses entrailles. Chloé se relâchait petit à petit et continuait à m’embrasser. Quand elle senti que mon bassin plaquait contre son cul, elle lâcha mes lèvres .

Je commençais donc mes va et vient et même si elle n’était pas vierge, son cul n’avait pas du être visité de nombreuses fois. D’abord doucement, mes coups de bite se firent plus ample et je sentais son cul se détendre pour m’accueillir. Je commençais donc à accélérer et à marteler son petit cul, ma main branlant toujours son clitoris. Chloé s’était effondré la tête enfouie dans la moquette et poussait des gémissements dans lesquels je percevais de la douleur mêlée à du plaisir ce qui m’excitait et m’encourageait encore plus.
En relevant mon torse afin de profiter de l’instant, moi enculant ma colocataire à quatre patte sur le sol, j’eus une agréable surprise en remarquant que son miroir était juste à côté de nous. Je la tirais par les fesses pour la mettre bien en face et je pus ainsi voir la scène différemment.
J’enfouis ma main dans sa chevelure, et je la tirais pour lui relever la tête. Cela l’obligea à se tenir cambré, le cul bien en arrière pour recevoir toujours plus profondément ma bite, son corps ondulais à chaque coup que je lui assenais, sa poitrine montant et descendant au rythme qu’imposait mes couilles, tapant contre son cul.
Tout en la baisant, elle poussa un long râle de jouissance et je remarquais dans le miroir qu’une grande quantité de cyprine dégoulinait de sa chatte le long de ses cuisses. Ses genoux s’affaissèrent et ma bite sorti de son cul. Pour autant, je n’avais pas encore joui même s’il s’en fallait de peu. Je la contournais donc, lui relevais la tête et plantais ma bite dans sa bouche en commençant de grands va et vient. Ses protestations m’importaient peu, je l’avais réduite à l’état d’objet. Je lui baisais la bouche un moment puis je sentais la jouissance monter. Je plantais ma bite au plus profond de sa gorge et me vidais en trois puissants jets. Elle en avala une partie tant bien que mal, mais le reste ressorti de sa bouche et coula le long de sa gorge jusqu’à sa poitrine.

Je lui lâchais la tête et elle s’allongeait par terre, repus. Je décidais de la porter et je la déposais sur son lit. Lui déposais un baiser sur les lèvres et me dirigeais vers la salle de bain pour me doucher, en imaginant toutes les choses que je pourrais lui faire, un autre jour…

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