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le chantage des tourmenteurs (partie 1)

le chantage des tourmenteurs (partie 1)



C’est l’histoire de trois frères , issus d’une famille aisée, le père doué en affaire à réussi a monter une société d’avocats devenue incontournable pour le monde de la bourgeoisie.

Leur mère une grande brune, préférant jouer le rôle de mère au foyer , c’est vouée une passion dans la collection de bas couture et de talons haut sexy, ne portant que ça toute la journée sous l’œil pervers des frangins en qui le fétichiste des pieds se développa.

Malheureusement le père décéda dans un accident de voiture, laissant une immense fortune à ses trois enfants, celle ci gérer par un associé désigné par le biais d’un testament, choisi par le père il était honnête et peu intéressé par le pouvoir et l’argent et veilla que les affaires tournent bien pour que la famille du défunt ne manque de rien.

Mathilde la mère des 3 gosses entrepris d’embaucher une bonne, elle en parla à ses fils qui approuvèrent l’idée, les frangins se mirent d’accord en secret sur le fait qu’elle devait avoir de beaux pieds.

L’annonce fut lancé, les prétendantes au poste défilent mais ne plus pas au frangins, et, il y eu cette rouquine, cheveux mi-long, yeux clairs la trentaine, une forte poitrine et de belle jambes gainées de nylons, ses pieds semblaient parfait à en juger le vernis impec qui dépasse de ses talons ouverts, les frères furent conquis leur mère aussi, ainsi Gilda la soubrette fit son entrée dans la famille Duchenere.

Eddy le premier né, avait plus de courage que les deux autres, il engrainait ses frangins a matter les pieds de leurs mère, tout en leur soufflant des idées pervers, ,souhaitant plus que tout ce faire cette jolie paire de pieds gainés en bas couture qui se pavanait sous ses yeux, il avait faim et ses frangins aussi, il prit contact avec l’ami et gestionnaire de la fortune familiale savoir si il pouvait obtenir de l’argent, son but etait de s’offrir une escorte pour satisfaire ses besoins.

Ils se donne rendez vous dans un restaurant, ils discutèrent du passé, du présent et plaça dans la discussion qu’il aurait aimer avoir de l’argent de poche pour agrémenté ses sorties, l’avocat honnête ne voyant aucun mal a cela lui explique que sa fortune lui appartenait sur testament de son père et qu’il suffisait de demander à sa mère qui n’a aucun droit de lui refuser tel requête vu que c’est son argent.
Eddy compris tous cela rapidement et de sombres dessins lui vinrent en tete, le repas finit ils se dirent au revoir.

Une fois a la maison Eddy convoqua ses frangins et leurs expliqua la situation et leur demanda de lui faire confiance il avait peut être le moyen d’avoir les pieds de leurs mère pour assouvir leurs fantasmes, c’est juste une question de temps maintenant.

Le lendemain matin, en ce samedi, Eddy appercu sa mère en louboutins et bas coutures noirs, il ne put s’empêcher de la complimenter sur son style vestimentaire:

« Bonjour maman, je trouve que ces talons te vont a ravir et j’adore tes bas, tres sexy je trouve, ca te fait des jambes superbes et des pieds a croquer »

Mathilde fut choquer d’une telle annonce.

-« Bah que t’arrive t’il ? et depuis quand tu trouves que j’ai des pieds a croquer, comme tu dit si bien? »
-« Depuis longtemps je le pense et ce matin j’ai le courage de te le dire ,voila  »
-« Ha tient c’est nouveau et tu as d’autres chose a me dire vu que tu as l’air si courageux ? » fit elle d’un sourire
-« Si tu veux tous savoir j’ai rencontrer le meilleur ami de papa dernièrement, et il m’a fait comprendre qu’en fait si tu avait de si jolis talons et nylons c’était grâce à l’héritage que papa à léguer à mes frangins et moi, et que bien que je trouve tes pieds plus qu’attirant dans ses tenues je trouve dommage de ne pas pouvoir en profiter… »
-« Attend tu entend quoi par , en profiter? »
Eddy prit un air sérieux et déterminer, ce regard que Mathilde connaissait bien de part son défunt mari , quand il avait une idée en tête et ne lâchera rien..

-« j’entends par en profiter que j’aimerai beaucoup m’occuper de tes pieds en privé si tu voix ce que je veux dire, ça fait très longtemps que ça me démange et aujourd’hui j’ai décidé de t’en parler… »

-« Mais je rêve, ou ça prend un air de chantage? »

-« Prend le comme tu veux, si tu veux pouvoir continuer à dépenser mon fric il vas falloir être sympa avec moi, je veux que tes pieds a toi de décider »

-« sale petit con, tu mériterait que je te mette une baffe et … »

-« Et rien du tout tu as jusqu’à ce soir pour prendre une décision ou finit la carte bancaire puisque tu le prend comme ça »

Sur ces mots Eddy lui tourna le dos, la laissant là, complètement abasourdit par la situation, elle c’était faite a ce train de vie luxueuse et ne pouvait s’en défaire, elle le savait, un mot de sa part et fini les dépenses en boutique, voir la belle maison et tout ce qui va avec.

Elle se doutait qu’il était fétichiste, elle voyait son regard virant sur ses talons autant que faire ce peux, elle c’est toujours demander si un jour il tenterait quelques chose pour ca, bah voila c’est fait.
Elle ne s’attendait pas que cela ce passe comme ça, mais reconnu qu’il tenait de son pere qui ne reculait devant rien pour obtenir ce qu’il voulait, et donc elle se dit qu’elle n’avait d’autre choix que d’accepter sa demande.

Pendant ce temps Eddy raconta a ses frangins ce qu’il c’était passer, il n’en croyait pas leur oreilles et furent excités a l’idée qu’enfin ils pourrait ce jeter sur les pieds de leurs mère, le grand frère leur demanda de faire preuve encore d’un peu de patience pour préparer le terrain car il voulait par dessus tout que chacun d’eux puissent en profiter a leurs guise, suffisait juste de placer le deal par la suite et ce serait régler.

le soir après le repas, la table fut débarrassée , il ne resta que Mathilde et Eddy, les deux frangins complices firent exprès de ce sauver laissant libre champ a leur héros de grand frère.

-« A tu prit une décision ? » demanda t’il sèchement à sa mère
-« tu ne me laisse guerre le choix! » répondit elle
– » tu n’as pas répondu a ma question »
-« oui voila t’es content, je t’autorise a jouer avec mes pieds »
-« non c’est la que tu te trompes, tu ne m’autorise plus rien, je prend, et je les veux dispo quand je le veux et ou je le veux et de la façon qu’il me plait, c’est ça ou rien » fit il le regard noir
-« ok, ok , si tu insistes mes pieds t’appartiennent ça te vas ? »
-oui c’est parfait et maintenant ne bouge pas!

Il se glissa sous la table, complétement surexcité par la situation,avançant a quatre pattes tel un fauve visant sa proie, s’approchant des pieds de sa mère il lui saisis les chevilles, lui ordonne de se laisser faire il la déchausse et se mit à lui lécher les pieds, au début timide , sa langue s’appuyant fortement sur la surface nylonée, laissant trainées de bave et de salive, il en revenait pas lui même…

-« Enfin je vais pouvoir réaliser mon fantasme, depuis le temps que je rêve de cet instant, je vais me régaler » souffla t’il en se dégrafant les bouton de son jean.

Sortant son chibre dégoulinant, Eddy s’essuya le pre-cum sur le long de ses orteils rouge vernis, la vue de cette couleur au travers du nylon le renda completement fou, il enfonca son membre tendu entre les deux pieds de sa mere et commenca a les baisés, expliquant a sa mere de suivre le mouvement, ne pouvant plus reculer elle remua ses pieds docilement.
Il ne tenu pas longtemps, l’envie de gicler dessus lui traversait l’esprit depuis trop longtemps, il prit ses louboutins qu’il posa délicatement sous les pieds tachés de sa mère, et se vida les couilles a l’intérieur de chaque chaussures, sans dire mot, il la rechaussa, savourant chaque secondes de ce spectacle vicieux qu’il avait mit en place, et ressorti de sa planque, retournant s’assoir face a sa mère.

-« Et maintenant je fait quoi ? » demanda t’elle, « je t’avoue que je fatigue et aimerait aller me coucher »
-« très bien vas faire ce que tu as a faire, mais sache que dans la nuit je viendrait surement profiter de tes pieds que tu dormes ou pas! »
-« ok je m’en doutait un peu, a tout a l’heure alors, mais au fait, juste une petite requête s’il te plait, t’évites d’en parler a tes frangins de tout ca ok « 
– » heu comment dire  » fit il
– » attend tu rigole la ?  » dit elle inquiète
-« tu sait bien qu’on est tres lié depuis petit et que, pour dire vrai, nos fantasmes sont casi identiques, ils savent ce que je te preparait et si je voulait etre tranquille il leur fallait bien une part du gateau diront nous! »
– » ha ba si je m’attendait a ca!, fit elle d’un air dépité, et ils comptes s’y prendre comment ?
-« c’est moi qui gère , t’inquiète pas ils en ont qu’après tes pieds aussi, t’as bien vu je ne t’ai pas fait mal, ils en feront de même sinon ils auront a faire a moi »
– » super et moi dans tout ca ? « 
– » toi tu continu de nous régaler avec tes talons sexy et bas coutures que tu achètes avec notre pognons et tout ira pour le mieux »
-« T’es pire que ton père, mais bon, j’ai pas trop le choix alors à tout a l’heure »

sur ces mots elle quitta la pièce et Eddy s’empressa d’aller raconter son aventure à ses frangins…

-« t’es trop fort » dit Thomas
-« je bande déjà a l’idée de lui bouffer ses pieds juteux » reprit Steeve
-« attendont qu’elle aille se coucher et on passent a table  » leurs souffla Eddy

Il est 22h00 Mathilde alla s’allonger, quelques instant plus tard des bruits de pas se firent entendrent au seuil de sa porte, elle compris qu’Eddy était venu se régaler mais a en juger les bruits il n’était pas seul.
Elle laissa une lampe de chevet allumé et se mit sur le ventre, la porte s’ouvrit….

Eddy entra le premier, suivit de ses frères excités a la vue des soles plissés de leur mère, le grand frère se mit a genoux et vient les lui lécher, pris un pieds et offrant l’autre en pâture a ses frangins qui se jetèrent à pleine bouche dessus.

Thomas lui goba le talon pendant que Steeve dégustait les orteils, les pieds de Mathilde furent rapidement luisant de salive, c’est alors que les trois complices alignés, sortirent leurs bites et se frotterent sur les pieds de leurs mère soumises, elle sentit les trois membres gonflés se frotter sur ses soles, Eddy entrepris de se coince la queue entre ses pieds pour se branler avec, sous les yeux de ses frangins qui, tenant chacun une cheville se frottait sur ses plantes, Eddy se mit a grogner, ses frangins lâchant prise comprenant ce qui arrivait, il gicla dessus lui arrosant abondement les plis.
-« tenez ils sont a vous » fit Eddy d’un air satisfait
Et se fut au tour de Thomas, lui eu une idée salace qu’il exposa à son frère;
-« on vas lui limer tous les deux en même temps, regarde! dit il, et se redresse pour enjambés les pieds humides et ainsi tourné se retrouve face a Steeve qu’il invita a se relever également.
Les voila l’un en face de l’autre, Thomas relevant les pieds de sa mère, sentant ses couilles pleines et son gros chibres s’introduire entre les talons, rejoins par Steve qui lui glissa entre ses deux gros orteils.

Thomas donna la cadence, fit remuer les pied de sa mère dans le bon sens, branlant les deux bites baveuses en même temps, sous l’œil attentif d’Eddy.
Steeve fut le premier a vouloir jouir dessus, Thomas s’écartant, le frangin gicla de bonnes doses gluantes et blanchâtres sur les soles de sa mère encore juteux, ce qui excita Thomas qui vin se déverser dans un râle de bonheur sur les soles réclamants leurs doses.

Tous deux étalent le surplus sur la surface plissé avec leur bite, prenant un certain plaisir pervers a faire absorbé leurs jus sur les les pieds de leur mère, et de ce fait ne débandait pas pour autant…

-« he bien mes cochons si je m’attendait à ça de vous! » dit leurs mère, pensant que c’était fini.
-« t’en fait pas c’est que le début » répondit Eddy
Celui ci quitta la pièce laissant ses deux frangins affamés remettre une dose au pieds de sa mere qui n’eut d’autres choix que de se laisser faire.

Steeve et Thomas se plaça a genoux, tenant chacun un pied plaquant leurs queues encore gonflés de désir sur un sole et se mirent a lui limés frénétiquement, les pieds luisant de spermes permettaient une glisse facile, ils finirent par faire cracher leurs queues dessus une fois de plus et la laissant dans cet état ils partirent se coucher sans oublier de lui dire « à demain pour la suite ».

Mathilde prit une serviette pour essuyer ses pieds et s’endormit, honteuse mais résignées, la voila devenues victime des fantasmes de leurs pervers de fils.

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