Nous sommes sur le trajet retour. Émilie me demande d’où sortait le gode avec lequel je l’ai prise hier soir. Merde, comme un idiot je n’avais pas pensé à cette question pourtant évidente.
– Heu… Il est à ta mère.
– T’es con quand tu veux… Tu l’as laissé dans ma chambre ?
– Oui j’ai demandé ta mère de le nettoyer pour notre prochaine venue.
– T’es taré quand même.
– À n’en point douter mon amour… A n’en point douter.
– Envoies lui un message pour la remercier pour la soirée et d’être venu me chercher avec toi. Ça lui fera plaisir.
Je commence mon message de remerciement, très neutre et cordial. Je lui envoie un second message directement, en lui demandant de le supprimer après lecture.
» Pour la confidentialité de ma petite soumise, nous nous écrirons que via nos téléphones pro respectifs. Changez mon nom dans le répertoire. Dans le mien vous êtes dorénavant à [Client BMEP], à savoir belle maman est une pute. A compter d’aujourd’hui, vous n’êtes plus une petite soumise, mais une petite pute soumise, le rythme va changer. »
La semaine se passe. Je ne lui écris pas. Puis le jeudi, un SMS :
– Êtes-vous chez vous samedi ?
– Ta petite pute oui, Philippe non, il repart une semaine.
Ce changement de ton me plaît, elle aime définitivement son statut. Le chantage de dévoiler son infidélité n’est plus.
– Tu viens me rendre visite ?
– Oui mais je ne serai pas seul. Émilie sera là.
– Ah… OK. Je pensais à un autre type de visite.
– Appelez Émilie ce soir, proposez-lui de venir profiter de la piscine. Elle ne dira pas non. Je m’occupe de la convaincre si nécessaire. Dites-lui que vous ne rentrerez que le soir, vous rendez visite à une amie.
– David, je ne comprends pas, je pensais que par soumission tu me demanderais de coucher avec toi. J’accepte que tu me baises. Qu’attends-tu ?
– Étape par étape. Avant la pratique, il y a toujours la théorie. Vous allez me regarder baiser votre fille. Je veux toute votre attention pendant que je baise sa bouche, vous comprendrez enfin d’où vient ce son de gorge indéfinissable… Je veux être sûr que lorsque je vous donnerai ma queue, vous soyez capable de la sucer comme j’aime.
– David, elle va me voir, c’est impossible. Non.
– Vous me sous-estimez, tout comme vous sous-estimez le fait que votre fille est une vraie chienne. Je vous tiens au courant. Appelez Émilie.
Quelques minutes après, comme convenu, Florence appelle sa fille.
– Mon Amour, maman n’est pas là ce week-end, papa non plus. Ça te dit de profiter de la maison ?
Nous entretenons à distance des échanges photos et vidéos avec un autre couple que nous n’avons jamais rencontré. Cela fait un certain temps que nous n’avons rien partagé, je lui propose :
– Oui super. Que penses-tu de faire quelques vidéos pour Florence et Antoine !? [Oui Florence, comme sa mère]
– Pourquoi pas, mais je ne veux pas qu’on voit mon visage tu sais, et impossible de remettre la main sur la cagoule. Puis merde, ce n’est pas une compétition, mais Florence est vraiment une sacrée salope. Faut faire une vidéo de ouf !
– Ahaha, sky is the limit tu sais… Plus tu es chienne plus tu m’excites, à quoi penses-tu ?
– À tout. On leur en met plein les yeux et toi tu me défonces comme jamais.
– OK, alors je m’occupe de tout.
Vous ne pouvez imaginer mon degré d’excitation. Baiser ma copine est toujours un plaisir, mais cette fois ci, ça va être trash et devant sa mère. Je profite d’un moment seul :
– Florence c’est OK pour samedi. Allez acheter un masque en Latex, seulement un trou pour la bouche, Émilie ne doit rien voir. Et un plug anal aussi. Latex noir. Pour le plug faites simple aussi. Rendez-vous au parking Vinci au bout de notre rue.
– OK, j’y vais demain matin.
– Avec vous déjà essayé un Plug anal ou l’anal tout simplement ?
– Je ne sais même pas ce que c’est David… La sodomie oui, avec Alain. Philippe n’aime pas.
– Parfait. Je récupèrerai le masque dans sa boîte, mais le Plug, je veux le sortir moi-même de votre anus. Message reçu ?
Je retourne voir Émilie. Je lui dis que cette fois, nous commencerons la vidéo avec la cagoule dès que l’on aura fermé la porte d’entrée et je filmerai tout. Elle devra suivre mes ordres et jouer à la pute. Je veux qu’elle parle, qu’on l’entende sur la vidéo mais surtout que sa mère l’écoute. Elle m’avoue être déjà très excitée, s’il n’y avait pas le risque d’être vu des voisins en arrivant elle aurai aimé me sucer sur le pas de la porte.
– On n’a jamais baisé ailleurs que dans ma chambre chez mes parents, j’ai hâte.
Comme convenu, vendredi soir, belle maman m’informe qu’elle est garée au 2e sous-sol du parking. Je prétexte une course à faire et descends. Sur le trajet, je ne peux vous cacher ce mélange d’excitation et d’appréhension. Je vais découvrir l’intimité de Florence d’une manière peu conventionnelle. Après tout, c’est bien le but. J’entre dans la voiture. Petit moment de flottement.
– Bonjour, belle maman, vous êtes rayonnante ! ça va ?
– Ça va. Quelle idée de me demander d’aller dans un sex Shop, je n’ai jamais fait ça avant !
– Et le gode que vous avez alors ?
– Je l’ai commandé sur intérêt penses-tu !
– D’ailleurs, vous l’avez nettoyé ? Je ne pourrai pas vous parler facilement quand je serai avec votre fille chez vous alors voilà les consignes. Dans l’entrée je vais déshabiller Émilie, et lui mettre sa cagoule. Pendant ce temps, vous serez assise sur une chaise de la table à manger. Lubrifiant et gode sur la table. Prêt à l’emploi. OK ?
– C’est terriblement dangereux David, si elle s’aperçoit que je suis là, c’est catastrophique !
– vous ne direz pas un mot. Je mettrai de la musique pour cacher une éventuelle respiration ou tout autre bruit. Ne vous parfumez pas, ne portez aucun bijou pouvant faire un bruit en cas de mouvement. Collier ou bracelet.
– Tu as pensé à tout…
– J’essaie. Mais soyez concentrée aussi.
Je prends le sac à mes pieds, vois la cagoule dans son emballage. Exactement ce que je voulais.
– Et le plug, vous le portez ?
– Comme tu me l’as demandé.
– Alors, vous aimez ?
– J’ai l’impression que tout le monde me regarde et sait que j’en porte un. Je suis passé déposer un costume de Philippe au pressing avec un plug dans le cul que mon beau fils m’a demandé de mettre. Ça me rend folle. A chaque bosse sur la route je le sens butter profondément. Je suis trempé depuis que j’ai quitté la résidence.
– Vous êtes une vraie petite pute et vous y prenez goût non ?
– Je suis ta pute. Et je reconnais que j’aime ce sentiment d’interdit. Je ne me reconnais plus. Mais j’aime ça.
– Reculez votre siège, écartez vos cuisses je vais le retirer moi-même.
– Quoi ?! Je pensais que je devrai le garder pour demain ?
– Ne soyez pas égoïste Florence, votre fille aussi à droit à ce plaisir. Demandez-moi de venir le retirer.
A cet instant, Florence relève sa robe, je vois sa culotte en dentelle rouge. Je l’ai déjà vu sécher dans la buanderie, je l’adore. Elle l’a retiré doucement, un peu difficile de bouger convenablement dans la voiture.
– David, tu fais de moi une pute. Je suis là dans un parking sans culotte, un plug dans le cul. Quand me baiseras tu? Je voudrai te sucer maintenant… Je n’en peux plus.
– Me sucer dans un parking ? Mais c’est tellement classique. Vous méritez mieux. Demain je vous laisserai la goutter, si je trouve le bon moment. OK ? Puis je préfère m’assurer d’offrir une bonne dose de sperme à votre fille.
– Approches toi, retires moi ce bout de plastique de mon trou du cul.
Je bande tellement mais retient mes pulsions. Personne autour. J’allume le plafonnier de la voiture. Je baisse son siège au maximum.
– Relevez vos jambes, montrez-moi que vous êtes encore souple jusqu’à avoir les genoux au niveau de la tête.
Elle s’exécute sans un mot. 5 ans… 5 ans que je rêve de ce moment, belle maman, soumise, sa chatte offerte, brillante, elle mouille. Je garde mon calme pour ne pas jouir de la situation comme un enfant devant à l’entrée de Disney Land. Son clitoris est gonflé, je n’en peux plus.
Elle est là offerte. Je ne peux plus attendre. Combien de fois ai-je pu me branler en pensant à cet instant.
Du bout de ma index et du majeur, je caresse la surface de son vagin. Elle est trempée. Je lève la tête et la voit me regarder les yeux grands ouverts, elle revient son souffle. Je sais qu’elle en meurt d’envie mais elle est assommée par ce qu’il se passe.
Je place mon pouce sur son clitoris, et commence à le caresser en tournant autour. Elle expire d’un coup.
– Je suis trempée bordel.
– Me croyez-vous maintenant quand je vous dis que belle maman est une pute ?
Je continue à masser son clitoris.
– Oui David, belle maman est une pute. Me dit-elle, haletante.
Je veux lui mettre un doigt. Je vois toujours le plug plongé dans son cul, rougi par ce trajet en voiture. Je veux qu’elle s’en souvienne de ce premier doigt. Sans prévenir, avec l’index et le majeur, j’entre brutalement, sans encombre et tape fort, directement sur le deep spot. Vous savez cette technique que j’appelle le crochet, qui ferait éjaculer presque comme une femme fontaine ? Celle la même…
Trois ou quatre allers retours suffisent je ne me souviens plus exactement. Lent et fort. Je sens sa chatte se contracter subitement, lève la tête, la regarde, elle a est à bout de souffle, tentant désespérément de cacher le plaisir qui l’envahit.
– Arrête !! Me dit elle.
Trop tard, mes doigts sont comme éjectés. Elle éjacule d’un coup. Non pas d’un jet comme on le voit dans les films mais elle se laisse aller. Elle aurait pu remplir une tasse a café avec ce qui jaillit de sa chatte. Ce ruisseau s’étend la, d’un coup sur le siège en cuir de beau papa. Elle est prise de spasmes, se cambre. Expire enfin dans un cri de plaisir. Enfin… Enfin je l’entends jouir, quelle voix…
Elle se redresse, honteuse, terriblement gênée :
– Mais qu’as-tu fait ? Qu’est-ce que c’est ? Je n’ai jamais eu ça, je suis désolé. Merde ma robe est trempée. Elle semble aussi paniquée que satisfaite.
– Vous avez joui belle maman, bien plus fort que je n’aurai pu l’imaginer. Vous êtes superbe comme ça. Dites-moi que vous n’avez pas aimé.
– Bien sûr que j’ai aimé. Mais stop stop. Pas là, pas maintenant. On arrête s’il te plaît.
– On arrête oui. Reconnaissez que vous avez aimé ce qui vient de se passer. Vous êtes une petite chienne soumise, que personne ne soupçonne, qui vient de passer sa journée avec un plug dans le cul et qui vient de se vider grâce aux doigts de son gendre dans un parking souterrain. Vous sentez vous humiliée ?
– un peu… Tu viens de me souiller David, pourtant j’ai adoré.
– Ce n’est que le début. Je vais vous souiller encore, vous soumettre plus fort. Pour votre plaisir avant tout. On continue ?
– On continue…
– Sinon… Je peux récupérer le plug ? Offrez-moi votre trou du cul, tenez vos jambes derrière votre tête. Poussez, sortez-le vous-même, sans les mains.
Sans difficultés, je regarde son trou du cul se gonfler, elle pousse doucement. Le plug sort d’un coup offrant un bruit d’appel d’air si agréable à mon oreille. Je prends une photo, sans son visage je lui promets, de sa chatte inondée, de son anus au repos encore ouvert d’un bon centimètre. Elle se relève, att**** rouleau de Sopalin dans la portière et se fait un matelas sur le siège pour éponger. Elle est en sueur. Je l’embrasse sur le front. Récupère le sac, le plug et sors de la voiture.
– À demain belle maman, vous connaissez votre rôle. Ça m’a fait plaisir de vous voir.
Elle me regarde avec un sourire large, complice, au-delà de la rendre chienne, je sens que je la rends femme. C’est encore mieux qu’espérer. Ce n’est repas un simple jeu de soumission, c’est de l’épanouissement pur.
Vivement demain…
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