J’ouvre les yeux dans l’obscurité, regarde le réveil…9h15. Je tente de me rendormir, en vain. Je me lève sans faire de bruit pour éviter de réveiller Annabelle, qui dort encore paisiblement. Je vais aux toilettes pour pisser un coup et je passe en cuisine. J’ouvre le frigo, prends la bouteille de jus d’orange bien frais et je m’en sers un grand verre que j’avale d’une traite. Puis je prépare le petit déjeuner, mets le tout sur un plateau et je l’apporte à ma chérie. Je rentre discrètement dans la chambre, dépose le plateau sur sa table de chevet et ouvre le volet en lui parlant à voix basse:
– On se réveille, le petit déjeuner est servi.
Annabelle s’éveille lentement et s’étire dans le lit. L’odeur du pain grillé lui chatouille les narines:
– Tu as préparé mon petit dèj? C’est trop gentil, ça sent super bon.
Elle se redresse, s’adosse contre la tête de lit, ôte la couette avant de poser le plateau sur ses genoux. Je m’assoie sur le lit en face d’elle et la regarde savourer ses tartines de nutella dans sa mignonne nuisette blanche. Lorsqu’elle finit de manger, »Anna » repose le plateau et me réclame un gros câlin en tendant ses bras vers moi. Je me faufile contre elle et l’embrasse passionnément. Pendant que nos langues tournent en boucle, ma main s’engage sous sa nuisette et caresse sa hanche, sa fesse, sa cuisse. Cette petite polissonne s’aventure ensuite entre ses cuisses pour vérifier l’humidité de sa minette. Le diagnostic est formel, elle est excitée. De la pulpe des doigts, je cajole son clitoris et ses lèvres. Sa respiration s’accélère. Mon majeur s’engouffre lentement dans son vagin et démarre des aller-retour qui lui sortent ses premiers gémissements. Alors que je m’applique à la doigter en douceur pour que son désir monte crescendo, je sens mon sexe grossir de plus en plus. J’ai envie d’elle, je veux la faire jouir.
– Attends une seconde, tu me donnes chaud.
Je libère ma main de son entrejambe pour la laisser retirer sa nuisette. Annabelle s’allonge plus confortablement et me demande de revenir sur elle. Je me lève et retire mon boxer en contemplant son corps entièrement nu. Je m’allonge à côté d’elle, l’embrasse à nouveau en malaxant son sein, caressant son ventre, son pubis. Elle m’embrasse dans le cou, alors que ma main retrouve le chemin de son intimité. Index et majeur forment un duo qui enchante ma compagne. Elle murmure son plaisir au creux de mon oreille, son souffle chaud se diffuse contre ma nuque. J’accélère le tempo en faisant tourner mes deux doigts dans son antre humide, elle halète rapidement, sa main s’empare de mes bourses qu’elle malaxe affectueusement avant de se saisir de ma tige à la base pour me branler délicatement. On se fait du bien mutuellement en se roulant des pelles.
– Allonge-toi sur le dos, me dit-elle.
J’obéis, ma charmante partenaire se met sur moi à l’envers et me présente sa minette. Nous nous lançons dans un 69, la meilleure position pour un plaisir partagé. Je pose mes mains sur ses fesses et commence à laper ses trésors pendant qu’elle s’amuse avec la pointe de sa langue sur mon gland. Elle tourne autour, chatouille mon urètre, puis m’aspire avec volupté.
– Il n’y a rien de mieux qu’un bon 69 pour commencer la journée, tu ne trouves pas?
– C’est clair, faudrait qu tu me réveilles comme ça tous les matins, déclare-t-elle avant de me reprendre en bouche.
Je savoure son nectar, je lèche ses plis, aspire ses lèvres, suce son bouton rose, pendant qu’elle me lèche de haut en bas et de droite à gauche. Par moment, j’insère un ou deux doigts, qui la font gémir. Cela l’excite, elle me pompe vigoureusement en cajolant mes boules.
– Hum, c’est trop bon ma chérie, j’adore.
– Glurp, glurp, j’adore ta bite, je pourrais la sucer toute la journée.
– Slurp, slurp, t’auras plus de mâchoire, en continuant de fourrer ma langue dans son vagin.
Elle rigole, puis me branle en bisoutant mes adducteurs avant de lécher mes couilles.
Je râle de plaisir.
– Hum oui, vas-y bouffe-moi les couilles j’adore ça.
»Anna » ne se fait pas prier et me gobe les boules généreusement en continuant de m’astiquer. Sous l’excitation, je tente une nouvelle approche vers son petit trou. J’écarte ses fesses et lèche toute sa raie. Elle a un mouvement de recul.
– Non pas là.
– Allez pour une fois, c’est pas si désagréable que ça.
– Ok, mais juste langue.
Elle se déride enfin de ce côté et c’est avec un réel plaisir que je me délecte de son anus. Puis je reviens sur son clitoris et m’y attarde longuement. Je le suce, le lèche, le mordille, l’aspire. Ma compagne se trémousse en jouissant de plus en plus fort. Soudain, elle lâche ma queue et part dans un orgasme du tonnerre. Elle tremble et son minou dégouline dans ma bouche. Mon nez, mes lèvres, mon menton, tout le bas de mon visage est recouvert de cyprine. Fier de lui avoir permis d’atteindre les étoiles, je lui sors:
– Tu vois que j’ai bien fait de te lécher derrière, ça t’as stimulé encore plus.
– Mais non, c’est simplement parce que tu t’es bien occupé de mon clito.
Elle n’ose pas me l’avouer, mais je sais bien qu’elle a kiffé.
– Bon, maintenant que tu as joui, tu vas peut-être finir le travail non?
– Et si je ne veux pas, dit-elle pour me narguer.
– Tu n’auras plus le droit au réveil câlin.
– Si tu me prends par les sentiments…
Elle se penche à nouveau et poursuit sa sucette énergiquement. Je vibre en sentant sa langue valser sur mon noeud. Je reprends également du service en la broutant jusqu’à ce que dans un grognement d’homme des cavernes, j’explose au fond de sa gorge.
Nous sommes samedi, après notre 69 endiablé, nous restons au lit entièrement nus. Nous regardons la télé, nous n’avons rien de prévu dans la journée. Soudain Annabelle déclare:
– Ils sont vraiment nuls les programmes le samedi, tu ne veux pas qu’on bouge?
– Quand maintenant?
– Ouais pourquoi pas?
– J’avais plutôt dans l’idée de rester là faire des câlins toute la journée.
– C’est très tentant, mais regarde, il fait super beau, on pourrait aller se balader un peu et faire des câlins en extérieur.
– Hum, là tu m’intéresses.
– On pourrait aller dans le bois comme la dernière fois.
– Non, je vais t’amener dans un endroit plus sympa.
Nous prenons la voiture et roulons un bon quart d’heure. Je me gare sur le parking et nous continuons à pied. Après vingt minutes de marche où nous avons traversé un bois, puis un champ, nous arrivons à destination. Une toute petite clairière où s’écoule un petit ruisseau.
Ma petite amie est conquise par ce petit coin de paradis.
– C’est vraiment très beau.
– Il n’y a pas plus calme et tranquille.
– Je parie que je ne suis pas la première que tu emmènes ici.
– C’est vrai, je suis déjà venu avec une ex.
– Qui ça?
Pendant que j’installe une couverture à l’ombre d’un châtaigner, je lui explique les faits.
– Elle s’appelait Sophie, une copine du collège que j’ai retrouvé des années plus tard. Nous avions passé un bon moment ici. (
).
– Vas-y raconte.
Assis parterre, je commence à lui donner les détails de mes ébats.
– Hum excitant tout ça, ça me donne envie.
Alors que je relate mon aventure avec Sophie, Annabelle soulève sa jupe, retire son string et commence à se caresser devant moi, cuisses grandes ouvertes. Elle écoute mon récit avec attention en cajolant son bulbe d’amour. Elle mouille de plus en plus, ses doigts scintillent de cyprine. Elle m’excite, j’ai dû mal à me concentrer sur mon histoire. Elle retire tous ses vêtements un par un, puis reprend sa masturbation délirante. Je bande terriblement et pendant que je termine mon histoire, je contemple son corps, ses seins aux tétons érigés et ses doigts poisseux qui pourfendent son sexe.
– Ca t’a plu on dirait…
– Oh oui, j’ai envie de faire des folies, déshabille-toi, je veux te voir te branler.
Je me lève et me déshabille lentement pour la faire languir. Je vois dans son regard qu’elle est impatiente de voir ma colonne de chaire.
J’ôte mon boxer et lui montre ma queue toute raide. Elle jubile en se frottant rapidement les petites lèvres. Je l’ai rarement vu dans cet état.
Je me pose en face d’elle, jambes écartées, nos plantes de pieds collées les unes contre les autres. Je saisis mon sexe et me masturbe en l’observant faire de-même.
Pendant plusieurs minutes, nous nous amusons dans ce paysage verdoyant sans aucune civilisation, mise a part nos deux corps bouillonnants de désir. »Anna » gémit de plus en plus fort.
– Oh oui, oh c’est trop bon, oh oui, putain je vais pisser.
– Sérieux? Vas-y, je te regarde, dis-je en me rappelant de notre discussion que nous avions eu au chalet pendant les vacances.
L’urophilie, c’est son fantasme et c’est aujourd’hui qu’elle veut essayer. Annabelle recule de quelques pas, s’accroupie, écarte ses lèvres à l’aide de son index et de son majeur et se met à pisser devant moi sans aucune gêne. Le débit est puissant, provoquant de la mousse sur l’herbe sèche. Elle se pétrit un sein en regardant son jet d’urine qui éclabousse le sol. Elle me sourit, fière de ce qu’elle réalise, je m’astique toujours le poireaux et perçois son plaisir ainsi que son soulagement. Alors que sa chatte évacue les dernières gouttes de pipi, la cochonne y plonge trois doigts et se branle frénétiquement. L’oeil pervers, elle m’annonce:
– Je suis trop excitée, viens, je veux te sucer.
Sans hésitation, je me lève et me mets debout devant elle. Ma partenaire pose ses deux mains sur mes hanches et m’avale d’un coup. Sa tête dodeline à vitesse grand V. Je râle, je grogne, elle est incroyable, presque hystérique. Elle prend ma bite en main et la tapote fermement sur sa langue et la reprend en bouche jusqu’au fond de sa gorge. Elle la ressort, me branle fort et m’interroge.
– Tu n’as pas envie de pisser?
– Si un peu.
– Je veux que tu me pisses dessus.
Je tiens mon sexe en érection et le dirige vers ses seins. Je force un peu en contractant les muscles de la vessie, les premières gouttes s’échappent, je pousse encore et le liquide doré percute le corps devant moi. Je n’ose pas lui asperger le visage, je vise ses seins et son ventre. Annabelle est ravie.
– Hum c’est bon, c’est chaud…
Elle tend les paumes de ses deux mains sous mon jet pour recevoir ma miction, elle rayonne de bonheur. J’avoue que cela me plait plus que je ne l’imaginais, je n’ai jamais eu ce délire en tête, mais dans l’euphorie du moment, cela m’excite assez, enfin c’est surtout »Anna » qui m’excite. Elle est déchaînée et se lâche complètement. Le flot s’estompe, elle se jette à nouveau sur ma tige qu’elle suce goulûment. Le goût et l’odeur ne semble la déranger. La sensation de chaleur si particulière monte en moi, je sens que je vais jouir. Annabelle, métamorphosée en véritable salope, le ressent aussi et m’ordonne avec un ton stricte:
– Vas-y, mets en moi plein la gueule!!!
Je pose ma main entre son front et ses cheveux et je lui badigeonne le visage de foutre tiède en bramant tel un cerf en rut.
La moitié de la figure recouverte de sperme, Annabelle me sourit.
– C’était trop bien, j’ai adoré, je n’ai jamais été aussi excitée, faudra qu’on recommence.
– Nous avons tout le week-end, on aura l’occasion.
Par la suite, Annabelle est partie se nettoyer dans le ruisseau, nous avons fait une petite sieste sous le châtaigner, puis nous avons fait l’amour plus conformément cette fois-ci.
Pendant le trajet retour, Annabelle n’arrête pas de parler et de gesticuler, son excitation n’est pas redescendue. En la voyant aussi galvanisée, je me dis que la soirée risque d’être très mouvementée.
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