J’avais invité mon amie Natasha a venir passer la nuit chez nous. Je vivais avec mes parents et elle aussi. Elle venait souvent nous voir chez nouset j’allais chez elle. Cette fois, ses parents avaient dû partir en province pour un enterrement et elle avait refusé de les suivre pour enterrer un oncle qu’elle n’avait jamais connu.
Nous n’avions pas vraiment de lit pour elle dans ma maison mais il y en avait un caché au-dessous du miens. Ma mère avait pensé que ça pourrait être utile mais il n’y avait pas de place pour s’en servir. C’était tout juste si en le tirant de sous mon lit on pouvait accéder à la moitié de ce lit.
Après le dîner, nous avons regardé un peu la télé puis sur les onze heures du soir, nous sommes allées nous coucher. J’ai bien tenté de sortir le lit de sous le mien mais c’était vraiment impossible de dormir dedans et j’ai demandé à Natasha si elle acceptait de dormir avec moi.
– Euh, oui, m’a-t-elle répondu après que j’ai insisté plusieurs fois !
– Bon, bah, je me déshabille, ai-je fini par lui dire !
J’avais pour habitude de me mettre en pyjama pour aller me laver les dents et je n’ai pas vu malice à le faire sous les yeux de mon amie. Du coup, elle a sorti son pyjama de son sac et elle s’est déshabillée. Je l’avais déjà fait mais je n’avais jamais imaginé que Natasha, elle aussi, puisse s’épiler complètement.
– Tu te rases, lui ai-je bafouillé ?
– Euh, oui, m’a-t-elle répondu ! Je trouve que ça fait plus propre !
Son abricot était bien présent et sa fente bien profonde Je me suis approchée d’elle et j’ai passé mes doigts sur sa vulve sans qu’elle ne proteste.
– C’et doux, lui ai-je dit ensuite !
– Ah, chérie, m’a répondu Natasha…
-Tu te masturbes, lui ai-je demandé ?
– Des fois !
– Tu aimes ça ?
Elle ne m’a pas répondu. Du coup, je me suis agenouillée entre ses genoux. Elle avait encore une petite chatte d’adolescente.
– Tu es encore vierge, ai-je insisté ?
– Je… Euh, oui, a bafouillé mon amie !
– Tu n’as jamais été pénétrée, ai-je encore insisté ?
– Non !
Je lui ai répondu que moi, je m’étais déjà fourrée tout un tas de trucs mais je ne lui ai pas dit que je m’en était mis aussi dans l’anus. Je ne savais pas pourquoi j’aimais être pénétrée et ça m’excitait de sentir le truc que je m’enfonçais.
Natsha s’était laissée tomber sur le dos. J’ai tiré la langue et je me suis approchée. J’avais à peine posé ma langue sur ses chairs que son clitoris s’est déployé entre les grandes lèvres et ça a été plus facile pour moi de le lécher.
– On ne devrait pas, a gémi mon amie ! Je ne suis pas comme ça !
Néamoins, elle a fini par poser ses doigts sur ma tête. Je lui ai dit de se laisser faire.
– Oui, m’a-t-elle gémi !
Elle m’a pris la main droite et elle l’a amenée sur son ventre puis elle a amené mes doigts sur ses seins et sans prévenir, elle m’a joui sur le visage un liquide crémeux et abondant dont j’ai goûté avec le bout de ma langue. Sa vulve était maintenant comme une fleur qui vient de s’épanouir.
– Oh, chérie, on n’aurait pas dû, a-t-elle gémi !
Ce n’était pas la première fois qu’elle m’appelait chérie. Je le suis relevée un peu et j’ai posé ma bouche sur son ventre avant de poser mes lèves sur chacun de ses seins.
– Ça va, m’a demandé ma mère en frapant à la porte de la chambre ? Faudrait dormir maintenant !
J’ai failli en rire et nous nous sommes décollées mais une fois l’orage passé, Natasha a pincé son mamelon droit entre deux doigts et elle l’a porté à sa bouche puis elle m’a dit que je peux téter l’autre. Un peu plus tard, elle m’a dit que quand elle aurait un enfant, elle le nourrira au sein. Je lui ai répondu qu’il faudra qu’elle ait du lait.
– Oh, mais il y en a, m’a-t-elle répondu ! Je ne suis pas enceinte mais il suffit que je sois très excitée pour qu’il y en ait. Regarde, m’a-t-elle demandé !
J’ai laché son mamelon pour la regarder faire et, effectivement, du lait sortait du mamelon qu’elle pressait entre ses doigts. Un jet qui s’est mis à briller grâce à la lumière de son chevet et je me suis empressée de le capter si bien que j’en ai eu rapidement plein la bouche. Ça a duré un bon moment mais j’avais envie d’autre chose et j’ai dit à mon amie que je voudrais faire un soixante neuf et ça a rompu le charme et notre amusement s’est transformé en sexe et nous n’avons plus été que deux lesbiennes qui tournent un film porno et nous avons même sorti nos portables pour nous filmer.
Elle avait ce truc qui permet de projeter depuis le téléphone sur une télé et sa télé faisait bien quarante pouces si bien que nous nous sommes vues plus grandes que nature. J’étais fasciné par ce que je voyais sur l’écran. Natasha s’était recroquevillée à l’autre bout du lit.
– Allez, c’est marrant, lui ai-je lancé !
Je ne me souvenais pas d’avoir branlé son clitoris mais c’était bien mes doigts qu’on voyait et le clitoris de Natasha.
– Regarde, chérie, je te branle, lui ai-je encore lancé !
C’était une vraie branlette. Pour me punir de lui avoir dit ça, sans doute, Natasha m’a pris mon téléphone et elle a projeté des selfies que j’avais faits sous la douche mais ça n’a pas duré très longtemps. Après je suis allé me laver les dents. Quand je suis revenue, mon amie dormait déjà et je me suis couchée tout contre elle, ses fesses dans mon ventre et j’ai passé la main et je lui ai promis de la faire jouir et j’ai commencé même si elle ne réagissait pas j’ai réussi à la réveiller et elle était consciente quand elle a joui dans mes doigts.
Ajouter un commentaire