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Cocufiage vu par lui

Cocufiage vu par lui



Auteur : Oldtimesfriend

Paul a 40 ans, architecte, deux beaux enfants, marié à Aurélie, une femme superbe de 38 ans, grande, brune, superbement bien faite malgré ses deux enfants, un corps parfait du fait d’une pratique sportive assidue, des seins discrètement refaits… le genre de femme sur lesquelles on se retourne, celles qui font des jalouses l’été sur la plage…

Paul s’est toujours demandé s’il satisfaisait réellement sa femme sexuellement, comment elle serait avec un autre… Leur vie sexuelle est à ses yeux pleinement satisfaisante, ils ont des rapports deux à trois fois par semaine, Paul a l’impression de faire jouir sa femme presque à chaque fois, mais il est vrai que le temps et la vie de tous les jours entraîne nécessairement une forme de routine.

Paul éprouvait depuis longtemps l’envie « malsaine » de savoir comment sa femme se comporterait sexuellement avec un autre. Il n’était pas dupe, il savait que sa belle épouse suscitait les regards et la convoitise des hommes, et doutait naturellement de sa parfaite loyauté, sans toutefois pouvoir affirmer quoi que ce soit.

Il se demandait également et surtout s’il était suffisamment équipé pour la combler parfaitement. Lui n’était pas particulièrement doté, disons une moyenne normale, si l’on en croit les stats officielles, une moyenne très basse, si on se réfère aux vidéos sur divers sites.

Surtout, il se demandait régulièrement ce qu’il en est exactement de cette histoire de taille de sexe, tant le flou règne au travers des différents témoignages, des forums, des articles… il savait bien que le feeling est important, que la douceur et l’attention prêtées à l’autre sont fondamentales, mais il se demandait toujours si, à tendresse égale, et à « techniques » égales, la grosse arme faisant vraiment la différence…

Quand il interrogeait Aurélie à ce sujet, elle lui disait qu’elle s’en foutait, mais il croyait parfois deviner que sa jouissance serait plus importante s’il avait été plus imposant en elle, surtout lorsqu’il était derrière elle, en « cuiller », là où il a vraiment le sentiment qu’il lui manque quelques centimètres pour, non pas la faire gémir, mais véritablement crier de plaisir… comment savoir ?

Ces interrogations viraient régulièrement à l’obsession… il avait même acheté il y a quelques années un gros gode, très long, très large, avec lequel il aimait jouer parfois avec Aurélie… celle-ci ne semblait pas bouder son plaisir, tout en minimisant les effets de la taille du joujou, alors qu’il avait vraiment le sentiment d’un plaisir plus intense chez sa partenaire. Maintenant, est-ce l’objet, est-ce le contexte, le sentiment de nouveauté… ?

Aurélie n’est pas tentée par une expérience libertine, elle est même assez fermée à toute nouveauté ou excentricité en la matière, et de toute façon, Paul était certain que sa présence la bloquerait, à supposer qu’il accepte de voir sa femme baisée par un autre… l’idée le tente terriblement, mais il ne savait s’il serait capable de passer à l’acte.

Un jour d’été, par inadvertance, Paul se trompe d’iPhone et att**** celui de sa femme, le temps de s’en rendre compte, il aperçut un SMS d’une dénommée « Val », juste quelques mots… « OK… demain 15 h… je suis chaud bouillant… j’ai hâte de te revoir enfin !! »… stupeur, cœur à la chamade… drôle de message pour une copine… et « chaud »… Paul repose le téléphone comme sonné… il paraît clair que sa femme le trompe… il prétexte un achat de cigarettes pour reprendre ses esprits.

Que faire ? Il n’a pas envie de faire de scène, car finalement, il n’est pas exempt de tout reproche et ne rechigne pas à quelques extras lorsque l’occasion se présente, même si l’issue est toujours finalement décevante, la réalité étant rarement à la hauteur du fantasme… mais là, il se sent atteint dans sa virilité, il imagine sa femme se livrer totalement à un inconnu, et ça lui transperce l’âme… tout en excitant ses bas instincts…

De retour à la maison, il saisit discrètement le portable de sa femme mais le message, comme tout autre du même expéditeur, a disparu… de deux choses l’une, soit il a rêvé, soit elle a tout effacé durant son absence, venant ainsi conforter la réalité et l’absence de toute ambiguïté quant à ce message !! La nuit fut terriblement longue, et comme par hasard, Aurélie était particulièrement de bonne humeur !!

Une idée derrière la tête, Paul avait annoncé à sa femme un déplacement professionnel imprévu toute la journée, bien décidé à lui filer le train.

Le lendemain à 14 heures, il garait la voiture louée spécialement un peu en retrait de son domicile, et attendait.

14 h 45, Aurélie sort de la maison, vêtue simplement d’une robe d’été rouge, de petites sandales, un sac et des lunettes de soleil, le portable à l’oreille et un grand sourire accompagnant ses paroles à je ne sais qui… de son poste, Paul distinguait parfaitement la silhouette parfaite de son épouse, et devinait au frémissement de sa jolie poitrine derrière le tissu qu’elle ne portait pas de soutien-gorge… cette robe il la connaissait, et il est impossible de porter un soutien-gorge, sauf à passer pour une parfaite plouc !

Elle monte dans sa voiture, et Paul démarre sa filature, discrètement…

Il décide alors de lui passer un coup de fil… sans réponse… alors qu’il sait, car il l’a vu, qu’Aurélie a pris son téléphone et l’a reposé sans décrocher…

10 minutes plus tard, elle gare sa voiture dans une petite rue d’un cossu quartier résidentiel… elle marche quelques dizaines de mètres, et sonne à l’entrée d’une jolie maison entourée d’un grand jardin… le regard lancé à la cantonade dans la rue avant de rentrer ne faisaient que conforter les soupçons du mari trompé, jaloux mais terriblement excité.

Il transpire, son esprit part dans tous les sens, et ses sens, justement, sont en feu.

20 minutes plus tard, le voilà devant ce jardin, la rue est déserte, et il ne sait que faire… sonner ? Faire un scandale ?? Paul hésite quant à ses sentiments… la curiosité et l’excitation l’emportent sur la colère… il décide alors de rentrer afin d’en avoir le cœur net.

Discrètement, Paul se faufile marche dans le jardin.

Tout est désert, un beau jardin, des arbres taillés, une végétation abondante et diversifiée.

Paul contourne la maison, et voit une terrasse avec une grande baie vitrée… aucun bruit, aucun signe de vie, il s’avance, la baie est ouverte, le cossu salon paraît désert, pas un bruit… il entre ou pas ?.. Après tout, le type qui vit ici baise sa femme, ça lui donne des droits non ?

Sur une table, deux tasses de café…. à peine touchées…

Il marche lentement dans cette maison inconnue, excité, terrorisé… soudain, il entend vers le fond du salon, derrière une porte en bois entrouverte, un bruit, un gémissement pour être précis, et il connaît cette voix… le cœur au bord de l’explosion, il traverse cette pièce, les bruits sont plus précis… et ces gémissement sont bien ceux de sa femme. Paul s’approche fébrilement de la porte entrouverte… il s’approche encore, et voit un grand miroir au mur, reflétant un lit immense et d’une blancheur immaculée… voir sans être vu…

Aurélie embrasse fougueusement un homme, jeune, pas plus de la trentaine, simplement vêtu d’une chemisette et d’un bermuda… ils sont face à face sur le lit, sa femme a enlevé ses chaussures, ils sont à genoux et s’embrassent violemment, Aurélie gémit doucement lorsqu’il lui lâche la bouche, ses mains viennent sur son corps, ses mains touchent ses cuisses.

Aurélie lui tient violemment la tête, les mains dans ses cheveux denses et bouclés.

Il est terriblement beau et musclé, Paul se dit que ça doit bien changer sa femme, ce corps souple et bronzé… leurs corps sont excités, le bas-ventre d’Aurélie se colle à celui du jeune homme, elle le regarde sans cesse, ce qu’elle ne fait jamais avec Paul, elle lui sourit… avec Paul, elle ferme les yeux, paraît retenue… là, elle semble totalement relâchée… ses mains étreignent les siennes, elle lui murmure des choses que Paul n’entend pas… Paul est tétanisé par ce spectacle, fasciné par ce qu’il voit… cette femme prête à s’abandonner, à abandonner son corps superbe à des mains inconnues, c’est la sienne, il voit que c’est elle mais ne la reconnaît pas…

L’homme ne cesse d’embrasser Aurélie, passe ses mains sur ce corps vibrant qui réagit parfaitement à ses caresses, ses mains s’attardent sur ses seins, arrachant encore de plus forts soupirs à la belle, il l’embrasse dans le cou, elle ferme les yeux, bascule sa tête en arrière, l’invitant ainsi à lui baiser ses seins, il fait glisser la fine lanière de la petite robe, dévoilant un sein superbe au téton érigé et incroyablement dur (ça, il le devine, il ne connaît que trop bien ces seins parfaitement galbés, ces tétons incroyablement proéminents et si sensibles à la caresse…).

L’homme se jette sur ses seins, arrachant encore un petit cri à Aurélie… les deux seins à l’air, Aurélie, toujours la tête rejetée en arrière, lui tend sa pleine poitrine qu’il dévore littéralement, ses mains passent sur son ventre qui ondule doucement au rythme de la caresse… il cesse bientôt, lui laissant reprendre son souffle avant de l’embrasser de nouveau goulûment, il l’allonge sur le dos, et parcourt maintenant tout son corps avec ses mains… son ventre, ses cuisses, il descend et remonte doucement…

Sa main s’attarde discrètement entre ses jambes avant de fuir à nouveau vers ses seins, Aurélie gémit doucement sous la caresse, il est à genoux à côté d’elle, la main d’Aurélie est agrippée au niveau de la poche de son short… la main de l’homme s’attarde sur les cuisses de la femme de Paul et remonte doucement à l’intérieur, il remonte le morceau de tissu qui n’est plus maintenant qu’une boule autour des hanches d’Aurélie, il continue de lui baiser les seins et elle répond à l’avancée de sa main en soulevant doucement le bassin…

Elle le veut, ça se voit, elle n’attend que ça, Paul l’imagine trempée de désir… il ne peut contenir la violente érection qui lui transperce le bas-ventre, il a une furieuse envie de se soulager instantanément à la vue de spectacle surréaliste, son esprit est ailleurs, il est interloqué, fasciné plus que dégoûté…

La main de l’homme est maintenant clairement entre les cuisses d’Aurélie, Paul découvre alors que sa femme ne porte pas de culotte… vous me direz on n’est plus à ça près !! La caresse se fait précise, Paul entend maintenant distinctement la voix de sa femme plus fort, plus enrouée, il voit la main de l’homme s’activer entre les cuisses de sa femme qui ne cache pas son plaisir… Aurélie paraît toujours crispée, lui l’embrasse tendrement et en réponse elle le dévore du regard, les yeux ouverts, embrumés… la caresse produit ses effets, Aurélie gémit doucement des « oui, encore… oh oui… » elle est au bord de l’orgasme, Paul le sait, il la connaît bien, mais peine à reconnaître la femme qui partage son lit depuis 10 ans… oui, il la sait salope à ses heures, mais n’avait jamais eu le sentiment d’une telle intensité dans le désir et dans le plaisir… jamais elle ne le regardait, lui, mais là, Aurélie semble vraiment vivre son plaisir, en pleine journée, avec un autre…

Aurélie prend alors les choses en main, rassasiée par cette première salve de plaisir, elle retire brusquement la chemisette de l’homme, découvrant ainsi ce corps parfait que Paul n’a pas et qu’il n’a jamais eu, ses abdos puissants, de belles et larges épaules…

Elle l’embrasse dans le cou, difficilement tant il triture encore son clitoris de sa main habile, elle le mord, crie encore son désir, elle caresse ce corps, regarde ce corps, tout en profitant de sa caresse experte… sa main se glisse sur le short de l’homme qui se redresse brusquement, toujours à genoux, mais le torse relevé comme pour mieux se livrer à la bouche chaude et gourmande d’Aurélie.

Aurélie est à présent redressée face à son partenaire, elle le fixe droit dans les yeux avec une lueur que Paul ne connaît pas et qui le laisse pantois… bandant à l’extrême mais pantois quand même… sa main imprime un violent mouvement de va-et-vient sur le bermuda de l’homme, ils se regardent en souriant… leur complicité apparente surprend Paul, qui ne s’attendait pas à ça, à tant que ça…

Aurélie fait basculer le jeune homme sur le dos, elle est maintenant surplombant son amant, elle le domine d’en haut, le regarde, le contemple, embrasse sa bouche, son torse, s’attarde sur ses tétons tout en maintenant son emprise sur la bosse du garçon, qui paraît très importante.

Paul tente de mieux distinguer… oui, manifestement le short en coton ne contient pas l’érection du jeune homme, une érection impressionnante, même depuis son poste d’observation… cette trouvaille troubla encore Paul…

Aurélie est à genoux, à côté de lui, et tandis qu’elle l’embrasse, que sa bouche goulue et mouillée dévore littéralement chaque centimètre carré du corps de l’homme, Paul distingue clairement la main de l’homme se glisser à nouveau entre les cuisses écartées de sa femme, reprenant son efficace caresse.

Aurélie reprend alors ses gémissements, son bassin accompagne la caresse, et Paul devine qu’il lui introduit un doigt lorsqu’elle s’arrête subitement de le lécher pour lâcher un râle rauque, synonyme de plaisir… transpercée par cette décharge électrique, elle paraît transfigurée, elle ondule très vite sur ce doigt long et puissant, Paul entend le rythme de l’humidité de la pénétration.

La main rendue maladroite, Aurélie déboutonne le bermuda de l’homme et Paul la voit extirper difficilement un membre très gros, bien plus gros que le sien, un membre que Paul trouve beau, proportionné à ce corps d’athlète, légèrement ambré. Aurélie le saisit délicatement et entreprend un mouvement de va-et-vient… Paul est fasciné de constater comme la main de sa femme paraît petite comparée à celle qu’il voit lorsqu’elle le branle…

L’homme se rallonge dans un soupir de contentement, décidé à se laisser faire, Aurélie lui sourit, sa main gauche caresse doucement le corps de l’homme, sa main droite remonte et descend doucement le long de son sexe, l’amplitude du mouvement est longue, lente… Aurélie regarde avec gourmandise ce gros sexe dressé devant elle, elle paraît fascinée par son mouvement… lentement, elle tire la peau de l’homme au plus bas, dévoilant un gland large et fier… puis remonte sa main durant un temps qui paraît infini à Paul, toujours aussi médusé… puis elle redescend aussi lentement… et remonte… durant plusieurs dizaines de secondes, Aurélie branle doucement, méthodiquement son jeune amant, elle regarde tendrement cet homme, ce corps abandonné à sa main, l’homme a clos ses yeux et profite aimablement du fantastique moment de plaisir que lui procure le doux mouvement de la main d’Aurélie… « Tu es beau… j’ai envie de te donner du plaisir… j’aime ta queue… » Paul croit rêver, c’est bien sa femme qui vient de déclarer ça à son amant… en réponse, l’homme se redresse et embrasse tendrement Aurélie avant de se recoucher docilement…

La main d’Aurélie se fait plus pressante, plus rapide sur le sexe de l’homme, celui-ci se crispe un peu, son corps se tend… la gentille caresse d’Aurélie devient plus a****le… elle penche sa tête vers le sexe de l’homme qu’elle maintient parfaitement dressé, Paul l’estime alors conforme au joujou de 20 cm réservé à leurs petits jeux, le vrai étant peut-être encore plus large que le faux !

Elle titille le bout du gland avec sa langue, sa main devient plus discrète, sa bouche la remplace doucement… elle entame alors une de ces fellations dont elle a le secret… Aurélie prend l’immense sexe dans sa bouche, sa main caresse délicatement les testicules du garçon dont les gémissements trahissent un réel plaisir… Paul voit apparaître et disparaître la bite de l’homme dans le bouche de sa femme, Aurélie s’active comme jamais, semblant manifestement prendre énormément plaisir à l’opération (il savait qu’elle aimait sucer, qu’elle pouvait presque jouir, dans les bons jours, rien qu’en le suçant comme ça), des filets de bave s’écoulent entre les lèvres d’Aurélie déformées la taille hors norme de l’homme… elle maintient fermement la hampe virile dans sa bouche et ses deux mains s‘activent en même temps à présent sur la hampe de l’homme… sentant le plaisir arriver, elle s’arrête subitement, regarde l’homme aux yeux mi clos… elle lui sourit… « J’ai envie de toi en moi, j’ai envie de te sentir tout en moi… » dit encore Aurélie.

L’homme lui sourit, se redresse, l’embrasse tout en allongeant Aurélie sur le dos, il glisse et se positionne entre ses cuisses… « Va doucement… je n’ai pas l’habitude de… » Ces mots distinctement prononcés par Aurélie, ont été entendus par Paul… « Je sais… » répondit l’homme alors, en souriant… ils s’embrassèrent alors fougueusement, l’homme rapprochant son bas-ventre de celui d’Aurélie ; déjà en mouvement, impatient d’accueillir cet homme en elle… Paul comprit que l’énorme sexe avait pris possession du corps de sa femme lorsque celle-ci cessa subitement d’embrasser son amant afin de laisser sortir un bruyant soupir de soulagement, ses mains se crispèrent sur le dos de l’homme, Paul devina au léger mouvement de celui-ci que quelques centimètres de lui étaient entrés en sa femme…

Il est doux, tendre, le visage d’Aurélie est figé, comme en souffrance, ses yeux fermés, sa bouche ouverte, comme paralysée, retenant vainement un cri coincé dans la gorge. L’homme s’enfonce doucement en Aurélie, lorsqu’il est au bout, il s’arrête, et entame alors un mouvement de recul… Aurélie accompagne ce premier retrait par un râle sourd, ses mains glissent sur les fesses musclées et bronzées de l’homme comme pour le ratt****r et le reprendre violemment… lentement le rythme de va-et-vient s’accélère, Paul a à chaque fois l’impression que la pénétration est plus profonde, impression confortée tant par l’ampleur des mouvements d’avant en arrière, que par l’augmentation des cris de sa femme… elle ne gémit pas de plaisir, elle crie de plaisir, et ça, il ne l’avait jamais entendu, jamais vécu…

Aurélie a relevé ses jambes qui enserrent maintenant son amant, rendant ainsi la pénétration encore plus profonde, elle respire bruyamment, sa respiration bruyante et saccadée rythme la pénétration et renforce l’ardeur de son amant. Celui-ci baise maintenant violemment Aurélie qui ne se contrôle plus, ses ongles labourent le dos de l’homme qui répond à ces agressions physiques par encore plus d’ardeur, il entre et sort son sexe de celui d’Aurélie avec une vigueur rare, Aurélie semble l’encourager par ses gémissements qu’elle accompagne d’encouragements « Oui, oh oui, c’est bon, encore… », Paul n’en revient pas lorsqu’il l’entend dire des mots qu’il ne l’avait jamais entendue prononcer « Baise-moi fort, oui c’est bon, j’aime ta queue, je te sens bien… encore, plus fort… »… l’homme continue son intense va-et-vient… « Encore, je vais jouir… ouui… » Le « oui » orgasmique d’Aurélie est fatal pour Paul qui n’y tenant plus, extirpe maladroitement son sexe qui lui paraît subitement bien petit, et éjacule violemment sur le sol, sans se soucier plus que cela de l’endroit où il est, il est des moments où le sexe domine le cerveau…

Aurélie est en train de jouir comme rarement, elle tente de contenir le mouvement de son amant qui continue en dépit de ce qu’il sente le corps de sa partenaire hyper tendu… « Attends… » souffle-t-elle… « Laisse-moi reprendre mon souffle » gémit-elle avec un sourire absent… l’homme comprend qu’il vient de faire violemment jouir sa partenaire, et respecte cette demande, mais il n’en a pas encore terminé…

Aurélie se redresse vers l’homme figé en elle, elle l’embrasse encore, manifestant ainsi explicitement sa reconnaissance pour l’orgasme qui lui secoue encore l’intérieur… l’homme ressort doucement son sexe luisant d’Aurélie, et lui dit « J’aime te faire jouir, c’est si bon de faire l’amour avec toi, j’ai encore envie de te donner du plaisir… » délicatement, il retourne le corps agité de soubresauts de sa maîtresse, et l’allonge sur le ventre, sa bouche parcourt alors tout son dos, faisant frissonner Aurélie qui se met littéralement à ronronner comme une chatte en chaleur… la bouche de l’homme mord la peu du dos d’Aurélie, sa bouche descend sur ses fesses superbes et qui réagissent instantanément à cette douce caresse par des mouvements de bas en haut… la bouche de l’homme s’attarde sur ces fesses agitées, sa bouche glisse entre les fesses d’Aurélie, qui maintenant les redresse, les offrant à la bouche de l’inconnu.

Face à cette superbe invitation, l’homme glisse son bras sous le ventre d’Aurélie, l’incitant à se mettre à quatre pattes, ce qu’elle fait sans aucune objection quelconque, Paul a une vue plongeante sur les fesses et la chatte gonflée et offerte de sa femme.

L’homme prend doucement place derrière Aurélie et après avoir longuement profité de cette vue rare, plaque sa bouche sur le sexe trempé d’Aurélie, qui répond par un nouveau gémissement rauque… La bouche de l’homme s’active bruyamment sur le sexe d’Aurélie, les fesses remontées, celle-ci se retournant pour profiter du spectacle de son amant lui dévorant la chatte par derrière, l’homme lèche la chatte d’Aurélie dans ses moindres recoins, s’attarde sur le clitoris durci de sa maîtresse, redonnant à celle-ci un nouvel et troisième orgasme, si Paul compte bien, qu’elle exprime tout aussi visiblement que les précédents.

« Viens encore en moi » supplie-t-elle « Je veux te sentir jouir en moi », sans se presser l’homme se redresse et présente à nouveau son sexe qui n’a pas débandé devant la chatte ouverte de la femme de Paul… l’homme n’a rien à faire, Aurélie amène ses fesses contre le sexe de l’homme et s’enfonce sur lui d’elle-même, lâchant encore un « oui » d’extase au fil de l’avancée du pieu de chair en elle…

Durant encore 5 bonnes minutes, Paul assiste sans réaction au spectacle de sa femme se faisant prendre en levrette par l’homme qui répond instantanément aux invectives d’Aurélie en demandant explicitement toujours plus.

Puis, enfin, pensa Paul, l’homme achève sa besogne et, dans un ultime râle de concert démontrant la simultanéité de l’orgasme entre les deux partenaires, reste longuement figé sur sa partenaire sans réaction.

Paul prit alors conscience qu’il ne peut plus rester où il était et s’éclipse discrètement par là où il était arrivé, laissant sur le sol les traces de son passage.

Une fois à l’extérieur, Paul se sentait comme sonné, KO debout par ce spectacle… il ne savait que penser de ce spectacle, excité et écœuré à la fois, il ne savait qu’une seule chose, c’est que plus jamais il ne pourrait faire l’amour à sa femme.

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