Cette histoire fait suite à Initié par un couple libertin, mais peut se lire indépendamment.
Au cours de l’été 1990, alors que j’étais encore un jeune puceau à peine sortir du cocon familial, j’ai rencontré un couple de Britanniques fortunés, Gwen et Tom, qui m’ont initié à tous les libertinages imaginables. À leur contact, je me suis soumis à tous leurs nombreux fantasmes et je suis progressivement devenu leur esclave sexuel, renonçant à toute dignité personnelle. Ce choix m’a permis d’accéder à toute la gamme de la sexualité, avec une incroyable variété de femmes avec lesquelles j’ai eu l’occasion d’avoir des relations intimes. Depuis ce jour de rêve, ma vie est littéralement devenue un film porno dans lequel il ne se passait pas un seul jour sans que la liqueur de mes testicules se vide dans tous les orifices humains des deux sexes. Entraîné à baiser comme un champion, impitoyablement dressé par une maîtresse à la fois perverse et câline, soumis à une discipline de fer, j’étais devenu une bête de sexe, chaque jour plus endurant et plus vigoureux à pratiquer la fornication.
Dans le même temps, ils m’entretenaient en dépensant sans compter : je vivais dans un luxe incroyable empli de parfums délicats, de vêtements de marque et de bijoux dont ils paraient mon corps. Mais le plus souvent, je restais nu et tenu en laisse, docile à satisfaire sans délai les moindres désirs de mes maîtres.
Ma maîtresse surtout, Gwen, me punissait à la moindre incartade. Elle le faisait même en l’absence de toute faute de ma part, simplement pour le plaisir d’exercer son arbitraire et me placer dans un sentiment d’infériorité permanente. Il n’y avait pas de logique dans ma vie, juste de la folie qui ne cessait pas : alternativement, je baisais au point que ma prostate me faisait mal, puis je subissais le fouet ou différents supplices, attaché au plafond de leur donjon, ou bien en pleine forêt ou dans d’autres endroits où nous risquions de croiser d’autres gens, car ils aimaient pratiquer la sexualité non conformiste en s’exhibant – et en m’exposant moi-même aux regards d’inconnus, afin de brimer ma pudeur et de faire de moi un sous-homme.
Tom, le mâle alpha, jeune et fortuné, flegmatique et plein de morgue à mon égard, adoré par sa femme, la baisait librement en toute circonstance, entre deux parties de golf avec ses amis. Occasionnellement, mon cul était sa cour de récréation, moins par goût du sexe gay que parce qu’ils avaient constaté que cela me faisait mal et que j’avais horreur de me faire sodomiser. Quant à moi, le mâle oméga, le dernier des derniers, celui dont Gwen écrasait les testicules sous sa longue botte de cuir rouge, j’avais perdu mon statut d’être humain, ravalé au rang de sex-toy excitant, mais négligeable. Je n’en revenais pas qu’il était possible de s’abaisser à ce point, et d’y consentir librement, dans le seul but d’avoir du sexe.
J’aimais particulièrement être fouetté. Je frémissais délicieusement au son de la lanière de cuir dont l’extrémité passait le mur du son, pour produire ce bruit si spécial. Docile, je me mettais à genoux afin de présenter l’instrument à ma maîtresse, lorsque celle-ci me l’ordonnait, et je bandais en prévision des souffrances qui m’attendaient. Gwen pratiquait la flagellation avec une incomparable dextérité, afin de m’infliger une douleur maximale, jusqu’au paroxysme qui provoquait mes hurlements, sans aller trop loin cependant, pour ne pas me blesser sérieusement. Puis, une fois que j’avais atteint la limite de mon endurance, elle se tenait debout, les cuisses légèrement écartées, droite dans ses bottes, relevait sa robe et m’obligeait à sucer sa chatte, une main plaquée derrière ma nuque, de préférence après que son mari l’avait copieusement remplie de sa semence que j’avalais avec délectation.
En ce matin de Noël, nous étions tous les trois réunis autour du sapin. Bien sûr, jour de fête ou non, j’étais dans ma tenue habituelle : complètement nu, avec un collier de chien autour du cou, afin que mes maîtres puissent me tenir en laisse et m’emmener où ils le voulaient.
Malgré mon statut méprisable, j’ai eu droit à mon cadeau : un nouveau fouet de cuir noir, fin et assez long, qui servira à zébrer ma peau d’une manière encore plus cruelle qu’avec l’ancien instrument. Gwen a reçu un parfum de grand prix et Tom les clés d’une nouvelle Mercédès décapotable. J’étais très content de mon présent et j’avais hâte que ma maîtresse l’essaie sur mon dos.
Mais nous avions des invités. Il s’agissait des trois frères Pachère (les triplés Ivan, Sam et Otto), trois superbes étalons du même âge que moi, dix-neuf ans, mais beaucoup plus grands et forts et, je n’allais pas tarder à le découvrir, bien mieux membrés.
Ils se sont déshabillés à peine entrés dans le salon, et déjà leurs verges énormes étaient tendues à midi. Ils ont jeté vers moi, l’homme négligeable, des regards dédaigneux : charge à moi de plier et rangers leurs vêtements. De véritables satyres, musclés comme Hercule, épilés du torse aux mollets en passant par le pubis, avec des barbes brunes de rois grecs, parfaitement taillées. En guise de préliminaire, ils se sont huilé le corps comme des gladiateurs, sur toute la surface de leur peau, et je dois dire que même si je suis totalement hétéro, cela m’a quand même émoustillé.
Gwen les a accueillis par des baisers à pleine bouche, rapidement, puis une petite fellation pour chacun, au cours de laquelle ma maîtresse s’est montrée impressionnante, car elle était capable d’avaler jusqu’au fond de sa gorge les trois immenses phallus qui, bout à bout, devaient totaliser un mètre, avec des diamètres à l’avenant. Ivan et Sam se sont glissés ensemble entre les lèvres accueillantes de l’hôtesse. Les trois colosses ont tous éjaculé dans sa bouche et elle a avalé une bonne partie du sperme qui était très copieux ; le reste dégoulinait de ses lèvres jusque sur le tapis que j’étais chargé de nettoyer.
Tom a proposé à nos trois invités d’abuser de mes grâces qui devaient leur sembler quelque peu efféminées comparées à leur carrure, mais, à mon grand soulagement, ils ont décliné cette proposition. Mon trou du derrière n’était pas passé loin du grand écartèlement, en profondeur. Afin de m’humilier, Gwen a mesuré, au centimètre de couturière, la longueur de mon pénis, et tous ont ri en entendant le résultat, ridicule à côté des braquemarts de trois frères. Elle aimait particulièrement pratiquer ce genre de vexation, et j’ai lu dans son regard une lumière de joie cruelle, ce qui n’a fait que renforcer mon amour masochiste pour elle. Je l’ai remerciée en lui baisant les pieds avec déférence.
Mais je n’étais pas au bout de mes peines. D’abord, en tant que meuble humain, je jouais le rôle de table basse, en me tentant à quatre pattes et en portant sur mon dos le plateau sur lequel se trouvaient les bouteilles d’apéritif, les pistaches et les verres. Malheur à moi si j’avais laissé quoi que ce soit tomber et se briser ! Je restais donc concentré pendant que mes maîtres discutaient avec nos trois invités. Ils comparaient mes mérites d’esclave avec d’autres soumis et leurs conclusions ne m’étaient guère favorables : physiquement pas à la hauteur, ils me trouvaient lâche et frivole, et envisageaient de me jeter dehors dès qu’ils auraient déniché un meilleur serviteur. Le fait que je puisse les entendre ne les gênait absolument pas pour dire du mal de moi.
Gwen a donné aux trois armoires à glace carte blanche pour profiter de son corps de femme, de préférence dans une position originale. Ils l’ont donc attachée au plafond par les chevilles, la tête en bas. Sa grande robe noire est tombée toute seule sous l’effet de la gravité. Puis, sans ménagements, ils ont arraché les sous-vêtements de dentelle, culotte, soutien-gorge et jarretelle : il ne lui restait plus que ses bas.
Ivan et Sam sont montés sur des chaises afin de pénétrer Gwen, le premier par le vagin, le second par l’anus. Elle mouillait tellement que les gigantesques braquemarts sont entrés sans forcer, farcissant littéralement ma maîtresse comme une dinde de Noël. Otto s’est couché sur le dos, le sexe positionné juste sous le visage de la belle : ses imposantes couilles jouaient le rôle des marrons en se faisant sucer, tandis que Tom se masturbait en regardant son épouse de faire défoncer par tous les orifices naturels, tout en sirotant son whisky de trente ans d’âge. En tant que table basse, je n’avais pas voie au chapitre, mais je n’en admirais pas moins la scène.
Quand Sam a déchargé en poussant un cri de bête sauvage, il a déculé dans un bruit de bouteille que l’on débouche et son frère Otto l’a remplacé aussitôt en bouchant le trou laissé béant par la sodomie précédente. Ivan, lui, prenait son temps et pilonnait à grands coups de reins : je voyais le ventre de Gwen se déformer au rythme des enfoncements virils. Elle a joui au moins deux ou trois fois et sa mouille dégoulinait entre ses seins.
Lorsque Ivan a éjaculé sur elle, cela faisait comme une nappe de sauce blanche qui enduisait la belle attachée qui semblait ne ressentir aucun problème avec cette position la tête en bas. Il faut dire que le couple avait vécu quelques années en Australie, ce qui lui avait permis de s’habituer.
C’était Noël ! Pour l’occasion, j’ai eu droit à une faveur : celle de pouvoir sucer la chatte pleine de sperme de la maîtresse. Pour cela, après avoir détaché Gwen avec précautions, c’est sans ménagements qu’on m’a attaché à mon tour par les pieds. Puis elle s’est approchée afin que ma bouche soit à la même hauteur que sa vulve toute garnie de sucs sexuels, et j’ai léché le clitoris, et aussi bu à la coupe vaginale remplie de semence. Après l’orgasme, elle s’est retournée pour que procède de même avec son cul, tout aussi bien garni des liqueurs mâles de Sam et Otto, que j’aspirais tout en pratiquant ma feuille de rose.
La chatte comme l’anus étaient copieusement imbibés d’un fabuleux mélange de foutre, de sueur et de mouille, avec des parfums de fauves et rut et de fée libertine : grâce aux fornications qui venaient d’avoir lieur, c’était un océan génital pourvu d’une belle palette de saveurs. J’en ai avalé une grande quantité : cet élixir a constitué le meilleur repas de ma vie, surtout au moment où, dans un sursaut de jouissance, alors que je fourrais ma langue dans son vagin et qu’elle se titillait elle-même le clitoris, elle a eu une éjaculation féminine de grande ampleur qui a jailli dans ma bouche. Elle gémissait et se tortillait de joie, ma reine prisonnière des liens !
Je suis resté attaché dans cette inconfortable position pendant toute la durée du déjeuner, juste à côté de la tablée où les convives bavardaient. De là où je me trouvais, je pouvais voir qu’à tour de rôle, Gwen branlait les invités avec ses pieds, sous la table. Les charmants petits petons blancs que j’adorais étaient tout maculés d’une épaisse couche de sperme. Puis, pour ma plus grande joie, elle a tourné ses orteils vers moi pour que je les lèche. Vraiment, c’était Noël !
Après une démonstration par Gwen de l’usage du fouet sur mon corps vulnérable et toujours attaché en position inversée, les trois frères sont repartis sur leurs motos. Je ne les ai plus jamais revus. Mes maîtres ont attendu le soir avant de me détacher. Mais j’ai passé le temps en leur léchant les parties intimes. Il fallait bien que je susse qu’un esclave est fait pour souffrir.
Chères lectrices et chers lecteurs, n’hésitez pas à me laisser un commentaire, voire à me confier un fantasme sur lequel vous voudriez que j’écrive une histoire.
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