Je suis chez toi, on discute autour d’un verre. On discute de tout et de rien puis la conversation par sur les photos coquines qu’on a pu échanger. Je te dis que mes préférées sont celles où je vois ton corps, pas prise d’un angle au dessus de ta tête, parce que j’aime voir les formes de ton corps.
– Je le saurai pour la prochaine fois.
Et je te propose :
– Je peux faire ton photographe, tu pourras faire des photos dans d’autres positions, sans avoir à tenir l’appareil.
Tu souris, et j’ai comme l’impression que tu as rougie. Tu te lèves et tu te diriges dans une autre pièce. J’en profite pour regarder ton corps, tu es svelte, ton jean moule parfaitement tes cuisses et tes fesses et ta chemise slim me permet de distinguer tes hanches. Quelques instants après, tu reviens avec un appareil, tu me le tends et tu me dis :
– Comment dois-je poser ?
– Commence par t’installer dans le canapé, bois un verre et de temps en temps regarde moi.
Au fur et à mesure que tu vides ton verre, tu es plus à l’aise. Je me déplace pour me mettre au bout du canapé et tu te places à genoux, de dos. Tu te cambres pour faire ressortir tes fesses, les mains dans les cheveux, le regard qui brille. Je sens l’excitation qui commence à monter en moi…
Je te propose de t’installer face à moi, à quatre pattes et de te dirige vers moi, en regardant l’objectif. Ce que tu fais.
– Bien, très sensuel, très… Je ne termine pas ma phrase, troublé par ton regard et ta lèvre que tu viens de mordre.
Néanmoins, je te propose de recommencer en déboutonnant quelques boutons à ton chemisier pour que le décolleté soit plus profond.
– Viens le déboutonner toi-même, me lances-tu, provocante. C’est toi le photographe.
Je souris et je me dirige vers toi. Je commence à enlever le premier bouton et tu remarques ma bosse à mon pantalon. J’enlève la plupart des boutons, excepté celui au niveau de ton soutien gorge. On recommence à prendre des photos, tu t’amuses à écarter ta chemise pour faire apparaitre tes hanches. Je profite de ce joli spectacle à travers l’objectif de l’appareil. Puis tu déboutonnes le dernier. Je prends quelques photos de face, chemisier ouvert.
Soudain, tu te lèves, tu te diriges vers moi et tu m’embrasses. Un premier baiser, un échange de regard puis un baiser plus long. Sans dire un mot, tu t’éloignes de moi sans te retourner en laissant tomber la chemise et tu te diriges vers la salle de bain en disant :
– Viens, je veux jouer avec les miroirs…
Quand je te rejoins, tu es appuyée sur le lavabo, les fesses en arrière, me regardant dans le reflet. Il est clair qu’on a en tous les deux envies, la question est : combien de temps tiendrons-nous à jouer ?
Je te prends en photo : Ton jean te moulant magnifiquement, ton soutien gorge noir faisant ressortir ta peau, ton dos qui est une invitation au caresse, et ton reflet, le désir dans tes yeux, la courbe de tes seins qui née avant de se perdre dans ton soutien-gorge.
Puis je me dirige vers toi, je pose l’appareil sur le coté et je viens me placer derrière, les mains sur tes hanches, mon sexe en érection entre tes fesses….
J’embrasse ton cou, d’abord à gauche. De petits et tendres baisers. Dans le reflet, je te vois fermer les yeux et mordre à nouveau ta lèvre. Puis je dépose des baisers tendres à droite. Et enfin dans ta nuque.
Mon bras t’enlace alors que je descends doucement le long de ton dos. Presque arrivé au jean, je te vois pris d’un frisson. Je continue mes baisers et je te demande ironiquement :
– Tu as froid ?
Alors que tu te retournes, toujours appuyée contre le lavabo, tu me réponds :
– Oui, viens me réchauffer…
Je me redresse et viens t’embrasser. Cette fois ci nos baisers sont plus profonds, plus longs, nos langues jouent ensemble, tes mains s’agrippent à mon dos et de perdent dans mes cheveux. Je te plaque contre moi, je veux que tu sentes le désir que je ressens. Puis je passe mes mains sous tes fesses pour te porter et te poser sur le meuble. Alors, toujours en s’embrassant, tu passes tes jambes autour de ma taille pour coller mon érection à ton sexe. Ce moment dure un peu, tu me déshabilles de ma chemise et embrasse mon torse par endroits.
Puis te redressant, tout en me serrant de tes jambes contre toi, tu me dis :
– Monsieur le photographe, il me semble que vous alliez trop loin avec votre modèle.
Tu me repousses doucement, tu te diriges vers la porte et après un regard complice, tu déboutonne ton pantalon et le fais descendre le long de tes jambes en prenant bien soin de m’exposer tes fesses. Tu quittes la pièce dans un haussement de sourcil et en riant. Je reprends mes esprits, respire un peu et je reprends l’appareil. Il me semble t’avoir entendu ouvrir le frigo…
Ce sont tes jambes qui m’accueillent. Le reste de ton corps, penché en avant, se trouve caché par la porte de frigo. Je prends la photo et en profites pour observer plus longuement cette partie du corps qui vient d’être mise à nue. Ton tanga de dentelle noire met en valeur tes fesses. Tes cuisses sont des appels aux caresses et aux baisers.
C’est le son de la porte qui claque qui me ramène de ma rêverie. Bombe de chantilly dans une main, bol de fraises dans l’autre, tu es amusée de me voir sursauter. Mais c’est l’effet que tu voulais. Ravie de l’effet que tu me fais, d’après mon érection et mon regard encore fixé sur tes jambes il y a peu, tu savoures cette attention. Mais tu décides de jouer encore un peu avec moi.
Tu décales une chaise et t’y assois, croissant les jambes pour bien les mettre en valeur. Je prends un cliché de ce moment. Le jeu du photographe et du modèle reprend. Tu manges quelques fraises, accompagnées de chantilly tandis que je cherche le bon angle pour la photo. Puis tu te sers de chantilly, sans fraise, directement en bouche. Tu as toujours aimé ça. C’est encore meilleur ce soir, comme un avant gout de la suite. Me voyant prendre des photos sans revenir contre toi, tu décides de me rejoindre, tu t’agenouilles et déboutonne mon pantalon.
Mon érection trouve enfin un peu de liberté, c’est un soulagement. Mais je vois à ton regard que tu ne vas pas t’arrêter là. Après m’avoir débarrassé de mon pantalon et de mes sous-vêtements, tu prends la bombe et dépose une noisette de chantilly sur mon sexe, que tu commences à caresser de la langue et finis par prendre en bouche…
J’oublie le jeu du photographe. J’oublie le reste. Les sensations que tu me procures sont dingues. J’abandonne l’appareil pour me concentrer au plaisir que tu me donnes. À chaque coup de langue, je pense au coup de rein que je te ferai, à l’envie de toi, ici maintenant. J’aime sentir ta bouche et ta langue sur mon sexe. Et tu sais quoi faire, tu sais également comment me regarder dans ces moments là.
Je te demande d’arrêter, tellement l’excitation est grande et l’orgasme proche. Je t’aide à te relever et te plaque contre le mur en t’embrassant. Je dégrafe ton soutien gorge et le fait voler à travers la pièce puis te porte.
Toujours contre le mur, mes baisers voyagent entre tes lèvres, ton cou et tes seins. Nous sommes tous les deux gémissants, excités mais nous continuons à jouer à chauffer l’autre.
Tu me murmures :
– Dépose-moi sur la table.
Tes jambes et tes bras qui m’enlacent, mes bras sous tes fesses, tout en t’embrassant, je t’emmène vers la table.
Une fois assise, tu places la pointe de ton pied sur mon torse et me fais lentement reculer. Tu souris, tu aimes avoir ce contrôle pour moi. J’observe ton corps, tes formes qui me donnent envie de toi, de venir en toi…
Après quelques échanges de regard, tu fais descendre ton tanga le long de tes jambes. Ton corps est réellement appétissant. Tu croises les jambes, te cambres légèrement la poitrine pour faire ressortir tes seins.
Encore un cliché. Puis enfin, tu descends de la table et tu te retournes. À nouveau je glisse mon sexe entre tes fesses, mais cette fois, aucun vêtement ne nous sépare.
Mon bras caressent ta hanche puis vient se glisser entre tes jambes, et pars à la rencontre de ton clitoris… Une vague de plaisir t’envahi quand ma main commence à te caresser. Tu te cambres pour te plaquer ton moi, sentant encore mieux mon sexe contre tes reins, ne désirant qu’une chose, qu’il soit en toi. Tu savoures les sensations procurées par ma main et mes baisers sur ton corps puis, te retournant, me murmure :
– Prends l’appareil…
Et te voilà, encore, entrain de filer hors de la pièce…
Amusé, frustré et bien décidé de te faire languir à mon tour, je prends l’appareil et te rejoins dans le salon.
Tu étais sur le canapé entrain de remettre la chemise que tu avais abandonné plus tôt. Simplement vêtue de cette chemise, tu reprends des poses que j’immortalise. Les jambes se croisent et se décroisent, tes mains parcourent ton corps, tes cuisses, tes seins…. Après une dernière photo, où tu es allongée sur le coté, ta jambe cachant ton sexe, je me débarrasse une dernière fois de l’appareil photo et viens t’embrasser, caresser tes seins et te retirer cette chemise. Puis, déposant des baisers sur le chemin, je descends jusqu’à ton sexe.
Je me place au bord du canapé, à genoux, à hauteur de cette partie du corps dont j’ai envie depuis que ce jeu a commencé. Je rapproche ma bouche de tes cuisses, puis de la pointe de ma langue, remonte jusqu’à ton sexe. Puis je recommence avec l’autre cuisse. Je vais bien attention de ne pas toucher à ton clitoris, me vengeant de cette manière des jeux que tu m’as fait subir.
M’attardant sur tes grandes lèvres, les aspirants doucement et les faisant rouler avec ma langue. Puis, je m’approche de l’entrée de mon vagin avec la pointe de ma langue. Quelques petits coups par-ci par-là. Tu gémis, avec pour désir que ma langue rencontre enfin ton clitoris. Et c’est ce qu’elle fait.
Soudainement, je colle mes lèvres sur ton clitoris et laisse ma langue opérer cette magie délicieuse qu’est le cunni. Mes mains agrippent tes hanches pour te rapprocher de mon visage, ta main s’attarde dans mes cheveux, s’agrippant pour empêcher ma tête de partir, ce qui est loin d’être mon souhait. Puis, je glisse un doigt en toi, puis deux. Tes gémissements sont plus forts, plus intenses. Ma langue et mes doigts s’activent pour ton plaisir.
Tu me dis :
– J’ai envie de toi, maintenant.
Alors, tu te redresses, je te porte, nos sexes l’un contre l’autre et tu me murmures :
– Amène nous dans la chambre….
Ajouter un commentaire