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Ah…les dames bien mûres ! partie 1/4

Ah…les dames bien mûres ! partie 1/4



LU SUR LE NET

J’ai 55 ans et je travaille comme ingénieur de gestion dans une grande entreprise. J’ai une vie très active sur le plan professionnel et aussi sur le plan sexuel. J’ai connu un grand nombre de maitresses de tous âges, et actuellement, bien que vivant en concubinage avec une femme qui me satisfait pleinement, j’ai toujours mon jardin secret, et il se passe peu de jours sans que je ne m’évade par moments dans de délicieuses rêveries érotiques en me masturbant sur des faits réels ou imaginaires.

Je vais donc vous raconter une histoire tout fait réelle qui m’est arrive cet été :
Dans notre immeuble administratif, il y a sous les combles un petit local fermé qui me sert l’archivage de certains dossiers volumineux. Il m’arrive donc très souvent de m’y rendre pour rechercher tel ou tel document, et je suis seul en posséder la clé.
Par la petite mansarde situe au-dessus de mon bureau, j’aperçois l’immeuble situ de l’autre ct de la rue, soit une vingtaine de mètres au plus. C’est également un ancien immeuble rénové en bureaux, mais le dernier étage a été aménagé en appartements et l’une des fenêtres donne exactement en face de ma mansarde, un peu en contrebas, me donnant une vue complète et un peu plongeante sur la pièce. Longtemps inoccupé, l’appartement en question est maintenant habité par une dame d’environ 70 ans vivant seule. C’est une dame fort honorablement connue dans notre petite ville de l’Est de la France, veuve d’un ancien maire. Elle est encore très élégante, blonde, toujours bien vêtue et coiffée. Plusieurs fois, au cours de l’été, alors qu’elle laissait la fenêtre entrouverte, je voyais que celle-ci donnait sur sa chambre coucher, et en enfilade, je voyais encore la baignoire de sa salle de bains. Elle ne se doutait absolument pas que l’on pouvait l’observer de l’extérieur, mais cependant, elle refermait sa fenêtre et tirait ses voilages dans qu’elle y pénétrait. La nuit, elle tirait de lourds rideaux qui empêchaient toute vision de sa chambre.
Une fois o l’autre, cependant, j’avais pu la surprendre en tenue légère, slip et soutien-gorge alors qu’elle ne faisait que se rechanger ou traverser la pièce. Inutile de dire qu’elle m’avait mis dans tous mes états et que cette vision, même fugitive, avait provoqué en moi une vive excitation. Des ce jour, j’ai pris dans mon bureau une puissante paire de jumelles et un petit trépied qui me permettait, en cas d’alerte de la visionner discrètement. Je l’ai surprise ainsi plusieurs fois le matin, alors qu’elle aérait et faisait sa chambre. Aux beaux jours, elle laissait tout grand ouvert, et allait et venait en robe de chambre en flanelle bleue claire. Par moments, lorsqu’elle se baissait en passant son aspirateur, je voyais par l’entrebâillement de sa robe de chambre qu’elle tait nue en dessous, et le grossissement de mes jumelles me permettait parfois d’entrevoir furtivement ses seins, qu’elle avait très généreux, et ma foi encore de belle prestance. Je baissais alors mon pantalon et mon slip et je passais de longues minutes l’observer ainsi tout en me masturbant, assis dans mon fauteuil de bureau, bien enferme double tour. Quelques fois même j’ai eu le plaisir intense de la voir par la porte peine entrouverte de sa salle de bains alors qu’elle se prélassait dans sa baignoire. Je ne pouvais voir ses mains, mais je suis sur qu’une fois ou l’autre, alors que sa tète reposait très en arrière sur un linge sur le bord de sa baignoire, elle se caressait. Je voyais son beau visage comme si elle tait quelques mètres de moi, et ses yeux fermes et ses traits un peu crispés me montraient sa jouissance. A sa sortie du bain, je pouvais aussi apercevoir brièvement un sein, ou un bras ou une cuisse lorsqu’elle se séchait. Que de longues gicles de mon sperme ont accompagnés ces instants !
Un après-midi d’été, alors qu’il faisait une chaleur orageuse et étouffante, je la vis arriver et tirer les voilages sans refermer sa fenêtre. La chambre tait très assombrie par le temps orageux et je ne distinguais plus rien, lorsque je vis avec surprise s’allumer sa lampe de chevet. Mes jumelles mises en batterie, je pus alors bien distinguer l’intérieur de la chambre dans la pénombre, travers le tissu des voilages. Madame P. tait dans un angle de sa chambre et commença par déboutonner et enlever sa robe, puis après un petit passage la salle de bains, elle revint et s’tendit sur son lit, couche sur le ct, face moi, en petit slip et soutien-gorge en dentelle noirs. Quant moi, mon pantalon tait déjà terre et longuement je faisais aller et venir la paume de ma main sur ma queue déjà décalotte et bien raide. Elle ouvrit un petit cornet qu’elle avait jet sur le lit et en sortit une petite revue dont le format me fit immédiatement penser ces magazines de lettres érotiques en vente dans les kiosques. Enfin, j’allais pouvoir la contempler dans son plaisir solitaire.
Tout en lisant, elle frottait très lentement ses cuisses l’une contre l’autre, puis sa main droite commença lentement de caresser ses seins travers le tissu du soutif. Bientôt, elle fit sortir un téton par dessus le dentelle, le prit entre son pouce et son index et le malaxa tendrement. Ses cuisses s’entrouvraient déjà plus largement et elle faisait des petits mouvements en ciseau d’une garce exquise. Je devais fortement me retenir de juter, mais quelques gouttes perlaient dj de ma queue. Elle reposa le livre, et se penchant en arrière, elle décrocha son soutien-gorge et le déposa au pied du lit. J’tais fou de voir ainsi ses seins lourds et pendants, aux gros bouts érigés et aux larges aroles sombres. Elle les prenait à tour de rôle dans sa paume et les pressait. Je contemplais tout ceci bout portant, et il me semblait être suffisamment prés pour les toucher. Je contemplais aussi son beau visage un peu austère, crispa par le plaisir, sa bouche entrouverte, par moments elle faisait pointer sa langue pour se lécher les lèvres. Puis sa main descendit et passant sous l’élastique de sa culotte qu’elle abaissa un peu, elle se mit s’enfoncer entre ses lèvres d’amour, que je commençais deviner dans une belle touffe de poils clairs. Je me mis à juter très fort dans le kleenex dont j’avais déjà entour ma main, mais je bandais encore toujours aussi dur, devant la puissance du spectacle qu’elle me donnait.
Elle écartait ses cuisses, mais sa culotte la gênait vraiment trop. Elle l’abaissa jusqu’ ses pieds et la laissa entortille autour d’une cheville, ne prenant même pas le temps de l’enlever complètement. Après quelques minutes de lecture, n’en pouvant plus, elle laissa tomber son livre terre, et se couchant sur le dos en travers du lit, elle se fourragea d’une main, tandis que l’autre allait et venait sur ses seins et sur son ventre. Elle avait maintenant les cuisses tout cartes et je pouvais voir sa vulve complètement trempe et ouverte. Elle entrait fortement et brutalement deux doigts dans sa chatte, puis ressortait et venait titiller son gros bouton érigé et luisant, puis elle replongeait. A un moment, elle remonta sa main et essuya longuement les doigts avant de repartir à l’assaut. Enfin, elle se retourna, se mit à quatre pattes, faisant frotter ses gros seins ballottant sur les draps, les fesses haut cambres, comme offerte en levrette, se branlant comme une folle d’une main. Tout son corps luisait de sueur, et le grossissement de mes jumelles me permettait même de voir les traces des gouttes sur ses hanches. Ne me manquaient que ses cris que je pouvais deviner par les mouvements de ses lèvres, et hélas son odeur de cyprine que je ne pouvais qu’imaginer. En tous cas, elle devait être bonne, sa mouille, car plusieurs fois elle y gouta en léchant sa main comme une gourmande. Elle se tendit soudain comme un arc et jouit longuement, sa main bloque entre ses cuisses tétanises, puis retomba brusquement plat ventre, le visage crispé tourné contre moi, les yeux fermés, toute essouffle.
Une seconde fois, je jouis moi aussi, envoyant de longues gicles de sperme. Après quelques minutes, son visage redevenu détendu mais encore en extase, je la vis tendre le bras et teindre la lampe de chevet, replongeant la chambre dans la pénombre, et ne me permettant plus d’y distinguer quoi que ce soit. Je dus aller au lavabo et me rincer le visage l’eau froide tant cette scène m’avait bouleverse. Des ce jour, je la vis avec d’autres yeux, et malgré son âge relativement avancé, je la trouvais belle et désirable. Lorsque je la croisais et la saluais dans la rue, j’étais saisi d’une forte érection que je calmais dès que je pouvais m’isoler dans les toilettes d’un caf ou d’un jardin public, dans ma voiture, même. Elle me répondait toujours avec son air un peu distant, pour ne pas dire hautain (Ah, ma belle dame, si vous saviez que je sais les douces turpitudes qui vous taraudent parfois…).
Je me suis branlé des dizaines de fois en me remémorant cette dame. Pendant plusieurs semaines, je ne pus plus rien voir d’autre que ses scènes de nettoyage, et la clarté du temps d’été ne lui faisait plus allumer sa lampe de chevet si elle voulait se faire des gâteries durant l’après-midi. Je ne pouvais donc qu’imaginer…la suite.

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