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Bruno et Tomasso

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Bruno et Tomasso (Chapitre 2)

La pluie ne s’arrêtait pas. Clara servit un autre cognac à la visite. Ernst pour une fois s’y remplit la gorge. Derrière lui, collée à son dos, Mona, les deux mains sous les bras d’Ernst, ne cessait de lui gratter doucement les poils des aisselles. Malgré l’éjaculation, Ernst avait reprit son érection sous les caresses de Mona.
-Chanceux, lui dit Bruno, Mona adore les aisselles poilues et ne gêne pas pour en manipuler quand elle en a l’occasion.
-Ah, reprit Ernst, si vous saviez le bien que ça me fait, après toutes ces années de privations, j’ai enfin la récompense charnelle que je croyais impossible.
-Nous sommes heureux pour toi, dit Tomasso, n’est-ce pas les amis?
-Bien certain, dit Bruno, nous aussi on aime l’avoir raide et resentir le plaisir d’être raide.
-Ah, je ne vous blâme pas, dit Ernst, ah que c’est bon…
Puis lentement Mona descendit ses deux mains et sa main droite soulevant les testicules, les doigts de sa main gauche s’enroulant autour du pénis, elle se mit à le masturber lentement. Ernst se croisa les bras, mettant ses deux mains sous les bras et fermant les yeux, il goûta à la masturbation faite par une femme poilue sous les aisselles et ayant de magnifiques seins. Olga regardait la scène d’un oeil de voyeuse aussi curieuse qu’une belette et disira avoir en elle ce pénis droit et dur comme un pied de table. Puis Ernst s’étira les bras en croix et montra ses deux forêts de poils de ses aisselles aux quatre qui commençaient à être passablement excités. Clara commença à masturber Bruno pendant qu’Olga faisait de même avec Tomasso. Ernst éjacula de nouveau dans un râlement résilient et passionné. La main de Mona trempé de sperme s’en frottant les seins. Puis, elle cacha cette main trempée de sperme sous l’aisselle droite d’Ernst qui ne cessai de gémir son plaisir en se regardant les poils infesté du son propre sperme. Alors, Mona se mit à lui lécher l’aisselle, lui mordillant les poils. Ernst saisit son pénis et se remit à le masturber, stimulé par les gestes de Mona qui promenait sa langue dans les longs poils de l’aisselle d’Ernst.
Tomasso était couché au sol, sur le grand tapis du salon et Olga pardessus lui, avait introduit le pénis de l’homme dans son entre-jambe dont le toe-cap lui chatouillait les grandes lèvres de son vagin. Elle aussi râlait de plaisirs que lui donnait la raideur de Tomasso. Bruno et Clara étaient debout, bien enlacés, le pénis bien raide de Bruno collé sur le bas-ventre de Clara.
Ernst complètement satisfait de son arrêt chez Tomasso alla vérifier ses vêtements qui étaient déjà tous séchés. Il se revêtit et après leur avoir donné l’absolution souhaitant tout le bien à ses amis, prit congé en promettant de revenir chercher quelques soulagements.
-Non, mais est-il si poilu ce curé, dit Mona, j’en jouis juste à y penser.
-Oui, dit Bruno, j’aimerais bien avoir ses aisselles, ah, les longs poils, j’en bande juste à y penser.
-C’est vraiment incroyable, ajouta Clara. Imaginez s’il était marié à une femme qui aime les poils des hommes sous leurs bras, il devrait la sauter plusieurs fois par jour. Elle serait devenue une vraie nymphomane.
Entre-temps, Ernst était rentré au presbytère encore tout trempé. Sa servante soeur Hildegrade était déjà au lit. Dès qu’elle entendit Ernst entrer, elle se leva et le vit entrain de se dévêtir prestement de ses vêtements tous mouillés. Elle le désira. Elle le rejoingnit lentement alors qu’il était complètement nu.
-Mon père, ce que vous êtes beau!
Ne sachant quoi lui dire, Ernst lui retourna son compliment avec un large sourire. Elle non plus ne pouvait s’empêcher de lui admirer les aisselles à longs poils. Elle s’approcha de lui, le prit dans les bras et l’embrassa avec la folie du désespoir. Ernst commença à la taponner avec ferveur. Elle en fut des plus heureuse. Lentement, Ernst déshabilla Hildegrade de sa jaquette et lui caressa le torse, et vit qu’elle aussi avait de belles aisselles poilues. Il prit la main de la religieuse et la guida jusqu’à son pénis et elle s’agenouilla devant lui et se mit à le sucer pendant qu’elle remonta ses deux mains sous chaque aisselle et lui chatouillant dans les longs poils.
-Ah, ah, ah… fit Ernst, tu es splendide, ma chère soeur d’amour.
-Mon père, je vous aime tant. vous êtes aussi tendre que beau, aussi, plus poilu sous les bras que l’évêque qui vous a nommé ici dans cette paroisse.
-Comment sais-tu que je suis plus poilu que l’évêque sous les bras Hildegrade?
-Eh bien pour tout vous dire, l’évêque et moi on a fait l’amour.
-Ah, le vieux s’est bien contenté avec toi, ma beauté sublime.
-Oui, il m’a presque noyée de son foutre dans ma gorge…
-Tu l’as sucé?
-Oui mon Père, je n’avais pas tellement le choix. Il m’a dit aussi qu’il aimerais bien avoir un entretient avec vous mon Père. Un entretient dans le plus simple appareil. Il ne cessait de me dire comment il aimerait voir comment vous êtes poilu sous vos bras.
-Ah le pédé, je vais y voir et il sera heureux le vieux prélat, dit Ernst.
-Oh, je suis surprise, dit la femme en se caressant les seins.
-Pourquoi être surprise, c’est normal qu’un curé voit son évêque de temps à autres.
-En effet, c’est normal.
Ayant dit cela, elle caressa les testicules d’Ernst qui lui prit les seins en coupe. Le couple connu ensuite de magnifiques orgasme sous la poussée de l’un l’autre.
Le lendemain, Ernst irait visiter son évêque.
À suivre…

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