Après nos ébats nous avons passé le reste du week end en mode colocataires. Nous sommes allés au cinéma, on a mangé à la maison, sans qu’il y ait d’autre épisode de baise. Le week-end, comme tous les week-end a rapidement été suivi par une semaine de travail. Je rentrais tard, épuisé tous les soirs et, grâce à Valentine, je n’avais qu’à mettre les pieds sous la table. Nous bavardions tranquillement sans jamais évoquer le fait que nous avions fait l’amour comme des possédés. De mon point de vue, en parler aurait été une façon de lui dire qu’il fallait qu’elle repasse à la casserole. Bien sûr j’en avais une grosse envie mais je ne voulais surtout pas qu’elle se sente obligée de baiser avec moi pour payer son loyer.
Le jeudi soir je suis rentré particulièrement fatigué et je me suis assis à table sans jeter le moindre regard sur Valentine. J’ai essayé de suivre ce qu’elle me racontait mais j’avais la tête ailleurs, encore dans un putain de dossier à la con. D’un coup j’ai sursauté, un verre venait de se briser sur le carrelage de la cuisine. Je me redresse et voit Valentine qui se décompose : Excusez moi monsieur, je n’ai vraiment pas fait exprès ! Elle baisse les yeux et commence à balayer les morceaux. Sorti de ma torpeur par le bruit je remarque enfin Valentine. Elle est nue et ne porte qu’un tablier de cuisine sur elle. Quand elle se baisse pour ramasser les débris je ne peux que voir qu’elle est cul nu. Elle se redresse et va mettre les morceaux dans la poubelle. Elle continue à s’excuse sans jamais croiser mon regard.
– Tu l’as fait exprès ! Tu as jeté ce verre par terre pour faire l’intéressante !
– Non monsieur ce n’est pas vrai, je n’oserais pas casser votre vaisselle, c’est un accident, je vous rembourserais je le jure !
– Tu vas me rembourser… Tu penses vraiment que tu vas t’en tirer aussi facilement ? Tu mérites une punition.
– Je vous jure que je vous rembourserais très vite. Ne me punissez pas je vous en prie.
– Approche et tais-toi !
– …
Je l’att**** par le bras et la tire vers moi. Je reste assis et la fais tourner sur elle même lentement.
– Dis moi tu n’as rien oublié en t’habillant ? Tu te promènes toujours toute nue ?
– Euh… Elle baisse les yeux et se met à rougir.
– Tu es une petite dévergondée maladroite voilà ce que tu es !
Je l’att**** et la fait basculer en travers de mes genoux. Son cul est tout simplement ravissant et semble implorer qu’on le fesse. Elle se débat mais je sens bien qu’elle ne pense pas que ses jours sont en danger. Je lui coince les bras avec une main et j’entreprend de lui administrer une bonne fessée. Elle me supplie d’arrêter, elle jure qu’elle ne recommencera pas, qu’elle fera attention, elle implore mon pardon et pleure en disant que c’est trop douloureux mais à aucun moment elle n’essaye de dégager ses bras de ma main.
Son joli cul est rouge maintenant, sa respiration est saccadée. Je lui lâche les bras et elle les laisse en place. à deux mains j’écarte ses fesses er remarque que sa raie luit. Je passe lentement un doigt et je comprends que ce n’est pas de la sueur qui brille mais plutôt un lubrifiant. Elle frissonne quand mon doigt arrive à sa rondelle. Après mon exploration de la raie de la coquine mon doigt est couvert de lubrifiant et s’enfonce sans le moindre mal dans ce joli cul. Valentine soupire d’aise. Je glisse un deuxième doigt puis un troisième et commence à lui branler le cul sérieusement.
– Tu es vraiment une dévergondée. Tu t’es préparé le cul pour que je puisse plus facilement l’explorer !
– Non monsieur je n’ai rien fait de ce genre.
– Dévergondée et menteuse en plus ! Redresse toi, enlève le tablier et met-toi devant moi !
– Oui monsieur !
Elle est nue devant moi la tête baissée. Ses tétons sont dressés et l’intérieur de ses cuisses est luisant de cyprine. Elle adore ce qui lui arrive..Je passe la main entre ses cuisses, sur sa chatte et je suis frappé par la chaleur de ses lèvres et leur humidité.
Quand je passe la main sur son clitoris elle gémit et ses jambes flageolent un instant.
– Mais tout ça t’excites on dirait, tu n’as pas pris ma fessée comme une punition. Tu as pris ton pied à chaque claque !
– Oh non monsieur ça faisait vraiment mal !
– C’est pour ça que tu es mouillée comme une chatte en chaleur…
Je me lève et la pousse devant moi jusque dans ma chambre. Arrivés là je la pousse sur le lit. Elle reste exactement dans la position dans laquelle est tombée, les fesses en l’air et les jambes largement ouvertes.
Je me mets à genoux entre ses jambes, baisse mon pantalon et mon caleçon, et place mon gland gonflé contre sa rondelle. J’écarte ses fesses d’une main et m’enfonce sans ménagement en elle. Elle vient à ma rencontre en gémissant de plaisir. Je la saisis par les hanches et l’encule vigoureusement en lui donnant de grands coups à la rencontre desquels elle se presse systématiquement. Au bout de dix minutes je me retire et jouis copieusement sur son cul offert.
– Tu vois petite vicieuse la prochaine fois que tu veux du sexe dis-le au lieu de casser la vaisselle. Je suis toujours prêt à te baiser. Tu es trop excitante !
-Merci monsieur !
Ajouter un commentaire