Coucou c’est votre grosse chienns, me revoilà pour vous raconter une autre de mes histoires coquines ! Et, après avoir maté ce joli couple, cachée derrière une fenêtre, il était temps que je vous raconte une aventure dont je suis l’héroïne principale ! Ca s’est passé y a pas si longtemps que cela. Je suis en couple avec Eric ; mon gentil chéri. Et même s’il m’arrive souvent de le tromper car j’aime bien pouvoir tester plusieurs queues, je reviens toujours à la sienne car il sait me faire grimper aux rideaux. Ce matin, j’avais été vilaine car j’étais allé voir mon pote de promo, un petit plan Q avec qui je m’amuse entre deux cours. Nous étions allés dans sa garçonnière et durant une heure, il m’avait bien limé la chatte, après que je l’ai sucé durant une vingtaine de minutes…j’aime tellement ça, sucer, que je pourrais le faire durant des heures entières, dommage que les gars aient du mal à se retenir de jouir lol ! Donc petite baise sympa avant de revenir bosser, il avait éjaculé dans mon minou et du coup je sentais son petit jus en moi qui coulait dans ma culotte alors que j’étais en train de suivre le cours, je le regardais en souriant, lui faisant signe que la prochaine fois, c’est sa queue qui coulerait dans son caleçon !
Donc le soir, arrivée chez moi, je m’en voulais un peu en arrivant car je voyais qu’Eric m’avait préparé une jolie table romantique ; alors que moi j’avais été bien salope avec lui. Comment faire ? Je décidais de me faire pardonner immédiatement. A peine entrée, je le faisais s’asseoir sur notre canapé et je lui retirais son pantalon, puis son boxer et je dévoilais son bel engin, son membre déjà un peu dur et gonflé. Il était ravi d’une telle attention, ne sachant pas que je faisais ça non seulement car j’aimais pomper, mais aussi pour m’excuser. Je faisais donc durer son plaisir en léchouillant son gland, du bout de ma langue, tout en le regardant en souriant. Puis je le gobais, plusieurs fois d’affilée, pour l’humidifier, tout en le branlant doucement. Puis, toujours en gardant le meilleur pour la fin, je fis glisser ma langue le long de sa hampe, plusieurs fois avant d’aller la nicher entre ses deux testicules ; puis je les léchais, lentement, donnant de grands coups de langue comme une chienne ; tout en lui branlant la queue lentement. Eric était aux anges ! Puis n’en pouvant plus de le voir se tortiller, je lui avalais la pine cette fois ci directement, le suçant le pompant et salivant sur son sexe comme la salope que je peux être ; il se mit à gémir de plus en plus fort, comme chaque fois, et c’est toujours le signe qu’il peut jouir à n’importe quel moment. Mais moi j’avais envie d’un peu de sexe avec lui. Problème, impossible de le faire aller dans mon minou car j’avais encore des traces de sperme de ce matin, ça marquait mal….
Heureusement mon chéri sait que j’aime une chose plus que tout, c’est de me faire enculer, et ça arrive pas si souvent que ça. J’ai donc léché mes doigts et tout en le pompant, j’ai commencé à doigter mon petit cul, sous le regard intéressé de mon chéri qui savait où je voulais en venir, et qui sait aussi que l’étroitesse de mon anus est un véritable délice. Après quelques minutes d’introduction de deux doigts, il était prêt ! Je me suis donc retournée, après avoir lâché la queue bien raide de mon homme, et je me suis allongé tête vers le sol, cul bien dressé en l’air en le remuant lentement.
« allez mon chéri viens te vider les couilles dans mon trou du cul »
L’invitation était lancée. Eric ne s’est pas fait prier et il s’est redressé, mouillant un peu son gland avec de la salive. Puis il s’est placé au-dessus de moi, heureusement pour moi sans passer par la case chatte, il a présenté sa queue devant mon petit trou et tout naturellement il a inséré son gros gland, avalé tout doucement par mon anus dilaté. Il sait que dans ces moments-là, il entre lentement sa pine, histoire que le trou s’agrandisse doucement, avant de commencer les vas et vient, sinon il me déchirerait. Il avança alors, centimètres par centimètres dans mon trou de balle, avant de taper ses couilles dans mes fesses, je poussai un cri de plaisir car il l’avait enfin mise entière. Puis il commença doucement à m’enculer, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Il était au-dessus de moi donc il avait toute l’amplitude nécessaire pour bien me sodomiser. Mon cul s’écartait et il alla de plus en plus rapidement, mon trou devenait béant et il la sortait presque en entier avant de la replonger dans mon trou, je criais de plus en plus et le plaisir anal est vraiment très différent, il mit alors ses deux mains sur mon cul, et m’encula avec force, s’appuyant vraiment contre moi pour m’enculer jusqu’à la garde ; je ne mis pas longtemps à jouir et je criais vraiment, sans pouvoir m’arrêter, tant l’orgasme fut long et profond, il ne semblait pas vouloir s’arrêter. Eric continuait à me ramoner le conduit et ne semblait pas vouloir juter, j’en prenais plein le cul et j’allais pas pouvoir m’asseoir de deux jours, je voyais le foutre de ce matin qui perlait de ma chatte, heureusement Eric ne voyait rien ! Il me baisa ainsi pendant de longues minutes puis il me dit qu’il allait juter dans mon cul et je lui dis deux trois paroles salasses pour le motiver ; il jouit alors dans mon cul er déversa son foutre sans ressortir, je sentis la giclée au fond de mon anus et je tombai sur le sol, raide défoncée. Je me relevais tout de même pour aller aux toilettes, me tenant la chatte et le cul car ça coulait des deux trous, j’avais été baisé comme une chienne deux fois, et je ne regrettais pas mon mode de vie !
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