Depuis que je me suis installée dans ma maison, je n’arrête pas de fantasmer sur Marc. Marc, c’est mon voisin d’en face. Un beau brun, aux yeux verts, grand, très séduisant, au moins 20 ans de plus que moi et récemment divorcé. Tous les matins, je bouscule mes petits rituels pour l’observer sortir de sa douche, le corps ruisselant, sa serviette ne cachant pas grand-chose à mon regard plein d’envies. Nous avions rarement discuté, et, au départ, je me contentais de jouer la mateuse discrète. Mais rapidement, la situation ne fut plus tenable. Je rêvais de lui chaque nuit, le souvenir de son torse nu me faisait brûler de l’intérieur, mes plaisirs solitaires lui étaient entièrement dédiés.
Une nuit que je rentrais d’une soirée particulièrement arrosée, je vis par la fenêtre de ma chambre que Marc n’était pas couché. Au lieu de fermer mes volets et d’aller tranquillement me coucher, je suis restée debout, à l’observer. Soudain, j’ai commencé à enlever mes vêtements. Sans être d’une nature pudique, je ne suis pas non plus une exhibitionniste et il était évident que Marc ne pourrait pas manquer mon striptease improvisé de sa fenêtre. Je pris un air dégagé, faisant mine de ne pas l’avoir remarqué. Mais le jeu était tentant, et mes mouvements se sont faits plus sensuels, mes mains caressant ma poitrine, mes hanches en même temps que j’enlevais ma petite robe noire. J’avais eu la bonne idée, ce soir-là, de ne pas mettre de soutien-gorge. En allant fermer la fenêtre, je n’avais plus sur moi qu’un léger string noir en dentelle.
Les soirs qui suivirent, je ne pris plus la peine de fermer mes volets avant de me déshabiller.
Une semaine après mon premier « striptease », en rentrant d’un dîner, je suis tombée sur Marc. Il m’arrêta.
– « Bonsoir, n’ayez pas peur, vous me reconnaissez ? Je suis Marc, votre voisin. Je me suis dit que vous devriez venir dîner à la maison un soir. C’est idiot, nous sommes voisins et nous nous connaissons à peine… »
J’acceptais son invitation avec le sourire, consciente que mes déshabillages nocturnes n’étaient pas pour rien dans cette invitation.
Le soir du dîner, j’étais bien décidée à sortir le grand jeu. J’optais pour une robe moulante rouge foncé, légèrement décolletée, et un ensemble rouge et noir en satin pour les sous-vêtements. Marc ne cacha pas son plaisir en me voyant arriver ainsi vêtue. Le dîner fut exquis. Le contact passait bien avec Marc. Au fur et à mesure que la soirée avancée, la conversation devint plus intime. Sur le canapé, il se tenait très proche de moi, murmurant parfois dans mon oreille, passant discrètement ses mains sur mes hanches ou effleurant mes seins. Il voulut en connaître plus sur ma vie, et surtout sur mes aventures. Il me demanda si j’avais un fantasme.
– « J’ai toujours rêvé de coucher avec un homme plus mûr. »
Il sourit, et me demanda si j’aimais danser puis mit de la musique. Ses mains agrippèrent d’abord mes hanches, me collant contre son corps. Je sentais son sexe à travers son pantalon ce qui fit tout de suite monter la température. Il vit que je l’avais senti, et déplaça ses mains sur mes fesses. Il les caressa, puis les massa avec passion. Je sentis ma poitrine se durcir, mon string était tout mouillé. Il se pencha vers mon oreille :
– « J’ai très envie de toi ».
Il m’embrassa. Ses lèvres étaient tendres, épaisses, son baiser était d’une extrême sensualité. Je vis qu’il regardait mes seins, avide de les toucher. Je fis descendre ma robe, de façon à ce qu’il puisse les admirer. Son regard s’enflamma et il fit descendre ses lèvres sur mes tétons. La sensation de sa langue était sans pareille. Je gémissais déjà de plus en plus fort. En même temps qu’il passa sa main sous mon string, son regard se fit a****l. J’étais sa proie et je sentais que j’allais connaître une nuit de baise sauvage.
J’enlevai son pantalon, et me mis aussitôt à genoux devant lui. Son sexe était épais, très tendu. Je commençais par lécher son membre de bas en haut, sans oublier ses testicules. Puis je mis son gland dans ma bouche, faisant rouler ma langue dans tous les sens. Il m’agrippa la tête en même temps. Je l’entendais gémir, parfois murmurer quelques mots salaces. Je pris son sexe en entier dans ma bouche ce qui le fit gémir d’autant plus fort. En même temps que ma bouche faisait des va et vients sur son sexe, je le regardais droit dans les yeux, Il avait le sourire d’un prédateur, ce qui redoubla mon excitation.
– « Doigte-toi en même temps que tu me suces. »
Je m’exécutais. Je passais ensuite un doigt à ma bouche, le suçant doucement, ce qui le rendit fou d’excitation. Il m’allongea sur la table et écarta mes cuisses. Il s’approcha lentement de ma chatte de telle façon que je sentis son souffle avant sa langue, ce qui me fit frissonner. Il fit mine d’hésiter un moment, afin de faire monter mon excitation, ne faisant qu’effleurer mon clitoris.
– « Tu en as envie hein ? »
– « Lèche-moi ! »
– « C’est tout ? Mets y un peu plus de passion s’il te plaît, montre-moi à quel point tu en as envie. J’aime bien les choses que tu fais avec tes doigts. » me dit-il avec un sourire pervers.
Je fis glisser mes doigts entre mes cuisses, m’attardant le rebord des lèvres. Marc ne bougeait plus, admirant le spectacle. Quelques grognements lui échappaient : « Oui vas-y continue, hmmm oui vas-y ». Je mis ensuite un doigt dans ma bouche, le léchant puis suçant longuement, malaxant ma poitrine en même temps. Je sentis qu’il se retint pour ne pas me pénétrer directement. Il me lécha comme personne, me donnant un premier orgasme.
Il s’assit un instant sur le canapé, histoire de reprendre son souffle. Mais je ne lui en laissais pas le temps. Je me mis à califourchon sur lui, empoignant son sexe. En même temps que je me frottais la chatte contre son gland, il me malaxait la poitrine.
– « Tu as des seins magnifiques, des seins de petite jeune…les meilleures à baiser. Hmmm tu vas voir comment je vais te faire jouir.»
Il m’allongea, et me pénétra très doucement. Puis ses coups de reins se firent plus rapides. J’admirais son corps en train de me prendre aussi sauvagement, je regardais sa bite bien dure faire aller et venir en moi. J’aimais sentir son membre me défonçait la chatte, je gémissais comme une chienne, jamais je n’avais baisé d’une façon aussi a****le. D’un coup, il me retourne à quatre pattes pour me prendre en levrette. Cette fois ci, il me pénètre brutalement.
– « Hmmm j’aime ta petite chatte bien serrée. »
J’avais envie de lui répondre que j’aimais sa belle bite bien épaisse mais il m’était impossible de parler. Il se tenait droit et me tenait par les hanches, admirant mes fesses. Il me donna une fessée.
– « C’est comme ça qu’on traite les petites cochonnes dans ton genre. Tu crois que je ne t’ai pas vu te déshabiller à ta fenêtre ? Tu me faisais bander comme un taureau. »
Mon plaisir ne cessait de croitre, et il me donna un second orgasme. Je me mis ensuite à califourchon sur lui, m’empalant allégrement sur sa bite. Quand je sentis qu’il allait venir, je me suis retirée et suis descendue entre ses jambes pour qu’il finisse dans ma bouche. Ses gémissements me procuraient beaucoup de plaisir et de satisfaction. Le sprem dégoulinait le long de mon cou et une goutte alla même jusqu’à mon sein. Il s’en approcha lentement et la lécha.
Je suis rentrée chez moi le lendemain en fin d’après-midi. Avant d’aller me coucher, je me suis déshabillée à ma fenêtre. Visiblement, il n’attendait que ça.
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