Cet après-midi-là, je décidais de me promener dans la forêt derrière chez nous, comme ça, pour me détendre tout simplement d’une semaine de labeur, voir autre chose que le bureau. Et pourquoi pas avec Julie, ma douce et tendre compagne, bras dessus, bras dessous. J’adore me promener avec elle, en amoureux.
– Tu viens Julie ? On va se balader un peu.
– Non Damien, pas maintenant, mais vas-y toi. Ne soit pas trop long, je voudrai profiter un peu de toi tout à l’heure…
Je regrettais son refus et j’hésitais un peu, sans Julie c’est moins agréable, mais il faisait si beau que je décidai de sortir tout de même, tant pis je serai tout seul.
Une chaleur douce couvrait mon visage, la forêt était accueillante avec ce temps splendide.
Je connaissais presque tous les coins, mais je voulais me faire guider par le hasard, sortir des sentiers battus, aller en quelque sorte vers l’aventure sans chercher à savoir où j’étais, me perdre peut être un peu, tout en sachant que, de toutes façons, je n’étais pas si loin de la maison.
Le silence dans la forêt, si on veut l’écouter, est peuplé d’une multitude de bruits, inquiétants ou rassurants, selon l’humeur dans laquelle on se trouve. Pour moi aujourd’hui, ces bruits étaient reposants, pleins de promesses. Le champ des oiseaux me guidait.
Je marchai depuis un moment et je ne sais pas pourquoi j’allais dans cette direction, un instinct sans doute, je me sentais si bien. Pourtant mon cœur battait de plus en plus fort, je savais que j’allais vers une partie de la forêt que je connaissais bien pour y avoir été assez souvent avec Julie ou tout seul, et j’étais comme attiré vers ce lieu. J’avais pourtant décidé de me laisser guider par le hasard, et bien le hasard m’amenait vers cet endroit.
Qu’est-ce que j’allais trouver là-bas ?
Tout en marchant les mains dans les poches, je sentais mon sexe gonfler. Une de mes poches était trouée, je n’ai jamais voulu demander à Julie de la raccommoder, elle permettait à ma main, tout en marchant, de caresser mon sexe au-dessus, et bien vite au-dessous de mon sous vêtement. J’aimais me peloter comme ça, tout en marchant… Je sentais la chaleur de mon membre qui gonflait de plus en plus. Je m’arrêtai, sorti ma bite de mon pantalon, et me mis à me masturber doucement, puis à me branler franchement, tout en ayant pris soin de vérifier qu’il n’y avait personne dans le coin. Mais je m’arrêtai quand je sentais que mon plaisir montait un peu trop. J’aimai stopper mes mouvements à ce moment, retarder ma jouissance, ce serait encore meilleur un peu plus tard…
Je rangeais tout soigneusement et me remis en marche, toujours les mains dans mes poches.
J’arrivais sur le lieu convoité. C’était près d’un chemin carrossable éloigné de la route, un peu en surplomb d’une petite clairière, où parfois des couples, ou des hommes seuls cherchant l’aventure, venaient se donner du plaisir.
Je restai accroupi, comme aux aguets, attendant une éventuelle arrivée. Cela ne tarda pas, le lieu était assez connu pour ceux qui aimaient ce genre de situation, et l’endroit restait rarement désert. Une voiture stoppa doucement pas trop loin de moi, ce qui me fit m’accroupir un peu plus, mais en fait, je ne risquais pas tellement d’être vu dans ma position légèrement surélevée.
Un couple était à bord de la voiture l’homme au volant, par cette chaleur les vitres étaient ouvertes. Ils parlaient un peu, se regardaient, s’embrassaient de temps en temps, et je pus les voir s’installer plus profondément sur leurs sièges, la tête en arrière. Ils se regardaient tous les deux tout en se souriant.
Je vis la femme se peloter tendrement les seins, son chemisier déboutonné. Elle écartait ses jambes et se caressait sous sa jupe. L’homme la regardait, et après avoir dégrafé son pantalon, sorti son sexe qu’il masturba gentiment, pendant que sa compagne reprenait de plus belles ses caresses sur sa poitrine en malaxant ses seins avec envie, pendant que son autre main s’activait entre ses cuisses bien ouvertes. Elle regardait son compagnon, comme pour lui lancer un défi.
Leur position n’était pas des plus aisées, mais apparemment cela ne les gênait pas plus que ça.
Je n’osais plus bouger, mes yeux grands ouverts profitaient au maximum de ce spectacle qui me faisait bander grave.
Je me levais, changeant de position pour mieux les regarder. J’en profitais pour ressortir ma bite qui avait mouillée mon pantalon, et je me branlai avec un grand plaisir en les regardant de caresser.
C’était beau à voir, et très bandant. Ce manège dura un petit moment. Ils se caressaient seuls, chacun de leur côté mais tout en se regardant intensément. Puis, sans doute n’y tenant plus, la jeune femme se pencha vers son homme et l’embrassa goulument en joignant sa main à la sienne pour l’accompagner et le branler avec lui. A mon avis, ils avaient joués à qui se jetterai sur l’autre le denier. Petit jeu original et très jouissif, et elle avait perdu, la gourmande.
Elle glissa sa tête vers sa queue pour la prendre dans sa bouche, cela eu pour effet de lui faire soulever un peu son beau petit cul sans culotte que je pu entrevoir. Son homme en profita pour glisser sa main entre ses fesses, et la doigter vigoureusement dans sa mouille, qui devait être abondante car ses doigts semblaient entrer avec une grande facilité. Je pus la voir se dandiner avec envie, pour mieux recevoir ses caresses.
Je m’approchai encore un peu pour mieux les mater, et failli tomber dans la pente heureusement légère. Je me rattrapais à une branche pour me rétablir, la queue à l’air je devais avoir une apparence un peu comique. Ma semi chute m’avait refroidi, mais voir ces deux coquins se branler mutuellement me redonna de la vigueur. De mon nouvel emplacement je pouvais les entendre s’échanger des cochonneries et les entendre gémir, ce qui eut pour effet de provoquer en moi une irrésistible envie de me masturber, c’est vrai que j’aime ça et qu’il ne me faut pas grand-chose pour me caresser.
-Ça donne envie, non ?
J’eu un sursaut, mon cœur battait la chamade. Qui parlait doucement tout près de moi ?
Je senti un frisson parcourir tout mon corps en voyant un type tout à côté, la bite à la main et se masturbant doucement. Je me senti comme un écolier pris en faute.
– Ça vous donne envie ce spectacle, d’après ce que je vois. Me dit-t-il gentiment en regardant mon sexe en érection.
– Heu oui, vous aussi il me semble. Balbutiai-je, ne sachant que dire.
– On est pareil apparemment, c’est bon tout ça. Tu as un beau membre tu sais, je peux te tutoyer ?
– Oui, bien-bien sûr…
Il était vraiment près de moi, je ne l’avais pas entendu venir. Tout en continuant de se masturber, il approcha une main vers moi pour me toucher. Allez savoir pourquoi, je me laissai faire. J’avais l’impression que mon cœur allait exploser, mais je ne reculais pas et sa main rejoignit la mienne dans une caresse très érotique. J’appréciais la chaleur de cet inconnu. Il n’était pas tout jeune, peut être une soixantaine d’années, mais il dégageait une telle tendresse, une telle douceur dans sa voix, que son contact était des plus agréable.
Je ne retirais pas ma main de mon sexe, il avait mis sa main sur la mienne. Nos mouvements de va et vient étaient très lents, faisant glisser ma peau sur mon gland, le décalottant à chaque aller-retour.
– Tu aimes ça, hein mon coquin. J’adore branler une belle bite bien bandée, tu veux bien me faire pareil ?
Il quitta sa bite pour prendre doucement ma main et la posa sur sa verge. Tout naturellement je me mis à le masturber, sa main restant sur la mienne. Nous nous branlions ensemble et c’était délicieux de sentir notre complicité, comme si nous nous connaissions depuis une éternité. Ses paroles étaient douces, mêlées à nos actes cela me faisait bander au plus haut point.
– Oui comme ça, branle-moi doucement. Branle ta bite aussi, c’est si bon… Tu veux que je te suce ?
J’étais dans un tel état d’excitation que j’acquiesçais tout de suite. Heureux de ma réponse, il s’accroupi et se pencha sur ma bite puis, tout en la branlant doucement, la mit dans sa bouche. Je senti la chaleur de ses lèvres sur mon gland, ses va-et-vient sur ma peau me déclencha des petits râles de bonheur, et j’accompagnais ses mouvements avec des basculements de mes hanches. Il suçait très bien, sa langue tournait autour de mon gland turgescent, le léchait, l’aspirait avec ses lèvres pour sortir mon jus. Il descendit jusqu’à mes couilles pour remonter ensuite tout au bout de ma queue en appuyant le bout de sa langue au sommet de ma bite, exerçant des petites rotations comme pour entrer dans l’urètre. Cet homme était un expert, et il me donnait un plaisir étonnant. Je lui pris la tête, lui indiquant le rythme à suivre, ce qu’il fit pour mon plus grand bonheur.
Il descendit mon pantalon et caressa l’intérieur de mes cuisses, ce qui me fit écarter mes jambes. Remontant ses mains jusqu’à mon entre jambes, il se mit à me peloter les couilles, puis les fesses. J’aimais toutes ses caresses et j’acceptai que ses doigts s’aventurent vers mon anus qu’il commençait à titiller.
-Tu aime ça? Tu veux que j’aille plus loin ?
Je fus étonné de m’entendre lui dire que oui, j’appréciais qu’il me caresse le cul, qu’il pénètre ses doigts à l’intérieur, qu’il me fouille en profondeur. Julie me le faisait souvent, et j’adorai cela.
Il quitta ma bite pour me retourner tendrement, prit mes hanches et frotta sa verge si dure contre mes fesses. Une envie folle me fit me cambrer pour mieux sentir cet inconnu. J’appuyais ma croupe contre sa bite dont je sentais sa mouille chaude sur ma peau. Il se frottait contre mon cul, de plus en plus près de mon anus. Je lui pris ses fesses de mes deux mains, pour mieux le plaquer contre moi.
Je comprenais rapidement ce qu’il cherchait à faire. Je n’avais plus qu’une envie à ce moment-là, qu’il m’encule, qu’il enfonce sa queue dans mon cul, qu’il défonce mon trou qui s’offrait à lui. J’avais brusquement très envie de me faire prendre par cet inconnu.
Il arrivait de temps en temps que Julie me pénètre avec le gode ceinture que nous avions acheté ensemble. Elle aime me sentir femme, et j’adore cela. Nous avons tous les deux de fortes tendances bisexuelles, et nous prenons un malin plaisir à inverser les rôles.
– Accroupis-toi, j’ai envie de te pénétrer.
Oh oui, l’objet de mes désirs les plus fous allait entrer dans mon cul déjà tout trempé d’envie. Cet homme que je ne connaissais pas allait m’enculer là, tout de suite, maintenant.
Il mit une capote et entra doucement dans mon trou mouillé et dilaté par son doigtage connaisseur.
C’était un délice, j’étais au 7ème ciel et je lui tendais mon cul pour qu’il prenne possession de mon corps. Je me donnais à lui tout entier, remuai mes fesses pour le sentir au plus profond de mes entrailles. Plus rien n’existait autour de moi, j’avais complètement oublié où j’étais, le couple dans la voiture faisait partie de mes souvenirs lointains.
Il n’y avait plus que cette queue chaude qui envahissait de jouissance tout mon être. Il me baisait si bien, j’exerçais des mouvements d’ondulations pour mieux le sentir, ses couilles frappaient contre mes fesses. Il comprenait très vite que je voulais sa bite le plus profond possible dans mon trou accueillant. Là, je dandinais du cul en exerçant des vas et viens. Je sentais son membre forcer les parois de mes entrailles. En levrette, nos positions étaient parfaites pour me faire enculer de cette façon, et apprécier tous ces moments de pur délice.
J’en avais complètement oublié le couple de la voiture qui devait se donner un plaisir dingue un peu plus bas, mais mes yeux étaient fermés pour mieux sentir mon enculeur jouir dans mon cul. Après m’avoir bien remué, il me baisait comme une bête, encore et encore. Je forçais mon cul contre ses cuisses, je sentais son corps contre mes fesses demandeuses de sa bite, impliquant des mouvements de coups de butoir. Et enfin, l’anus en feu, j’appréciais la chaleur de son sperme dans mes boyaux. Je n’avais pas joui, mais lui avait pris un plaisir merveilleux à éjaculer dans mon corps en râlant de plaisir. Il resta un long moment à l’intérieur de mon cul et j’appréciais sa présence.
Quand il se retira, je me relevais doucement, mon corps encore troublé de spasmes de bonheur.
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Près de nous ils nous regardaient.
L’homme, tout contre le dos de sa compagne, dont le chemisier ouvert dégageait une très belle poitrine aux seins gonflés d’envies, pelotait ses seins et titillait ses tétons d’une main, tandis que de l’autre caressait son bas ventre sous sa jupe, tout en nous contemplant. Elle n’avait ni soutien-gorge, ni culotte. Nue sous ses vêtements défaits, elle inspirait l’érotisme et le sexe. Je ne sais pas pourquoi, mais je devinais que ce devait être le couple de la voiture, attiré sans doute par nos ébats peut être moins discrets que nous le pensions.
– Vous faites bien du bruit, les coquins. On vous a aperçus d’en bas tout à l’heure, et vous nous avez donnés vraiment l’envie de monter vous rejoindre, vous n’êtes pas fâchés au moins. Je m’appelle Pauline et voici Bastien.
Voici une présentation des plus surprenante, surtout après ce qu’il venait de m’arriver. J’étais très surpris et troublé à la fois. Me faire surprendre par un couple mateur, à moitié à poil en train de me faire enculer par un inconnu était assez étonnant, et pour ma part très gênant.
– Moi c’est Damien, et voici, heu…
– Georges. Bonjour.
C’est vrai que je n’avais même pas eu le temps de demander le prénom à mon adorable enculeur, lui non plus d’ailleurs…
– Georges, vous m’avez l’air épuisé…
– Epuisé peut-être pas, fatigué un peu oui. Mais je m’en remettrai…
-J e n’en doute pas, et Damien, vous allez bien vous.
Cette affirmation s’accompagnait d’un regard sur ma queue un peu débandée, mais en forme tout de même.
-Je vous disais que vous nous avez donnés envie de vous rejoindre quand on vous a aperçus tout à l’heure. Je ne vous cacherai pas que j’ai un petit faible à la vue de deux hommes qui s’enfilent, et là c’était très beau, vraiment. Je vous remercie du spectacle.
J’ajoute que Bastien n’est pas insensible à ce genre de situation, il aime regarder cela aussi. Je suis même sûre qu’il aimerait bien participer à vos ébats. Enfiler sa belle queue dans le cul d’un mec qui aime ça lui ferait un extrême plaisir, mais tout ça devant moi, vous en pensez quoi ?
– J’ai deviné tes pensées, n’est-ce pas mon Bastien.
– Si Damien veut bien je suis partant, il me donne bien envie, c’est sûr. Tu es d’accord Damien ?
– Damien, si tu en as encore envie, accepte la bite de mon mec. Il va te faire mouiller du cul, ça c’est sûr. Quand il m’encule je n’arrête pas de jouir. Je vous materai tous les deux en me masturbant. J’adore faire la voyeuse. Georges nous regardera aussi en se branlant avec moi s’il veut bien, bien sûr, mais je n’en doute pas.
Le scénario était assez prometteur, la proposition alléchante, et deux fois dans la même journée pourquoi pas. Surtout que ce Bastien était un bel homme athlétique, et paraissait très bien monté.
Sa copine Pauline était une mignonne petite brune aux cheveux longs, beaucoup plus petite que lui, mais ils formaient un très beau couple. À sa façon de parler, j’étais persuadé que ce petit bout de femme menait la baraque et aimait commander. Bastien devait se tenir à carreaux et exécuter tous ses caprices de femme sans doute un peu nymphomane. Mais qui s’en plaindrait ?
Je n’eus pas le loisir de pouvoir dépondre, ni éventuellement de donner mon avis. Pauline se baissa sur ma queue et la prit dans sa bouche. Ma bite se remit à gonfler avec une vigueur qui m’étonna. Je me retrouvais avec Pauline qui me suçait avec énergie, curieusement plus brusquement que Georges tout à l’heure. Elle me branlait et me suçait en même temps, en me faisant bien sentir sa langue. Ses lèvres glissaient sur ma bite bien dressée, c’était très bon de se faire faire une pipe par cette belle inconnue.
Manifestement elle voulait que j’éjacule rapidement. Je me retins un maximum, mais elle ne relâchait pas ses mouvements et me branlait de plus en plus vite. On aurait dit qu’elle voulait manger ma bite toute entière, et ce qui devait arriver arriva. J’aurai voulu que cela dure plus longtemps, mais Pauline en avait décidée autrement et elle montrait bien que c’était elle qui menait la dance. Et puis quand la jouissance vient il est assez difficile de se freiner, et c’est si bon de jouir.
Je jutai dans sa bouche grande ouverte qui attendait mon foutre avec gourmandise. Pauline se délectait de mon sperme. Elle avala tout jusqu’à la dernière goute, puis nettoya avec minutie mon membre qui était secoué de nombreux spasmes. Elle me suçait encore et encore pour ne plus laisser la moindre trace. Puis elle prit la main de Bastien qu’elle posa sur mes couilles pour les malaxer un peu.
Bastien me retourna et frotta sa bite gonflée contre mes fesses, sans lâcher mes couilles. Il me semblait que son sexe était énorme. Il enfila une capote, écarta mes cuisses, et pointa sa bite sur mon anus. J’étais encore tout dilaté par ma dernière pénétration, et pourtant sa bite avait du mal à entrer.
Sentant cela, il me pencha légèrement en avant et pénétra ses doigts dans mon anus, les faisant bouger avec délice pour faire grandir encore ma dilatation. Il les ressortait, les réentrant encore, me branlait mon trou qui devenait énorme.
Je pris appui sur un arbre et me cambrai davantage tout en remuant du cul. Je voulais recevoir cette grosse bite prometteuse. Bastien rapprocha son membre sur mon anus et m’encula promptement. Cette fois sa bite entra dans mon trou bien dilaté, pour mon plus grand plaisir. Mon cul était complètement rempli par sa grosse queue qui s’agitait dans mes boyaux, forçant mes parois, écrasant ma prostate. Il exerçait des va-et-vient d’abord très doux, puis très vite de plus en plus rapides. Il allait et venait dans mon cul, devant Pauline qui nous regardait nous donner du plaisir en caressant son clitoris et pelotant ses seins gonflés.
Pauline se léchait les lèvres, récupérant les dernières goutes de mon sperme. Regardant Bastien me baiser et Georges se masturber, elle branlait sa chatte, pénétrant ses doigts très loin dans son vagin.
Manifestement elle appréciait au plus haut point nos ébats.
Georges, voyant le spectacle, voulu y participer aussi en approchant sa bite, redevenue bien raide, du visage de Pauline. Elle l’attrapa pour la branler de sa main libre, tout en continuant à masturber sa chatte. Elle branlait cette queue qui s’offrait à elle en la léchant de temps en temps, au grand plaisir de Georges. Elle la branlait si fort, tout près de sa bouche et de son visage, que Georges fini par jouir, arrosant le petit minois qui accueilli son sperme chaud. Elle en avait partout, dans sa bouche, sur ses joues, sur son front, autour de ses yeux, autour de ses lèvres, jusque dans ses cheveux, elle était couverte du sperme de Georges qui râlait de plaisir.
Bastien m’enculait encore et encore, et j’appréciais sa grosse queue dans mes entrailles. Pauline s’était relevée pour m’embrasser goulument, mélangeant le sperme de Georges avec nos langues. Je fus d’abord surpris, mais j’en prenais vite goût, et nos bouches s’aspiraient mutuellement, nos langues s’entremêlaient. Je sentais et aimais la chaleur du sperme qui venait de sortir du corps de Georges.
-Nettoie-moi avec ta bouche et ta langue. Me dit Pauline.
Ce que je fis sans grande hésitation. Je lui léchais le visage, récupérant avec ma langue le sperme dégoulinant, et l’avalant en le goûtant. Cela ne m’était jamais arrivé et j’étais assez étonné d’aimer ça.
Bastien, sentant et voyant ce qui se passait, accéléra ses mouvements dans mon corps, et moi aussi, partageant ainsi notre plaisir. Lui, enfonçant sa bite dans mon cul. Moi, sentant sa grosse pine allant et venant dans mon trou béant, tout en embrassant et léchant de visage de sa copine. Il finit par jouir dans mes entrailles en poussant des cris de jouissance.
Devant tout ce plaisir, je repris possession de ma bite et me mis à la branler avec vigueur, au grand bonheur de Pauline qui, quand j’éjaculais à nouveau, reçu mon sperme sur son visage.
Cette fois, ce fut Georges qui lécha Pauline, à sa demande bien sûr, mais je vis qu’il en prenait un plaisir certain. Pauline finie par jouir de ses masturbations en poussant de grands cris, la chatte en feu.
Bastien réajusta sa tenue, Georges aussi, Pauline encore couverte d’un peu de sperme, essuya son visage d’un revers de la main, et se releva toute émoustillée et haletante.
Nous avions tous jouis avec délice de nos envies respectifs, et étions assez ébranlés.
– Et bien il faudra revenir, on a vraiment appréciés vos bites et vos petits culs les mecs. N’est-ce pas Bastien. C’était un délice. A recommencer, d’accord ?
– Ok les amoureux, à un de ces jours, rentrez bien. Salut Georges, si tu passes par ici, j’espère y être aussi.
– Ok Damien, j’ai vraiment aimé tout ça. Ce sera à ton tour de m’enculer, si tu veux bien.
– D’accord, j’aimerai bien ça, à plus Georges.
Pauline et Bastien, qui décidément n’était pas un grand parleur mais un très bon enculeur, redescendirent sur la petite place.
La voiture démarra et s’éloigna. Je pus voir un bras sortir de la portière en guise d’au revoir.
Georges parti de son côté en titubant un peu et je me retrouvais seul dans cette forêt si tranquille.
Au fait, j’allais où tout à l’heure ?…
Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…
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