Dimanche 19 juillet 2015,
Je termine ma séance de footing habituelle par quelques séries de pompes et abdos sur la terrasse face au jardin. Comme il fait chaud, je me met torse nu puis je poursuis mon activité.
La proprio de cette maison vit au 1er étage (indépendant du rdc que j’occupe). Elle est entrain de jardiner. Je ne l’ai pas encore vue aujourd’hui.
Elle marche à présent dans ma direction et me salut affectueusement en me faisant deux bises.
Suite au suicide de son mari il y a 3 ans, je suis conscient qu’elle a traversé une période difficile. Elle commence doucement à retrouver gout à la vie, elle a meilleur mine et semble heureuse.
Je la complimente concernant son état de forme du moment… , cela semble lui faire plaisir et nous entamons une discussion en étant appuyé sur le muret qui délimite le jardin.
J’entends les cloches de l’église du village qui raisonne. Il est 20h.
Le soleil est encore présent, mais juste agréable.
C’est une de ces journées d’été dont je souhaiterais qu’elle soit sans fin.
Une légère brise me caresse la nuque et fait onduler avec grâce la chevelure blonde foncée de mon interlocutrice, révélant de ce fait, son cou ainsi que ses épaules façonnées par des années de pratiques de la natation.
Il n’y a rien à dire, c’est une belle femme de 41 ans.
Elle est vêtue d’une salopette qu’elle semble avoir découpée elle même de façon à obtenir un short qui s’arrête une main avant ses genoux. Sous cette salopette bleu, un débardeur blanc moule sa poitrine délicate.
Je m’aperçois petit à petit que plus elle rit lors notre discussion, plus je la trouve belle.
Son visage s’illumine, les pupilles dilatées de ses yeux marrons me transpercent lorsque nos regards se croisent et cette bouche qui exécute toutes ces mimiques qui la rendent si craquante…
Elle n’est pas douée en informatique et il n’est pas rare qu’elle me sollicite lorsqu’une mise à jour doit être faite ou lorsqu’elle rencontre un problème informatique qu’elle ne parvient pas à résoudre seule.
Cette fois-ci, suite au passage de son pc de Windows 8 à 10, elle ne parvient plus à retrouver certaines fonctionnalités et me demande mon aide pour lui expliquer rapidement comment sa marche.
Je lui explique que je suis disponible de suite, car je me rend chez des amies dans 1h30 environs.
Elle se déchausse et accroche sa salopette de jardin derrière la porte d’entrée de la maison.
Elle est a présent en débardeur blanc et mini-short de sport noir.
Je fais exprès de prendre mon temps lorsque j’enlève mes chaussures, de cette façon, c’est elle qui passe devant pour se rendre en direction de son bureau et j’ai ainsi une vue exquise : Son pat aérien sublime un cul ténu, ferme, surplombé par des hanches insouciantes légèrement cambrées, qui se balancent au rythme de ses pieds, minions décorés d’un verni rouge qui rend ses orteils aguicheurs.
Elle se penche pour allumer l’unité centrale puis nous attendons en silence le démarrage de l’ordinateur. Elle est assise, je suis debout à coté d’elle car il n’y a qu’une seul chaise dans son bureau. Il fait frais à l’intérieur de la maison, les murs de cette ferme rénovée son épais, en pierre…
J’aperçois du fait du changement de température sans doute, ses tétons qui se sont redressés et qui pointent fièrement contre son débardeur.
Je n’ai jamais vu Anne porter de soutiens gorge, avec le temps je pensais m’y être habitué, mais aujourd’hui je rencontre des difficultés à regarder ailleurs.
Je ne souhaite pas l’embarrasser ou avoir un comportement inapproprié avec elle… Je me concentre donc sur son ordinateur qui est maintenant allumé et j’entame des explications…
pour que l’échange soit plus agréable pour moi, je m’agenouille au niveau de la table et me rapproche de Anne afin d’accéder au clavier et à la souris. Nos peaux se frôlent, et je suis assez proche pour sentir son parfum. Pendant qu’elle essaye de reproduire les manipulations que je lui montre, j’ai le temps de la regarder… et mes yeux vont furtivement de ses jambes à ses pieds, de sa bouche à ses seins et son odeur qui m’envahis et cette proximité qui me trouble.
Elle semble n’être préoccupée que par son ordinateur, je fais l’effort de me ressaisir.
A la fin du mini tutoriel, je me relève pour partir et me rend compte soudain que mon sexe est aussi dure que la table de son bureau.
Je suis torse nu, par conséquent, impossible de cacher la bosse architecturale provoquée par mon organe sur mon short de course à pied, de plus, elle est assise et lorsque je suis debout, sa tête arrive à peu près au même niveau que mon entre jambe…
Comme elle est entrain de fermée les différentes applications de l’ordi, j’en profite pour me tourner rapidement vers la porte de sortie de son bureau, puis elle me suit en direction de la porte d’entrée en me remerciant avec insistance. Je suis extrêmement gêné par la situation. Je me demande si elle a eut le temps de remarquer quelque chose? et ce qu’il se passera lorsque je me tournerai vers elle pour lui dire au revoir… car mes ardeurs ne se calment pas…
Comme a son habitude, elle passe un bras, puis l’autre au dessus de mes épaules à fin d’initier un « big hug » et se rapproche, se blottie contre mon corps le temps d’un câlin amical en guise de remerciement et d’au revoir.
Si elle n’avait rien remarqué jusqu’à présent, maintenant c’est fait. Un « Oh! » de surprise s’échappe de sa bouche et elle recule de plusieurs pat en regardant en direction de mes parties intimes. Les yeux écarquillés, les deux mains sur la bouche, elle fixe la silhouette de mon sexe puis me regarde dans les yeux puis revient sur mon sexe… et enfin fini par me tourner le dos en s’exclamant « au mon dieu! »
Je m’excuse vivement puis je pars précipitamment, ne sachant pas quoi faire d’autre, envahis par la honte…
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